Saint-Félix-de-Bourdeilles, appelée localement Saint-Félix-de-Mareuil, est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Félix.
Saint-Félix-de-Mareuil redirige ici.
Saint-Félix-de-Bourdeilles
L'église et le village de Saint-Félix-de-Bourdeilles.
Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.
Géographie
Généralités
Dans le quart nord-ouest du département de la Dordogne, la commune rurale de Saint-Félix-de-Bourdeilles s'étend sur 6,06 km2. Bordée au sud-est par le Boulou, elle est arrosée par son affluent et son sous-affluent, le Jallieu et la Paulette.
À quelques centaines de mètres au nord de la route départementale (RD) 939, le bourg de Saint-Félix-de-Bourdeilles, se situe, en distances orthodromiques, neuf kilomètres au nord-ouest de Brantôme et quatorze kilomètres au sud-ouest de Nontron.
Le territoire communal est également desservi par la RD 84.
Communes limitrophes
Carte de Saint-Félix-de-Bourdeilles et des communes avoisinantes en 2015, avant la création des communes nouvelles de Brantôme en Périgord et Mareuil en Périgord.
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Félix-de-Bourdeilles est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c2b, date du Turonien inférieur à moyen, composée de calcaire graveleux, puis calcaires crayeux bioclastiques à rudistes passant latéralement à des calcarénites. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille «no734 - Nontron» de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].
Carte géologique de Saint-Félix-de-Bourdeilles.
Légende de la carte géologique.
Ère
Période
Époque
Formations géologiques
Cénozoïque (0 - 66.0)
Quaternaire (0 - 2.58)
Holocène
CFp :
Formations superficielles: colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites indifférenciées
CF :
Formations superficielles: colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses de pentes et de vallons indifférenciés des terrains tertiaires et quaternaires, des terrains mésozoiques et de socle
Fy3-z :
Alluvions subactuelles à actuelles indifférenciées: argiles silteuses, argiles sableuses, argiles tourbeuses, sables argileux, sables fins à graviers (Pré-boréal à actuel)
Pléistocène
non présent
Néogène (2.58 - 23.03)
non présent
Paléogène (23.03 - 66.0)
Oligocène
non présent
Éocène
e5-6 :
Formation de Guizengeard sup.: sables feldspathiques micacés, graviers, galets et argiles sableuses, ensemble ferrugineux, versicolore à lentilles argileuses parfois kaoliniques (Lutétien sup. à Bartonien sup. continental)
Paléocène
non présent
Mésozoïque (66.0 - 252.17)
Crétacé (66.0 - ≃145.0)
Supérieur
c4b-c :
Santonien moy. à sup.: calcaire crayo-glauconieux avec niveaux à huîtres (P. vesicularis), devenant au sommet plus grossier à silex et rudistes (formation de Saint-Félix-de-Reillac). Faciès pouvant évoluer vers des sables fins et grès carbonatés à rudistes
c4a-c :
Santonien inf. à sup.: calcaires crayeux gris glauconieux en plaquettes évoluant dans le secteur sud avec apparition de silex noirs ou bruns et de rudistes (formation de Saint-Laurent-sur-Manoire)
c3(2) :
Coniacien indifférencié: calcaires gréseux, sables et marnes à la base puis calcaires bioclastiques et calcaires crayeux et glauconieux ou calcaires à huitres au sommet
c2c :
Turonien moyen à supérieur: calcaires cryptocristallins, calcaires gréseux à rudistes et marnes à huîtres et à rhynchonelles, localement grès et sables jaunes (feuille de Terrasson)
c2b :
Turonien inf. à moy.: calcaire graveleux, puis calcaires crayeux bioclastiques à rudistes passant latéralement à des calcarénites
inférieur
non présent.
Jurassique (≃145.0 - 201.3)
non présent
Trias (201.3 - 252.17)
non présent
Paléozoïque (252.17 - 541.0)
non présent
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 116 mètres à l'extrême sud-est, là où le Boulou quitte la commune et entre sur celle de Brantôme en Périgord (sur le territoire de l'ancienne commune de La Gonterie-Boulouneix), et 227 mètres tout au nord, au sud-est du lieu-dit Pontarnaud[5].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [6]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[7]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[8].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 6,06 km2[9],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 6,31 km2[3].
Hydrographie
Réseau hydrographique
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Félix-de-Bourdeilles.
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[12]. Elle est drainée par le Boulou, la Paulette et le Jallieu, qui constituent un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[13],[Carte 1].
Le Boulou, d'une longueur totale de 23,94 km, prend sa source dans la commune de Sceau-Saint-Angel et se jette dans la Dronne en rive droite en limite de Bourdeilles et de Creyssac[14],[15]. Il borde la commune à l'est et au sud-est sur plus d'un kilomètre, en deux tronçons, face à Brantôme en Périgord (territoire de l'ancienne commune de Saint-Crépin-de-Richemont).
Son affluent de rive droite le Jallieu traverse la commune d'ouest au sud-est sur deux kilomètres et demi.
Affluent de rive gauche du Jallieu, la Paulette arrose le territoire communal du nord-est au centre, lui servant de limite territoriale sur 600 mètres, face à Brantôme en Périgord (territoire de l'ancienne commune de Saint-Crépin-de-Richemont).
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) «Isle - Dronne». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[16]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [17].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[18]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[19].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[18]
Moyenne annuelle de température: 12,2°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,5 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 7 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,8 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 7,1 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[22] complétée par des études régionales[23] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «La Tour Blanche», sur la commune de La Tour-Blanche-Cercles, mise en service en 1967[24] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[25],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 12,3°C et la hauteur de précipitations de 964,3 mm pour la période 1981-2010[26].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Bergerac», sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 63 km[27], la température moyenne annuelle évolue de 13,2°C pour la période 1971-2000[28], à 13,1°C pour 1981-2010[29], puis à 13,3°C pour 1991-2020[30].
Milieux naturels et biodiversité
Parc naturel
Depuis sa création en 1998, le parc naturel régional Périgord-Limousin intègre la commune de Saint-Félix-de-Bourdeilles.
ZNIEFF
Au sud-est, sur un peu plus d'un kilomètre, le Boulou ainsi que sa vallée, ses coteaux et ses affluents, forment une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I «Réseau hydrographique et coteaux du Boulou aval», présentant une importante variété faunistique sur Saint-Félix-de-Bourdeilles et six autres communes ou anciennes communes[31],[32].
De très nombreuses autres espèces animales ou végétales y ont été recensées: cinq amphibiens, cinq reptiles, 69 oiseaux, 307 insectes ainsi que 40 plantes.
Cette ZNIEFF, tout comme la ZNIEFF «Réseau hydrographique et coteaux du Boulou amont»[33], fait partie d'une ZNIEFF de type II plus vaste «Vallée et coteaux du Boulou» représentant la quasi-totalité du cours du Boulou, depuis sa source jusqu'à la route départementale 106, située 200 mètres avant sa confluence avec la Dronne[34],[35].
La vallée du Boulou représente «un intérêt national» par la «richesse exceptionnelle» en espèces d'insectes —notamment en Lépidoptères et en Odonates— répertoriées dans les trois ZNIEFF de ce cours d'eau[34].
Urbanisme
Typologie
Saint-Félix-de-Bourdeilles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[36],[37],[38].
La commune est en outre hors attraction des villes[39],[40].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (62,1% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62,1%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (57,6%), prairies (19,4%), zones agricoles hétérogènes (11,2%), terres arables (7,3%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,5%)[41].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Prévention des risques
Le territoire de la commune de Saint-Félix-de-Bourdeilles est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[42]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[43].
Saint-Félix-de-Bourdeilles est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées: interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[44]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[45],[46].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Félix-de-Bourdeilles.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[47]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[48]. 36,9% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6% au niveau départemental et 48,5% au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[49].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999, par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[42].
Toponymie
Panneau d'entrée dans le village.
Le nom officiel de la commune est Saint-Félix-de-Bourdeilles[50], mais localement, elle est également appelée Saint-Félix-de-Mareuil.
En occitan la commune porte le nom de Sent Feliç de Bordelha[51].
Histoire
La commune porta, au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), le nom de Dujalieux[52].
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune de Saint-Félix-de-Bourdeilles a, dès 1790, été rattachée au canton de Saint Félix—dont elle est le chef-lieu— qui dépendait du district de Nontron. En 1795, les districts sont supprimés. En 1801, le canton de Saint Félix est supprimé et la commune est rattachée au canton de Mareuil dépendant de l'arrondissement de Nontron[52].
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[53]. La commune est alors rattachée au canton de Brantôme, renommé canton de Brantôme en Périgord en 2020.
Intercommunalité
En 1995, Saint-Félix-de-Bourdeilles intègre dès sa création la communauté de communes du Pays de Mareuil-en-Périgord. Celle-ci disparaît le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie, la communauté de communes Dronne et Belle.
Administration municipale
La population de la commune étant inférieure à 100 habitants au recensement de 2017, sept conseillers municipaux ont été élus en 2020[54],[55].
Liste des maires
La mairie.
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981
1985
Guy de Vandière
1985
mars 2014
Philippe Chodron de Courcel
RPR-UMP
Retraité de l'industrie automobile Conseiller général du canton de Mareuil (2001-2008)
Dans le domaine judiciaire, Saint-Félix-de-Bourdeilles relève[57]:
du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux;
de la cour d'appel de Bordeaux.
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
Les habitants de Saint-Félix-de-Bourdeilles se nomment les Saint Féliciens[58].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[59]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[60].
En 2019, la commune comptait 65 habitants[Note 9], en diminution de 5,8% par rapport à 2013 (Dordogne: −0,88%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
262
256
267
362
364
337
323
306
332
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
295
264
263
220
230
230
204
182
183
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
168
163
177
172
150
143
134
132
129
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
105
85
85
61
53
58
70
72
70
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
62
65
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee à partir de 2006[61].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Emploi
En 2015[62], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent vingt-neuf personnes, soit 43,3% de la population municipale. Le nombre de chômeurs (six) a augmenté par rapport à 2010 (quatre) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 22,2%.
Établissements
Au , la commune compte sept établissements[63], dont deux au niveau des commerces, transports ou services, deux dans la construction, deux dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et un relatif au secteur administratif[64].
Château de Mondevys (ou de Mondevit), XVIeetXVIIIesiècles, propriété privée[66].
Manoir de la Cotencie[67], XVIIesiècle, propriété privée[réf.souhaitée]
L'église.
La nef.
Personnalités liées à la commune
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Héraldique
Article connexe: Armorial des communes de la Dordogne.
Blason
D’azur à la plante de chardon, fleurie d’or, tigée et feuillée de quatre pièces de sinople, sur laquelle sont posés deux chardonnerets affrontés aussi d’or.
Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[10],[11]
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[20].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[21].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Carte de la ZNIEFF 720020047, INPN, consulté le 11 février 2021. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre «Couches disponibles», barrer d'abord la couche «Orthophotos» avant de cliquer sur «Fonds de cartes», puis sur la couche «Fonds Cartographique IGN».
Carte de la ZNIEFF 720020051, INPN, consulté le 11 février 2021. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre «Couches disponibles», barrer d'abord la couche «Orthophotos» avant de cliquer sur «Fonds de cartes», puis sur la couche «Fonds Cartographique IGN».
Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884: Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN2-87624-125-0), p.236.
Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN2-87901-221-X), p.181.
Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, Luçon, éditions Sud Ouest année=1996, 316p. (ISBN2-87901-221-X), p.91.
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