L'altitude minimale, 92 mètres, se situe au sud-ouest, en amont du barrage du Capinet (territoire de Valeuil), là où la Dronne quitte le territoire communal et continue sur celui de Bourdeilles. L'altitude maximale avec 246 mètres est localisée au nord-ouest, au lieu-dit Puyssegné (territoire de Saint-Crépin-de-Richemont).
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Brantôme en Périgord est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[2].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c2b, date du Turonien inférieur à moyen, composée de calcaire graveleux, puis calcaires crayeux bioclastiques à rudistes passant latéralement à des calcarénites. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles «no734 - Nontron» et «no758 - Périgueux (ouest)» de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3],[4] et leurs notices associées[5],[6].
Carte géologique de Brantôme en Périgord.
Légende de la carte géologique.
Ère
Période
Époque
Formations géologiques
Cénozoïque (0 - 66.0)
Quaternaire (0 - 2.58)
Holocène
CFp :
Formations superficielles: colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites indifférenciées
CFvs :
Formations superficielles: colluvions carbonatées de vallons secs: sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris
Formations superficielles: colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses de pentes et de vallons indifférenciés des terrains tertiaires et quaternaires, des terrains mésozoiques et de socle
Fy3-z :
Alluvions subactuelles à actuelles indifférenciées: argiles silteuses, argiles sableuses, argiles tourbeuses, sables argileux, sables fins à graviers (Pré-boréal à actuel)
Pléistocène
Fy :
terrasses sous-flandriennes indifférenciées: sables, graviers et galets localement de grande taille (Weichsélien - '-Wurm'-)
Moyennes terrasses - Terrasses de Malleret sup. indifférenciées (types 3 à 5): argiles à graviers, galets à la base et sables fins à moyens au sommet (Elstérien - '-Mindel'-)
Fvb(D) :
Hautes terrasses (RD Garonne) - Terrasse de Malleret inf. (type 2) indifférenciée: sables à graviers et galets rubéfiés (Ménapien-Bavélien - '-Gunz'-)
Néogène (2.58 - 23.03)
non présent
Paléogène (23.03 - 66.0)
Oligocène
g1a :
Formation de Boisbreteau moy. et formation de la Garde: sables feldspathiques à graviers et galets passant vers le sommet à des argiles sableuses (Rupélien inf. continental)
Éocène
e5-6 :
Formation de Guizengeard sup.: sables feldspathiques micacés, graviers, galets et argiles sableuses, ensemble ferrugineux, versicolore à lentilles argileuses parfois kaoliniques (Lutétien sup. à Bartonien sup. continental)
Paléocène
non présent
Mésozoïque (66.0 - 252.17)
Crétacé (66.0 - ≃145.0)
Supérieur
Ac :
Altérites du Crétacé sup.: argiles kaoliniques, silteuses à sableuses, parfois rubéfiées, à gravier, à silex et chailles, avec apport local du Tertiaire (complexe des Doucins)
c5a(2) :
Campanien 1: calcaires packstone à wackstone crayo-marneux gris blanchâtres à subalvéolines à silex gris ou noirs avec localement des niveaux gréseux bioclastiques, marnes à rhynchonelles à la base (formations d'Atur, de Vergt, de Salon et de Trémolat)
c4b-c :
Santonien moy. à sup.: calcaire crayo-glauconieux avec niveaux à huîtres (P. vesicularis), devenant au sommet plus grossier à silex et rudistes (formation de Saint-Félix-de-Reillac). Faciès pouvant évoluer vers des sables fins et grès carbonatés à rudistes
c4a-c :
Santonien inf. à sup.: calcaires crayeux gris glauconieux en plaquettes évoluant dans le secteur sud avec apparition de silex noirs ou bruns et de rudistes (formation de Saint-Laurent-sur-Manoire)
c3(2) :
Coniacien indifférencié: calcaires gréseux, sables et marnes à la base puis calcaires bioclastiques et calcaires crayeux et glauconieux ou calcaires à huitres au sommet
c2c :
Turonien moyen à supérieur: calcaires cryptocristallins, calcaires gréseux à rudistes et marnes à huîtres et à rhynchonelles, localement grès et sables jaunes (feuille de Terrasson)
c2b :
Turonien inf. à moy.: calcaire graveleux, puis calcaires crayeux bioclastiques à rudistes passant latéralement à des calcarénites
inférieur
non présent.
Jurassique (≃145.0 - 201.3)
non présent
Trias (201.3 - 252.17)
non présent
Paléozoïque (252.17 - 541.0)
non présent
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 92 m et 246 m[7].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[9]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[10].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 133,33 km2[11],[Note 2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[14]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[15].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[14]
Moyenne annuelle de température: 12,1°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 4 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 8,4 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,6 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,9 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[18] complétée par des études régionales[19] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «La Tour Blanche», sur la commune de La Tour-Blanche-Cercles, mise en service en 1967[20] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[21],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 12,3°C et la hauteur de précipitations de 964,3 mm pour la période 1981-2010[22].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Bergerac», sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 58 km[23], la température moyenne annuelle évolue de 13,2°C pour la période 1971-2000[24], à 13,1°C pour 1981-2010[25], puis à 13,3°C pour 1991-2020[26].
Milieux naturels et biodiversité
Parc naturel
Parmi les huit communes fondatrices de la commune nouvelle, une seule, Saint-Crépin-de-Richemont, fait partie du parc naturel régional Périgord-Limousin[27].
Natura 2000
ZNIEFF
La zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I «landes des Trois Pierres» qui s'étend sur 513hectares est très marginalement comprise dans le territoire de Brantôme en Périgord (ancienne commune de Saint-Crépin-de-Richemont). Le reste fait partie du territoire de Mareuil en Périgord (anciennes communes de Champeaux-et-la-Chapelle-Pommier et de Monsec). Trois espèces déterminantes de rapaces y ont été recensées: le Busard cendré (Circus pygargus), le Busard des roseaux (Circus aeruginosus) et le Busard Saint-Martin (Circus cyaneus) et trois autres de plantes: Droséra à feuilles rondes (Drosera rotundifolia), Narthécie des marais (Narthecium ossifragum) et Trompette de Méduse (Narcissus bulbocodium)[28],[29]. De plus, quatre espèces de mammifères, 50 d'autres oiseaux et 73 autres plantes y ont été recensées.
Toujours sur le territoire de Saint-Crépin-de-Richemont, à environ un kilomètre et demi à l'est des landes des Trois Pierres, au sud du château de Bagatelle, une autre ZNIEFF de type I, la «zone tourbeuse du Bois d'Enfer»[30],[31], est un site de cinq hectares propice à la pousse d'une espèce déterminante floristique: la Droséra à feuilles rondes (Drosera rotundifolia). Dans les années 1990 et 2000, quatre espèces de libellules y ont été recensées ainsi que 39 autres espèces de plantes et deux genres de plantes non détaillés.
Sur le territoire de Saint-Crépin-de-Richemont, sur deux kilomètres en amont du château de la Barde, le Boulou, sa vallée, ses coteaux et la partie aval de ses affluents font partie d'une ZNIEFF de type I «Réseau hydrographique et coteaux du Boulou amont» qui concerne également les deux autres communes en amont, Sceau-Saint-Angel et La Chapelle-Montmoreau[32],[33].
Vingt-deux espèces déterminantes y ont été répertoriées:
De très nombreuses autres espèces animales ou végétales y ont été recensées: six amphibiens, six reptiles, 79 oiseaux, 229 insectes, et dix espèces de plantes.
Le territoire des anciennes communes de La Gonterie-Boulouneix, Saint-Crépin-de-Richemont et Saint-Julien-de-Bourdeilles est arrosé par le Boulou; sa vallée, la partie aval de ses affluents le Belaygue et le Jallieu, ainsi que leurs coteaux, forment une autre ZNIEFF de type I «Réseau hydrographique et coteaux du Boulou aval», présentant une importante variété faunistique[34],[35].
De très nombreuses autres espèces animales ou végétales y ont été recensées: cinq amphibiens, cinq reptiles, 69 oiseaux, 307 insectes ainsi que 40 plantes.
Ces deux ZNIEFF du Boulou (amont et aval) font partie d'une ZNIEFF de type II plus vaste «Vallée et coteaux du Boulou» représentant la quasi-totalité du cours du Boulou, depuis sa source jusqu'à la route départementale 106, 200 mètres avant sa confluence avec la Dronne[36],[37],[Note 7].
La vallée du Boulou représente «un intérêt national» par la «richesse exceptionnelle» en espèces d'insectes —notamment en Lépidoptères et en Odonates— répertoriées dans ces trois ZNIEFF[36].
Urbanisme
Typologie
Brantôme en Périgord est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[38],[39],[40].
La commune est en outre hors attraction des villes[41],[42].
Le territoire de la commune de Brantôme en Périgord est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[43]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[44].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Côle, la Dronne et le Boulou. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1998, 1999 et 2007[45],[43]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la «vallée de la Dronne», couvrant 19 communes et approuvé le , pour les crues de la Dronne[46],[47].
Brantôme en Périgord est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées: interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[48]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[49],[50].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Brantôme en Périgord.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[51]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[52]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[53]. 37,8% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6% au niveau départemental et 48,5% au niveau national métropolitain)[54]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 9],[55].
Toponymie
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Histoire
La création de la nouvelle commune, entérinée par l'arrêté du 14 décembre 2015[56], est effective le , entraînant la transformation des deux anciennes communes, Brantôme et Saint-Julien-de-Bourdeilles, en communes déléguées.
Au , la commune fusionne avec six autres communes pour former la commune nouvelle (élargie) de Brantôme en Périgord[57]. À cette date, les sept communes fondatrices deviennent communes déléguées.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
À sa création en 2016, la commune de Brantôme en Périgord dépend de l'arrondissement de Périgueux puis est rattachée en 2017 à l'arrondissement de Nontron[58],[59].
Sur le plan électoral, elle est le bureau centralisateur du canton de Brantôme[60] qui prend le nom de canton de Brantôme en Périgord en 2020, et dépend de la 3e circonscription législative[61].
Intercommunalité
À sa création en 2016, Brantôme en Périgord fait partie de la communauté de communes Dronne et Belle[60].
Tendances politiques et résultats
Article détaillé: Élections municipales de 2020 en Dordogne.
Administration municipale
En janvier 2016, le conseil municipal de la nouvelle commune est constitué de l'ensemble des conseillers municipaux des deux anciennes communes (dix-neuf pour Brantôme et sept pour Saint-Julien-de-Bourdeilles, soit un total de vingt-six)[56]. Le maire de la nouvelle commune est élu début 2016. Les maires des deux anciennes communes deviennent maires délégués.
En janvier 2019, avec l'arrivée de six nouvelles communes, le conseil municipal est composé de 54 conseillers[57] répartis de la façon suivante:
25 pour Brantôme en Périgord (commune de 2016),
7 pour Valeuil,
5 pour Eyvirat et pour La Gonterie-Boulouneix,
4 pour Cantillac, Saint-Crépin-de-Richemont et Sencenac-Puy-de-Fourches.
La population de la commune étant comprise entre 3 500 et 4 999 habitants au recensement de 2017, vingt-sept conseillers municipaux auraient dû être élus en 2020[62]. Cependant, s'agissant du premier renouvellement du conseil municipal d'une commune nouvelle, le nombre de conseillers élus est celui de la strate supérieure (théoriquement vingt-neuf)[63], mais qui ne peut être inférieur au tiers de l'addition des conseillers municipaux élus lors du précédent renouvellement général des conseils municipaux, conformément à l'article L. 2121-2, dans chaque commune regroupée avant la création de la commune nouvelle, arrondi à l'entier supérieur et augmenté d'une unité en cas d'effectif pair[64], ce qui se traduit par 31 conseillers municipaux[65] (détail: 19 conseillers pour 1 commune + 11 conseillers pour 6 communes + 7 conseillers pour 1 commune = 92, divisé par 3 = 30,66, arrondi à l'unité supérieure = 31).
Communes fondatrices
Fondée au à partir des deux communes de Brantôme et Saint-Julien-de-Bourdeilles, Brantôme en Périgord s'élargit au par l'adjonction de six autres communes.
Avocate Réélue maire de la commune nouvelle pour le mandat 2019-2020[68]
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Brantôme en Périgord relève[69]:
du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux;
de la cour d'appel de Bordeaux.
Équipements et services publics
Un espace France Services est inauguré fin à Brantôme, place du Champ-de-Foire; il regroupe des permanences de l'Agence départementale pour l'information sur le logement (ADIL), de l'Agence nationale des titres sécurisés (ANTS), de la Caisse d'allocations familiales (CAF), de la Caisse primaire d'assurance maladie (CPAM), du Centre départemental d'information des droits des femmes et des familles (CIDFF), de la Mutualité sociale agricole (MSA), ainsi que d'un conciliateur de justice[70].
Population et société
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.
En 2019, la commune comptait 3 670 habitants[Note 10].
L'importante augmentation de population constatée entre 2016 et 2017 tient au fait que la première année, seules les anciennes communes de Brantôme et Saint-Julien-de-Bourdeilles sont concernées, alors qu'ensuite le recensement englobe les six autres anciennes communes intégrées en 2019.
Économie
Emploi
En 2018[72], sur le territoire correspondant à Brantôme en Périgord dans sa configuration de 2019, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentaient 1 560 personnes, soit 42,3% de la population municipale. Il y avait 173 chômeurs, soit un taux de chômage de cette population active de 11,1%.
Établissements
Au , sur ce même territoire, il y avait 525 établissements[73], dont 317 au niveau des commerces, transports ou services, 73 relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, 60 dans l'industrie, 46 dans la construction, et 29 dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[74].
Entreprises
Dans le secteur industriel, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société «Euroflash impression» (fabrication de cartonnages) située à Brantôme en Périgord se classe en 48eposition quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 4 347 k€[75].
Installée à Brantôme depuis 1978, l'entreprise «Font Vendôme» fabrique des fourgons aménagés et emploie 270 personnes début 2021, dont une soixantaine d'intérimaires. En 2020, 43% de sa production a été exportée[76].
Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[16].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[17].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
La ZNIEFF de type I du Boulou aval impacte le territoire de Léguillac-de-Cercles sur environ quatre hectares, alors que la ZNIEFF de type II l'impacte sur environ une dizaine d'hectares supplémentaires sur le coteau, au sud et à l'est du lieu-dit les Genièvres.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Carte de la ZNIEFF 720012866, INPN, consulté le 17 février 2021. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre «Couches disponibles», barrer d'abord la couche «Orthophotos» avant de cliquer sur «Fonds de cartes», puis sur la couche «Fonds Cartographique IGN».
Carte de la ZNIEFF 720020052, INPN, consulté le 26 février 2021. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre «Couches disponibles», barrer d'abord la couche «Orthophotos» avant de cliquer sur «Fonds de cartes», puis sur la couche «Fonds Cartographique IGN».
Carte de la ZNIEFF 720020050, INPN, consulté le 11 février 2021. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre «Couches disponibles», barrer d'abord la couche «Orthophotos» avant de cliquer sur «Fonds de cartes», puis sur la couche «Fonds Cartographique IGN».
Carte de la ZNIEFF 720020047, INPN, consulté le 15 mars 2021. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre «Couches disponibles», barrer d'abord la couche «Orthophotos» avant de cliquer sur «Fonds de cartes», puis sur la couche «Fonds Cartographique IGN».
Carte de la ZNIEFF 720020051, INPN, consulté le 15 mars 2021. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre «Couches disponibles», barrer d'abord la couche «Orthophotos» avant de cliquer sur «Fonds de cartes», puis sur la couche «Fonds Cartographique IGN».
«Arrêté n° PREF/DDL/2015/0218 portant création de la commune nouvelle de Brantôme en Périgord», Recueil des actes administratifs de la Dordogne, , p.100-103 (lire en ligne[PDF]).
«Industrie», Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p.32.
Grégoire Cherubini, «Font Vendôme file sur la route du succès», Sud Ouest édition Dordogne, , p.12.
Préfecture de la Dordogne, «Arrêté no2016-0159 du prononçant dénomination commune touristique 6 communes membres CC Dronne Belle», Recueil des actes administratifs de la Dordogne normal no3, août 2016, p.272-274.
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