Allassac est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.
Allassac | |
Vue générale du bourg d'Allassac. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Nouvelle-Aquitaine |
Département | Corrèze |
Arrondissement | Brive-la-Gaillarde |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Bassin de Brive |
Maire Mandat |
Jean-Louis Lascaux 2020-2026 |
Code postal | 19240 |
Code commune | 19005 |
Démographie | |
Gentilé | Allassacois |
Population municipale |
3 968 hab. (2019 ![]() |
Densité | 102 hab./km2 |
Population agglomération |
5 845 hab. (2019) |
Géographie | |
Coordonnées | 45° 15′ 25″ nord, 1° 28′ 32″ est |
Altitude | Min. 103 m Max. 387 m |
Superficie | 39,01 km2 |
Unité urbaine | Allassac (ville-centre) |
Aire d'attraction | Brive-la-Gaillarde (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton d'Allassac (bureau centralisateur) |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | allassac-correze.com |
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Située dans le bassin de Brive, la commune d'Allassac est irriguée par trois cours d'eau principaux : la Vézère, son affluent la Loyre, et le Clan, un sous-affluent de la Corrèze.
La ville d'Allassac est implantée au croisement des routes départementales 9, 25, 34 et 134. Elle est desservie en gare d'Allassac par la ligne des Aubrais - Orléans à Montauban-Ville-Bourbon. Elle est située, en distances orthodromiques, six kilomètres à l'est d'Objat et douze kilomètres au nord-nord-ouest de Brive-la-Gaillarde.
La commune est également desservie par les routes départementales 57, 148 et 901.
À quatre kilomètres au sud-est, l'autoroute A20 permet par l'échangeur no 48 d'arriver directement à Allassac.
La commune d'Allassac est limitrophe de dix communes.
Voutezac | Estivaux | Saint-Bonnet-l'Enfantier, Sadroc |
Objat, Saint-Aulaire |
![]() |
Donzenac |
Yssandon, Varetz |
Saint-Viance |
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, mise en service en 1987[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[9], à 12,7 °C pour 1981-2010[10], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[11].
Allassac est une commune rurale[Note 5],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Allassac, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[15] et 5 845 habitants en 2019, dont elle est ville-centre[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brive-la-Gaillarde, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 80 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (50,5 %), prairies (22 %), forêts (16 %), zones urbanisées (7,9 %), cultures permanentes (1,9 %), terres arables (1,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,2 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Abattoirs, Bardoux, la Barrière-de-la-Borie, la Barrière de Saint-Laurent, la Bessière, la Blondinerie, Bois-Communal, le Bois-du-Roi, Bois-la-Pleuge, la Borde, les Borderies, le Bos-Delpy, le Bouchailloux, Bridal, Brochat, le Buffalou, les Caneaus, les Carrières, la Chapelle, la Chartroulle, les Chartrous, Chaves-de-Brochas, le Cheyral, Chez-Gauthier, Chez-le-Forgeron, Colombier, la Côte, la Côte-Reynie, la Crois-des-Masredons, Croix-Saint-Joseph, les Escures-de-Gorsas, les Escures-de-la-Chapelle, l'Escurotte, Etang-de-la-Roche, Eyzac, la Faurie, les Fosses, Fouysse, Freygemouche, les Galubes, Garatins, Garavet, les Gardelles, Gau, Gauch, le Gaucher, la Geneste, Giriges, Gorsas, les Gouttes, Grande-Fontaine, les Granetties, Lacombe, Lacomborne, Lajugie, Laprade, Lascaux, Lasteyrie, Laugerie, Laujour, Laval, Lavergne, Maison-Bounie, Maison-Dumas, Maison-Garde, Maison-Meyer, Maison-Soudrie, Mas-Redon, la Meyranie, Montaural, les Mosredons, Moulin-de-Bridal, le Moulin-du-Verdier-Bas, Petit-Garavet, la Pialeporcherie, la Pialeporchie, Pic-de-Corsat, les Pierres-Blanches, la Pissotte, les Placeaux, la Pleuge, Pont-Salomon, le Poulverel, les Prades, Pradel, la Prise-d'Eau, le Puy, Puy-de-Brochat, le Puy-l'Epine, les Rebières-Blanches, la Reygnie, le Roc, la Roche, le Saillant, le Saillant-Vieux, Saint-Laurent, la Sudrie, le Temple, Usines-Chaux, Le Verdier, Verdier-Bas, Verdier-Haut, Vinzelas, Virolles, Virols.
En latin aqua saliens qui désignait une eau bondissante. Ce nom évoque des rapides et une cascade dans une gorge profonde. Il est appelé ad illo Salente en 904.
Le territoire de la commune d'Allassac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vézère, la Loyre et le Clan. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1994, 1999, 2001, 2010, 2016 et 2021[23],[21]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques (PPR) inondation « Vézère », approuvé le [24].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 62 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 837 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 379 sont en en aléa moyen ou fort, soit 75 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2011, 2018, 2019 et 2020, par des mouvements de terrain en 1999 et 2014 et par des glissements de terrain en 1993 et 1994[21].
La commune est en outre située en aval du barrage de Monceaux la Virolle, un ouvrage de classe A[Note 7] situé dans le Cantal et disposant d'une retenue de 20,5 millions de mètres cubes[28]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[29].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Allassac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[30].
Allassac serait dérivé du mot gallo-romain Alaciacus (le domaine d’Alacius). Une première mention de la forme Allassac est transcrite dans le testament d'Aredius (saint Yrieix). Il s'est appelé Alaciaco en 947.
Ses habitants sont appelés les Allassacois.
Le village est identifié sous le nom d’Alassac sur le Grand atlas du royaume de France établi par Johannes Blaeu au XVIIe siècle puis sur la carte de Cassini, représentant la France entre 1756 et 1789. On trouve ensuite Allassat, au début de la Révolution française avant l'apparition définitive du nom actuel en 1801.
En occitan, la commune se nomme Alaçac.
Déjà au Mésolithique, le site de la Roche était habité, comme en témoignent les racloirs, et pointes lithiques retrouvés sur les lieux.
Occupée par les Romains, Allassac possède déjà plusieurs carrières d'ardoise qui permettront le développement rapide de la ville.
En 572, saint Yrieix et sa mère font don d'une exploitation agricole et de forges à Allassac, qui faisait alors partie du pays d'Yssandon. À la période carolingienne existe déjà un ensemble fortifié abritant une église et une habitation appartenant aux abbés de Limoges, ainsi qu'une habitation seigneuriale.
En 864 on transporta à Allassac les reliques des saints Innocents pour les protéger des envahisseurs normands.
Au Moyen Âge, Allassac devient une seigneurie de l'abbaye de Saint-Martial de Limoges. Elle est ensuite une co-seigneurie appartenant entre autres à la famille Roffignac surnommée « premiers chrétiens du Limousin ».
Au XIVe siècle, la ville se dote d'une deuxième enceinte avec 17 tours, 8 portes et 6 châteaux. L'évêque lutte pour garder son territoire.
Les XVIe et XVIIe siècles sont propices à l'expansion grâce aux carrières d'ardoise et aux salaisons, malgré plusieurs sièges. En 1569, Henri d’Anjou y passe quelques jours avec ses armées. En 1580, Allassac est la quatrième ville du Bas Limousin (la Corrèze actuelle). Les maisons nobles à tourelles se multiplient.
En 1790, Allassac est brièvement chef-lieu de canton avant de céder la place à Donzenac en 1801[31]. Dans les premières années de la Révolution française, la commune de Saint-Laurent fusionne avec Allassac[31].
En 1870 la population est de 4 200 habitants et, depuis plus d'un siècle, l'exploitation de l'ardoise est une industrie importante. Le paysan est aussi ardoisier, mais le phylloxera mettra fin à cette double économie. Le paysan devra alors se tourner vers la culture fruitière et celle du tabac tout en développant les exploitations de l'ardoise, les débouchés s'effectuant vers la région parisienne grâce au train.
Le 15 décembre 1908 en fin d'après-midi, le train omnibus no 742 de Brive à Limoges, au départ de la gare d'Allassac, est percuté par le train de marchandises no 2320 dans le tunnel de Pouch, causant la mort de 15 personnes.
Gerhard Leo prisonnier dans un train bloqué en gare d'Allassac, suite au sabotage de résistants réussi à s'échapper en juin 1944. Son libérateur le lieutenant Michel sera pendu à Uzerche, sous les ordres du général Heinz Lammerding.
Le , à la suite d'un violent orage, la commune subit de graves inondations et coulées de boue en provenance des hauteurs, notamment à cause du ruisseau de la Grande Fontaine[32].
Allassac adhère à la communauté d'agglomération du Bassin de Brive[33].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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novembre 1981 | 1983 | Fernande Geneste | Retraitée | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
mars 1983 | 1995 | Michel Sancier | Transporteur | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
juin 1995 | mars 2014 | Gilbert Fronty | PS | Professeur des écoles Conseiller général (1998-2015) | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
mars 2014 (réélu en mai 2020) |
En cours | Jean-Louis Lascaux | DVG puis SE | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Suite de la liste des maires
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Allassac relève du tribunal d'instance de Brive-la-Gaillarde, du tribunal de grande instance de Brive-la-Gaillarde, de la cour d'appel de Limoges, du tribunal pour enfants de Brive-la-Gaillarde, du conseil de prud'hommes de Brive-la-Gaillarde, du tribunal de commerce de Brive-la-Gaillarde, du tribunal administratif de Limoges et de la cour administrative d'appel de Bordeaux[34].
La commune accueille la brigade de proximité de la circonscription de gendarmerie, une recette-perception des impôts et un bureau de poste.
Lehrberg (Allemagne)
Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris a attribué deux fleurs à la commune[35].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[37].
En 2019, la commune comptait 3 968 habitants[Note 9], en augmentation de 2,56 % par rapport à 2013 (Corrèze : −0,29 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
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3 159 | 3 353 | 3 115 | 3 670 | 4 049 | 4 029 | 4 209 | 4 222 | 4 126 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
4 070 | 3 853 | 4 047 | 4 082 | 4 150 | 4 046 | 4 165 | 4 551 | 4 210 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
4 417 | 4 577 | 4 396 | 4 010 | 4 097 | 3 806 | 3 718 | 3 638 | 3 637 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2006 | 2010 |
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3 619 | 3 448 | 3 474 | 3 532 | 3 379 | 3 366 | 3 561 | 3 601 | 3 796 |
2015 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
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3 896 | 3 968 | - | - | - | - | - | - | - |
Volley-ball : 3 équipes inscrites en UFOLEP (mixte).
Football : depuis 1940, le Club sportif allassacois.
La paroisse catholique d'Allassac fait partie de l'ensemble paroissial d'Allassac, Estivaux et Saint-Viance dans le doyenné de moyenne Vézère et du bassin de Brive (Diocèse de Tulle).
L'arboriculture se développe sur la commune, en particulier la pomme du Limousin (AOP), la pêche, la prune ou le kiwi.
Un vignoble « les Coteaux du Saillant-Vézère » vient d’être replanté sur 17 hectares sur un sol schisteux. Allassac était célèbre jusqu'à la fin du XIXe siècle pour ses vignes, d'où la cave viticole du Saillant ; les cépage choisis sont chenin, sauvignon gris, chardonnay, merlot et cabernet franc.
L'élevage concerne les veaux de race limousine élevés sous la mère.
La tomme des ardoisiers est une spécialité locale, fromage fermier au lait cru de vache fabriqué à la Prade[39].
Allassac abrite une ardoisière remise en activité.
Allassac, comme nombre de communes alentour, fait partie du Pays de Vézère-Ardoise bénéficiant, depuis 2001, du label pays d'art et d'histoire[46].
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Blason | Parti au 1er, coupé au 1, de sable à l'aigle d'or au vol abaissé, au 2, d'argent au lambel de gueules, au 2d, d'or au lion de gueules. |
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Détails | Blason adopté par le conseil municipal le , représentant : à gauche, le blason de la famille « de Lasteyrie du Saillant », et à droite celui de la famille « de Roffignac ». |