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Montélimar est une commune du Sud-Est de la France dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes, entre Valence et Avignon.

Montélimar

Collégiale Sainte-Croix Montélimar.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Nyons
Intercommunalité Montélimar-Agglomération
(siège)
Maire
Mandat
Julien Cornillet
2020-2026
Code postal 26200
Code commune 26198
Démographie
Gentilé Montiliens
Population
municipale
39 818 hab. (2019 )
Densité 851 hab./km2
Population
agglomération
66 944 hab.[1] (2018)
Géographie
Coordonnées 44° 33′ 29″ nord, 4° 45′ 03″ est
Altitude Min. 56 m
Max. 213 m
Superficie 46,81 km2
Unité urbaine Montélimar
(ville-centre)
Aire d'attraction Montélimar
(commune-centre)
Élections
Départementales Cantons de Montélimar-1 et de Montélimar-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Montélimar
Géolocalisation sur la carte : France
Montélimar
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Montélimar
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Montélimar
Liens
Site web montelimar.fr

    Historiquement, la ville se rattache au Dauphiné. Avec 39 818 habitants recensés en 2019, Montélimar est la deuxième ville la plus peuplée de la Drôme après Valence.

    Ses habitants sont dénommés les Montiliens et Montiliennes[2].


    Géographie


    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Localisation


    La commune de Montélimar est située à environ 43 kilomètres au sud de Valence (préfecture).

    Ancône
    Rochemaure (Ardèche)
    Savasse Sauzet
    Le Teil (Ardèche) N Montboucher-sur-Jabron
    O    Montélimar    E
    S
    Le Teil (Ardèche) Châteauneuf-du-Rhône Espeluche
    Allan

    Relief et géologie


    La superficie de la commune est de 4 681 ha (46,81 km2) ; son altitude varie entre 56 et 213 m[3]. Le point le plus haut de la commune est situé à l'est-sud-est du centre-ville, en bordure de commune, à proximité du plateau de Bondonneau.

    La commune est située sur les promontoires de Géry et de Narbonne d'où l'on pouvait contrôler, à cet endroit, toute la plaine de la vallée du Rhône[réf. nécessaire].

    Sites particuliers :


    Géologie

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    Hydrographie


    Montélimar et le Rhône.
    Montélimar et le Rhône.

    Le bassin de Montélimar s'étend du défilé de Cruas-Meysse au nord jusqu'au défilé de Donzère au sud et sur la plaine de la Valdaine et ses contreforts.

    La commune est arrosée par les cours d'eau suivants :


    Climat


    Article connexe : Climat de la Drôme.

    Située en moyenne vallée du Rhône, la commune est partiellement sous l'influence du climat méditerranéen avec un ensoleillement annuel moyen dépassant les 2 400 heures[6],[7].

    Toutefois, selon la classification de Köppen le climat à Montélimar est tempéré-chaud sans saison sèche (codé Cfa)[8] car il pleut plus en juillet (48,7 mm) qu'en février (45,1 mm) ce qui ne correspond pas à un régime pluviométrique de climat méditerranéen.

    Les hivers sont généralement froids et secs (notamment en février), avec un ressenti glacial quand le mistral souffle. Les chutes importantes de neige sont assez exceptionnelles mais pas inconnues avec 50 cm en 1999 et en 2006, 30 cm en 2010, 20 cm en 2017[réf. nécessaire].
    Le printemps et l'automne connaissent des pluies d'orage parfois abondantes appelées orages cévenols ou épisode méditerranéen.
    L'été est généralement synonyme de périodes de chaleur avec une sécheresse accentuée par le mistral[réf. nécessaire].

    La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1920 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[9]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records MONTELIMAR (26) - alt : 73 m 44° 34′ 48″ N, 4° 43′ 54″ E
    Records établis sur la période du 01-08-1920 au 04-01-2022
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,9 2,5 4,9 7,3 11,1 14,7 17,3 17 13,7 10,4 5,8 3 9,2
    Température moyenne (°C) 5 6,3 9,7 12,4 16,6 20,4 23,5 23 18,9 14,6 9,1 5,8 13,8
    Température maximale moyenne (°C) 8,2 10,2 14,5 17,5 22,1 26,2 29,6 29,1 24,2 18,7 12,4 8,6 18,5
    Record de froid (°C)
    date du record
    −14,4
    05.01.1971
    −17
    23.02.1948
    −7,4
    02.03.05
    −3,1
    06.04.1970
    −1,8
    02.05.1938
    3,5
    03.06.1926
    7,5
    06.07.1954
    5,6
    21.08.1924
    0,5
    25.09.1928
    −1,6
    30.10.1932
    −10
    12.11.1921
    −17,2
    22.12.1938
    −17,2
    1938
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    19,3
    10.01.15
    22,4
    23.02.1990
    26,4
    25.03.1994
    30,6
    23.04.1924
    33,8
    24.05.09
    40,3
    27.06.19
    40
    23.07.1929
    41,1
    13.08.03
    36,2
    09.09.1966
    30,4
    01.10.11
    26,4
    02.11.1924
    19,9
    04.12.1961
    41,1
    2003
    Ensoleillement (h) 104,9 134,5 200 214,6 255,3 295,5 327,3 293,6 224,5 152,3 110,3 92,1 2 404,8
    Précipitations (mm) 64 45,2 47,1 81,3 83,1 55,2 48,7 57,7 116,2 135,8 100,5 70,5 905,3
    Source : « Fiche 26198001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base
    Ville Ensoleillement
    (h/an)
    Pluie
    (mm/an)
    Médiane nationale 1 852835
    Montélimar 2404.8905.3
    Paris 1 662637
    Nice 2 724733
    Strasbourg 1 693665
    Brest 1 5301 210
    Bordeaux 2 035944

    Certains naturalistes fixent la limite septentrionale de la végétation méditerranéenne au défilé de Donzère[10] mais ce phénomène est en réalité lié davantage à la nature du sol qu'au climat qui ne marque pas de rupture nette mais se modifie progressivement sous l'influence océanique entre Vienne au nord, et la plaine de Valence au sud. Cependant, au nord du défilé de Donzère, la quantité de chênes verts, de cystes, de rolliers d'Europe et autres espèces typiquement méditerranéennes est moins importante[réf. nécessaire].

    La station locale a enregistré des records de température dès le . Le il a fait 40,3 °C, battant de 2,2 °C le précédent record mensuel de juin[11].


    Urbanisme



    Typologie


    Montélimar est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14].

    Elle appartient à l'unité urbaine de Montélimar, une agglomération inter-départementale regroupant 7 communes[15] et 56 765 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[16],[17].

    La commune fait partie de l'aire d'attraction de Montélimar dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].


    Occupation des sols


    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (44,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (55,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (35,4 %), zones urbanisées (28,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (10,1 %), forêts (10,1 %), terres arables (6,1 %), eaux continentales[Note 3] (4,6 %), cultures permanentes (2,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,2 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].


    Morphologie urbaine


    La ville a un plan classique de ville gallo-romaine, avec un axe nord-sud (le Cardo), anciennement Grand'rue et aujourd'hui appelé rue Pierre-Julien (en l'honneur de Pierre Julien[21], résistant de la Seconde Guerre mondiale), croisé au centre de la ville par l'axe est-ouest (le Decumanus), l'actuelle rue Saint-Gaucher prolongée par la rue Montant-au-Château. À la croisée de ces deux axes principaux, on trouvait généralement, dans les villes romaines, le forum, haut lieu de la vie économique de la cité.
    Par la suite, autour de ces deux axes d'origine romaine, la ville s'est construite selon un plan circulaire typique du Moyen Âge. Le plan du centre-ville ressemble donc à une cible : un cercle barré d'une croix, et un point de croisement au milieu. Le pourtour circulaire extérieur de la ville, calqué sur le tracé des anciens remparts est constitué des boulevards Aristide-Briand, Marre-Desmarais, Meynot et du Fust (ce dernier est communément appelé Allées provençales).


    Quartiers, hameaux et lieux-dits

    Site Géoportail (carte IGN)[4] :

    Anciens quartiers, hameaux et lieux-dits :


    Logement


    En 1999, le nombre total de logements dans la commune était de 10 029. En 2009, il est de 10 500[a 1].

    Parmi ces logements, 95,8 % sont des résidences principales, 1,3 % des résidences secondaires et 2,9 % des logements vacants. 53,7 % d'entre eux sont des maisons individuelles et 45,2 % des appartements[a 2].

    La proportion des résidences principales est de 49,4 %, en hausse par rapport à 1999 (45,4 %). La part de logements HLM loués vides est de 13,8 contre 16,7, leur nombre étant quasiment inchangé 2 217 contre 2 221([a 3].


    Projets d'aménagement


    À partir de 2001, sous l'impulsion du maire Franck Reynier, de vastes projets d'aménagement de zones commerciales ont été lancés. La ville s'est notamment dotée d'une double zone artisanale, au nord et au sud, qui forme une banlieue très étendue par rapport au centre-ville à la surface limitée[réf. nécessaire].


    Projet économique

    Un projet d'aménagement d'une zone ludo-commerciale à l'entrée nord de la ville a été lancé en 2010, ayant pour objectif un millier d'emplois supplémentaires[23]. Il a été abandonné en 2019, notamment sous la pression des commerçants de la région[24].


    Nouvelle gare sur la ligne TGV

    Une gare « Montélimar TGV » est a l'étude. Une concertation publique a eu lieu au cours du quatrième trimestre 2011 et une ouverture a été envisagée en 2018. L'étude de projet est actuellement à l'arrêt. Il est prévu que la gare soit localisée sur la commune d'Allan, limitrophe de Montélimar[25].


    Voies de communications et transports


    La commune est située dans la vallée du Rhône, ce qui lui permet un accès facile à de nombreuses infrastructures.


    Réseau routier

    Les routes nationales 7 et 102 traversent la commune.
    Les routes départementales 6, 56, 73, 237, 540 et 540A convergent toutes vers le centre-ville.

    Montélimar est située à l'intersection de la route nationale 7 (Lyon-Valence / Avignon-Aix) et de la route nationale 102 (Aubenas, Le Puy-en-Velay, Clermont-Ferrand), une des principales voies de traversée du Massif Central. La première a fortement marqué la ville, que ce soit par les fameux « bouchons » dans les années 1960 ou par l'emballage des traditionnels nougats dans une boîte en forme de borne kilométrique « N7 ». L'ouverture d'une déviation poids lourds (plus tard intégrée dans la RN 7) et de l'autoroute A7 vers 1968 a permis de réduire sensiblement les encombrements.

    Bien que ne traversant pas la commune, l'autoroute la plus proche est l'autoroute A7, à l'est. Les deux péages les plus proches sont ceux appelés Montélimar-Nord (sortie 17, aux Tourrettes) et Montélimar-Sud (no 18, à Malataverne).


    Réseau ferroviaire

    Montélimar dispose d'une gare SNCF, baptisée gare de Montélimar. Jusqu'à l'arrivée des TGV dans la vallée du Rhône, certains trains rapides s'y arrêtaient.
    Depuis la mise en place de la desserte par TGV, ce sont quatre allers-retours quotidiens vers Paris qui sont assurés. La mise en service de la ligne TGV Méditerranée en a vu naître une desserte spécifique à la vallée du Rhône, desservant Valence-Ville, Montélimar, Orange, Avignon-Centre, Arles et Miramas. Les TGV pour Marseille et Montpellier circulent maintenant sur une voie dédiée à quelques kilomètres à l'est de la ville[réf. nécessaire].

    Un projet de gare sur la ligne TGV Méditerranée existe à Allan (à proximité de l'échangeur autoroutier Montélimar-Sud) mais a peu de chances d'aboutir à moyen terme. Cette gare verrait se reporter les dessertes existant actuellement sur la ligne classique. Des discussions sont en cours afin d'améliorer la desserte de cette éventuelle gare nouvelle (liaison TER, desserte depuis le sud de l'Ardèche, etc.)[26],[27],[28].

    La gare de Montélimar est desservie par de nombreux trains TER et propose des dessertes régulières vers Avignon au sud, Valence puis Lyon au nord.
    La gare de Valence-Ville assure les trajets vers les deux gares de Grenoble (Grenoble et Grenoble-Universités-Gières, cette dernière donnant un accès direct aux universités pour les étudiants de la région de Montélimar) puis celles d'Annecy et Genève[29].


    Transports fluviaux

    La ville est située à proximité du Rhône. La dérivation de Montélimar, construite à la fin des années 1950 entre Rochemaure et Châteauneuf-du-Rhône, a contribué à la navigabilité du Rhône.
    Un quai a été établi le long du canal mais l'utilisation de la voie d'eau au départ ou à l'arrivée de Montélimar reste faible[réf. nécessaire].


    Transports aériens

    L'aérodrome de Montélimar-Ancône est situé au nord-ouest de la commune. Il est connu pour son musée européen de l'aviation de chasse[30] et sa grande activité ULM avec notamment le premier centre ULM de France et le deuxième constructeur mondial d'ULM pendulaire : DTA[réf. nécessaire].

    La commune dispose aussi d'un héliport (nord-est)[4].


    Transports en commun

    Depuis 1988, un réseau de transports urbains s'est développé progressivement. En 2021, le réseau, nommé Montélibus, est composé de 37 lignes urbaines desservant les principales zones et quartiers de la ville[31].

    La commune est également desservie par les autocars départementaux (SRADDA)[32].


    Risques naturels et technologiques



    Inondation

    Les risques naturels les plus importants auxquels est soumise la commune sont essentiellement liés aux inondations du Rhône (la dernière crue de très grande amplitude date de 1856), du Roubion et du Jabron.


    Sismicité

    Article connexe : Risque sismique dans la Drôme.

    Le , la commune a ressenti un séisme de magnitude 5,4 dont l'épicentre était localisé en Ardèche. Ce séisme s'est produit sur une faille sismique non répertoriée et a été ressenti de Lyon à Montpellier ; c'est le tremblement de terre le plus puissant survenu dans la région depuis cinquante ans et en France depuis celui de Saint-Dié dans les Vosges en 2003. Quatre personnes sont blessées mais il n'y a pas eu de dégâts majeurs[réf. nécessaire].


    Risques technologiques

    La ville de Montélimar se situe entre deux centrales nucléaires, celle de Cruas distante de 10 km au nord, et celle du Tricastin à 30 km au sud. Elle est donc fortement concernée par un risque majeur d'accident nucléaire sur l'un de ces deux sites[réf. nécessaire].


    Toponymie


    En provençal, la ville est dénommée Mountelimar [muⁿteliˈmar] selon la graphie mistralienne[33],[34]. le dialecte local est le vivaro-alpin.


    Attestations


    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[35] :


    Étymologie


    Le nom de Montélimar provient du latin Montellum « petit mont, colline » et de Aymard, nom de personne d'origine germanique (Adal « noble » et mar « grand, célèbre »), signifiant « Mont des Adhémar »[36].
    Les Adhémar sont l'une des plus anciennes famille du sud de la France. Des généalogies non documentées la font remonter à 685 avec un Lambert Adhémar de Monteil dit « duc de Gênes, vicomte de Marseille, baron et seigneur de Monteil »[37].


    Histoire


    Article connexe : Histoire de la Drôme.

    Préhistoire


    La présence humaine à l'emplacement de Montélimar est très ancienne. Les premières traces sont un ensemble de silex taillés datant de -50 000 ans (époque du moustérien)[réf. nécessaire].

    Le site de Gournier est occupé à partir de -6000 (mésolithique)[réf. nécessaire].

    En 2005-2006, des fouilles effectuées lors de travaux sur la zone 5 de Portes-de-Provence ont permis la découverte de foyers néolithiques à pierres chauffées datant du Néolithique moyen chasséen[38].

    Site du Gournier : la civilisation chasséenne s'y développe à partir de -3600 ans[réf. nécessaire].

    Le musée de Montélimar expose des objets de la préhistoire[39].


    Protohistoire


    Montélimar appartient au territoire du peuple celte des Ségovéllaunes. La cité est positionnée sur les deux promontoires de la ville : l'oppidum de Géry, lieu de l'ancien confluent du Jabron et de Roubion, et sur l'extrémité de la côte de Narbonne.
    L'oppidum de Géry a souvent été assimilé au site de Dourion mentionné par Strabon, mais selon François Salviat, cette identification est erronée[40].


    Antiquité : les Gallo-romains


    Inscription latine de Montélimar mentionnant les utriculaires de Lyon.
    Inscription latine de Montélimar mentionnant les utriculaires de Lyon.

    Montélimar se nomme Acunum mansio, une station romaine dont le nom se retrouve dans celui Aygu, un de ses faubourgs[35]. C'est un relais de poste installé près du pont sur le Roubion et qui est signalé par la table de Peutinger[réf. nécessaire].

    La via Agrippa a joué un rôle majeur dans le développement de l'agglomération[41].
    La cité est probablement aussi un relais pour le commerce régional comme en témoigne une inscription mentionnant des utriculaires[42].

    Au Ier siècle avant notre ère, l'emplacement de Géry est progressivement abandonné au profit de la ville nouvelle (centre-ville actuel de Montélimar)[réf. nécessaire].

    Sont attestés :

    Pendant les grandes invasions, la ville se sépare en deux entités distinctes : la ville nouvelle autour du promontoire de Narbonne et Acunum qui va fortifier le pont sur le Roubion[réf. nécessaire]. C'est là, autour du prieuré d'Aygu, que l'on retrouve, à l'époque moderne et jusqu'au XIXe siècle, plusieurs sépultures d'époque romaine et des inscriptions, dont les pierres sont parfois remployées lors de la construction des maisons du quartier Saint-James[44].


    Du Moyen Âge à la Révolution


    Vers le VIIe siècle[37], on voit apparaître la famille des Adhémar dans certaines sources. Une généalogie non fondée mentionne Lambert Adhémar de Monteil, né vers 685, duc de Gênes, baron et seigneur de Monteil[37]. La généalogie des Adhémar n'est vraiment établie que depuis le XIIe siècle[réf. nécessaire].
    Les Adhémar possèdent la seigneurie de Monteil dès le XIe siècle. En 1070, Guillaume-Hugues Adhémar est seigneur de Montélimar (« seigneur de Monteil »). Il pourrait être le frère d'Adhémar de Monteil, évêque du Puy et légat apostolique pour la première croisade. Cette parenté est discutée. Au XIIe siècle, les Adhémar font construire leur château sur le promontoire de Narbonne à la place d'un château plus ancien. La famille dominera la région de Montélimar jusqu'au XIVe siècle[réf. nécessaire].

    La seigneurie[35] :

    Entre le XIe siècle et le XIVe siècle, les Adhémar vont acquérir, construire ou étendre, autour de leur fief principal, de nombreux châteaux : Grignan, Châteauneuf-du-Rhône, Rochemaure, La Garde-Adhémar), etc. À leur apogée, ils contrôleront une trentaine de seigneuries. Grignan, par exemple, entre dans leurs possessions à partir du XIIe siècle[45].

    Au XIIe siècle, Montélimar fait partie du marquisat de Provence qui s'étend jusqu'au confluent de l'Isère et du Rhône[46].
    En 1198, la seigneurie de Montélimar est partagée entre deux frères, Giraud et Lambert Adhémar.
    Dès le milieu du XIIe siècle, la cité des Adhémar est désignée sous le nom de « Monteil des Aimar »[réf. nécessaire].

    Lorsque les comtes de Toulouse perdent leurs possessions de la rive gauche du Rhône à l'issue de la croisade dite "des Albigeois", celles-ci passent aux papes d'Avignon[46] et Montélimar restera sous leur suzeraineté jusqu'au XIVe siècle[réf. nécessaire].

    En 1312, les biens de la commanderie des templiers sont recueillis par l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[35].

    En 1365, la majeure partie de la ville (qui est une co-seigneurie) est cédée par Giraud Adhémar au pape Urbain V. Celui-ci fait rénover le palais seigneurial et entretenir les remparts.
    Les papes souhaitant étendre leur État (le Comtat Venaissin) vers le nord et l'unifier géographiquement, Clément VII échange Montélimar, en 1383, contre Grillon (voir Enclave des papes). Les papes conservent cependant certains droits féodaux sur la ville de Montélimar et son château[réf. nécessaire].

    En 1376, Grégoire XI ramène la papauté à Rome. Dès lors, pour les papes, les possessions avignonnaises et dauphinoises deviennent moins stratégiques. En 1447, le pape Nicolas V cède ses droits sur Montélimar au dauphin, futur Louis XI, fils de Charles VII qui devient alors le maître de la ville et de son château[47].

    1471 (démographie) : 279 familles et 9 juifs[35].

    Pendant les guerres de religion, en 1562, la ville est prise et pillée par le baron des Adrets, la garnison est exécutée afin de venger les massacres d'Orange[48].
    Les nobles s'enrichissent par le pillage et le peuple s'appauvrit. En réaction, les paysans commencent à s'assembler pour défendre leurs intérêts communs dès la fin de l'année 1577. Le , les habitants de Montélimar refusent l'entrée à l'exacteur chargé de prélever la taille. Fin 1579, les paysans forment des armées qui expulsent les troupes de soudards de la vallée du Rhône, avant que la répression nobiliaire et royale n'écrase le mouvement dans le sang l'année suivante[49].
    En 1587, la ville, défendue par les catholiques Laurent de Maugiron et François de La Baume, est assiégée par les troupes huguenotes du duc de Lesdiguières qui s'en rend maitre.
    En 1599, la ville est presque entièrement protestante ; il ne reste plus que 10 % de catholiques.

    Avec la Contre-Réforme, le nombre des catholiques repasse à 50 % en 1673, à la suite des prédications et des conversions imposées par les dragonnades[50].

    Démographie :

    Au XVIIIe siècle, les famines disparaissent mais les crises de subsistance provoquent régulièrement des disettes et des poussées de mortalité. Montélimar connaît ainsi des pics de mortalité en 1760, 1764, 1767, 1772, 1779, 1782 et 1786. Les trois principales sont celles de 1760 (plus de 250 morts pendant l'hiver), 1779 (près de 400 morts) et 1786 (idem)[51].

    La population est majoritairement agricole : 41 % des habitants travaillent la terre ou sont bergers en 1796. Le secteur commercial et artisanal est important, avec 30 % de la population active. Enfin, la ville héberge des militaires[52].

    Avant 1790, Montélimar était une des dix villes du Dauphiné, dont les consuls siégeaient à la tête des députés du troisième ordre, dans les États de cette province, le chef-lieu d'une élection et d'une subdélégation et le siège d'une sénéchaussée et d'un gouvernement de place[35] :

    Montélimar était également une paroisse du diocèse, de Valence, dont l'église, sous le vocable de Sainte-Croix, était le siège d'un chapitre ou collégiale, qui, fondé en 1444 par le dauphin Louis (futur roi Louis XI), était composé d'un doyen, d'un sacristain faisant fonction de curé et de huit chanoines, qui avaient les deux tiers des dîmes de Montélimar, dont l'autre tiers appartenait à l'évêque diocésain.
    Antérieurement au XIVe siècle, il y avait au moins deux paroisses à Montélimar, dont une sous le vocable de Saint-Pierre (voir ce nom)[35].

    Division du diocèse de Valence, l'archiprêtré de Montélimar comprenait toutes les paroisses de ce diocèse, situées entre la Drôme et le Roubion (voir Introduction)[35].

    En fait d'établissements religieux, il y avait encore à Montélimar[35] :


    Aygu

    Sur l'emplacement de ce faubourg, existait, dès le XIIe siècle, un prieuré de l'ordre de Saint-Benoît, dépendance de l'abbaye de l'Île-Barbe, qui fut uni en 1449 au chapitre de Sainte-Croix de Montélimar[53] :


    Saint-Pierre

    Il y avait, dans cette rue, une église Saint-Pierre dépendance du prieuré d'Aygu (voir ce nom), qui fut un moment paroissiale et dont il n'est plus question dès 1549[54] :


    De la Révolution à nos jours


    L'hiver 1788-1789 est très froid : le Rhône gèle du 27 décembre au 26 février. Ce gel empêche les moulins de tourner et aggrave la disette causée par une récolte insuffisante. Le jour de Pâques, une émeute éclate, causée par la hausse du prix du pain[55].

    En 1790, Montélimar devient le chef-lieu d'un district comprenant les cantons de Châteauneuf-de-Mazenc, Dieulefit, Donzère, Grignan, Marsanne, Montélimar, Pierrelatte, Saint-Paul-Trois-Châteaux, Sauzet, Suze-la-Rousse et Taulignan.
    La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) en fait le chef-lieu d'un arrondissement comprenant les cantons de Dieulefit, Grignan, Marsanne, Montélimar, Pierrelatte et Saint-Paul-Trois-Châteaux ; et celui d'un canton comprenant les communes de Allan, Ancône, Châteauneuf-du-Rhône, Espeluche, Montboucher, Montélimar, Portes, Puygiron, Rac, Rochefort et la Touche[35].

    En 1800, avec le Consulat et les réformes de Napoléon Bonaparte, Montélimar devient une sous-préfecture, chef-lieu de l'arrondissement de Montélimar et le reste jusqu'en 1926[réf. nécessaire].

    Pont sur le Roubion construit pour la ligne de chemin de fer secondaire Montélimar - Dieulefit.
    Pont sur le Roubion construit pour la ligne de chemin de fer secondaire Montélimar - Dieulefit.

    En 1854, le chemin de fer arrive avec la création de la gare de Montélimar alors desservie par les trains de la section Valence - Avignon de la Compagnie du chemin de fer de Lyon à la Méditerranée. La ville est également desservie par une ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique des chemins de fer départementaux de la Drôme, qui la relie à Dieulefit de 1893 à 1936[réf. nécessaire].

    Après le débarquement de Provence, les Allemands tentent de bloquer l'avancée des Alliés lors de la bataille de Montélimar du 21 au [56].


    Politique et administration


    L'hôtel de ville.
    L'hôtel de ville.

    Tendances politiques et résultats


    Articles connexes : Élections municipales de 2014 dans la Drôme et Élections municipales de 2020 dans la Drôme.

    Récapitulatif de résultats électoraux récents

    Scrutin 1er tour 2d tour
    1er % 2e % 3e % 4e % 1er % 2e % 3e %
    Municipales 2014 UDI 51,95 PS 29,99 FN 18,04 Pas de 4e Pas de 2d tour
    Européennes 2014[57] FN 25,33 UDI 20,21 UMP 15,70 PS 11,40 Tour unique
    Régionales 2015[58] LR 31,30 FN 29,82 PS 21,82 PCF 5,49 LR 39,85 PS 32,72 FN 27,43
    Présidentielle 2017[59] FN 23,19 EM 22,57 LR 20,60 LFI 19,11 EM 63,98 FN 36,02 Pas de 3e
    Législatives 2017[60] LREM 36,30 UDI 20,06 FN 14,43 FI 10,12 LREM 67,37 FN 32,63 Pas de 3e
    Européennes 2019[61] RN 25,23 LREM 21,99 EELV 13,96 LR 9,54 Tour unique
    Municipales 2020 LR 34,23 GRS 25,59 MR 24,17 LREM 11,40 LR 46,78 GRS 28,16 MR 25,05

    Présidentielles


    Administration municipale


    Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 30 000 et 39 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 39[64].

    À la suite des élections municipales de 2020, la composition du conseil municipal de Montélimar est la suivante :

    Conseil municipal de Montélimar (mandature 2020-2026).
    Tendance Président Effectif Statut
    LR Julien Cornillet 29 Majorité
    GRS-PS-EÉLV Christophe Roissac 5 Opposition
    MR Laurent Lanfray 5 Opposition

    Liste des maires


    Article détaillé : Liste des maires de Montélimar.

    Rattachements administratifs et électoraux



    Intercommunalité

    La communauté de communes Montélimar-Sésame a été créée le et comptait en 2008, quatorze communes pour environ 50 000 habitants[65] sur une superficie d'environ 221 km2. Cette communauté de communes devient communauté d'agglomération après adhésion d'une quinzième commune[66].

    En 2014, Montélimar-Sésame, la communauté de communes du Pays de Marsanne et Manas forment Montélimar-Agglomération, comptant 26 communes pour une population de 60 586 habitants en 2012[67]. Elle est présidée par Franck Reynier[68].


    Aire urbaine

    Article détaillé : Aire urbaine de Montélimar.

    En 2012, l'aire urbaine de Montélimar regroupait 29 communes[69] pour 74 692 habitants (contre 64 606 habitants en 1999) sur une superficie de 486 km2, soit une densité de population moyenne pour l'ensemble de cette aire urbaine de 154 habitants par kilomètre carré[70].


    Instances judiciaires et administratives

    Montélimar relève du tribunal d'instance de Montélimar, du tribunal de grande instance de Valence, de la cour d'appel de Grenoble, du tribunal pour enfants de Valence, du conseil de prud'hommes de Montélimar, du tribunal de commerce de Romans-sur-Isère, du tribunal administratif de Grenoble et de la cour administrative d'appel de Lyon[71].


    Politique environnementale


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    Villes et villages fleuris

    En 2014, la commune est récompensée par le prix Ville Fleurie : trois fleurs depuis l'année 2008[72],[73].


    Finances locales


    L'imposition des ménages et des entreprises à Montélimar en 2010[74]
    Taxe Part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale
    Taxe d'habitation 14,09 %0,00 %7,80 %0,00 %
    Taxe foncière sur les propriétés bâties 20,54 %0,00 %11,54 %2,12 %
    Taxe foncière sur les propriétés non bâties 67,85 %0,00 %44,42 %5,28 %
    Cotisation foncière des entreprises 0,00 %25,84 %0,00 %0,00 %

    Voir aussi la page suivante (finances locales de Montélimar de 2000 à 2018)[75] (cliquez sur le lien wiki[76]).


    Jumelages


    Au , Montélimar est jumelée avec sept communes[77] :

    Racine

    Population et société



    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[78],[Note 4]

    En 2019, la commune comptait 39 818 habitants[Note 5], en augmentation de 8,66 % par rapport à 2013 (Drôme : +4,46 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    6 2406 3205 8647 1617 5607 9668 2459 4459 362
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    11 52312 04411 10011 12211 94612 89414 01413 76413 741
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    13 35113 55413 28111 71611 21013 69615 18715 97216 639
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    19 99926 74828 05829 16129 98231 34433 92435 37238 692
    2019 - - - - - - - -
    39 818--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[79] puis Insee à partir de 2006[80].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Services et équipements



    Enseignement


    Montélimar dépend de l'académie de Grenoble.

    Les élèves de la commune commencent leurs études dans l'une des sept écoles maternelles, puis dans l'une des douze écoles élémentaires[83].

    Ils poursuivent dans l'un des cinq collèges, puis dans l'un des trois lycées généraux et technologiques[84].
    Le collège Gustave-Monod possède une section adaptée[85], ainsi que l'un des lycées généraux[86].
    La commune dispose aussi d'un lycée des métiers du transport, qui comporte une partie lycée général technique (sections bac et BTS)[87], et une partie lycée professionnel (section BEP)[88].

    Une université populaire est également à la disposition de tous, trois jours par semaine[89].


    Santé


    Plusieurs professionnels de santé sont installés à Montélimar, notamment vingt-neuf médecins généralistes[90], soixante-quatorze infirmiers[91].

    La commune dispose d'un hôpital[92] et d'une clinique[93].


    Aides sociales


    Plusieurs associations loi 1901 aident les personnes en situation de précarité : la Croix rouge, Les Restos du cœur, le Secours Populaire, Emmaüs, Drôme Insertion.

    D'autres associations[94] luttent pour la prise en charge des risques médico-sociaux.

    Un centre d'accueil de jour pour SDF nommé « l'Abri »[95] a récemment été délocalisé du centre-ville pour se retrouver à km au nord de la ville. Cela a causé beaucoup de problèmes pour les personnes en difficulté - la majorité d'entre elles n'avaient pas de moyen de transport. Certains SDF ont préféré s'installer aux alentours du lac d'Ancone[réf. nécessaire].


    Manifestations culturelles et festivités


    Plusieurs manifestations culturelles sont organisées à Montélimar et sa région, notamment le « Festival de l'écrit à l'écran », en juin[96], la « Flute enchantée de Mozart » en [97].

    Le festival Sésame a lieu sur Montélimar et les communes de l'agglomération[98].

    La commune a accueilli une statue de Android Nougat le en partenariat avec Google[99]. Cette statue est différente de celle présente au Googleplex. D'abord exposée devant la mairie lors de son inauguration, elle est maintenant à côté du théâtre, sur l'avenue Charles de Gaulle.


    Loisirs



    Sports


    Montélimar dispose de nombreux équipements sportifs : sept gymnases, quatre stades, dix courts de tennis, ainsi qu'une piscine, une piste de bi-cross, un centre équestre, un skate parc et un stand de tir[100].

    La municipalité s'engage également dans l'aide des sportifs de haut niveau :


    Événements sportifs

    Cyclisme

    Chaque année, la saison cycliste locale débute sur une manifestation : Corima Drôme Provençale[103].

    En 2006, Montélimar a accueilli, en tant que ville étape, le Tour de France les 15 et . Il s'agissait de la 13e étape du Tour de France 2006 reliant Béziers à Montélimar, puis de la 14e étape du Tour de France 2006 reliant Montélimar à Gap[réf. nécessaire].

    Montélimar a été le départ d'une étape du Paris-Nice le (Montélimar - mont Ventoux).

    Le Tour de France 2009 est revenu le 25 juillet 2009 (étape Montélimar - mont Ventoux), avant-dernière étape avant Paris.

    Montélimar reçoit le départ d'une étape du Tour de France 2016 le (Montélimar- Villars-les Dombes Parc des Oiseaux)[104].


    Médias



    Presse locale


    Radios locales

    La commune héberge deux radios locales :

    Elle participe à d'autres radios :

    Elle reçoit aussi :


    Télévision

    France 3 Rhône-Alpes et France 3 Alpes sont diffusées sur Montélimar et son agglomération grâce au site d'émission TDF de la Montagne de Savasse[110].


    Internet

    La commune a été récompense par le prix Ville Internet en 2012[111].


    Cultes



    Culte catholique

    Vue de l'angle sud-est de la collégiale Sainte Croix.
    Vue de l'angle sud-est de la collégiale Sainte Croix.

    Le territoire de la commune relève de la paroisse « Notre-Dame-du-Rhône » qui dépend du doyenné de Montélimar au sein du diocèse de Valence ; cette paroisse regroupe à Montélimar quatre lieux de culte : l'église Saint-James, la chapelle Notre-Dame-de-la-Rose, l'église Saint-Joseph et la collégiale Sainte-Croix[112].


    Culte protestant

    Les Montiliens disposent de plusieurs lieux de culte protestant pour les communautés liées à :


    Culte judaïque

    La communauté a eu une importance considérable pendant le XIVe siècle et la première moitié du XVe siècle.

    Au début de la Seconde Guerre mondiale, 150 familles juives se sont réfugiées à Montélimar[113].


    Culte musulman

    La communauté musulmane dispose de trois lieux de culte[114] :


    Autres cultes

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    Économie



    Revenus de la population et fiscalité


    En 2009, plus de la moitié (50,9 %) des foyers fiscaux n'étaient pas imposables[a 4].

    En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de 24 882 , ce qui plaçait Montélimar au 25 026e rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole[115].


    Emploi


    En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 22 461 personnes, parmi lesquelles on comptait 69,8 % d'actifs dont 59,6 % ayant un emploi et 10,2 % de chômeurs[a 5].
    On comptait 20 074 emplois dans la zone d'emploi, contre 16 322 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 13 481, l'indicateur de concentration d'emploi est de 148,9 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre un emploi et demi par habitant actif[a 6].


    Entreprises


    Montélimar possède une antenne de la Chambre de commerce et d'industrie de la Drôme.

    Au , Montélimar comptait 3 985 établissements : 78 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 224 dans l'industrie, 445 dans la construction, 2 648 dans le commerce-transports-services divers et 590 étaient relatifs au secteur administratif[a 7].

    En 2011, 403 entreprises ont été créées à Montélimar[a 8], dont 199 par des autoentrepreneurs[a 9].


    Agriculture

    En 1992 : céréales, vignes, apiculture (miel), truffes[39].

    La commune de Montélimar fait partie de la zone de production de plusieurs produits agricoles, ou issus de l'agriculture, protégés par un label : miel de Provence, ail de la Drôme, picodon, pintadeau de la Drôme, volailles de la Drôme, vingt-et-une sortes de vins, en IGP[116]. Les « Vins de pays des coteaux de Montélimar » font partie des vins produits sur la commune. Un décret définissant les conditions de production de ses vins a été publié en [117].


    Commerces

    Au , Montélimar comptait 900 commerces[a 7] et réparation automobile, organisés autour d'un comité professionnel local, en contact avec la municipalité pour des créations d'évènements et animations du centre-ville. Notamment, est gérée une foire mensuelle, tous les seconds mercredis[118]. Le marché hebdomadaire est également organisé le mercredi[119]. Des marchés de quartiers ont également lieu le jeudi et le vendredi[120].


    Industrie

    Initialement spécialité locale, le nougat de Montélimar fait partie, aujourd'hui, des secteurs économiques importants de la commune. Près d'une vingtaine de confiseurs spécialisés dans la fabrication de cette gourmandise sont installés dans la commune[réf. nécessaire].


    Services

    La commune héberge l'une des quatre plates-formes logistiques d'Amazon d'une superficie de 36 000 m2.


    Tourisme

    Par décret du , la commune de Montélimar a été classée comme station de tourisme[121]. L'hébergement proposé aux touristes est varié : 42 hôtels[122], pour la plupart en 3 ou 4 *, 15 campings[123], 28 chambres d'hôtes[124].

    Plusieurs manifestations ont lieu, au cours de l'année, autour de l'artisanat local (Montélimar terra potier en avril[125]), ou les productions agricoles (Montélimar couleur lavande[126]). Côté musées, la commune dispose d'un espace culturel, le centre d'art Espace Chabran, tourné vers l'art contemporain[127], la fabrique de nougat de suprem-nougat[128], ainsi que le Palais des Bonbons et du Nougat[129].


    Culture locale et patrimoine



    Lieux et monuments


    Le château des Adhémar.
    Le château des Adhémar.
    La chapelle est un édifice de style roman (XIIe et XIIIe siècles) situé près de la porte Saint-Martin. Partiellement détruit à la fin du XVIe siècle. La façade est reconstruite au XVIIe siècle dans le style baroque, avec adjonction de deux chapelles latérales[130].

    L'inventaire des monuments historiques recense une dizaine de lieux montiliens :

    Parmi ses éléments architecturaux : une chapelle du XIe siècle et un logis du XIIe siècle au décor exceptionnel.
    Il accueille depuis 2000 un centre d'art contemporain. Depuis sa création, une cinquantaine d’expositions temporaires ont été réalisées avec des artistes de renom (John Armelder, Daniel Buren, Felice Varini, Ann Veronica Janssens, Olga Kisseleva…) et de jeunes créateurs (Delphine Balley, Le Gentil Garçon, Marie Hendriks, Emmanuel Régent, etc.).

    En outre, l'inventaire des monuments historiques recense à Montélimar 39 objets « classés »[142].


    Patrimoine culturel


    Montélimar dispose de nombreux lieux culturels[143] :

    chaque été, depuis 2008, le Musée d'art contemporain Saint-Martin organise une exposition autour de grands noms de l'art contemporain[145] : 2011 Bernard Cathelin, 2013 Pierre Boncompain, 2015 Fondation Maeght - estampes, 2016 Ben, 2017 Pop'art, 2018 donation Pierre Boncompain ;

    Montélimar et le cinéma

    Montélimar a été le lieu de tournage de plusieurs films :

    La commission du film Drôme Ardèche, basée à Montélimar, assure l'accueil des tournages en Drôme et en Ardèche. Elle a pour mission de favoriser et de susciter les activités de tournages et de post-production cinéma et audiovisuel[réf. nécessaire].


    Montélimar dans la chanson française

    Georges Brassens intitule l'une de ses chansons Montélimar en 1976. Cette œuvre critique violemment certains automobilistes qui, venus du nord, seraient nombreux à abandonner leur animal de compagnie dans la région de Montélimar, située entre Lyon et la mer Méditerranée, durant les mois d'été[réf. nécessaire].


    Gastronomie

    Voir le Palais des bonbons et du nougat[151]

    Patrimoine naturel


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    Personnalités liées à la commune


    Président Émile Loubet.
    Président Émile Loubet.

    Héraldique, logotype et devise


    En 1891, Les armes de la ville de Montélimar sont d'azur au monde cintré et croisé d'or.

    Les armes de Montélimar se blasonnent ainsi :
    De gueules au monde d'azur cintré d'argent bordé d'or et croisé du même.


    Annexes



    Bibliographie



    Articles connexes



    Liens externes



    Notes et références



    Notes et cartes


    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , l'ancienne notion d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références



    Insee

    1. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
    2. LOG T2 - Catégories et types de logements.
    3. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
    4. REV T1 - Impôts sur le revenu des foyers fiscaux.
    5. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
    6. EMP T5 - Emploi et activité.
    7. CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au .
    8. DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.
    9. DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2011.

    Autres références

    1. https://www.insee.fr/fr/statistiques/1405599?geo=EPCI-200040459
    2. David Malescourt, « Montélimar (26200) », sur le site habitants.fr de la société commerciale Patagos (consulté le ).
    3. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    4. https://www.geoportail.gouv.fr/
    5. Sandre, « Le meyrol [V4341000] - Cours d'eau selon la version Carthage 2017 », sur www.sandre.eaufrance.fr (consulté le )
    6. relevés météofrance données météofrance.
    7. « ensoleillement et pluviosité Montélimar » (consulté le ).
    8. https://planificateur.a-contresens.net/europe/france/montelimar/6430140.html
    9. « Fiche du Poste 26198001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, (consulté le )
    10. Jean Mercier, Haute-Provence dromoise et Haut-Comtat, Aix-en-Provence, EDISUD, .
    11. « Climatologie globale en juin à Montélimar »
    12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    [de] Montélimar

    Montélimar ist eine französische Gemeinde mit 39.818 Einwohnern (Stand 1. Januar 2019) im Département Drôme (Region Auvergne-Rhône-Alpes). Die Einwohner bezeichnen sich als Montiliens.

    [en] Montélimar

    Montélimar (French pronunciation: [mɔ̃telimaʁ] (listen); Vivaro-Alpine: Montelaimar pronounced [muntelajˈma]; Latin: Acumum) is a town in the Drôme department in the Auvergne-Rhône-Alpes region in north Provence, Southeastern France. It is the second-largest city in the department after Valence. In 2018, the commune had a population of 39,415; its urban area had a population of 57,372.[3]
    - [fr] Montélimar

    [ru] Монтелимар

    Монтелима́р (фр. Montélimar, окс. Montelaimar) — город и коммуна во Франции.



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