La Tour-Blanche-Cercles est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. Elle a été créée le sous le statut de commune nouvelle et regroupe les anciennes communes de Cercles et La Tour-Blanche.
Pour les articles homonymes, voir Tour Blanche (homonymie).
La commune nouvelle regroupe les communes de Cercles et de La Tour-Blanche, qui deviennent des communes déléguées le [1]. Son chef-lieu se situe à La Tour-Blanche.
Communes limitrophes
Carte de La Tour-Blanche-Cercles.
La Tour-Blanche-Cercles est limitrophe de huit autres communes.
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. La Tour-Blanche-Cercles est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[2].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée j6, date du Kimméridgien supérieur, composée de sable, grès et calcaires bioclastiques à oolithes polypiers et huîtres. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs: sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles «no734 - Nontron» et «no758 - Périgueux (ouest)» de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3],[4] et leurs notices associées[5],[6].
Carte géologique de La Tour-Blanche-Cercles.
Légende de la carte géologique.
Ère
Période
Époque
Formations géologiques
Cénozoïque (0 - 66.0)
Quaternaire (0 - 2.58)
Holocène
CFvs :
Formations superficielles: colluvions carbonatées de vallons secs: sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris
CF :
Formations superficielles: colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses de pentes et de vallons indifférenciés des terrains tertiaires et quaternaires, des terrains mésozoiques et de socle
Fz-T :
Alluvions actuelles: sables et tourbes fluvio-lacustre (Atlantique sup. à actuel)
Fy3-z :
Alluvions subactuelles à actuelles indifférenciées: argiles silteuses, argiles sableuses, argiles tourbeuses, sables argileux, sables fins à graviers (Pré-boréal à actuel)
Pléistocène
non présent
Néogène (2.58 - 23.03)
non présent
Paléogène (23.03 - 66.0)
Oligocène
g1a :
Formation de Boisbreteau moy. et formation de la Garde: sables feldspathiques à graviers et galets passant vers le sommet à des argiles sableuses (Rupélien inf. continental)
Éocène
non présent
Paléocène
non présent
Mésozoïque (66.0 - 252.17)
Crétacé (66.0 - ≃145.0)
Supérieur
Ac :
Altérites du Crétacé sup.: argiles kaoliniques, silteuses à sableuses, parfois rubéfiées, à gravier, à silex et chailles, avec apport local du Tertiaire (complexe des Doucins)
c4a-c :
Santonien inf. à sup.: calcaires crayeux gris glauconieux en plaquettes évoluant dans le secteur sud avec apparition de silex noirs ou bruns et de rudistes (formation de Saint-Laurent-sur-Manoire)
c3(2) :
Coniacien indifférencié: calcaires gréseux, sables et marnes à la base puis calcaires bioclastiques et calcaires crayeux et glauconieux ou calcaires à huitres au sommet
c2c :
Turonien moyen à supérieur: calcaires cryptocristallins, calcaires gréseux à rudistes et marnes à huîtres et à rhynchonelles, localement grès et sables jaunes (feuille de Terrasson)
c2b :
Turonien inf. à moy.: calcaire graveleux, puis calcaires crayeux bioclastiques à rudistes passant latéralement à des calcarénites
c2a :
Turonien inf.: Calcaire crayeux blanchâtre en plaquettes ou noduleux
c1 :
Cénomanien indifférencié: Argiles et marnes vertes gypsifères et pyriteuses à niveaux de lignites, sables fins à grossiers, calcaires gréseux à préalvéolines
inférieur
non présent.
Jurassique (≃145.0 - 201.3)
Supérieur
j7 :
Tithonien: Calcaires micritique en petits bancs à joints marneux, dolomicrites et dolomies cristallines, localement en alternance avec des calcaires plus grossiers bioclastiques à fins niveaux argilo-marneux noirâtres (formation de Berbiguières)
j6 :
Kimméridgien supérieur: sable, grès et calcaires bioclastiques à oolithes polypiers et huitres (formation de La Tour-Blanche)
Moyen
non présent
Jurassique inférieur
non présent
Trias (201.3 - 252.17)
non présent
Paléozoïque (252.17 - 541.0)
non présent
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 114 mètres et 211 mètres[7].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[9]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[10].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 23,18 km2[11],[Note 2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[14]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[15].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[14]
Moyenne annuelle de température: 12°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,7 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 8,1 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,3 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,9 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[18] complétée par des études régionales[19] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1967 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[20]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Statistiques 1981-2010 et records LA TOUR BLANCHE (24) - alt: 150 m 45° 22′ 00″ N, 0° 26′ 36″ E Statistiques établies sur la période 1981-2008 - Records établis sur la période du 01-11-1967 au 31-12-2008
Mois
jan.
fév.
mars
avril
mai
juin
jui.
août
sep.
oct.
nov.
déc.
année
Température minimale moyenne (°C)
1,3
0,9
3
4,9
8,4
11,4
13
12,5
9,9
7,8
3,6
1,7
6,6
Température moyenne (°C)
5,1
5,8
8,7
11
14,9
18,1
20,1
19,8
16,6
13,1
8
5,5
12,3
Température maximale moyenne (°C)
9
10,7
14,4
17,1
21,3
24,8
27,3
27
23,3
18,5
12,4
9,4
18
Record de froid (°C) date du record
−20,6 16.01.1985
−18,4 08.02.1991
−13 01.03.05
−6 03.04.1970
−2,2 08.05.1982
0,4 02.06.1975
3,4 03.07.1980
0,8 30.08.1986
−1,2 29.09.1972
−5,5 30.10.1997
−10,5 22.11.1998
−12 12.12.1967
−20,6 1985
Record de chaleur (°C) date du record
18,6 30.01.1996
22,5 15.02.1998
27 20.03.05
32 30.04.05
34,5 27.05.05
39,5 22.06.03
39 21.07.06
41 05.08.03
36 17.09.1987
30 02.10.1985
23 01.11.1968
18,8 03.12.1985
41 2003
Précipitations (mm)
89,9
73,7
71,6
90,4
85,9
66,2
62,7
62,9
76
92,7
89,1
103,2
964,3
Source: «Fiche 24554001» [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le: 06/01/2022 dans l'état de la base
Urbanisme
Typologie
La Tour-Blanche-Cercles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[21],[22],[23].
La commune est en outre hors attraction des villes[24],[25].
Villages, hameaux et lieux-dits
Outre les bourgs de Cercles et de La Tour-Blanche proprement dits, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits détaillés dans Cercles#Villages, hameaux et lieux-dits et dans La Tour-Blanche#Villages, hameaux et lieux-dits.
Énergie
Le parc agrivoltaïque de La Tour-Blanche comporte 8 312 panneaux photovoltaïques sur une superficie de 8,6hectares; mis en service en 2021, il peut produire annuellement 6,4 GWh[26].
Prévention des risques
Le territoire de la commune de La Tour-Blanche-Cercles est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[27]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[28].
La Tour-Blanche-Cercles est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées: interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[29]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[30],[31].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Tour-Blanche-Cercles.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[32]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[33]. 24,5% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6% au niveau départemental et 48,5% au niveau national métropolitain)[34]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[35].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999, par la sécheresse en 2003 et 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[27].
Toponymie
Il convient de se reporter aux articles consacrés aux anciennes communes fusionnées: La Tour-Blanche et Cercles.
Histoire
La Tour-Blanche-Cercles est une commune nouvelle créée le pour une prise d'effet au [36].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune de La Tour-Blanche-Cercles dépend de l'arrondissement de Périgueux[37].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Ribérac[37] et de la 3e circonscription législative[38].
Intercommunalité
À sa création en 2017, elle fait partie de la communauté de communes du Pays Ribéracois[37], renommée en 2019 communauté de communes du Périgord Ribéracois.
Administration municipale
Pendant une période courant jusqu'au prochain renouvellement des conseils municipaux (prévu en 2020), le conseil municipal de la nouvelle commune est constitué de l'ensemble des conseillers municipaux des anciennes communes[36] (onze pour chacune des ex-communes, soit un total de vingt-deux). Le maire de la nouvelle commune est élu début 2017. Les maires des anciennes communes deviennent maires délégués de celles-ci.
La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux auraient dû être élus en 2020[39]. Cependant, s'agissant du premier renouvellement du conseil municipal d'une commune nouvelle, le nombre de conseillers élus est celui de la strate supérieure[40], soit dix-neuf[41].
Communes déléguées
Liste des communes déléguées
Nom
Code Insee
Intercommunalité
Superficie (km2)
Population (dernière pop. légale)
Densité (hab./km2)
La Tour-Blanche (siège)
24554
CC du Périgord Ribéracois
8,11
408 (2016)
50
Cercles
24093
CC du Périgord Ribéracois
15,07
197 (2016)
13
Liste des maires
Période
Identité
Étiquette
Qualité
janvier 2017
mai 2020
Paul Malville
SE
Retraité Ancien maire de La Tour-Blanche (1977-2016)
mai 2020
En cours
Daniel Bonnefond
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, La Tour-Blanche-Cercles relève[42]:
du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux;
de la cour d'appel de Bordeaux.
Population et société
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.
En 2019, la commune comptait 574 habitants[Note 8].
Le Football-club Pays de Mareuil, en Régionale 3, fusionne à l'été 2022 avec Les Merles blancs du TSMB/Verteillac pour former un nouveau club: le Football-club La Tour/Mareuil/Verteillac (FCLTMV)[44].
Économie
Emploi
En 2016, sur le territoire correspondant à La Tour-Blanche-Cercles dans sa configuration de 2017, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans[45], les actifs représentaient 202 personnes, soit 33,4% de la population municipale. Il y avait 26 chômeurs, soit un taux de chômage de cette population active de 12,8%.
Établissements
Au , sur ce même territoire, la commune comptait 80 établissements[46], dont trente-neuf au niveau des commerces, transports ou services, dix-neuf relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, dix dans la construction, neuf dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et trois dans l'industrie[47].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Patrimoine civil
Grotte de Jovelle: des objets en pierre taillée datés du Paléolithique supérieur y furent trouvés[48]; elle renferme des représentations d'animaux gravées sur les parois. Inscrite depuis 1989 au titre des monuments historiques, elle est ensuite classée en 2013[49].
Château de la Tour-Blanche, XIIesiècle, dont les ruines du donjon sont classées depuis 1906 au titre des monuments historiques[50]. Dans la nuit du 11 au , un incendie en a détruit toute la partie habitée dans l'aile sud, faisant un mort[51],[52],[53].
Ruines du château de Jovelle, XIIIe – XIVesiècle, inscrites depuis 1948[54].
Halle de La Tour-Blanche du XVIIIeouXIXesiècle[62].
Le moulin à vent des Terres blanches, anciennement appelé moulin de la Coulaude[63]. Entretenu par l'association des Amis du Moulin, il daterait du XIVesiècle[63] et a été restauré en 2007. Ouvert au public, il fabrique de la farine.
La grotte de Jovelle.
Le château de la Tour-Blanche.
Les ruines du château de Jovelle.
Le château de Fongrenon.
Le manoir de Nanchapt.
Le manoir de la Bernerie.
Le mur sud du manoir de la Calonie.
Le pigeonnier de la Calonie.
Le colombier de La Tour-Blanche.
Le colombier de l'Enrequis.
La halle de la Tour-Blanche.
Le moulin à vent des Terres blanches.
Patrimoine religieux
L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul[64],[65] de La Tour-Blanche, établie dans le bourg, était l'ancienne chapelle d'un hôpital et portait le nom de Notre-Dame de la Recluse[66] ou Notre-Dame des Faubourgs[67]. Bâtie au XVesiècle et restaurée au XIXesiècle, elle a remplacé définitivement l'église Saint-Sébastien, incendiée en 1560 lors des guerres de Religion[66].
Ancien prieuré datant du XIIesiècle[68], l'église Saint-Cybard de Cercles, fortifiée, est classée au titre des monuments historiques depuis 1840[69].
Dans le village de Cercles, sur moins d'un hectare, le vieux cimetière attenant à l'église Saint-Cybard est un site classé depuis 1993[70].
Chapelle Notre-Dame-de-Pitié, ou chapelle des Blanquets, ou chapelle de la léproserie, du XIXesiècle[71].
L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de La Tour-Blanche.
L'église Saint-Cybard de Cercles.
Partie supérieure de son donjon-porche.
Sa nef.
Tombes dans le vieux cimetière de Cercles.
La chapelle Notre-Dame-de-Pitié.
Croix monumentale devant l'église de Cercles.
Patrimoine naturel
Le réseau souterrain de l'ancienne carrière de Jovelle est une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I, où vivent six espèces de chauves-souris[72].
«Le Parc sauvage», parc animalier avec démonstration de vol de rapaces, ouvert en 2019[73] au lieu-dit le Claud.
Personnalités liées à la commune
Jean Bertaud (1502-1572), né à La Tour-Blanche, humaniste de la Renaissance[74].
Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[16].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[17].
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Émilie Delpeyrat, «Piégée dans le château en feu», Sud Ouest édition Dordogne, 13 octobre 2015, p.12-13.
Marquis de Fayolle, «Neuvième excursion archéologique», dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1896, tome 23, p.415-416(lire en ligne)
«Ruines du château de Jovelle», notice noPA00083023, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 23 mai 2020.
Inventaire général du patrimoine culturel, «Château de Fongrenon», notice noIA24000861, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 23 mai 2020.
.«Château de Roumailhac», notice noPA00083024, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 23 mai 2020.
Inventaire général du patrimoine culturel, «Demeure», notice noIA24000960, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 23 mai 2020.
Inventaire général du patrimoine culturel, «Manoir de la Calonie», notice noIA24000860, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 23 mai 2020.
«Colombier», notice noIA24000973, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 23 mai 2020.
Inventaire général du patrimoine culturel, «Colombier», notice noIA24000979, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 23 mai 2020.
Inventaire général du patrimoine culturel, «Colombier», notice noIA24000966, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 23 mai 2020.
«Halle», notice noIA24000891, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 23 mai 2020.
Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884: Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN2-87624-125-0), p.294.
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