Lachapelle-Auzac est une commune française, située dans le nord du département du Lot en région Occitanie.
Elle est également dans le causse de Martel, une région naturelle constituant le plus septentrional des quatre causses du Quercy, entre Limousin, vallées de la Tourmente et de la Dordogne.
Lachapelle-Auzac
Le viaduc de Bramefond, sur l'ancienne ligne ferroviaire de Souillac à Viescamp-sous-Jallès.
Administration
Pays
France
Région
Occitanie
Département
Lot
Arrondissement
Gourdon
Intercommunalité
Communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne
Maire Mandat
Ernest Maury 2020-2026
Code postal
46200
Code commune
46145
Démographie
Population municipale
793 hab. (2019 )
Densité
25 hab./km2
Géographie
Coordonnées
44° 54′ 33″ nord, 1° 28′ 24″ est
Altitude
132 m Min. 100 m Max. 312 m
Superficie
31,34 km2
Type
Commune rurale
Unité urbaine
Souillac (banlieue)
Aire d'attraction
Souillac (commune du pôle principal)
Élections
Départementales
Canton de Souillac
Législatives
Deuxième circonscription
Localisation
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Lachapelle-Auzac
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Lachapelle-Auzac
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Lachapelle-Auzac
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Lachapelle-Auzac
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Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Borrèze et par deux autres cours d'eau. Incluse dans le bassin de la Dordogne, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Lachapelle-Auzac est une commune rurale qui compte 793 habitants en 2019. Elle est dans l'agglomération de Souillac et fait partie de l'aire d'attraction de Souillac. Ses habitants sont appelés les Chapellais ou Chapellaises.
Géographie
Dans le nord du département du Lot, la commune de Lachapelle-Auzac fait partie de l'unité urbaine de Souillac et de son aire urbaine.
Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Hydrographie
Le ruisseau de Blagour, le ruisseau du Boulet sont les principaux cours d'eau parcourant la commune.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]
Moyenne annuelle de température: 12,9°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,5 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 10,2 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,6 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,8 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Prats de Carlux», sur la commune de Prats-de-Carlux, mise en service en 1984[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,4°C et la hauteur de précipitations de 908,3 mm pour la période 1981-2010[9].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Gourdon», sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 20 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,4°C pour la période 1971-2000[11], à 12,7°C pour 1981-2010[12], puis à 13,1°C pour 1991-2020[13].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].
La commune fait partie de la zone de transition du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 1 880 258ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[16],[17].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Quatre ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[18]:
les «grottes de la Forge et environs» (170ha), couvrant 3 communes dont une dans la Dordogne et deux dans le Lot[20]; seule une toute petite zone de moins d'un hectare concerne Lachapelle-Auzac, au nord-ouest du lieu-dit les Malherbes, en bordure de la route départementale 15[21];
le «marais et pelouses de Lamothe-Timbergue» (41ha), couvrant 2 communes du département[22].
la «vallée du Blagour» (252ha), couvrant 2 communes du département[23];
Urbanisme
Typologie
Lachapelle-Auzac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[24],[I 1],[25].
Elle appartient à l'unité urbaine de Souillac, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[I 2] et 4 076 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3],[I 4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Souillac, dont elle est une commune du pôle principal[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 5],[I 6].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,1% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (68,7%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (65%), prairies (19%), zones agricoles hétérogènes (8,9%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,1%), zones urbanisées (2,5%), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,5%)[26].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Lachapelle-Auzac est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[27]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[28].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Borrèze. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[29]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1996 et 1999[30],[27].
Lachapelle-Auzac est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature
de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[31].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lachapelle-Auzac.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des éboulements, chutes de pierres et de blocs[32]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[33].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 74,9% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,7% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 569 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 428 sont en en aléa moyen ou fort, soit 75%, à comparer aux 72% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[34],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[33].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[27].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic et une ligne de chemin de fer. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[35].
Toponymie
Le toponyme Lacapelle-Auzac est basé, pour sa première partie, sur le latinCapella qui désigne une chapelle. Auzac est basé sur un anthroponyme Auvitius. La terminaison -ac est issue du suffixe gaulois-acon (lui-même du celtique commun *-āko-), souvent latinisé en -acum dans les textes[36].
Histoire
Le viaduc de Bramefond de 300 m de long pour 43 m de hauteur, utilisé autrefois par la ligne de Souillac à Viescamp-sous-Jallès, est situé en partie sur la commune et sur Souillac.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[39].
En 2019, la commune comptait 793 habitants[Note 7], en augmentation de 2,32% par rapport à 2013 (Lot: +0,19%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
530
565
890
917
755
914
925
899
964
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
900
977
979
967
966
1 231
1 288
937
908
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
877
794
756
622
555
580
581
602
508
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
543
555
581
695
774
804
771
762
794
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
793
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 356 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 727 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 520 €[I 7] (20 740 € dans le département[I 8]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 452 personnes, parmi lesquelles on compte 76,5% d'actifs (67,1% ayant un emploi et 9,4% de chômeurs) et 23,5% d'inactifs[Note 9],[I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie du pôle principal de l'aire d'attraction de Souillac[Carte 3],[I 12]. Elle compte 166 emplois en 2018, contre 165 en 2013 et 160 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 305, soit un indicateur de concentration d'emploi de 54,4% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50,5%[I 13].
Sur ces 305 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 89 travaillent dans la commune, soit 29% des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 86,6% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,3% les transports en commun, 5,6% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,6% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
63 établissements[Note 10] sont implantés à Lachapelle-Auzac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 16].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
63
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
15
23,8%
(14%)
Construction
16
25,4%
(13,9%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
10
15,9%
(29,9%)
Information et communication
2
3,2%
(1,8%)
Activités immobilières
2
3,2%
(3,5%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
10
15,9%
(13,5%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
1
1,6%
(12%)
Autres activités de services
7
11,1%
(8,7%)
Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25,4 % du nombre total d'établissements de la commune (16 sur les 63 entreprises implantées à Lachapelle-Auzac), contre 13,9% au niveau départemental[I 17].
Entreprises et commerces
L'entreprise ayant son siège social sur le territoire communal qui génère le plus de chiffre d'affaires en 2020 est[42]:
Societe Nouvelle Souillac Golf & Country Club, autres activités liées au sport (1 933 k€)
Agriculture
La commune est dans les Causses», une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département du Lot[43]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 35 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 28 en 2000 puis à 27 en 2010[45] et enfin à 19 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 46% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60% de ses exploitations[46],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune est restée relativement stable, passant de 735 ha en 1988 à 937 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 21 à 49 ha[45].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Saint-Nicolas de Lachapelle-Haute. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[47]. La Peinture monumentale est référencer dans la base Palissy[47].
Église Sainte-Madeleine de Reyrevignes.
Le viaduc de Bramefond de 322 m de long pour 43 m de hauteur, utilisé autrefois par la ligne de Souillac à Viescamp-sous-Jallès, est situé en partie sur la commune et sur Souillac.
Dolmen de la Croix Blanche: 44° 55′ 25″ N, 1° 29′ 25″ E
La plus grande décharge de pneus de France se trouvait dans la commune[48]. Bien que le site ne reçoive plus de pneus depuis 2004[48], 13 000 tonnes de pneus (contre 25 000 au plus haut) y était encore stockés en 2013[48]. Le site ne se vidant que lentement, il a fini d'être vidé en 2017[49].
Personnalités liées à la commune
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Voir aussi
Communes du Lot
Bibliographie
Jean Lartigaut, Le repeuplement de Lachapelle-Auzac au XVe siècle, B.S.E.L., XCIX, p. 5 - 1978,
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Carte de la ZNIEFF 730030315, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre «Couches disponibles», barrer d'abord la couche «Orthophotos» avant de cliquer sur «Fonds de cartes», puis sur la couche «Fonds Cartographique IGN».
Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy: Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127p. (ISBN2-910540-16-2), p.113.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[44].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
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