Située au nord-est du département de la Dordogne, la commune est limitrophe de deux autres départements de la région Nouvelle-Aquitaine: la Haute-Vienne et la Corrèze.
Elle est arrosée par la Haute Loue (également appelée le Coulon) depuis sa source tout au nord de la commune et jusqu'à l'étang de Rouffiac à l'ouest. À l'est et au sud-est, l'Auvézère la traverse recevant au passage le flux de trois affluents, le ruisseau de la Penchennerie, la Boucheuse et le ruisseau des Belles-Dames.
Six kilomètres à l'est de Lanouaille et treize kilomètres au sud de Saint-Yrieix-la-Perche, le bourg de Payzac est desservi par les routes départementales 4E, 75 et 80.
Communes limitrophes
Carte de Payzac et des communes avoisinantes.
Payzac est limitrophe de neuf autres communes, dont trois en Corrèze et une en Haute-Vienne.
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Payzac est dans le gradin extrême nord-est que constitue le dernier contrefort du Massif central, avec des roches cristallines formées au Paléozoïque, antérieurement au Carbonifère[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire, de roches sédimentaires datant du Cénozoïque et du Paléozoïque, ainsi que de roches métamorphiques et magmatiques. La formation la plus ancienne, notée λ3-4b, fait partie des leptynites de Saint-Yrieix, Meuzac et Sarlande et est composée d'ortho-leptynites (métarhyolites?) à biotites seule ou à biotite et muscovite à grain fin à moyen (Cambrien à Ordovicien). La formation la plus récente, notée Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles à actuelles. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille «no736 - Saint-Yrieix-la-Perche» de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].
Carte géologique de Payzac.
Légende de la carte géologique.
Ère
Période
Époque
Formations géologiques
Cénozoïque (0 - 66.0)
Quaternaire (0 - 2.58)
Holocène
Fy3-z :
Alluvions subactuelles à actuelles indifférenciées: argiles silteuses, argiles sableuses, argiles tourbeuses, sables argileux, sables fins à graviers (Pré-boréal à actuel)
Pléistocène
non présent
Néogène (2.58 - 23.03)
non présent
Paléogène (23.03 - 66.0)
Oligocène
g1a :
Formation de Boisbreteau moy. et formation de la Garde: sables feldspathiques à graviers et galets passant vers le sommet à des argiles sableuses (Rupélien inf. continental)
Éocène
non présent
Paléocène
non présent
Mésozoïque (66.0 - 252.17)
non présent
Paléozoïque (252.17 - 541.0)
Permien (252.17 - 298.9)
non présent
Carbonifère (298.9 - 358.9)
Pennsylvanien
non présent
Mississippien
γ3-4b :
Granite de type Estivaux: granite orienté à grain moyen à biotite en petits corps kilométriques (Carbonifère inf.)
Dévonien (358.9 - 419.2)
S1-2 :
UG - Schistes de Donzenac, d'Excideuil, phyllades de Semblat: séricitoschistes, schistes à chlorite ou chlorite et biotite, ou biotite et grenats, métagrauwackes noires en alternance (groupe de Génis, Dévonien)
Silurien (419.2 - 443.8)
non présent
Ordovicien (443.8 - 485.4)
ζη1-2 :
UTP (Unité de Thiviers-Payzac): Gneiss mésocrate à hornblende et biotite ou biotite seule, associé à l'orthogneiss migmatitique du Saut-du-Saumon (Ordovicien)
myζγ3 :
UTP (Unité de Thiviers-Payzac) - Orthogneiss +/- migmatitique du Saut-du-Saumon: gneiss œillé mylonitique formant des bandes allongées de 1 à 5 km et larges de quelques dizaines de mètres, intrusives dans les grès de Thiviers (Ordovicien)
Cambrien (485.4 - 541.0)
Sgr :
UTP (Unité de Thiviers-Payzac) - Schistes graphiteux, graphite: niveaux sombres à noirs en minces petits lits ou petits bancs intercalés, niveaux graphiteux centimétriques à métriques (groupe du Bas-Limousin, Cambrien à Dévonien)
δβ :
UTP (Unité de Thiviers-Payzac) - Ensemble de roches basiques: dykes (ép. 1 à 15-20 m) de méta-dolérite, ortho-amphibolite et métagabbro, à grains fins à très fins, recoupant les grès de Thiviers (Cambrien à Dévonien)
tfρ3χ :
UTP (Unité de Thiviers-Payzac) - Quartzites de Payzac: quartzites feldspathiques noires, micaschistes à biotite et grenat, parfois à muscovite (Cambrien à Ordovicien)
δS11 :
UTP (Unité de Thiviers-Payzac): Ortho-prasinites, métagrauwackes basique, schistes verts à actinote et dolérites amphibolitisées (amphibolite de Puytinaud, complexe basique d'Engastine), dérivés de tufs basiques et dolérites (Cambrien moy. à sup.)
ζ3 :
UTP (Unité de Thiviers-Payzac): Gneiss à biotite et ocelle plagioclastique (andésine), à quartz et parfois grenat et plus rarement staurotide (Cambrien moy. à sup.)
δψ :
USG (Unité supérieure des gneiss): éclogites et amphibolites dérivées, en petits corps ou bancs minces (Cambrien à Silurien)
δp :
USG (Unité supérieure des gneiss) - Ensemble de roches basiques: amphibolites rubanées à diopside (Cambrien à Silurien)
δ11ep :
USG (Unité supérieure des gneiss) - Ensemble de roches basiques: amphibolites à hornblende et andésine avec épidote (groupe du Bas-Limousin, Cambrien à Silurien)
ζ1-2S :
USG (Unité supérieure des gneiss): gneiss quartzo-plagioclastiques à deux micas ou biotite seule et sillimanite et parfois microcline (Néoprotérozoïque à Cambrien)
λ3-4b :
UIG ((Unité inférieure des gneiss) - Leptynites de Saint-Yrieix, Meuzac et Sarlande: ortho-leptynites (métarhyolites?) à biotites seule ou à biotite et muscovite à grain fin à moyen (Cambrien à Ordovicien)
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 236 mètres et 374 mètres[5],[6].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[8]. La commune est dans l'unité paysagère du «Périgord limousin» qui correspond à la région naturelle du Nontronnais. Ce territoire forme un plateau collinaire aux pentes douces et sommets arasés, d’altitude moyenne autour des 300 m dont le point culminant est également celui de la Dordogne. Ce plateau cristallin est vallonné et dominé par les prairies aux horizons boisés. Il est entaillé de vallées profondes aux versants forestiers[9],[10].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 47,72 km2[5],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 49,03 km2[3].
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par l'Auvézère, la Boucheuse, la Haute-Loue, le ruisseau de la Penchennerie, le ruisseau des Belles-Dames et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 86 km de longueur totale[15],[Carte 1].
L'Auvézère, d'une longueur totale de 112,19 km, prend sa source en Corrèze dans la commune de Benayes et se jette dans l'Isle en rive droite, en limite de Bassillac et Auberoche et Escoire, face à Antonne-et-Trigonant[16],[17]. Elle traverse la commune de l'est au sud-est sur plus de treize kilomètres, dont six kilomètres et demi servent de limite naturelle en trois tronçons, face à Beyssenac et Savignac-Lédrier.
La Boucheuse, d'une longueur totale de 38,09 km, prend sa source en Haute-Vienne dans la commune de Magnac-Bourg et se jette dans l'Auvézère en rive droite sur la commune, en aval du moulin des Deux Eaux[18]. Elle arrose l'est du territoire communal sur trois kilomètre et demi.
La Haute Loue (ou Coulon dans sa partie amont), d'une longueur totale de 18,6 km, prend sa source dans le nord de la commune, près du lieu-dit la Roche Picout, et se jette dans la Loue en rive gauche, en limite de Lanouaille et Saint-Médard-d'Excideuil[19],[20]. Elle arrose la commune du nord au sud-ouest sur plus de huit kilomètres.
Le ruisseau de la Penchennerie, d'une longueur totale de 10,39 km, prend sa source en Haute-Vienne dans la commune de Coussac-Bonneval et se jette dans l'Auvézère en rive droite sur la commune, 400 mètres en amont de la confluence entre l'Auvézère et la Boucheuse[21]. Il traverse le sud-est de la commune sur cinq kilomètres et demi.
Le ruisseau des Belles-Dames (également appelé ruisseau de l'Orne dans sa partie amont), d'une longueur totale de 12,81 km, prend sa source en Corrèze dans la commune de Beyssenac et se jette dans l'Auvézère en rive gauche sur la commune, au sud-ouest du lieu-dit Touvent, face à Savignac-Lédrier[22],[23]. Il arrose l'est de la commune sur trois kilomètres et demi dont près de deux kilomètres marquent la limite territoriale en deux tronçons, face à Beyssenac.
L'Auvézère au pont de la RD75.
La Boucheuse au moulin des Deux Eaux.
Le Coulon en lilmite d'Angoisse et de Payzac.
Le ruisseau des Belles-Dames juste en amont de la papeterie de Vaux.
Réseaux hydrographique et routier de Payzac.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) «Isle - Dronne». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[24]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [25].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[26]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[27].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[26]
Moyenne annuelle de température: 11,7°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,5 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 5,4 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,8 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 7,8 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[30] complétée par des études régionales[31] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Saint-Yrieix la Pe», sur la commune de Saint-Yrieix-la-Perche, mise en service en 1994[32] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[33],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 11,6°C et la hauteur de précipitations de 1 164,2 mm pour la période 1981-2010[34].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Brive», sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à 37 km[35], la température moyenne annuelle évolue de 12,7°C pour la période 1971-2000[36], à 12,7°C pour 1981-2010[37], puis à 13,0°C pour 1991-2020[38].
Urbanisme
Typologie
Payzac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[39],[40],[41].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Yrieix-la-Perche, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[42],[43].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,9% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (66,6%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
zones agricoles hétérogènes (60,9%), forêts (30,7%), prairies (5,6%), terres arables (0,9%), zones urbanisées (0,7%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,6%), cultures permanentes (0,5%), eaux continentales[Note 9] (0,1%)[44].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Prévention des risques
Le territoire de la commune de Payzac est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier: le risque de radon[45]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[46].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Auvézère, la Haute Loue, la Boucheuse, le Penchennerie et le ruisseau des Belles-Dames. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2007 et 2009[47],[45].
Payzac est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées: interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[48]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[49],[50].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[45].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Payzac est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[51].
Toponymie
En occitan, la commune porte le nom de Paisac[52].
Histoire
Lors de la création des départements français en 1790, la commune a d'abord brièvement fait partie de la Corrèze avant d'être rattachée en 1793, ainsi que neuf autres communes, à la Dordogne.
La commune s'est d'abord appelée Payzac-de-Lanouaille jusqu'en en 1961, avant de devenir simplement Payzac. Son nom s'est parfois écrit Peisac, Peyzac, Paysac, Peyzat.
Les seigneurs de Payzac
Les vicomtes de Limoges
Ce furent d'abord les vicomtes de Ségur et Limoges, dont le dernier fut Henri de Bourbon, roi de Navarre, puis roi de France sous le nom d'Henri IV.
La famille Dumas
En 1608, Rigaud (ou Rigal) Dumas[53] racheta aux Bourbons les droits de seigneurie de Payzac. Rigaud et son épouse rendirent hommage au roi de Navarre (Henri, futur Henri IV, au titre de sa vicomté de Ségur-Limoges) le . Rigaud Dumas fut maintenu dans sa noblesse lors de la recherche de 1598-99 sur preuves de 1474. Il testa en faveur de Peyrot Dumas, son neveu, qui reprit le nom de Payzac.
Peyrot Dumas[54], neveu du précédent, seigneur de Payzac, du Mas, de la Borie, de la Serre et de la Tournarie, est décédé en 1647. De son mariage le avec Gabrielle de Hauteclaire est issu, entre autres enfants:
Messire Gabriel Dumas[55], écuyer, chevalier, seigneur de Payzac, du Mas, de la Borie, de la Serre, d'Estivaux et de la Tournerie. Désigné dans l'armée sous le nom de capitaine de la Borye, il servit d'abord en Picardie, fut capitaine d'une compagnie de 100 hommes d'armes dans le régiment de Pompadour-Infanterie en 1627, puis enseigne en 1639 (dans le même régiment?). Le , il apporta à la cour la nouvelle de la victoire remportée contre les insurgés du Limousin par le seigneur de Pompadour (Jean III). Il fut maintenu dans sa noblesse par d'Aguesseau, intendant du Limousin le [56]. De Jeanne de Meilhars il eut:
Philippe Dumas[57], marquis de Payzac mort avant 1713.De son mariage avec Suzanne de Pommiers est issu:
François Dumas[58], marquis de Payzac, chevalier de Saint-Louis (1715). Né avant 1684. Décédé le . Mousquetaire en 1700, Il se trouva au combat de Nimègue en 1701, à celui de Keren en 1703, à la bataille de Ramillies en 1706, obtint une compagnie dans le régiment Royal-Roussillon, cavalier le de la même année, il la commanda à l'armée du Rhin en 1707, à la bataille d'Oudenaarde en 1708. Colonel du régiment de Payzac le , qu'il commanda à l'armée du Dauphiné jusqu'à la paix. Ce régiment ayant été incorporé dans le régiment du Dauphin le , il fut retenu colonel réformé à la suite du régiment de Dauphiné le suivant. On lui donna le le commandement d'un régiment de milice de la généralité de Limoges. Il est nommé brigadier le 1er août et par ordre du 25 on joignit au bataillon qu'il commandait le bataillon de La Morellière pour en former un régiment qui porta son nom et qu'il commanda jusqu'en quand on licencia les milices[59]. Son frère Jean, comte de Payzac et baron d'Auriac, fut colonel du 9e Dragons. De son mariage avec Marie-Paule de Boisse, le est issu:
Joseph François Dumas[60], chevalier, marquis de Payzac, seigneur de la Borie, de la Serre et de Cousage-lès-Alassac, co-seigneur d'Alassac, seigneur de la Vigne-Rouge, des dîmes de Rouffiac, vidame de Limoges, chevalier du Saint-Sépulchre (), maître de forge à Payzac. Il rendit hommage au roi pour ses terres de Payzac et de La Borie le [61]. De son mariage le , en la chapelle du château de Laxion, avec Gabrielle de Chapt de Rastignac, est issu:
Charles Antoine Armand Odet Dumas[62], marquis de Payzac, chevalier, seigneur de Payzac, de la Serre et de Cousage, co-seigneur d'Allassac et de la Salle, vidame de Limoges (1789), baron de l'Empire (), chevalier du Saint-Sépulchre (1818). Né le - château de Payzac. Décédé le - Paris. Sous-lieutenant en second au régiment d'infanterie du roi (à 16 ans) le , Lieutenant en second dans le même régiment le , Capitaine en second au régiment de La Marche-Prince Cavalerie le , Chef d'escadron au régiment de Conty Dragons en 1788. Sorti de France le . Campagne de 1792 dans la compagnie de Royal Picardie Cavalerie, a défendu Maastricht sous les ordres du Prince de Hesse en 1793. Enseigne au service du roi de Grande-Bretagne dans le corps du comte Williamson le . A continué de servir activement dans l'ouest de la France jusqu'en 1800. Gouverneur par charge de la Province du Condomois. Admis aux honneurs de la cour en 1790.
Sans postérité masculine et dernier de sa branche, ses filles Mesdames de Vins et de Stassart, vendirent la terre et le château de Payzac à Monsieur Dumas de Lavareille, allié de la famille Le Clere originaire d'Irlande, qui a fourni plusieurs maires de Payzac.
Depuis la création des communes, Payzac a été coupée en deux de part et d'autre de l'ancienne route de Lanouaille à Pompadour. Le nord forme la commune de Payzac. Le sud a été rattaché à la commune de Savignac-Lédrier. C'est pourquoi les plaques de rue ne sont pas de la même couleur d'un côté et de l'autre de cette ancienne route à Chaux, rue du Stade, rue de la Garanne, et au milieu de la descente sur la Croix-Merle (rue du Parc).
XIXesiècle
Payzac continue son activité industrielle: forges, moulins à papier: on relève en particulier dans les "Annales des Mines":
- Ordonnance du , portant que le
sieur Combescot, propriétaire de la forge de
Vaux, est autorisé à conserver et tenir en activité
ladite forge située sur l'étang de ce nom,
alimenté par le ruisseau de Chazotte, commune
de Paysac (Dordogne), et que la consistance
de cette usine est et demeure fixée, conformément
au plan joint à la présente ordonnance, à
un foyer d'affinerie pour la conversion de la
fonte en fer au moyen du charbon de bois.
- 1828, portant autorisation
au sieur Andraud de conserver et tenir
en activité l'usine à fer de l'Etang-neuf,
commune de Paizac (Dordogne)[63].
- Ordonnance du , portant que la
dame veuve Donnève, agissant au nom et comme
tutrice de Jeanne-Hélène Donnève, sa fille mineure, est autorisée à conserver et tenir en activité
l'usine à fer de Payzac, commune de ce nom, arrondissement de Nontron (Dordogne), et que la
consistance de cette usine, dont l'eau motrice est
fournie par le Haut-Vezère, est et demeure fixée,
conformément au plan qui restera annexé à la
présente ordonnance, à deux feux d'affinerie
pour la conversion de la fonte en fer, allant au
charbon de bois, et un marteau à drame[64].
XXeetXXIesiècles
La commune est connue pour son musée de la papeterie de Vaux et pour son équipe de rugby à XV, l'Union sportive Payzac-Savignac (USPS), champion de France 3esérie en 2000, en honneur régional du Périgord-Agenais en 2006/2007.
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune de Payzac (orthographiée «Paizac» à l'époque) a, dès 1790, fait partie du département de la Corrèze.
En 1793, elle est rattachée au canton de Paizac qui dépend du district d'Excideuil dans le département de la Dordogne jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la «réduction du nombre de justices de paix», la commune est rattachée au canton de Lanouaille nouvellement créé et dépendant de l'arrondissement de Nontron[5].
Intercommunalité
Fin 2000, Payzac intègre dès sa création la communauté de communes Auvézère Loue qui prend le nom de communauté de communes du Pays de Lanouaille en 2003. Celle-ci, agrandie en 2017 prend le nom de communauté de communes Isle-Loue-Auvézère en Périgord
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[65],[66].
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Maires avant 1944
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1139
1148
Les frères Guy IV et Adémar IV de Limoges, fils d'Archambaud IV de Comborn et de Brunissende de Limoges,
-
vicomtes de Limoges, coseigneurs de Payzac
1148
1199
Adémar V de Limoges, dit Boson
-
vicomte de Limoges, seigneur de Payzac
1199
1229
Guy V de Limoges
-
vicomte de Limoges, seigneur de Payzac
1229
1263
Guy VI de Limoges
-
vicomte de Limoges, seigneur de Payzac
1263
1291
Marie de Limoges
-
Duchesse de Bretagne, vicomtesse de Limoges, dame de Payzac
1291
1331
Guy de Penthièvre
-
Comte de Penthièvre, vicomte de Limoges, seigneur de Payzac
1331
1384
Jeanne de Penthièvre
-
Duchesse de Bretagne, comtesse de Penthièvre, vicomtesse de Limoges, dame de Payzac
1384
1404
Jean Ier de Châtillon
-
Comte de Penthièvre, vicomte de Limoges, seigneur de Payzac
1404
1453
Jean de Châtillon, dit Jean de l'Aigle
-
Vicomte de Limoges, seigneur de Payzac
1453
1455
Guillaume de Châtillon-Blois
-
Comte de Penthièvre, vicomte de Limoges, seigneur de Payzac
1455
1481
Françoise de Châtillon
-
Comtesse de Périgord, vicomtesse de Limoges, dame de Payzac
1481
1516
Jean d'Albret
-
Roi de Navarre, comte de Périgord, vicomte de Limoges, seigneur de Payzac
1516
1555
Henri d'Albret
-
Roi de Navarre, comte de Périgord, vicomte de Limoges, seigneur de Payzac
1555
1572
Jeanne d'Albret
-
Reine de Navarre, comtesse de Périgord, vicomtesse de Limoges, dame de Payzac
1572
1608
Henri IV
-
Roi de France et de Navarre, comte de Périgord, vicomte de Limoges, seigneur de Payzac
du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux;
de la cour d'appel de Bordeaux.
Population et société
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[70]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[71].
En 2019, la commune comptait 974 habitants[Note 10], en diminution de 3,08% par rapport à 2013 (Dordogne: −0,88%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
2 964
2 804
2 674
2 318
2 278
2 194
2 417
2 608
2 590
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
2 506
2 504
2 606
2 230
2 358
2 392
2 532
2 626
2 563
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
2 562
2 542
2 541
2 535
2 520
2 125
1 948
1 814
1 691
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
1 506
1 407
1 308
1 205
1 106
1 041
1 059
1 064
1 005
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
978
974
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[72].)
Histogramme de l'évolution démographique
Sport
L'Union Sportive Payzac-Savignac (USPS), créée en 1969, est l'équipe de rugby à XV de la commune et de Savignac-Lédrier[73]. En 2019, des tractations sont en cours avec le Club Ovalie Cherveix-Cubas (COCC) pour regrouper ces deux clubs en un seul sous l'appellation Union Rugby Club de l'Auvézère (URCA)[73].
Économie
Emploi
En 2015[74], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 378 personnes, soit 38,4% de la population municipale. Le nombre de chômeurs (quarante-huit) a augmenté par rapport à 2010 (quarante-trois) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 12,6%.
Établissements
Au , la commune compte 127 établissements[75], dont cinquante-huit au niveau des commerces, transports ou services, vingt-cinq dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, dix-neuf dans l'industrie, treize relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et douze dans la construction[76].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Patrimoine religieux
Église paroissiale, à transept et chœur romans. Chaire baroque. Pietà polychrome du XVesiècle.
Elle s'est appelée: église Saint-Sauveur, église de la Trinité et porte aujourd'hui le nom d'église de la Transfiguration.
Elle possède un clocher tors probablement construit au XVIesiècle, en même temps que le bahut défensif.
Elle a connu plusieurs restaurations importantes, en 1844 (charpente du clocher), 1878 (nouvelle nef), 1934, puis de 1994 à l'an 2000 (intérieur). Elle est inscrite au titre des monuments historiques depuis 1995. Les vitraux réalisés entre 1875 et 1880 par Jean Besseyrias, fortement dégradés par la grêle en , ont été restaurés en 2016 par l'«Atelier du vitrail du Périgord»[77].
L'église de la Transfiguration.
La nef et le chœur.
Les vitraux au-dessus du portail.
La chaire baroque.
Patrimoine civil
Château de Payzac, édifié au XVesiècle, remanié au XIXesiècle, résidence de la famille des barons Le Clere.
Pont las Veyras (ou pont Laveyrat) sur l'Auvézère. Construit avec des avant-becs pour résister à la force du courant lors des crues, il date des XIIIeetXVesiècles. Il est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1987.
Musée de l'ancienne papeterie de Vaux.
Au bord du ruisseau des Belles-Dames, la papeterie a remplacé au XIXesiècle une ancienne forge. Après la fermeture de l'usine produisant la pâte à papier importée par la fabrique, elle a été aménagée en musée-atelier. Célèbre pour son papier alimentaire de forme ronde produit à partir de paille de seigle, l'usine propose aux visiteurs un parcours historique dans la vie du papier autour d'œuvres d'art et d'animations. Autour du site, un chemin d'initiation papetière invite à la découverte des plantes utilisées dans ce secteur. Le site est classé monument historique depuis 1996.
Plusieurs granges ovalaires, qui à l'origine étaient recouvertes de chaume de seigle aujourd'hui remplacé par des plaques de tôle[78], sont également inscrites sur différents lieux-dits de la commune.
Le manoir de La Juvénie du XVIIesiècle a été restauré au XIXesiècle[79]. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il a servi de refuge à des centaines d'enfants: d'abord de à octobre 1940 à 250 enfants alsaciens[80]; puis en , environ 200 enfants sont placés là par le groupement d'entraide des réfugiés d'Alsace et de Lorraine[80]; à partir du printemps 1943, parmi les 150 enfants figurent de jeunes Juifs ainsi que des fils de résistants ou de communistes[80].
Motte castrale au lieu-dit La Châtaignolade.
Maison forte du Montet aussi appelé Château du Montet.
Tour de Chavan détruite au début du XVIIIesiècle[81].
L'Auvézère au pont Laveyrat.
Le pont Laveyrat.
La papeterie de Vaux.
Le ruisseau des Belles-Dames à la papeterie de Vaux.
Patrimoine naturel
Deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II sont constituées sur le territoire communal:
la vallée de la Haute Loue du Moulin des Agneaux jusqu'à l'étang de Rouffiac, ainsi que son affluent la Ganne dans toute sa traversée de la commune, depuis la Faurie jusqu'au moulin de la Jarousse[82],[83];
à leur tout début, au sud-est du territoire communal, sur 700 mètres en limite des communes de Saint-Mesmin et de Savignac-Lédrier, les gorges de l'Auvézère, à dominante boisée, sont partagées avec cinq autres communes et neuf espèces déterminantes de plantes y ont été recensées[84],[85]: l'Anarrhine à feuilles de Pâquerette (Anarrhinum bellidifolium), l'Anogramme à feuilles minces (Anogramma leptophylla, l'Asplénium lancéolé (Asplenium obovatum), le Cheilanthès de Tineo (Cheilanthes tinaei), la Doradille du nord (Asplenium septentrionale), la Joubarbe à toile d'araignée (Sempervivum arachnoideum), le Lis martagon (Lilium martagon), le Millepertuis à feuilles de lin (Hypericum linariifolium) et le Polystic des montagnes (Oreopteris limbosperma).
Personnalités liées à la commune
Jean-Pierre Timbaud, syndicaliste et otage français, né le à Payzac, fusillé à Châteaubriant par les nazis le [86]. Une place du bourg de Payzac porte son nom: place de la bibliothèque, de la bascule et du foirail, en montant à l'école;
Thomas Gauvin (1984-2011), major de la promotion Capitaine Beaumont, premier saint-cyrien à tomber sur le sol afghan.
Joseph François Dumas, chevalier, marquis de Payzac, seigneur de la Borie, de la Serre et de Cousage-lès-Alassac, co-seigneur d'Alassac, seigneur de la Vigne-Rouge, des dîmes de Rouffiac, vidame de Limoges, chevalier du Saint-Sépulchre (), maître de forge à Payzac. Il rendit hommage au roi pour ses terres de Payzac et de la Borie le .
Charles Antoine Armand Odet Dumas[87], comte puis marquis de Payzac, chevalier, seigneur de Payzac, de la Serre et de Cousage, co-seigneur d'Allassac et de la Salle, vidame de Limoges (1789), baron de l'Empire (), chevalier du Saint-Sépulchre (1818).
Héraldique
Blason
De gueules à la croix aiguisée d'argent, cantonnée de quatre fleur-de-lys d'or.
Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[28].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[29].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Annales des mines par France Commission des Annales des mines publié 1831 Carilian-Goeury et V. Dalmont [etc.]Bibliotheque de l'Université du Michigan Index ser.1-2 1816-1830
Annales des mines IIe série tome VIII, Paris Treutel, 1830, p 275
Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 7 septembre 2020.
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