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Aurillac (/o.ʁi.jak/ ; en occitan : Orlhac[1]) est une ville française située au centre du Massif central, dans le département du Cantal dont elle est la préfecture, en région administrative Auvergne-Rhône-Alpes.

Aurillac
De haut en bas : l'hôtel de ville d'Aurillac ; vue aérienne du grand-centre de la ville.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Cantal
(préfecture)
Arrondissement Aurillac
(chef-lieu)
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Bassin d'Aurillac
(siège)
Maire
Mandat
Pierre Mathonier (PS)
2020-2026
Code postal 15000
Code commune 15014
Démographie
Gentilé Aurillacois
Population
municipale
25 593 hab. (2019 )
Densité 890 hab./km2
Population
agglomération
33 121 hab. (2019)
Géographie
Coordonnées 44° 55′ 34″ nord, 2° 26′ 26″ est
Altitude Min. 573 m
Max. 867 m
Superficie 28,76 km2
Unité urbaine Aurillac
(ville-centre)
Aire d'attraction Aurillac
(commune-centre)
Élections
Départementales Cantons d'Aurillac-1, Aurillac-2 et Aurillac-3
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Aurillac
Géolocalisation sur la carte : France
Aurillac
Géolocalisation sur la carte : Cantal
Aurillac
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Aurillac
Liens
Site web aurillac.fr

    Le siège épiscopal se trouve, quant à lui à Saint-Flour.


    Géographie



    Localisation


    Article détaillé : Cantal (département).

    À une moyenne de 680 mètres d'altitude, Aurillac est située au pied des monts du Cantal dans un petit bassin sédimentaire. Le « bassin d'Aurillac » se situe à l'intersection de plusieurs unités paysagères : à l'est, le massif cantallien composé d'une zone sommitale, en situation supra-forestière (hautes estives coiffées des crêtes qui constituent l’ossature et le centre géographique du massif), et d'un plateau entaillé par deux vallées qui débouchent toutes deux dans le bassin, la vallée de la Cère et de la Jordanne. Les vallées et gorges de la Cère traversent le bassin d'est en ouest. Au sud-ouest, la région est bordée par le plateau volcanique de Carladès et au sud par le plateau de la châtaigneraie cantalienne qui correspond à un socle cristallin[2].

    La ville est construite sur les rives de la Jordanne, affluent de la Cère qui coule à proximité.

    Communes limitrophes d’Aurillac
    Naucelles Saint-Simon
    Ytrac Giou-de-Mamou
    Arpajon-sur-Cère

    Géologie et relief


    Butte-témoin calcaire boisée à la sortie de la ville à l'est.
    Butte-témoin calcaire boisée à la sortie de la ville à l'est.

    Comme la Limagne, le bassin d'Aurillac est un fossé tectonique de subsidence qui apparaît à l'oligocène lorsque le socle granitique se disloque en contrecoup du plissement alpin. Il est comblé de sédiments d'origine continentale : le remblaiement est successivement détritique (graviers, sables argileux, argiles issues principalement de l'altération de la chaîne hercynienne pénéplanée), saumâtre (marnes), puis lacustre (calcaires)[3]. Les formations sédimentaires de ce bassin sont principalement des argiles sableuses sur lesquelles peuvent affleurer des calcaires, témoins de l'avancée marine oligocène (butte témoin de Puy de Careizac[4]). Le Nord-Ouest du bassin est recouvert partiellement par un complexe de brèches volcaniques non stratifiées qui résulte des phases explosives (datées d'environ 8 millions d'années) liées à la mise en place du volcan cantalien. D'autres phases, parfois plus spectaculaires peuvent se lire et s'interpréter à partir des points les plus hauts de cette partie nord-ouest[5].


    Climat


    Article détaillé : Données climatiques d'Aurillac.

    Le climat est de type océanique dégradé. Ce climat se situant à l’est du climat océanique, l’influence océanique est encore perceptible (pluviométrie supérieure à 1 200 mm d'eau par an), mais dû à l’éloignement de la côte, il est dégradé par un climat montagnard modéré (températures hivernales parfois basses, précipitations neigeuses plus abondantes qu'en plaine), d'où la palette des milieux présents et la transition de deux étages de végétations (océanique et montagnard) avec des plantes indicatrices pour chacun d'eux, répertoriées dans des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[5]. Réputée pour être une ville fraîche le matin, Aurillac se classe en 17e position des villes les plus ensoleillées de France. La cité d'Auvergne a connu 2 084 heures de soleil en moyenne par an entre 1970 et 2000. De par sa position géographique, Aurillac est bien souvent la seule ville de montagne présentée régulièrement sur les cartes météorologiques nationales. Située au pied des monts du Cantal, son altitude de 640 mètres lui coûte environ 2 °C par rapport à une ville de plaine puisqu'en moyenne, on perd un degré tous les 150 mètres. Il n'en reste pas moins qu'en plein hiver, la température ne descend que rarement en dessous de −10 °C, avec une moyenne de 70 jours avec gel. Ce climat reste toutefois à comparer avec celui de Coteaux du Lizon dans le Jura qui reste une des villes les plus enneigées de France en dessous de 600 m.

    La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1945 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[6]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records AURILLAC (15) - alt : 632 m 44° 53′ 24″ N, 2° 25′ 06″ E
    Records établis sur la période du 01-08-1945 au 12-09-2022
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) −1 −0,8 1,3 3,4 7,3 10,1 12,2 11,9 8,9 6,7 2,3 −0,2 5,2
    Température moyenne (°C) 2,9 3,6 6,2 8,5 12,6 15,8 18,3 18 14,6 11,4 6,3 3,6 10,2
    Température maximale moyenne (°C) 6,7 7,9 11,2 13,7 17,8 21,5 24,3 24 20,3 16 10,4 7,5 15,1
    Record de froid (°C)
    date du record
    −24,5
    09.01.1985
    −18
    12.02.12
    −15,2
    05.03.1971
    −9,1
    12.04.1986
    −2,5
    05.05.1979
    0,1
    06.06.1989
    2,4
    03.07.1979
    0,7
    30.08.1986
    −2,9
    21.09.1977
    −8,1
    25.10.03
    −11,6
    30.11.1978
    −15,9
    24.12.01
    −24,5
    1985
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    19,6
    01.01.22
    23,3
    27.02.19
    23,5
    15.03.12
    26,5
    07.04.11
    29,2
    30.05.01
    38,1
    27.06.19
    38
    30.07.1983
    37,7
    04.08.03
    33,5
    12.09.22
    26,6
    02.10.11
    23,2
    06.11.1992
    20,7
    29.12.1983
    38,1
    2019
    Ensoleillement (h) 110 126,8 177,2 179,3 210,4 242,1 268 248,8 206,1 148,7 100,3 100 2 117,5
    Précipitations (mm) 91,7 83,2 84,7 115,5 118,4 88,7 67,1 84,2 109,3 114,3 108,7 108,2 1 174
    Source : « Fiche 15014004 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Urbanisme



    Typologie


    Aurillac est une commune urbaine[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Aurillac, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[I 1] et 33 121 habitants en 2019, dont elle est ville-centre[I 2],[I 3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Aurillac, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 85 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 4],[I 5].


    Occupation des sols


    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (62,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (44,5 %), zones urbanisées (26,5 %), zones agricoles hétérogènes (15,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (12 %), forêts (1,6 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].


    Lieux-dits, hameaux et écarts


    Le relief contraignant sur la partie nord et les réseaux d’infrastructures existants ont orienté l’urbanisation originelle. Un développement qui s’est d’abord fait selon un axe nord-est - sud-ouest dans les années 1980-1990, qui aujourd'hui forme un croissant sud–est, nord-ouest (suivant les voies de communication RN 120/RD 920)[2].


    Logement


    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 17 127, alors qu'il était de 16 952 en 2013 et de 16 662 en 2008[I 6].

    Parmi ces logements, 80,8 % étaient des résidences principales, 4,6 % des résidences secondaires et 14,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 29,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 70,7 % des appartements[I 7].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Aurillac en 2018 en comparaison avec celle du Cantal et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,6 %) inférieure à celle du département (20,4 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 48,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (49,2 % en 2013), contre 70,4 % pour le Cantal et 57,5 pour la France entière[I 8].

    Le logement à Aurillac en 2018.
    Typologie Aurillac[I 6] Cantal[I 9] France entière[I 10]
    Résidences principales (en %) 80,8 67,7 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 4,6 20,4 9,7
    Logements vacants (en %) 14,6 11,9 8,2

    Voies de communication et transports


    Article détaillé : gare d'Aurillac.
    Article détaillé : aéroport d'Aurillac.

    Par la route, la ville est desservie par la route nationale 122, qui relie l'autoroute A75 à Figeac.

    Par le rail, la gare d'Aurillac se situe sur la ligne de Figeac à Arvant et est desservie par des TER Auvergne-Rhône-Alpes qui se rendent vers Toulouse-Matabiau, Clermont-Ferrand et Brive-la-Gaillarde.

    L'aéroport d'Aurillac est relié à Paris-Orly par trois vols quotidiens par la compagnie aérienne Air France Hop.


    Toponymie


    Le nom de la localité est attesté sous les formes Aureliacus en 984[11]; Orlhac (sans date).

    Il s'agit d'une formation toponymique gallo-romaine composé du nom du propriétaire Aurelius[11], anthroponyme latin (ce qui ne signifie pas que le personnage est originaire d'Italie), suivi du suffixe -(i)acum[11], d’origine gauloise, marquant l'emplacement ou la propriété. Aurillac signifie « propriété d'Aurelius » ou « domaine d'Aurelius »[12].

    Le fanum d'Aron construit au Ier siècle et découvert en 1977 à Lescudillier, renforce cette hypothèse linguistique.

    Homonymie avec Orliac (Dordogne, Orlhac XIIIe siècle) ; Orly (Val-de-Marne, Aureliacum 774 - 780) dans le domaine d'oïl, etc.[11].

    La ville se nomme Orlhac en occitan aurillacois.


    Histoire


    On peut penser qu'à l'époque gauloise, le site régional primitif de la cité était sur les hauteurs qui dominent la ville à Saint-Jean-de-Dône (« Dône » = dunum) et que, comme la plupart des oppida, il a été abandonné après la conquête romaine au profit d'une ville nouvelle établie dans la plaine. Avec le retour de l'insécurité du Bas-Empire, on assiste au mouvement d'enchâtellement : un nouveau site fortifié est établi à mi-pente entre l'ancien oppidum et l'ancienne ville gallo-romaine, là où se trouve aujourd'hui le château Saint-Étienne.

    L'histoire de la ville n'est réellement connue qu'à partir de 856, année de naissance du comte Géraud d'Aurillac, au château dont son père, nommé aussi Géraud, était le seigneur. Vers 885, celui-ci fonde une abbaye bénédictine qui portera plus tard son nom.

    C’est dans ce monastère, reconstruit au XIe siècle[13], qu’étudiera Gerbert[14], premier pape français sous le nom de Sylvestre II.

    La ville s’est constituée sur un territoire de sauveté qui est situé entre quatre croix et qui a été fondée en 898 par Géraud, peu après l'abbaye. De forme circulaire, la première unité urbaine s'est formée à proximité immédiate de l’abbaye d'Aurillac. Géraud meurt vers 910 mais son rayonnement est tel qu’au fil des siècles, Géraud est toujours resté un prénom de baptême répandu dans la population d'Aurillac et des environs.

    Aurillac. Maisons au bord de la Jordanne.
    Aurillac. Maisons au bord de la Jordanne.
    La Jordanne vue du Pont Rouge.
    La Jordanne vue du Pont Rouge.

    C’est au XIIIe siècle que l'on commence à bien connaître les coutumes municipales grâce à un conflit entre les consuls et les abbés. Après la prise du château Saint-Étienne en 1255 et deux sentences arbitrales appelées les Paix d'Aurillac, les relations se normaliseront.

    Aux XIIIe et XIVe siècles, Aurillac soutient plusieurs sièges contre les Anglais et au XVIe siècle, continue à subir les guerres civiles et religieuses.

    L'influence de l'abbaye décline avec sa sécularisation et sa mise en commende.

    En 1569, la ville est livrée par trahison aux protestants, les habitants torturés, rançonnés et l'abbaye saccagée. Toute sa bibliothèque et toutes ses archives sont brûlées.

    Avant la Révolution, Aurillac abrite un présidial et porte le titre de capitale de la Haute-Auvergne. En 1794, après une période d'alternance avec Saint-Flour, Aurillac devient définitivement le chef-lieu du Cantal.

    C’est l'arrivée de la voie ferrée, en 1866, qui accélère le développement de la cité.

    Au premier recensement, en 1759, Aurillac comptait 6 268 habitants, elle en compte aujourd'hui environ 25 000.


    Politique et administration



    Administration municipale


    Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 20 000 habitants et 29 999 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de trente cinq[15].


    Rattachements administratifs et électoraux


    Aurillac est chef-lieu du département du Cantal (siège de la préfecture), de l'arrondissement d'Aurillac de la communauté d'agglomération du Bassin d'Aurillac et bureau centralisateur de trois cantons depuis le redécoupage cantonal de 2014 :


    Tendances politiques et résultats


    Article détaillé : Élections municipales de 2020 dans le Cantal.

    Récapitulatif de résultats électoraux récents

    Scrutin 1er tour 2d tour
    1er % 2e % 3e % 4e % 1er % 2e % 3e %
    Municipales 2014 PS 51,05 UMP 40,50 DVG 8,43 Pas de 4e Pas de 2d tour
    Européennes 2014[16] PS 23,21 UMP 22,37 FN 14,87 UDI 10,80 Tour unique
    Régionales 2015[17] LR 34,69 PS 31,39 FN 14,14 PCF 7,38 PS 44,63 LR 43,36 FN 12,01
    Présidentielle 2017[18] EM 31,86 LFI 19,97 LR 19,24 FN 13,43 EM 78,10 FN 21,90 Pas de 3e
    Législatives 2017[19] LREM 39,35 LR 26,99 LFI 11,99 EELV-PS 7,11 LREM 54,19 LR 45,81 Pas de 3e
    Européennes 2019[20] LREM 25,48 RN 16,40 EELV 12,20 LR 10,91 Tour unique
    Municipales 2020[21] PS-PCF-EELV-MoDem 48,01 LR 42,35 MRSL-LREM 9,64 Pas de 4e PS-PCF-EELV-MoDem 59,24 LR-MRSL-LREM 40,75 Pas de 3e

    Liste des maires


    Article détaillé : Liste des maires d'Aurillac.

    Politique de développement durable


    La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2009[22].


    Budget et fiscalité 2015


    En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[23] :

    Avec les taux de fiscalité suivants :


    Jumelages


    Depuis 1972, Aurillac et sa voisine Arpajon-sur-Cère ont un comité de jumelage commun et sont conjointement jumelées avec :


    Préfecture et services départementaux


    Article détaillé : Cantal (département).

    Archives du Cantal

    Article détaillé : Archives départementales du Cantal.

    Équipements et services publics



    Enseignement


    Onze établissements d'enseignement supérieur[24] proposent des formations parfois atypiques ou d'intérêt national et international à quelque 1 500 étudiants[25] :

    La commune d'Aurillac possède deux antennes de l'université Clermont Auvergne dont les formations sont orientées dans le domaine de la biologie et comprend trois départements :

    La commune d'Aurillac accueille cinq grands lycées :

    De 1881 à 2015, Aurillac accueillait également l'Institution Saint-Eugène, un établissement catholique situé sur un terrain de 2,4 ha dont la chapelle avait été construite en 1886. Le bâtiment du lycée est classé monument historique, à la différence du collège. L'institution ferme en raison des lourds coûts qu'auraient impliqué une rénovation et les élèves sont repris par le groupe Gerbert[32].


    Santé


    La ville dispose d'un hôpital public : le centre hospitalier Henri-Mondor, du nom de l'homme de lettres et humaniste, qu'il porte depuis 1964. Il dispose d'un institut de formation en soins infirmiers, 2 IRM, 1 scanner, 1 plateau de coronarographie, un laboratoire central d’analyses médicales ainsi qu'un 1 héliSMUR[33].

    Avec un total de 892 lits au sein de l’hôpital, il est le premier employeur du Cantal dénombrant 1 800 emplois dont 150 médecins[34].

    Une clinique privée vient compléter l'offre de soin avec Centre médico-chirurgical de Tronquières - ELSAN . Cette clinique regroupe une cinquantaine de médecins spécialistes et une équipe de 350 personnes. Elle est équipée de 278 lits et postes d’hospitalisation conventionnelle et ambulatoire[35].


    Population et société



    Démographie



    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[36],[Note 3]

    En 2019, la commune comptait 25 593 habitants[Note 4], en diminution de 3,68 % par rapport à 2013 (Cantal : −1,59 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    10 47010 35710 5239 1909 76610 8899 7539 60910 917
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9 8469 83110 99811 09811 21113 72714 61315 82416 886
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    17 45917 77218 03616 38917 15317 64319 04122 17422 224
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    24 56328 22630 86330 96330 77330 55129 47727 33825 954
    2019 - - - - - - - -
    25 593--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,1 %, soit un taux supérieur à la moyenne départementale (27,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (32,6 %) est inférieur au taux départemental (35,5 %).

    En 2018, la commune comptait 11 794 hommes pour 13 737 femmes, soit un taux de 53,80 % de femmes, supérieur au taux départemental (51,13 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 11]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,5 
    90 ou +
    3,7 
    8,2 
    75-89 ans
    13,3 
    18,2 
    60-74 ans
    19,7 
    20,6 
    45-59 ans
    19,9 
    17,6 
    30-44 ans
    14,8 
    20,6 
    15-29 ans
    17,1 
    13,4 
    0-14 ans
    11,5 
    Pyramide des âges du département du Cantal en 2018 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,1 
    90 ou +
    2,8 
    9,9 
    75-89 ans
    13,8 
    21,8 
    60-74 ans
    21,4 
    22,4 
    45-59 ans
    20,9 
    16,5 
    30-44 ans
    15,5 
    13,7 
    15-29 ans
    11,9 
    14,6 
    0-14 ans
    13,7 

    Manifestations culturelles et festivités


    Le festival de théâtre de rue d'Aurillac.
    Le festival de théâtre de rue d'Aurillac.

    Sports et loisirs


    Tribune honneur du stade Jean-Alric, enceinte du Stade aurillacois.
    Tribune honneur du stade Jean-Alric, enceinte du Stade aurillacois.

    Le Stade aurillacois Cantal Auvergne est une équipe de rugby à XV qui a fêté en 2004 ses 100 ans et qui évolue en Pro D2 depuis 2001, hormis l’année 2006-2007 où le "purgatoire" en Fédérale 1 se solda par un titre de champion de France. Depuis la Seconde Guerre mondiale, le club a toujours évolué soit dans l'élite (jusqu'en 1986 hormis 1949 et 1955), soit par la suite en groupe A, groupe B ou Pro D2[41].

    L'Athlétic Club Vélocipédique Aurillacois est une équipe cycliste fondée en 1978 par Pierre Labro[42], dirigée depuis 1983 par André Valadou[43]. En 2011 et 2012, c'est le plus gros club cycliste auvergnat en nombre de licenciés. En 2016, trois coureurs issus de ses rangs sont au plus haut niveau avec Christophe Laborie (Delko-Marseille Provence-KTM) et François Bidard (AG2R La Mondiale) chez les professionnels, enfin, Pierre Bonnet (Team Pro Immo Nicolas Roux) en première division amateurs. Il est axé sur la formation.

    L'Aurillac Football Cantal Auvergne est une équipe de football qui évolue en National 3. Son centre de formation performant lui permet d'avoir trois équipes jeunes qui évoluent dans les championnats nationaux (14 ans, 16 ans et 18 ans - le plus haut niveau pour ces catégories).[réf. nécessaire]

    L'Aurillac Handball Cantal Auvergne est une équipe de handball professionnelle qui accède à la première division pour la saison 2008-2009 pour la première fois de son histoire. Le club est toutefois forcé au dépôt de bilan après une deuxième saison passée dans l'élite à l'issue de laquelle il est relégué. Il évolue pour la saison 2017-2018 en Championnat de France de Nationale 3 (D5)[44].

    Le Basket-ball à Aurillac s'organise autour du BAAG (Basket club Aurillac Arpajon Géraldienne). L'équipe 1 fille évolue au plus haut régional[45]. C'est le plus gros club de la ville en termes de licenciés et de résultats. Deux brevetés d'états encadrent quotidiennement les enfants. Il y a aussi le club de la Cantalienne[46].

    Le Stade Jean-Alric est le stade municipal de la ville d'Aurillac et de son club de rugby, le Stade aurillacois Cantal Auvergne. Il doit son nom à Jean Alric, ancien joueur du club, fusillé à Aurillac par les Allemands durant la Seconde Guerre mondiale.

    Aurillac possède un club de volley-ball (A.V.B.). Les seniors masculins ainsi que les féminins évoluent en Régional 1. Le club comporte des équipes UFOLEP et des équipes jeunes. Le club organise trois tournois ouverts à tout le monde : le tournoi de rentrée en septembre ; la nuit du volley en décembre (la plus grande d'Auvergne) ; le tournoi d'été en juin.[réf. nécessaire]

    En 2011, Aurillac a accueilli le départ de la 10e étape du Tour de France 2011[47].


    Médias



    Presse locale


    Radios locales


    Télévision

    Le principal émetteur de télévision sur Aurillac est celui de Caussac[51]. Il émet toutes les chaînes de la TNT, dont France 3 Auvergne, qui possède un bureau local à Aurillac au 1, rue Jean-Moulin, à deux pas des studios de Radio Pays d'Aurillac. France 3 Midi-Pyrénées peut également être reçue dans l'agglomération en raison de sa proximité avec les régions du Quercy et du Rouergue.


    Économie



    Commerces



    Industrie


    Constitué en 1993, à l'initiative de la DDAF du Cantal, de l'ENILV d'Aurillac et des professionnels des filières AOC. La structure est constituée d'une association rassemblant les opérateurs de la filière AOC et les partenaires institutionnels et politiques ainsi que d'un GIS regroupant les organismes de recherche-développement et d'enseignement chargés d'élaborer les programmes scientifiques (INRA unité d’Aurillac) et ENILV (École nationale de laiterie d'industrie du lait et de la viande). Il élabore les programmes scientifiques relatifs au pôle fromager. On trouve autour de ce pôle les formations suivantes à l'IUT d'Aurillac : DUT génie biologique, option agronomie, DUT génie biologique, option génie de l'environnement, DUT génie biologique, option bio-informatique, licence pro. systèmes d'information et de modélisation appliqués à la bio-informatique, licence pro. produits alimentaires de terroir : innovation et valorisation, licence pro. expertise agro-environnementale et conduite de projets.


    Informatique



    Culture locale et patrimoine


    Panorama d'Aurillac.
    Panorama d'Aurillac.
    Panorama d'Aurillac.
    Panorama d'Aurillac.

    Lieux et monuments


    Article connexe : Liste des monuments historiques d'Aurillac.

    Située à proximité de la confluence de la Cère (rivière) et de la Jordanne, Aurillac est une bonne porte d'entrée pour la découverte des monts du Cantal via la route des crêtes et la vallée de la Jordanne. À l'ouest de la ville s'étend le bassin d'Aurillac : ce secteur abrite une vaste zone humide de grand intérêt : le marais du Cassan Prentegarde situé sur les communes de Saint-Étienne-Cantalès, Saint-Paul-des-Landes et Lacapelle-Viescamp.

    La région d'Aurillac est également riche en châteaux que l'on peut visiter.


    Édifices religieux


    Patrimoine civil

    L'enfant du pêcheur de sable, Henri Rachou, 1905 - Musée d'Art et d'Archéologie.
    L'enfant du pêcheur de sable, Henri Rachou, 1905 - Musée d'Art et d'Archéologie.

    Parcs et jardins[86] :

    Fontaines et lavoirs


    Équipements culturels


    Aurillac bénéficie de la présence de plusieurs centres de danse :


    Vie militaire


    Unités militaires ayant tenu garnison à Aurillac :

    Aurillac a longtemps été une ville de garnison, avec le 139e régiment d'infanterie (France) qui se remarque par ses faits d'armes durant la bataille de la Somme, une chronologie remarquable et une armoire à trophées étaient encore présentes dans la salle d'honneur de la Délégation militaire départementale qui a depuis déménagé en oubliant de préserver et de sauvegarder ce pan d'histoire.

    Sa place d'armes large et aérée et caractéristique de l'architecture militaire de cette époque, aujourd'hui dénommée zone de la Paix, est actuellement aménagée en parking, ce qui laisse la vue libre sur les trois bâtiments qui l'entourent, l'entrée de la caserne a été détruit et remplacé par un bâtiment moderne mal intégré sans style en biais. Il héberge des services administratifs, Trésor public, CABA, Hypothèques, Cadastre... Les anciens bâtiments militaires dans les années 1950 deviennent "Cité Administrative", le nouveau bâtiment est implanté à cet endroit dans cette logique.

    Le bâtiment de l'Horloge est dénommé ainsi à cause de la grande horloge qui l'orne, ce bâtiment est aussi communément appelé Maison des syndicats et des associations. À remarquer l'aménagement et la transformation des bâtiments éloignés de cette place dont le manège à chevaux, les écuries et la sellerie. Initialement ces bâtiments étaient l'ancien couvent des visitandines, construit en 1682. le couvent se transforme en 1792 en casernes pour l'infanterie qui occupe la moitié des bâtiments et ce jusqu'en 1922, d’où la transformation en bâtiments à l'usage équestre. Aujourd'hui le centre culturel Pierre-Mendès-France occupe les lieux, il regroupe le musée d'Art et d'Archéologie, le Conservatoire départemental de musique et de danse, le service d'animations jeunesse de la ville d'Aurillac, et une halte-garderie pour enfants. Le manège à chevaux dans l'ancienne chapelle transformé de manière remarquable afin de lui laisser son caractère abrite aujourd'hui l'auditorium du Conservatoire (à voir les fresques murales). Les écuries quant à elles sont alors utilisées par un des haras nationaux établi par Napoléon à partir de 1806 ; un dépôt d'étalons est alors créé à Aurillac. À la bataille d'Austerlitz, Napoléon monte Cantal, un cheval gris truité dont le tableau est visible au Musée d'art et d'archéologie. Lorsque les Haras nationaux déménagent, les écuries sont transformées en salle d’exposition - galerie et de présentation polyvalente, s'y tient notamment tous les ans le Salon des Métiers d'Art d'Aurillac.


    Tournages


    C'est à Aurillac qu'ont été tournées des scènes du film amateur Le Hobbit : Le Retour du roi du Cantal de Léo Pons entre les mois d'août 2015 et d'avril 2016[102].


    Personnalités liées à la commune



    Personnalités nées à Aurillac

    Sylvestre II, pape de l'an mille et mathématicien connu sous le nom de Gerbert d'Aurillac.David d'Angers, bronze, 1851. Aurillac, place Gerbert[103],[104].
    Sylvestre II, pape de l'an mille et mathématicien connu sous le nom de Gerbert d'Aurillac.
    David d'Angers, bronze, 1851. Aurillac, place Gerbert[103],[104].

    Personnalités liées à Aurillac


    Aurillac dans la littérature


    L'action du roman Les Amours Auvergnates de Charles Exbrayat se déroule à Aurillac.


    Héraldique


    Blason d'Aurillac
    Blason d'Aurillac

    Blasonnement des armes traditionnelles de la ville d'Aurillac :

    « De gueules, à trois coquilles d'argent, au chef d'azur, chargé de trois fleurs de lis d'or »

     Malte-Brun, la France illustrée (1882)

    .

    Les trois coquilles d'argent, qui étaient à l'origine sur une seule ligne, sont traditionnellement associées au fait qu'Aurillac étai un lieu d'étape du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle en venant de Clermont-Ferrand (actuellement la via Arvernha)[106]. En réalité, ces trois coquilles sont les armes des Astorg, une famille influente d'Aurillac dont certains sont allés en croisade. Le lien avec la ville de Compostelle ne remonte qu'au XIVe siècle avec la Grande Chanson qui met en scène des pèlerins partis d'Aurillac pour Compostelle[107].

    Le chef d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or indique les bonnes villes et date de l'époque où Aurillac avait fourni un corps de deux cents hommes d'élite au roi Charles VII pour combattre les Anglais.

    Armoiries (hypothétiques) de Saint :fr:Géraud d'Aurillac Géraud d'Aurillac : Parti d'or à l'engrêlure de sinople en chef, et de sinople à l'engrêlure d'or tout autour
    Armoiries (hypothétiques) de Saint :fr:Géraud d'Aurillac Géraud d'Aurillac : Parti d'or à l'engrêlure de sinople en chef, et de sinople à l'engrêlure d'or tout autour

    Blasonnement des armes traditionnelles de l'abbaye et comté d'Aurillac :

    « Parti d'or et de sinople, à la bordure engrêlée de l'un en l'autre. »

    Ces armes étaient à l'origine la bannière de l'abbaye représentant un carré d'herbe, évocation d'un fait miraculeux relaté par Odon de Cluny dans la Vie de Saint Géraud d'Aurillac.

    La couronne de comte rappelle que ce sont les armes de la région qui correspondait à l'ancien domaine du Comte Géraud, c'est-à-dire d'un territoire qui comprenait le Cantalès et le Carladès.


    Voir aussi



    Bibliographie



    Articles connexes



    Liens externes


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    Notes et références



    Notes et cartes


    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références



    Site de l'Insee

    1. « Unité urbaine 2020 d'Aurillac », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    2. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    3. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    6. « Chiffres clés - Logement en 2018 à Aurillac » (consulté le ).
    7. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Aurillac - Section LOG T2 » (consulté le ).
    8. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Aurillac - Section LOG T7 » (consulté le ).
    9. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Cantal » (consulté le ).
    10. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    11. « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Aurillac (15014) », (consulté le ).

    Autres sources

    1. (oc) « Orlhac / Aurillac ; entrée du Diccionari deus noms pròpis (Dictionnaire des noms propores et toponymes en occitan) », sur http://dicesp.locongres.com/ ; Diccionari deus noms pròpis sur le site du Congrès permanent de la Lenga Occitana (Congrès permanent de la langue occitane), .
    2. « Schéma de cohérence territoriale du Bassin d'Aurillac, du Carladès et de la Châtaigneraie », sur scotbacc.fr, .
    3. Géologie de la France. Les Grands Articles d'Universalis, Encyclopaedia Universalis, (lire en ligne), p. 17.
    4. Une ancienne carrière d'argile y est en voie de recolonisation végétale.
    5. Christophe Viguier, ABC Biodiversité de la commune d'Ayrens, CPIE Auvergne, , p. 23.
    6. « Fiche du Poste 15014004 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, (consulté le )
    7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 37b - 510a
    12. Eugeen Roegiest, Vers les sources des langues romanes : un itinéraire linguistique à travers la Romania, ACCO, , p. 82.
    13. Archéologie : une découverte extraordinaire en Auvergne
    14. Un pape à Aurillac
    15. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    16. « Résultats des élections européennes 2014 »
    17. « Résultats des élections régionales 2015 »
    18. « Résultats de l'élection présidentielle 2017 »
    19. « Résultats des élections législatives 2017 »
    20. « Résultats des élections européennes 2019 »
    21. Élections municipales de 2020 dans le Cantal
    22. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Aurillac, consultée le 27 octobre 2017
    23. Les comptes de la commune
    24. « CABA - Formations », sur CABA (consulté le )
    25. « CABA - Enseignement supérieur », sur CABA (consulté le ).
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    32. Nicolas Gastal, « Aurillac. Le devenir du site de Saint-Eugène : des projets à l'étude selon Polygone et le diocèse », actu.fr, 12 mars 2021.
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    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
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    47. « Aurillac dans le Tour de France », sur www.ledicodutour.com (consulté le )
    48. Adresses et coordonnées de RCF Corrèze
    49. Coordonnées de Totem Auvergne
    50. Fiche de Radio Pays d'Aurillac sur SchooP
    51. Aurillac - Caussac (Photos)
    52. Historique d’Emmaüs Cantal, Communauté d'Aurillac et antenne de Saint-Flour
    53. Abeil
    54. Net-truck
    55. Aerodiscount
    56. « Eglise Catholique d'Aurillac », sur eglise-catholique-aurillac.cef.fr (consulté le )
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    58. Base Mérimée : Église Notre-Dame-aux-Bois
    59. Notre-Dame-aux-Neiges
    60. Base Mérimée : Abbatiale Saint-Géraud
    61. La peinture murale du XIIe au XVIIe siècle
    62. L’orgue Rabiny de l’abbatiale St Géraud d’Aurillac
    63. Notice no PM15000760, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de tribune
    64. Notice no PM15000072, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de tribune : partie instrumentale de l'orgue
    65. Base Mérimée : Église du Sacré Cœur
    66. Base Mérimée : Chapelle d'Aurinques
    67. Notice no PM15000080, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de la chapelle d'Auringues
    68. Église réformée - Aurillac.
    69. Église évangélique de Pentecôte
    70. Base Mérimée : Ancien château fort Saint-Étienne
    71. Le musée d'Art et d'Archéologie d'Aurillac
    72. Le Muséum des Volcans
    73. Base Mérimée : Maison consulaire
    74. Maison des Consuls à Aurillac
    75. Clocheton de l'ancien collège des jésuites, actuel collége Jeanne-de-la-Treihe
    76. « Musée », notice no PA00093465, base Mérimée, ministère français de la Culture
    77. « Abbatiale Saint-Géraud », notice no PA00093448, base Mérimée, ministère français de la Culture
    78. Base Mérimée : Gendarmerie
    79. « Hôtel de Malras (nouvelle mairie) », notice no PA00093459, base Mérimée, ministère français de la Culture
    80. Base Mérimée : Hôtel de la Préfecture
    81. Kiosque à musique aurillacois
    82. Monument aux morts de la ville
    83. Monument aux Morts, Plaque commémorative Église Saint-Géraud, Plaque commémorative 1939-1945, Monument commémoratif, Monument commémoratif 1870-1871 départemental, Plaque commémorative SNCF, Plaques commémoratives du Lycée Émile Duclaux, Mémorial, Sépulture collective
    84. Monument aux morts
    85. « Hippodrome Aurillac »
    86. pré-inventaire (jardins remarquables ; documentation préalable)
    87. « square dit jardin des Carmes », notice no IA15000289, base Mérimée, ministère français de la Culture
    88. « jardin dit Cours Angoulême », notice no IA15000290, base Mérimée, ministère français de la Culture
    89. « jardin potager des chantiers de Peyrolles et d'Aynès », notice no IA15000267, base Mérimée, ministère français de la Culture
    90. « cour jardin de l'hôtel Lasmol », notice no IA15000300, base Mérimée, ministère français de la Culture
    91. « square de Vic », notice no IA15000341, base Mérimée, ministère français de la Culture
    92. « jardin de l'Esplanade dite Le Gravier », notice no IA15000291, base Mérimée, ministère français de la Culture
    93. « jardin de la Préfecture », notice no IA15000327, base Mérimée, ministère français de la Culture
    94. « jardin du Moulin Decrin », notice no IA15000294, base Mérimée, ministère français de la Culture
    95. « parc du château de Fabrègues », notice no IA15000328, base Mérimée, ministère français de la Culture
    96. « parc de Tronquière », notice no IA15000288, base Mérimée, ministère français de la Culture
    97. « jardin d'agrément du château de Noalhac », notice no IA15000338, base Mérimée, ministère français de la Culture
    98. « parc du château de Saint-Etienne », notice no IA15000331, base Mérimée, ministère français de la Culture
    99. « jardin potager du chantier de Me Jean Casse », notice no IA15000268, base Mérimée, ministère français de la Culture
    100. Fontaine des Droits de l'Homme
    101. Fontaine aux grenouilles
    102. « Un incroyable remake du "Hobbit" tourné dans le Cantal », sur Franceinfo, (consulté le )
    103. Notice sur e-monumen.net : Monument au pape Gerbert
    104. Base Mérimée : Statue du pape Gerbert.
    105. Claude Barthe, Joseph Malègue et le « roman d'idées » dans la crise moderniste in Les romanciers et le catholicisme, Éditions de Paris, 2004, p. 83-97, p. 92. (ISBN 2-85162-107-6)
    106. Chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle. De l'Auvergne au Quercy : Clermont-Ferrand - Aurillac : Cahors, Chamina, , p. 7.
    107. Denise Péricard-Méa, Louis Mollaret, Dictionnaire de saint Jacques et Compostelle, Éditions Jean-Paul Gisserot, , p. 18.

    На других языках


    [de] Aurillac

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    [en] Aurillac

    Aurillac (French pronunciation: [oʁijak] (listen); Occitan: Orlhac [uɾˈʎak]) is the prefecture of the Cantal department, in the Auvergne-Rhône-Alpes region of France. The inhabitants of the commune are known as Aurillacois or Aurillacoises.[2]
    - [fr] Aurillac

    [ru] Орийак

    Орийа́к (фр. Aurillac, окс. Orlhac), традиционное чтение Аврилак, также Орильяк  — город в центре Франции, префектура департамента Канталь. Население — 33,9 тыс. жителей.



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