Saint-Félix-de-Villadeix est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Félix.
Saint-Félix-de-Villadeix
L'église de Saint-Félix-de-Villadeix.
Administration
Pays
France
Région
Nouvelle-Aquitaine
Département
Dordogne
Arrondissement
Bergerac
Intercommunalité
Communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord
Maire Mandat
Arnaud Bourgeois 2020-2026
Code postal
24510
Code commune
24405
Démographie
Gentilé
Saint-Féliciens
Population municipale
327 hab. (2019 )
Densité
19 hab./km2
Géographie
Coordonnées
44° 55′ 33″ nord, 0° 41′ 01″ est
Altitude
Min. 80 m Max. 210 m
Superficie
16,88 km2
Unité urbaine
Commune rurale
Aire d'attraction
Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales
Canton de Lalinde
Législatives
Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Saint-Félix-de-Villadeix
Géolocalisation sur la carte: France
Saint-Félix-de-Villadeix
Géolocalisation sur la carte: Dordogne
Saint-Félix-de-Villadeix
Géolocalisation sur la carte: Nouvelle-Aquitaine
Saint-Félix-de-Villadeix
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Géographie
Généralités
Baignée par le Caudeau au nord et son affluent la Louyre au sud, la commune est située 10 kilomètres au nord-nord-ouest de Lalinde et 18 kilomètres à l'est-nord-est de Bergerac. Elle est desservie par la route départementale 37.
De 2003 à 2012, c'était le siège social de la communauté de communes Entre Dordogne et Louyre.
Communes limitrophes
Carte de Saint-Félix-de-Villadeix et des communes avoisinantes en 2015, avant la création des communes nouvelles de Sainte-Alvère-Saint-Laurent Les Bâtons, puis de Val de Louyre et Caudeau.
Saint-Félix-de-Villadeix est limitrophe de six autres communes. Au sud, son territoire est distant d'environ 600 mètres de celui de Cause-de-Clérans.
Communes limitrophes de Saint-Félix-de-Villadeix
Clermont-de-Beauregard
Fouleix
Val de Louyre et Caudeau
Saint-Georges-de-Montclard
Liorac-sur-Louyre
Saint-Marcel-du-Périgord
Géologie et relief
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Félix-de-Villadeix est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5c, date du Campanien 3, une alternance de marnes à glauconie et de calcaires crayo-marneux jaunâtres. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs: sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille «no806 - Bergerac» de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].
Carte géologique de Saint-Félix-de-Villadeix.
Légende de la carte géologique.
Ère
Période
Époque
Formations géologiques
Cénozoïque (0 - 66.0)
Quaternaire (0 - 2.58)
Holocène
CFvs :
Formations superficielles: colluvions carbonatées de vallons secs: sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris
CF :
Formations superficielles: colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses de pentes et de vallons indifférenciés des terrains tertiaires et quaternaires, des terrains mésozoiques et de socle
Fy3-z :
Alluvions subactuelles à actuelles indifférenciées: argiles silteuses, argiles sableuses, argiles tourbeuses, sables argileux, sables fins à graviers (Pré-boréal à actuel)
Pléistocène
non présent
Néogène (2.58 - 23.03)
non présent
Paléogène (23.03 - 66.0)
non présent
Mésozoïque (66.0 - 252.17)
Crétacé (66.0 - ≃145.0)
Supérieur
Ac :
Altérites du Crétacé sup.: argiles kaoliniques, silteuses à sableuses, parfois rubéfiées, à gravier, à silex et chailles, avec apport local du Tertiaire (complexe des Doucins)
c5e :
Campanien 5: calcaires bioclastiques jaunâtres à rudistes, orbitoides media, Larrazetia, calcaires gréseux jaunes à grands silex versicolores, lumachelles à huîtres (Pycnodonte vesicularis) (formation d'Aubeterre, de Lalinde, de Couze)
c5d :
Campanien 4: calcaires crayo-marneux grisâtres et calcaires graveleux bioclastiques à orbitoides media et à lumachelles à huîtres (P. vesicularis) (formations de Barbezieux, de Lamonzie)
c5c :
Campanien 3: alternance de marnes à glauconie et calcaires crayo-marneux jaunâtres (formations de Biron et de Coursac), présence localement de niveaux de calcaires gréseux fins ocre à Larrazetia et tempestites (formation de Journiac)
inférieur
non présent.
Jurassique (≃145.0 - 201.3)
non présent
Trias (201.3 - 252.17)
non présent
Paléozoïque (252.17 - 541.0)
non présent
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 80 mètres et 210 mètres[5],[6].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[8]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[9].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 16,88 km2[5],[10],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 16,8 km2[3].
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[13]. Elle est drainée par la Louyre, le Caudeau, le ruisseau de Barbeyrol, la Ruchelle, et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 13 km de longueur totale[14],[15].
Le Caudeau, d'une longueur totale de 38,47 km, prend sa source dans la commune de Veyrines-de-Vergt et se jette dans la Dordogne en rive droite à Bergerac, juste en aval du barrage de Bergerac[16]. Il borde la commune au nord sur deux kilomètres et demi, face à Val de Louyre et Caudeau et Fouleix.
Son affluent la Ruchelle sert de limite naturelle au nord-est sur un kilomètre et demi, face à Clermont-de-Beauregard.
La Louyre, d'une longueur totale de 25,51 km, prend sa source dans la commune de Val de Louyre et Caudeau (territoire de l'ancienne commune de Cendrieux) et se jette dans le Caudeau en rive gauche sur la commune de Lamonzie-Montastruc[17]. Elle traverse la commune d'est en ouest sur quatre kilomètres dont 500 mètres en limite de Liorac-sur-Louyre.
Son affluent le ruisseau de Barbeyrol marque la limite territoriale au sud sur plus de deux kilomètres et demi, face à Saint-Marcel-du-Périgord.
Le lavoir sur la Louyre.
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Félix-de-Villadeix.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) «Dordogne Atlantique». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[20]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[21].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[20]
Moyenne annuelle de température: 12,5°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,1 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 8,6 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,1 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,5 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[24] complétée par des études régionales[25] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Bergerac», sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988[26] et qui se trouve à 18 km à vol d'oiseau[27],[Note 6], où la température moyenne annuelle évolue de 13,2°C pour la période 1971-2000[28], à 13,1°C pour 1981-2010[29], puis à 13,3°C pour 1991-2020[30].
Urbanisme
Typologie
Saint-Félix-de-Villadeix est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[31],[32],[33].
La commune est en outre hors attraction des villes[34],[35].
Occupation des sols
En 2006, au niveau communal, les sols se répartissaient de la façon suivante: 52,9% de territoires agricoles, 45,8% de forêts ou de milieux semi-naturels et 1,2% de territoires artificialisés[36].
Prévention des risques
Le territoire de la commune de Saint-Félix-de-Villadeix est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, et le risque industriel[37]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[38].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Caudeau et la Louyre. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999[39],[37]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la «vallée du Caudeau», couvrant 14 communes et approuvé le , pour les crues du Caudeau[40],[41].
Saint-Félix-de-Villadeix est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées: interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[42]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[43],[44].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Félix-de-Villadeix.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[45]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[46]. 57% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6% au niveau départemental et 48,5% au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[47].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[37].
Risque technologique
La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO, classée seuil bas: Aquitab SAS, dont l’activité de fabrication de pastilles de chloration pour piscine est soumise à autorisation du fait de l’utilisation de produits toxiques et de substances comburantes, susceptibles de produire desdégagements de vapeurs toxiques[48]
Toponymie
En occitan la commune se nomme Sent Feliç de Viladés[49].
Histoire
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À la suite de découvertes répétées de tessons de poteries, de verre, de monnaies et de clous forgés, par un agriculteur après les labours, l'archéologue Christian Chevillot, avisé en 2014, confirme après des fouilles, que le site était une agglomération du IIIesiècleav. J.-C. qui s'étendait sur 20 à 30hectares[50],[51]. La présence d'une voie gauloise et les tessons d'un masque étrusque de Silène, découvert à l’emplacement d'un sanctuaire, attestent de l'ampleur possible des échanges dès cette époque[52]
La commune porta, au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), le nom de Félix Viladeix[5].
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune de Saint-Félix-de-Villadeix a, dès 1790, été rattachée au canton de Liorac qui dépendait du district de Bergerac. En 1800, le canton de Liorac est supprimé, de même que les districts, et la commune est rattachée au canton de Lalinde dépendant de l'arrondissement de Bergerac[5].
Intercommunalité
En 2002, Saint-Félix-de-Villadeix intègre la communauté de communes Entre Dordogne et Louyre. Cette structure intercommunale fusionne avec quatre autres pour former au 1er janvier 2013 la communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[53],[54].
Dans le domaine judiciaire, Saint-Félix-de-Villadeix relève[57]:
du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Bergerac;
de la cour d'appel de Bordeaux.
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
Les habitants de Saint-Félix-de-Villadeix se nomment les Saint-Féliciens[58].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[59]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[60].
En 2019, la commune comptait 327 habitants[Note 9], en augmentation de 10,47% par rapport à 2013 (Dordogne: −0,88%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
774
581
525
620
645
733
730
789
745
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
739
683
662
599
597
578
588
559
539
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
527
521
504
357
322
324
327
315
272
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
280
233
245
266
286
286
305
308
298
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
327
327
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[61].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Emploi
En 2015[62], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 119 personnes, soit 40,1% de la population municipale. Le nombre de chômeurs (seize) a augmenté par rapport à 2010 (quatorze) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 13,5%.
Établissements
Au , la commune compte trente-quatre établissements[63], dont douze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, neuf au niveau des commerces, transports ou services, six relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, quatre dans la construction, et trois dans l'industrie[64].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Motte féodale de La Palue.
Église Saint-Félix, romane du XIIesiècle, retouchée au XXesiècle.
Chapelle Saint-Nicolas, XVesiècle, dans le cimetière.
Chapelle des Frères de Saint-Gabriel de Lapeyrouse, ou La Peyrouse, édifiée en 1888 en style néo-roman par Alexandre Antoine Lambert, adjoint de Paul Abadie qui rénove la cathédrale Saint-Front de Périgueux[65]; c'est une reproduction miniature de la cathédrale Saint-Front de Périgueux[66].
Pigeonnier de Lavernelle.
Le clocher de l'église Saint-Félix.
La chapelle Saint-Nicolas dans le cimetière.
La chapelle de Lapeyrouse.
Le pigeonnier de Lavernelle.
Personnalités liées à la commune
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Héraldique
Blason
Écartelé au 1) de gueules aux trois lionceaux d’or, au 2) d’or aux trois arbres arrachés au naturel, au 3) d’or à la charrue de sable, au 4) de gueules au crosseron contourné d’or.
Ouvrage collectif sous la direction de Brigitte Delluc et Bernard Cougoul, préface de Gérard Fayolle, «La Peyrouse en Périgord, un site aux prises avec l'Histoire», Éditions Secrets de Pays, août 2022, (ISBN978-2-491344-14-6).
Articles connexes
Liste des communes de la Dordogne
Communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord
Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[11],[12]
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[22].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[23].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Hervé Chassain,«Une ville gauloise en Pays Lindois», Sud Ouest édition Dordogne, 25 juin 2018, p.11.
Hervé Chassain,«Sous les champs, une cité», Sud Ouest édition Dordogne, 15 mars 2019, p.13.
Christian Chevillot et Eneko Hiriart, Une importation étrusque chez les Pétrocores: le protomé de Silène du sanctuaire gaulois de La Peyrouse (Dordogne), vol.62, (ISBN979-10-90534-72-8, lire en ligne)
Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 10 septembre 2020.
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