Souillac (en occitanSolhac) est une commune française, située dans le nord du département du Lot, en région Occitanie.
Elle est également dans le causse de Martel, une région naturelle constituant le plus septentrional des quatre causses du Quercy, entre Limousin, vallées de la Tourmente et de la Dordogne.
Pour les articles homonymes, voir Souillac (homonymie).
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Dordogne, la Borrèze et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le bassin de la Dordogne, la commune possède un patrimoine naturel remarquable: un site Natura 2000 (la «vallée de la Dordogne quercynoise»), un espace protégé (le «cours lotois de la Dordogne») et cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Souillac est une commune rurale qui compte 3 201 habitants en 2019. Elle est ville-centre de l'agglomération de Souillac et fait partie de l'aire d'attraction de Souillac. Ses habitants sont appelés les Souillagais ou Souillagaises.
Depuis 2009, des démarches sont en cours pour changer son nom en Souillac-sur-Dordogne[1].
Géographie
Souillac est une commune du nord du département du Lot, dans l'ancienne province du Quercy. Elle fait partie de l'unité urbaine de Souillac et de son aire urbaine. C'est une petite ville commerçante et touristique au centre d'une région fertile qui contraste par sa richesse avec la pauvreté des causses de Martel et de Gramat.
Communes limitrophes
La commune est limitrophe du département de la Dordogne à l'ouest[2]..
Carte de la commune de Souillac et des proches communes.
Communications et transports
La commune est située sur la route départementale D 820 (ancienne RN 20), à 63 kilomètres au nord de Cahors, et 37 kilomètres au sud de Brive-la-Gaillarde (Corrèze). Elle est également accessible par l'autoroute A20 (sortie no55 sur la commune ) et par la SNCF Gare de Souillac.
Le sentier de grande randonnée GR 6 passe par Souillac, reliant Rocamadour au sud-est et Sarlat à l'ouest.
Une liaison routière Transpérigord existe également ; elle relie Sarlat à Souillac avec 3 allers-retours par jour, 4 pendant les grandes vacances.
Hydrographie
Souillac est située dans la vallée de la Dordogne, dont le cours délimite la ville au sud. Un autre cours d'eau, la Borrèze, traverse le centre-ville.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]
Moyenne annuelle de température: 12,9°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,5 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 10,4 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,3 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,9 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Prats de Carlux», sur la commune de Prats-de-Carlux, mise en service en 1984[8] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,4°C et la hauteur de précipitations de 908,3 mm pour la période 1981-2010[10].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Gourdon», sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 20 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,4°C pour la période 1971-2000[12], à 12,7°C pour 1981-2010[13], puis à 13,1°C pour 1991-2020[14].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[15],[16].
La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 24 000 km2 reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[17],[18].
Un autre espace protégé est présent sur la commune:
le «cours lotois de la Dordogne», objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 569,6ha[19].
Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats: la «vallée de la Dordogne quercynoise»[21], d'une superficie de 5 567ha, qui présente des milieux aquatiques d'intérêt majeur et de un important éventail des milieux alluviaux qui abritent, outre un nombre significatif d'espèces de l'annexe II, de nombreuses espèces localisées à rares aux niveaux régional ou national[22].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Quatre ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[23]:
les «grottes de la Forge et environs» (170ha), couvrant trois communes: Salignac-Eyvigues en Dordogne ainsi que Lachapelle-Auzac et Souillac dans le Lot[24],[25]; environ la moitié orientale de ce site se situe sur Souillac, comme le montre la carte du site[26]. Trois espèces déterminantes de chauves-souris et quatre de plantes phanérogames y ont été répertoriées[24];
«la Dordogne quercynoise» (2 081ha), couvrant 24 communes dont deux en Corrèze, deux en Dordogne et vingt dans le Lot[27], qui comprend de nombreuses espèces déterminantes (soixante-six animales et cinquante végétales);
le «marais et pelouses de Lamothe-Timbergue» (41ha), couvrant 2 communes du département[28];
la «vallée du Blagour» (252ha), couvrant 2 communes du département[29];
et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[23]:
la «vallée de la Dordogne quercynoise» (8 758ha), couvrant 28 communes[Note 7]: deux en Corrèze, deux en Dordogne et vingt-quatre dans le Lot[30].
Souillac n'est pas mentionnée parmi les communes faisant partie de la ZNIEFF de type 2 «secteur forestier de Borrèze»[31]. Cependant, près de 80 hectares dans le sud-ouest et dans le nord de la commune —notamment près des lieux-dits Bourzolles et la Forge— en font néanmoins partie, comme le montre la carte du site[32].
Cartes des ZNIEFF de type 1 et 2 à Souillac.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Souillac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[33],[I 1],[34].
Elle appartient à l'unité urbaine de Souillac, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[I 2] et 4 076 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[I 3],[I 4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Souillac, dont elle est la commune-centre[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 5],[I 6].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65,2% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (65,1%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (63,2%), zones urbanisées (10,9%), zones agricoles hétérogènes (9,2%), prairies (8,3%), terres arables (2,9%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,3%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2%), eaux continentales[Note 10] (1,2%)[35].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Souillac est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[36]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[37].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dordogne et la Borrèze. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[38]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 1993, 1996, 1999 et 2021[39],[36].
Souillac est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature
de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[40].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Souillac.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des éboulements, chutes de pierres et de blocs et des tassements différentiels[41]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[42].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 40,7% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,7% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 1 434 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 965 sont en en aléa moyen ou fort, soit 67%, à comparer aux 72% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[43],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[42].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2017, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[36].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic et une ligne de chemin de fer. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[44].
La commune est en outre située en aval des barrages de Saint-Étienne-Cantalès et de Bort-les-Orgues, des ouvrages de classe A[Note 11] disposant d'une retenue de respectivement 133 millions[46] et 477 millions de mètres cubes[47],. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[48].
Toponymie
Le toponyme Souillac, en occitanSolhac, d'origine gallo-romaine, est basé sur un anthroponyme Solius. La terminaison -ac est issue du suffixe gaulois-acon (lui-même du celtique commun *-āko-), souvent latinisé en -acum dans les textes. C'est le domaine de Solius[49].
Durant la Révolution, la commune porte le nom de Trente-un-Mai[50].
Ses habitants sont les Souillagais.
Histoire
Préhistoire
L'Igue du Lion, ou aven du Lion, est découvert en 1997 à l'occasion de travaux sur l'autoroute[51]. Il a livré le squelette d'une lionne des cavernes[52] de moins de deux ans[53], morte à cet endroit peu avant que la cavité devienne inaccessible, ce qui a préservé les vestiges du lion sans interférence extérieure, pas même celle d'animaux fouisseurs[51]. Les caractères morphologiques de cet animal le rapprochent de l'espèce actuelle[52]. L'intérêt de cette découverte est en rapport avec le très petit nombre d'individus entiers retrouvés: lion de Cajarc (Lot) découvert en 1892, lion de Montmaurin (Haute-Garonne) découvert en 1956, lion de la grotte de Foissac (Aveyron) découvert en 1965 (conservé in situ), et les lions de l'Igue des Rameaux à Saint-Antonin-Noble-Val (Tarn-et-Garonne)[53].
Le gisement de Bramefond se trouve au lieu-dit du même nom, entre l'autoroute et le bourg, à environ 2,2 km de la rive droite de la Dordogne[2]. Il a été découvert en même temps que l'aven du Lion[52] par N. Constans, lors du décaissement les assises calcaires de l'autoroute après les évaluations et sondages archéologiques systématiques[54]. En partie détruit depuis sa découverte, c'est une fissure remplie d'une sédimentation détritique. La faune de son remplissage est dominée par les grands herbivores: cheval, boviné[52] (17 restes de bison et 228 restes d'aurochs)[54], renne, cerf (Cervus Cervus simplicidens) et rhinocéros laineux (Coelodonta antiquitatis). La présence de Equus caballus germanicus associé à Cervus Cervus simplicidens date le site au stade isotopique 5. Une datation par ESR sur dent et une autre datation par U/Th sur plancher stalagmitique indiquent le sous-stade isotopique 5b[52] (82 à 87 ka).
Moyen Âge
Au XIIIesiècle, Souillac grandit autour d'une abbaye dépendant du monastère bénédictin d'Aurillac (Cantal). Quand les Bénédictins s'installent dans la plaine de Souillès, ainsi nommée d'un mot local "souilh" signifiant "lieu boueux et marécageux où se vautraient les sangliers"[55], ils remplacent une communauté fondée à cet endroit par Saint Eloi[56]. Les moines assèchent sans relâche et transforment le marécage en un riche domaine. Plusieurs fois ruinée et saccagée par les Anglais au cours de la guerre de Cent Ans, Souillac se relève grâce à la ténacité des abbés, mais les guerres de religion lui causent encore de plus grands désastres: en 1562, des bandes protestantes pillent le monastère: dix ans plus tard, les bâtiments conventuels sont la proie des flammes, seule l'église abbatiale, bien protégée par ses coupoles, échappe à l'incendie[57].
XVIIIesiècle
Entre 1795 et 1800, La commune absorbe celle voisine de Saint-Étienne-Lacombe, peuplée de 218 habitants au recensement de 1793[58].
XIXesiècle
Entre 1801 et 1806, elle absorbe la commune voisine de Bourzoles[50], peuplée de 87 habitants au recensement de 1800[59],[60].
En 1819, la commune de Beaurepos, peuplée de 202 habitants au recensement de 1800[59], qui faisait partie du département de la Dordogne est rattachée à celui du Lot et fusionne avec Souillac[50],[61].
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2014 dans le Lot.
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En 2003, Souillac était récompensée par une fleur au palmarès du concours des villes et villages fleuris[64].
Jumelages
Souillac(Maurice).
Auparavant, Souillac avait été jumelée avec Denny(Royaume-Uni), jusqu'à la disparition de la commune écossaise dans une fusion administrative au début des années 2000[65].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[66]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[67].
En 2019, la commune comptait 3 201 habitants[Note 12], en diminution de 8,31% par rapport à 2013 (Lot: +0,19%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 306
1 567
1 432
2 603
3 096
3 046
3 087
3 076
3 248
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
3 280
3 128
3 100
3 115
3 110
3 586
3 627
3 218
3 069
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
3 154
2 881
2 761
2 461
2 501
2 513
2 643
3 009
2 907
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
3 209
3 630
3 845
3 570
3 459
3 671
3 898
3 970
3 864
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
3 366
3 201
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[68].)
Lycée Louis-Vicat: enseignement général, technologique et professionnel du BEP/CAP au Bac pro et BTS (construction, menuiserie, énergétique [clim], génie civil)
Lycée des métiers hôteliers Quercy-Périgord
Collège du Puy d’Alon
École de musique
Sports
Club de rugby à XV, l'Union sportive Souillagaise, qui évolue en championnat Honneur du comité Limousin.
Lieu de passage du Sentier de grande randonnée GR 6.
Culture et manifestations
Souillac accueille depuis 1976 un festival de jazz qui est désormais nommé Festival Sim Copans.
Le Musée de l'automate de Souillac organisait chaque année un festival du mime automate.
Créée en 2003, l'Heure d'Orgue est une animation estivale (concerts) autour de l'orgue Stoltz (MH) de l'abbatiale.
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 1 547 ménages fiscaux[Note 13], regroupant 2 798 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 800 €[I 7] (20 740 € dans le département[I 8]). 37% des ménages fiscaux sont imposés[Note 14] (44,9% dans le département).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 758 personnes, parmi lesquelles on compte 68,6% d'actifs (53,7% ayant un emploi et 14,9% de chômeurs) et 31,4% d'inactifs[Note 15],[I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune est la commune-centre de l'aire d'attraction de Souillac[Carte 3],[I 12]. Elle compte 2 205 emplois en 2018, contre 2 415 en 2013 et 2 674 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 971, soit un indicateur de concentration d'emploi de 227,1% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 43,7%[I 13].
Sur ces 971 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 627 travaillent dans la commune, soit 65% des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 74,7% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,1% les transports en commun, 17,7% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,5% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
458 établissements[Note 16] sont implantés à Souillac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 17],[I 16].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
458
100%
(100%)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
40
8,7%
(14%)
Construction
39
8,5%
(13,9%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
173
37,8%
(29,9%)
Information et communication
8
1,7%
(1,8%)
Activités financières et d'assurance
18
3,9%
(2,8%)
Activités immobilières
27
5,9%
(3,5%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
61
13,3%
(13,5%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
56
12,2%
(12%)
Autres activités de services
36
7,9%
(8,7%)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 37,8 % du nombre total d'établissements de la commune (173 sur les 458 entreprises implantées à Souillac), contre 29,9% au niveau départemental[I 17].
Entreprises et commerces
Les entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[73]:
G.Pivaudran, métallurgie pour le packaging de luxe (19 000 k€) détentrice du label EPV «Entreprise du Patrimoine Vivant» et sélectionné dans le cadre du dispositif France Relance et Territoires d’Industrie depuis 2020[74];
Val-Causse Distribution, commerce de gros (commerce interentreprises) de céréales, de tabac non manufacturé, de semences et d'aliments pour le bétail (11 592 k€);
Traitements Informatiq Professionnel S O - Tipso, autres activités de soutien aux entreprises n.c.a. (2 746 k€);
Albareil, installation de machines et équipements mécaniques (cuisines professionnelles[75]) (1 956 k€);
S46, activités des agences de travail temporaire (enseigne Temporis) (917 k€).
Agriculture
La commune est dans la vallée de la Dordogne», dans une petite région agricole occupant une petite partie (7 communes) du nord du territoire du département du Lot[76]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 18] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 39 lors du recensement agricole de 1988[Note 20] à 24 en 2000 puis à 16 en 2010[78] et enfin à 11 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 72% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60% de ses exploitations[79],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 365 ha en 1988 à 119 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 9 à 11 ha[78].
Cité de la mode et des arts créatifs
Initié en 2017, un gigantesque projet de construction d'une «Cité de la Mode et du Luxe» vise a redynamiser le territoire en créant un ensemble immobilier de 30 hectares, constitué d'une centaine de magasins, un centre de formation, des restaurants haut de gamme et un hôtel 5 étoiles; le tout représentant un investissement de plus de 130 millions d'euros. Toutefois, le projet est critiqué[80] pour son aspect «pharaonique» et ses conséquences économiques[81] et environnementales.
En , dans un contexte de crise économique liée à la pandémie de Covid-19, les prétentions du projet sont revues à la baisse[82],[83]
Lors du conseil communautaire du , le projet, jugé irréaliste, est finalement déclaré abandonné par la collectivité Causse et Vallée de la Dordogne, faute d'investisseurs[84],[85].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Sainte-Marie de Souillac et anciens bâtiments conventuels attenants.Le beffroi.Enseigne animée.
La halleLe viaduc de la Borrèze vue de SouillacLes bâtiments de l'abbaye Sainte-Marie, rebâtis aux XVIIeetXVIIIesiècles, inscrits le au titre des monuments historiques[86].
L'église abbatiale Sainte-Marie de Souillac du XIIesiècle, classée en 1840 au titre des monuments historiques[87]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy[87]. Elle possède un orgue de tribune Stoltz, dont la partie instrumentale datant de 1850[88] a été classée le au titre des monuments historiques[89]. Il a été restauré en 1988[88], puis en 2017[90], par le facteur d'orgues Daniel Birouste. Son organiste titulaire est Christophe Loiseleur Des Longchamps depuis 1991[91].
l'ancienne église Saint-Martin et son beffroi, classée en 1925 au titre des monuments historiques[92].
Dolmen Laval, également appelé Tumulus Laval: Classé MH(1984) Notice noPA00095264 44° 54′ 57″ N, 1° 27′ 17″ E
Le Pont Louis-Vicat, le premier au monde utilisant du ciment artificiel[Note 21].
Les berges de la Dordogne romantiques et réputées.
Le viaduc de la Borrèze, aussi surnommé viaduc des Aubugues, du nom du quartier qu'il surplombe, construit de 1881 à 1885 au-dessus de la Borrèze, inscrit le au titre des monuments historiques[93]. Il est le plus long des sept ouvrages ferroviaires (avec le viaduc du Sorbier, le viaduc du Boulet, le viaduc des Marjaudes, le viaduc de Présignac, le viaduc de Lamothe et le viaduc de Bramefond) qui ont valu à Souillac son surnom de Ville aux sept viaducs[94].
Le musée de l'automate. Il abrite notamment une collection de plus de 300 automates et jouets mécaniques des XIXeetXXesiècles d'une des maisons les plus importantes dans le domaine: la maison Roullet-Decamps[95].
Autour de ce musée fut constitué un parcours d'enseignes animées dans les rues de la ville, réalisées pour la plupart par un ferronnier d'art local.
La halle construite de 1832 à 1836, inscrite en 2004 au titre des monuments historiques[96].
Ateliers d'artistes.
L'ancienne chapelle Notre-Dame du Port, détruite pour la construction du pont Louis-Vicat.
Chapelle Saint-Étienne Lacombe de Custals.
Église de Bourzolles. Alors qu'elle devait être rasée, l'église est vendue par la ville de Souillac à Étienne Cluzel, un passionné des vieilles pierres, qui l'a restaurée, en compagnie de proches[97].
Personnalités liées à la commune
Jacques Auriac (1922-2003), peintre affichiste, citoyen d'honneur.
Jean Bessonias, capitaine protestant.
Pierre Betz, fondateur de la revue Le Point à Souillac qui reproduisit les premières photos de Robert Doisneau.
Marcelle Cahen-Bergerol (1900-1989), artiste peintre, membre de la Société des arts en Quercy, résida à Souillac.
Roger Couderc (1918-1984), journaliste sportif, spécialiste du rugby né à Souillac.
Jean Deltheil (1795-1871), homme politique, né à Souillac.
Marguerite Grépon (1891-1982), poétesse et diariste française féministe.
Louis Malvy (1875-1949), homme politique, ministre de l'Intérieur de 1914 à 1917 et en 1926, maire de Souillac de 1929 à 1940.
Edmond Massaud (1908-2000), homme politique mort à Souillac.
Jacques Merquey (1929-), joueur de l'équipe de France de rugby à XV, est né à Souillac.
Raymond de Verninac Saint-Maur, marin, commandant du Louxor qui transporta l'obélisque offert par l'Égypte à la France, ministre de la marine.
Louis Vicat, inventeur du ciment artificiel, qui construisit le pont Louis-Vicat, premier au monde en ciment artificiel.
René Yronde (1915-2003), chroniqueur local, instituteur et journaliste.
Héraldique
Les armes de Souillac se blasonnent ainsi: D'or au chevron d'azur, accompagné en pointe d'une hure de sanglier de gueules, allumée et défendue d'argent.
Marguerite Vidal (conservateur des musées de Moissac), Jean Maury (agrégé de l'université), Jean Porcher (conservateur en chef du cabinet des manuscrits à la Bibliothèque nationale) et Jean Dieuzaide (photographies), Quercy roman, La Pierre-Qui-Vire (Yonne), éditions Zodiaque, coll.«La nuit des temps» (no10), , 342p. (ISSN0768-0937, OCLC77369786, BNF33215348, SUDOC007394829, présentation en ligne), p.251-287.
[Pons 1923] P. Pons, Souillac et ses environs, Aurillac, Imprimerie de La Liberté, .
[Astruc et al. 1995] Jean G. Astruc, René Cubaynes (terrains liasiques), Jean-Paul Fabre (hydrogéologie karstique du causse de Martel), Jacques Galharague (substances minérales exploitées en carrières), Andrée Lefavrais-Raymond (terrains liasiques et itinéraire d'excursion géologique), Raymond Marcouly (chapitres «Sols, végétation et cultures» et «Pédologie»), Thierry Pélissié (terrains dû Jurassique moyen-supérieur), Jacques Rey (stratigraphie séquentielle du Jurassique), Régine Simon-Coinçon (terrains crétacés et tertiaires) et Alain Turq (préhistoire et archéologie), Notice explicative de la carte géologique à e no809 «Souillac», Orléans, (ISBN2-7159-1809-7, BNF40846306, lire en ligne [PDF] sur ficheinfoterre.brgm.fr).
Jacques Reix, Gabariers et bateliers de la Dordogne, Fanlac, 2003.
Souillac dans la littérature française
Denis Tillinac, Le Bonheur à Souillac, Paris, éd. R. Laffont, .
Articles connexes
Liste des communes du Lot
Généralité de Montauban
Ligne Souillac - Viescamp-sous-Jallès
District de Saint-Céré
Sentier de grande randonnée GR 6
Ancienne Chapelle de Notre-Dame du Port (Souillac)
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[20].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Pour cette ZNIEFF, l'INPN compte 30 communes dont trois en Corrèze et 25 dans le Lot mais le territoire de la ZNIEFF ne fait que tangenter ceux d'Altillac en Corrèze et de Puybrun dans le Lot, comme le montre la carte du site.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Le classement des barrages est fonction de deux paramètres: hauteur et volume retenu[45].
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[77].
Le pont est en pierre. C'est pour réaliser la surface des fondations superficielles des piles que Louis Vicat a fait des recherches sur les ciments qui lui ont permis la mise au point des ciments artificiels. Le pont permet le franchissement de la Dordogne par la route de Paris à Toulouse par Montauban - Archim: Atlas Trudaine «Partie de la route de Paris à Toulouse depuis Souillac jusqu'à Montauban».
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Odile Le Gall, «Souillac deviendra-t-elle Souillac-sur- Dordogne?», La Dépêche du Midi, (lire en ligne)
«Souillac, carte interactive» sur Géoportail. Couches «Cartes IGN classiques», «Limites administratives» et «Hydrographie» activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Carte de la ZNIEFF 730030315, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre «Couches disponibles», barrer d'abord la couche «Orthophotos» avant de cliquer sur «Fonds de cartes», puis sur la couche «Fonds Cartographique IGN».
Carte de la ZNIEFF 720008196, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre «Couches disponibles», barrer d'abord la couche «Orthophotos» avant de cliquer sur «Fonds de cartes», puis sur la couche «Fonds Cartographique IGN».
[Bazalgues 2002] Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127p. (ISBN2-910540-16-2), p.124.
[Brugal et al. 2013] Marie-Pierre Coumont, Jean-Philip Brugal, Jean-Christophe Castel, Sandrine Costamagno, Jacques Jaubert et Vincent Mourre, «Chap. 7: Les avens-pièges à faible indice de fréquentations humaines: caractérisation paléo-écologique, taphonomique et anthropologique» (Actes de la session C67, XVe Congrès mondial de l'UISPP, Lisbonne, sept. 2006), Paléo, nosuppl. 4 «Modalité d'occupation et exploitation des milieux au Paléolithique dans le Sud-Ouest de la France: l'exemple du Quercy», , p.181-196 (lire en ligne[sur academia.edu], consulté le ), p.183.
[Costamagno et al. 1998(a)] Sandrine Costamagno, Francis Duranthon et François Rouzaud, «L'Igue du lion à Bramefond (Autoroute A20, section 4, Brive-Souillac, Souillac, Lot)» (Séances de la SPF Toulouse, 28 mars 1998 - Résumé de communication), Bulletin de la Société préhistorique française, vol.95, no3, , p.427 (lire en ligne[sur persee]).
[Costamagno et al. 1998(b)] Sandrine Costamagno, Serge Vigier, Jean-Guy Astruc et Monique Drieux, «Le gisement paléontologique de Bramefond (Autoroute A20, section 4, Brive-Souillac, Souillac, Lot)» (Séances de la SPF Toulouse, 28 mars 1998 - Résumé de communication), Bulletin de la Société préhistorique française, vol.95, no3, , p.425-426 (lire en ligne[sur persee]).
Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, «Notice communale: Beaurepos», sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, «Notice communale: Bourzoles», sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
Les Amis du Vieux Souillac, «Quand Présignac s'appelait Beaurepos», De Chanterane à Barnicou, no39, 1998-2001 (ISSN0762-3461).
Laetitia Bertoni, «La Cité de la mode reste d'actualité à Souillac, mais le projet pourrait être revu», La Dépêche du Midi, (lire en ligne, consulté le ).
Laetitia Bertoni, «Pour le nouveau président de Cauvaldor la Cité de la mode représente une prise de risque financier exorbitante», La Dépêche du Midi (édition Lot), (lire en ligne, consulté le ).
«Fin de la Cité de la mode et des arts créatifs de Souillac et annonce d'un nouveau projet», La Vie Quercynoise/actuLot, (lire en ligne).
Laetitia Bertoni, «Souillac: coup d'arrêt pour la Cité de la mode et des arts créatifs», La Dépêche du Midi (édition Lot), (lire en ligne).
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