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Val de Louyre et Caudeau est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. Elle a été créée le sous le statut de commune nouvelle et regroupe les anciennes communes de Cendrieux, Saint-Laurent-des-Bâtons et Sainte-Alvère. Elle a succédé à l'éphémère commune nouvelle de Sainte-Alvère-Saint-Laurent Les Bâtons.

Val de Louyre et Caudeau

Les vestiges du château de Lostanges à Sainte-Alvère.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Le Grand Périgueux
Maire
Mandat
Philippe Ducène
2020-2026
Code postal 24510 et 24380
Code commune 24362
Démographie
Population
municipale
1 588 hab. (2019)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 56′ 49″ nord, 0° 48′ 33″ est
Altitude Min. 95 m
Max. 263 m
Superficie 82,12 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Périgord central
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Val de Louyre et Caudeau
Géolocalisation sur la carte : France
Val de Louyre et Caudeau
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Val de Louyre et Caudeau
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Val de Louyre et Caudeau
Liens
Site web valdelouyre-et-caudeau.fr

    C'est l'une des communes les plus étendues du département.


    Géographie



    Généralités


    La commune nouvelle regroupe les communes de Cendrieux, Saint-Laurent-des-Bâtons et Sainte-Alvère, qui deviennent des communes déléguées le [1]. Son chef-lieu se situe à Sainte-Alvère.

    Avec plus de 82 km2, c'est la cinquième commune la plus étendue du département, après Mareuil en Périgord, Brantôme en Périgord, Bassillac et Auberoche et La Roche-Chalais.


    Communes limitrophes


    Val de Louyre et Caudeau est limitrophe de quatorze autres communes : Saint-Michel-de-Villadeix, Veyrines-de-Vergt, Salon et Lacropte au nord, Saint-Félix-de-Reillac-et-Mortemart au nord-est, Journiac et Saint-Avit-de-Vialard à l'est, Paunat au sud-est, Pezuls et Sainte-Foy-de-Longas au sud, Saint-Marcel-du-Périgord et Saint-Félix-de-Villadeix au sud-ouest, Fouleix et Saint-Amand-de-Vergt au nord-ouest.

    Carte de Val de Louyre et Caudeau.

    Géologie et relief



    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Val de Louyre et Caudeau est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[2].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c4b-c, date du Santonien moyen à supérieur, composée de calcaire crayo-glauconieux avec niveaux à huîtres (P. vesicularis), devenant au sommet plus grossier à silex et rudistes (formation de Saint-Félix-de-Reillac), faciès pouvant évoluer vers des sables fins et grès carbonatés à rudistes. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 807 - Le Bugue » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3],[4] et sa notice associée[5].

    Carte géologique de Val de Louyre et Caudeau.
    Carte géologique de Val de Louyre et Caudeau.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 95 mètres et 263 mètres[6].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[8]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[9].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 82,12 km2[10],[Note 2].


    Climat


    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[13]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[14].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[13]

    • Moyenne annuelle de température : 12,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 922 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[17] complétée par des études régionales[18] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Belves », sur la commune de Pays de Belvès, mise en service en 1988[19] et qui se trouve à 24 km à vol d'oiseau[20],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 12,9 °C et la hauteur de précipitations de 895,6 mm pour la période 1981-2010[21]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 28 km[22], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[23], à 13,1 °C pour 1981-2010[24], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[25].


    Urbanisme



    Typologie


    Val de Louyre et Caudeau est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[26],[27],[28]. La commune est en outre hors attraction des villes[29],[30].


    Villages, hameaux et lieux-dits


    Outre les bourgs de Cendrieux, Saint-Laurent-des-Bâtons et Sainte-Alvère proprement dits, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits détaillés sur cet article, sur celui-ci et sur celui-là.


    Prévention des risques


    Le territoire de la commune de Val de Louyre et Caudeau est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[31]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[32].

    Val de Louyre et Caudeau est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[33]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[34],[35].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Val de Louyre et Caudeau.
    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Val de Louyre et Caudeau.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[36]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[37]. 52,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[38]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[39].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1991 et 1999, par la sécheresse en 1989, 1992, 1995, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[31].


    Toponymie


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    Histoire


    Val de Louyre et Caudeau est une commune nouvelle créée le pour une prise d'effet au [40].


    Politique et administration



    Rattachements administratifs et électoraux


    En 2017, Val de Louyre et Caudeau est rattachée à l'arrondissement de Périgueux[41],[42], et électoralement au canton du Périgord central.


    Intercommunalité


    En 2017, Val de Louyre et Caudeau est intégrée à la communauté d'agglomération Le Grand Périgueux.


    Administration municipale


    Pendant une période courant jusqu'au prochain renouvellement des conseils municipaux (prévu en 2020), le conseil municipal de la nouvelle commune est constitué de l'ensemble des conseillers municipaux des anciennes communes[40] (quinze pour Sainte-Alvère et Cendrieux, et onze pour Saint-Laurent-des-Bâtons, soit un total de 41). Le maire de la nouvelle commune est élu début 2017. Les maires des anciennes communes deviennent maires délégués de celles-ci.

    La population de la commune étant comprise entre 1 500 et 2 499 habitants au recensement de 2017, dix-neuf conseillers municipaux auraient dû être élus en 2020[43]. Cependant, s'agissant du premier renouvellement du conseil municipal d'une commune nouvelle, le nombre de conseillers élus est celui de la strate supérieure[44], soit vingt-trois[45].


    Communes déléguées


    Liste des communes déléguées
    Nom Code
    Insee
    Intercommunalité Superficie
    (km2)
    Population
    (dernière pop. légale)
    Densité
    (hab./km2)
    Sainte-Alvère
    (siège)
    24362Le Grand Périgueux32,42821 (2015)25


    Cendrieux24092Le Grand Périgueux30,23584 (2016)19
    Saint-Laurent-des-Bâtons24435Le Grand Périgueux19,47221 (2015)11

    Liste des maires


    Période Identité Étiquette Qualité
    janvier 2017
    (réélu en mai 2020[46])
    En cours Philippe Ducène LR ex-maire de Sainte-Alvère (1986-2015)
    ex-maire de Sainte-Alvère-Saint-Laurent Les Bâtons (2016)

    Juridictions


    Dans le domaine judiciaire, Val de Louyre et Caudeau relève[47] :


    Budget


    Avant la fusion des trois communes, l'ensemble des dotations de l'État (dont la DGF), qui représentait 447 500 euros en 2015, passe à 620 000 euros en 2019[48]. Par ailleurs, l'intégration en 2017 de la commune nouvelle dans la communauté d'agglomération Le Grand Périgueux a entrainé une baisse des impôts locaux par rapport aux trois anciennes communes : -6,24 % pour Cendrieux, -7,69 % pour Saint-Laurent-des-Bâtons et -3,89 % pour Sainte-Alvère[48].


    Population et société



    Démographie


    Articles connexes : Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.

    En 2019, la commune comptait 1 588 habitants[Note 9].

    Évolution de la population  [modifier]
    2015 2016 2017 2018 2019
    1 6231 6071 5881 5951 588
    (Sources : Insee à partir de 2015[49].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement


    En 2022, l'enseignement primaire se répartit entre les écoles de Sainte-Alvère (de la maternelle jusqu'au CE1) et de Cendrieux (du CE2 au CM2)[50].


    Sports


    En 2014, en football, le FC Cendrieux fusionne avec celui de La Douze, formant le FC Cendrieux/La Douze (FCCL)[51]. En 2020, ce club fusionne avec L'Étoile Sportive Alvéroise et la Jeunesse du Périgord Centre (qui regroupait les jeunes du FCCL, de L'Étoile Sportive Alvéroise et de Vergt), la nouvelle entité prenant le nom de FC Périgord Centre (FCPC)[51].


    Manifestations culturelles et festivités


    À Cendrieux, sur deux semaines en mai-juin, les « Cendriales » proposent un « festival des arts du spectacle en milieu rural » (12e édition en 2019)[52].

    À Saint-Laurent-des-Bâtons, « Fête des bâtons », début juin, initialement annuelle puis biennale (7e édition en 2022[53]).


    Économie



    Emploi


    En 2016, sur le territoire correspondant à Val de Louyre et Caudeau dans sa configuration de 2017, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans[54], les actifs représentaient 689 personnes, soit 42,9 % de la population municipale. Il y avait 88 chômeurs, soit un taux de chômage de cette population active de 12,8 %.


    Établissements


    Au , sur ce même territoire, il y avait 212 établissements[55], dont 97 au niveau des commerces, transports ou services, 55 dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, 29 dans la construction, 18 relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et 13 dans l'industrie[56].


    Entreprises et commerces


    Parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne,la société « Fabrication électronique de Dordogne » (fabrication de cartes électroniques assemblées), implantée à Sainte-Alvère, se classe en 37e position quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 28 305 k€[57]. Parmi les mêmes entreprises mais dans le seul secteur industriel, elle se classe en 13e position avec le même bilan[58]. Tous secteurs confondus, elle se classe en 40e position avec 1 042 k€ quant au chiffre d'affaires à l'exportation en 2015-2016[59].

    Depuis 1973, un marché aux truffes existe de décembre à février à Sainte-Alvère[60].


    Culture locale et patrimoine



    Voir aussi


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    Articles connexes



    Liens externes



    Notes et références



    Notes


    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[11],[12]
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[15].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[16].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références


    1. « Commune de Val de Louyre et Caudeau (24362) », sur le Code officiel géographique de l'Insee (consulté le ).
    2. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    3. « Carte géologique de Val de Louyre et Caudeau » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
    4. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Val de Louyre et Caudeau », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    5. « Notice associée à la feuille no 807 - Le Bugue de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Val de Louyre et Caudeau », sur le site de l'Insee (consulté le )
    11. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    13. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    14. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    15. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    16. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    17. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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    22. « Orthodromie entre Val de Louyre et Caudeau et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
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    30. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    31. « Les risques près de chez moi - commune de Val de Louyre et Caudeau », sur Géorisques (consulté le )
    32. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
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    41. [PDF] « Arrêté portant modification des limites territoriales des arrondissements de Bergerac, Nontron, Périgueux et Sarlat-la-Canéda du département de la Dordogne », Préfecture de la Dordogne, 30 décembre 2016.
    42. [PDF] Anciens et nouveaux arrondissements au 1er janvier 2017, Préfecture de la Dordogne, 4 janvier 2017.
    43. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 17 septembre 2020.
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    52. « La 12e édition des Cendriales se prépare », Sud Ouest édition Périgueux, 13 mai 2019, p. 18.
    53. Chantal Gibert, « Le grand retour de la Fête des bâtons », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 21.
    54. Commune de Val de Louyre et Caudeau (24362) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4, sur Insee, consulté le 8 juillet 2019.
    55. « Établissement », sur Insee (consulté le ).
    56. Commune de Val de Louyre et Caudeau (24362) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1, sur Insee, consulté le 20 octobre 2019.
    57. « Chiffres d'affaires : les 50 premières », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 28.
    58. « Industrie », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 32.
    59. « Export », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 33.
    60. Boris Rebeyrotte, « Un lundi ordinaire à Sainte-Alvère », Le Mag no 437, supplément à Sud Ouest, , p. 12.

    На других языках


    [de] Val de Louyre et Caudeau

    Val de Louyre et Caudeau ist eine französische Gemeinde mit 1.588 Einwohnern (Stand: 1. Januar 2019) im Zentrum des Départements Dordogne in der Region Nouvelle-Aquitaine. Die Gemeinde gehört zum Arrondissement Périgueux und zum Périgord Central.

    [en] Val de Louyre et Caudeau

    Val de Louyre et Caudeau is a commune in the department of Dordogne, southwestern France. It was established on 1 January 2017 by the merger of the former communes of Cendrieux and Sainte-Alvère-Saint-Laurent, Les Bâtons.[2] Sainte-Alvère-Saint-Laurent, Les Bâtons was the result of the merger of the communes of Sainte-Alvère and Saint-Laurent-des-Bâtons on 1 January 2016.[3]
    - [fr] Val de Louyre et Caudeau



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