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Hydrographie
La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1]:
la Riaille;
Ruisseau de Pinton.
La Riaille
Son nom dérive de l'ancien occitan riailh «ruisseau», dérivé du latin rivus, avec le suffixe -alia[réf.nécessaire].
Ce ruisseau a sa source sur la commune d'Allan, traverse celles de Malataverne (Rac) et de Châteauneuf-du-Rhône et se jette dans le Rhône après un cours de 10km. En 1891, sa largeur moyenne est de quatorze mètres, sa pente est de 121 m, son débit ordinaire est de 0,50 m3, extraordinaire de 140 m3[2]:
1300: aqua de Rialha (terrier de Saint-Pierre du Palais).
1367: Realha (terrier de Saint-Pierre du Palais).
1425: La Rialha (archives de la Drôme, E 1482).
1669: La Rialle et Les Boissières (archives de la Drôme, E 482).
1891: La Rialle
Climat
Article connexe: Climat de la Drôme.
Urbanisme
Typologie
Malataverne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].
Elle appartient à l'unité urbaine de Châteauneuf-du-Rhone, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[6] et 4 737 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7],[8].
La commune fait partie de l'aire d'attraction de Montélimar dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (40,4% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (42,7%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante: zones agricoles hétérogènes (34,8%), forêts (32%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (12,1%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,4%), zones urbanisées (7,8%), terres arables (3,2%), cultures permanentes (1,7%)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
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Projets d'aménagement
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Voies de communication et transports
La commune est desservie par la route nationale N 7 et les routes départementales D 126, D 133, D 169, D 607, D 607a, D 844[1].
L'autoroute A 7 traverse la commune. Il y a un péage[1].
La ligne de bus no42(Avignon-Montélimar) dessert quotidiennement la commune, avec plusieurs allers-retours[12].
Risques naturels et technologiques
Risques sismiques
Article connexe: Risque sismique dans la Drôme.
: une série de tremblements de terre frappe les villages de Rac, Châteauneuf-du-Rhône et Donzère. Les secousses se produisent jusqu'au . Les plus violentes sont celles du et du . À Châteauneuf-du-Rhône, la plupart des maisons se lézardent et les habitants sont obligés de coucher dehors par mesure de sécurité. L’église et la gare de Donzère sont endommagées[13].
: une longue série de plusieurs centaines de secousses telluriques, dont certaines très violentes, commence dans le Tricastin. Les secousses sont ressenties à Malataverne, Donzère, Châteauneuf-du-Rhône et Les Granges-Gontardes[13].
Autres risques
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Toponymie
En 1891, la commune portait encore le nom de Rac. Malataverne n'en était qu'un hameau.
Par le décret du , Malataverne devient le chef-lieu de la commune qui prend son nom. Rac n'est plus qu'un hameau[réf.nécessaire].
1281: mention du mandement: mandamentum castri de Raco (cartulaire de Durbon).
1291: Racum et castrum de Raco (Valbonnais, II, 59).
1338: de Ranco (archives de la Drôme, E 3490).
1391: Raac (choix de documents, 214).
1891: Rac, commune du canton de Montélimar.
Étymologie
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Malataverne
Malatavèrna en occitan provençal[réf.nécessaire].
Attestations
Le toponyme Malataverne est attesté en 1710 (archives de la Drôme, E 6804). En 1891, c'est un hameau de la commune de Rac[15].
Étymologie
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Histoire
Article connexe: Histoire de la Drôme.
Préhistoire
Site de la colline de Roucoule: occupé du 50e au 42e millénaire par les Néandertaliens[réf.nécessaire].
Le site archéologique de «la Grotte Mandrin» surplombe la vallée du Rhône sur sa rive gauche. Cet abri-sous-roche creusé dans le massif calcaire est situé à mi-pente de la colline du Jas des Chèvres. Une équipe d'archéologues conduite par le paléoanthropologue Ludovic Slimak y a notamment découvert une dent de lait appartenant à un homme moderne dont la datation à 54 000 ans remet en question l'histoire du peuplement de l'Europe. Le site contient également des centaines de pointes de silex très finement taillées n'ayant rien à voir avec les techniques néandertaliennes, plus sommaires. La grotte Mandrin a été occupée tant par les Sapiens que par l'Homme de Néandertal[16],[17].
Protohistoire
Site de la colline de Montchamp: ancien oppidum celtique (1er âge du fer)[réf.nécessaire].
Antiquité: les Gallo-romains
Vestiges de maisons gallo-romaines avec mosaïques, d'un aqueduc et d'une nécropole du Vesiècle[18].
Le col de Malataverne, passage naturel entre la plaine de Montélimar et celle de Pierrelatte, est utilisé par la via Agrippa[réf.nécessaire].
Du Moyen Âge à la Révolution
Malataverne est, à cette époque, un hameau de la commune de Rac.
Au point de vue féodal, Rac était une terre (ou seigneurie) du patrimoine des Adhémar.
1292: elle est hommagée au pape
Avant 1496: elle est acquise par les Romieux.
1643: elle passe aux Forbin.
1646: vendue aux Escalin des Aimars.
1681: revendue aux Feautrier.
1700: passe aux Ripert d'Alauzier, derniers seigneurs.
Le régime féodal ne concernait qu'un peu plus de la moitié des terres de la commune: en effet, 41% des terres étaient la propriété collective de la communauté villageoise[19].
Avant 1790, Rac était une communauté de l'élection, subdélégation et sénéchaussée de Montélimar.
Elle formait une paroisse du diocèse de Saint-Paul-Trois-Châteaux dont l'église, dédiée à saint Jean-Baptiste, était celle d'un prieuré de l'ordre de Saint-Ruf qui fut uni au collège des jésuites d'Avignon vers la fin du XVIIesiècle. Ce collège avait, de ce chef, la collation de la cure et les dîmes de cette paroisse.
Le mandement de Rac avait la même étendue que la commune de ce nom[14].
Les Joannins
En 1891, ce nom est celui d'une ferme, et d'un quartier partagé entre les communes de Malataverne (Rac) et de Donzère. Il est mentionné sous le nom de Joanin par les cartes d'état-major[20]. Les Joannins est le nom actuel.
Navon
En 1891, ce nom est celui d'un mont et d'une ferme. Dès la fin du XVIIesiècle, le domaine appartenait aux Joubert qui le possédaient encore en 1790[21].
De la Révolution à nos jours
En 1790, la commune de Rac est comprise dans le canton de Donzère[14].
Par les décrets du , puis du 16 et , l'Assemblée Nationale divise la France en 83 départements. La Drôme et ses 257 386 habitants se compose alors de 350 communes et 60 cantons. La commune de Rac se retrouve dans le canton de Donzère avec sept autres communes: Allan, Châteauneuf-du-Rhône, Donzère, La Garde-Adhémar, Les Granges-Gontardes, Réauville, Roussas[réf.nécessaire].
La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans le canton de Montélimar[14].
Entre 1795 et 1803, les brigands étaient évalués à une centaine dans la région. Le nom de la grotte Mandrin, sur la colline de Roucoule, atteste de cette période[réf.nécessaire].
Dans le maquis au sud de Montélimar, le bois des Mates fut le théâtre d'une attaque. Mate est d'ailleurs un vieux mot signifiant «tromperie», «filouterie»[réf.nécessaire].
Le , on commentait la dernière attaque de la malle-poste, perpétrée à la sortie de Donzère-les Joannins par une troupe de quarante brigands armés: l'escorte de dix fusiliers fut massacrée et la malle-poste délestée de l'argent qu'elle transportait[22].
En 1868, l'église de Malataverne (construite dans les années 1860) devient le lieu de culte de la paroisse de Rac[réf.nécessaire].
En 1886, Rac a une population de 547 habitants. La commune fait partie du canton de Montélimar avec dix autres communes : Allan (917 habitants), Ancone (413), Châteauneuf-du-Rhône (1195), Espeluche (585), Montboucher (586), Montélimar (14014), Portes (523), Puygiron (342), Rochefort (298), La Touche (264). Le canton possède donc 19 963 habitants[réf.nécessaire].
Par le décret du , Malataverne devient le chef-lieu de la commune qui prend son nom. Rac n'est plus qu'un hameau[réf.nécessaire].
Seconde Guerre mondiale
Le , des groupes de chasse, basés en Corse, participent aux missions de reconnaissance au dessus de la vallée du Rhône, en collaboration avec les groupes de chasse américains[réf.nécessaire].
Leurs chasseurs-bombardiers P 47 Thunderbolt survolent la région entre Orange et Montélimar et attaquent systématiquement tous les véhicules. L'appareil du lieutenant-colonel de La Horie, touché par la flak (batterie anti-aérienne), explose en touchant le sol, au quartier de «Jarnias» (à proximité de la ferme Menut) sur la commune de Malataverne[23].
Histoire récente
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Politique et administration
Tendance politique et résultats
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Administration municipale
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Liste des maires
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Article connexe: Élections municipales en France.
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Les données manquantes sont à compléter.: de la Révolution au Second Empire
1790
1871
?
Les données manquantes sont à compléter.: depuis la fin du Second Empire
Pour les élections législatives, la commune faisait partie du Canton de Montélimar-2 avant mars 2015. Depuis, elle est dans la Deuxième circonscription de la Drôme
Politique environnementale
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Finances locales
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Jumelages
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Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].
En 2019, la commune comptait 2 182 habitants[Note 3], en augmentation de 13,12% par rapport à 2013 (Drôme: +4,46%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
404
346
437
532
556
594
620
595
671
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
665
623
637
562
596
572
547
513
527
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
472
433
444
394
394
433
408
390
472
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
436
480
785
985
1 289
1 419
1 598
1 624
1 891
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
2 012
2 182
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique
Services et équipements
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Enseignement
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Santé
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Église Sainte-Madeleine de Malataverne, médiévale: curieux clocher-mur[18].
Chapelle Notre-Dame de Montchamp (XIesiècle): ancien prieuré au XVIIesiècle[18].
Chapelle Notre-Dame-de-Montchamp: ancien prieuré bernardin, attesté depuis le XIesiècle. Il aurait été construit sur un ancien lieu de culte celtique[réf.nécessaire].
Église Saint-Jean-Baptiste de Rac (XVesiècle): style gothique, peintures du XVIIIesiècle[18].
Chapelle Saint-Jean-Baptiste-de-Rac (en cours de rénovation): chœur gothique unique en Tricastin; abandonnée comme église paroissiale en 1891 au profit de l'église de Malataverne[réf.nécessaire].
Château de Belle-Eau (hameau des Joannins). Le nom vient de la grange Belot (1692) (archives de la Drôme B709). Le , François Bravais se porte acquéreur du domaine Belleau. Il revendit le domaine à Salomon Beleys le [réf.nécessaire].
Statue de Nicolas Appert, œuvre en pierre de Roger Marion (2010), (site Lagarde)[réf.nécessaire].
Patrimoine culturel
La légende de Paragor
Dans les temps anciens, au début de l'époque gauloise, le territoire de Malataverne était la propriété d'Odoric, seigneur de Rac, qui vivait dans son château sur le versant nord de la colline du Navon. Tout près de là, sur la colline de Montchamp, vivait le druide Paragor. Celui-ci avait, pour lui tenir compagnie, une louve nommée Selly qu'il avait recueillie jeune, car elle avait quitté sa meute. Les habitants de la région le connaissaient car il était le guérisseur; il les soignait et les soulageait avec ses potions. Une nuit de pleine lune, à la fin de l'été, une bande de nomades venus de nulle part et qui écumaient la région depuis quelque temps, attaquèrent le druide dans son sommeil pour lui voler les rares pièces d'or qu'il pouvait détenir. Après lui avoir fait avouer où se trouvaient ses modestes économies, ils le décapitèrent et tuèrent également sa louve venue le défendre. Depuis, à Montchamp, les nuits de pleine lune, lorsque souffle une légère bise, on entend le hurlement plaintif de Selly et certains ont même pu apercevoir le druide Paragor tenant sa tête entre ses mains[réf.nécessaire]
Patrimoine naturel
la grotte Mandrin), caverne de 8 m de profondeur, avec une entrée de 13 m de large et de 2 m de haut[réf.nécessaire] (colline de Roucoule).
Personnalités liées à la commune
Jean Gauthier (né en 1793 à Malataverne): cavalier au 12e Régiment de chasseurs à cheval (1812 à 1814), décoré de la «médaille de Sainte-Hélène» (décoration créée par Napoléon III)[29].
Héraldique, logotype et devise
Les armes de Malataverne se blasonnent ainsi: D'azur à la muraille mouvant des flancs et de la pointe, sommée à dextre d'un clocher et à senestre d'une tour, le tout d'or ajouré de sable.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN2-7399-5026-8), Malataverne.
Roger Pierre, Libertés et contraintes des communautés villageoises dans les pays de la Drôme à la veille de la Révolution, Études drômoises, (no)64, mars 1985, p.19.
J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 183 (Les Joannis).
J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 244 (Navon).
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