Beaulieu-les-Fontaines est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
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Beaulieu-les-Fontaines | |
![]() Mairie de Beaulieu-les-Fontaines. | |
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Hauts-de-France |
Département | Oise |
Arrondissement | Compiègne |
Intercommunalité | CC du Pays des Sources |
Maire Mandat |
Robert Piechon 2020-2026 |
Code postal | 60310 |
Code commune | 60053 |
Démographie | |
Gentilé | Bellifontains, Bellifontaines |
Population municipale |
595 hab. (2019 ![]() |
Densité | 47 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 39′ 39″ nord, 2° 54′ 48″ est |
Altitude | Min. 67 m Max. 106 m |
Superficie | 12,6 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Noyon (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Thourotte |
Législatives | 6e circonscription de l'Oise |
Localisation | |
Liens | |
Site web | https://www.beaulieu-les-fontaines.fr/ |
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Beaulieu-les-Fontaines est un village picard du Noyonnais situé à 11 km au nord-ouest de Noyon, 28 km au nord de Compiègne, 34 km au sud-ouest de Saint-Quentin et cinquante au sud-est d'Amiens.
Il est limité au sud-ouest par l'ancienne route nationale 334 (actuelle RD 934 reliant Amiens à Soissons).
Au XIXe siècle, Louis Graves indiquait « Le territoire de Beaulieu, qui a sa principale dimension dans la direction de l'est à l'ouest, est formé de coteaux. couverts par la forêt de Bouvresse, occupant toute la région septentrionale, et de terres labourables qui comprennent au plus un quart de la superficie. Plusieurs sources prennent naissance dans cette dernière partie du sol, qui est de nature glaiseuse. Il y a quelques mares, et l'on voit au nord du village, dans la forêt, un étang ayant environ deux hectares d'étendue[1] ».
![]() |
Solente Somme Champien Somme |
Ognolles | Ercheu Somme |
![]() |
Margny-aux-Cerises | N | Frétoy-le-Château | ||
O Beaulieu-les-Fontaines E | ||||
S | ||||
Avricourt | Écuvilly | Campagne |
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ribecourt », sur la commune de Ribécourt-Dreslincourt, mise en service en 1976[8] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 738,4 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 28 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,3 °C pour 1981-2010[13], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[14].
Beaulieu-les-Fontaines est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Noyon dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (79,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73 %), forêts (17,1 %), zones agricoles hétérogènes (6,4 %), zones urbanisées (3,4 %), prairies (0,1 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 260, alors qu'il était de 258 en 2013 et de 243 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 83,8 % étaient des résidences principales, 5,8 % des résidences secondaires et 10,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 87,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 12,1 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Beaulieu-les-Fontaines en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (5,8 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 73,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (76 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].
Typologie | Beaulieu-les-Fontaines[I 1] | Oise[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 83,8 | 90,4 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 5,8 | 2,5 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 10,4 | 7,1 | 8,2 |
Beaulieu-les-Fontaines est anciennement attesté sous les formes Beaulieu-le-Comte[Quand ?] et Beaulieu-en-Vermandois[réf. nécessaire], probablement en raison de son appartenance au territoire historique du Vermandois, qui était très vaste à l'époque du Haut Moyen Âge.
Il s'agit d'une formation toponymique médiévale de signification apparente « beau lieu » qui peut aussi avoir le sens d’« endroit agréable à habiter ». Albert Dauzat ne cite aucune forme ancienne, ce qui signifie qu'il n'en connait pas. En revanche, les autres Beaulieu sont souvent attestés au Moyen Âge sous la forme latinisée Bellus Locus[22], dont les éléments latins bellus et locus ont donné l'ancien français bel > beau et lieu. On note en gallo-roman BELLU et LOCU.
C'est aux environs de 1835 que le nom de Beaulieu-le-Comte disparait au profit de celui de Beaulieu-les-Fontaines en raison de l'existence de ses fontaines[23].
De nombreuses communes portent ce nom unique[24]. Pour éviter les confusions , on indique le département entre parenthèses: ce sont Beaulieu (Ardèche), Beaulieu (Cantal), Beaulieu (Côte-d'Or), Beaulieu (Hérault), Beaulieu (Indre), Beaulieu (Isère), Beaulieu (Haute-Loire), Beaulieu (Nièvre), Beaulieu (Orne), Beaulieu (Puy-de-Dôme). Certaines communes ont adjoint, pour se différencier, un mot indiquant leur situation: Beaulieu-les-Fontaines, Beaulieu-sur-Mer, Beaulieu-sur-Loire, Beaulieu-sur-Layon, Beaulieu-sous-la-Roche, Beaulieu-sur-Dordogne, Beaulieu-sur-Sonnette, Beaulieu-sur-Oudon, Beaulieu-en-Argonne, Beaulieu-lès-Loches, Beaulieu-sous-Parthenay.
Le gentilé des habitants de ces divers Beaulieu est très varié : Beaulieusard, Beaulieurois, Bellilocien, Bellieurain, Bellilocois, Belliloquois, Belliloqueteux, Belliquière, Berlugan, Beloudonien.
Un gisement mésolithique est identifié sur le territoire [réf. nécessaire].
Lieu assez considérable au Moyen Âge, Beaulieu portait le titre de bourg ou de ville[1]. Il y avait trois forteresses dont les traces sont encore visibles : un donjon octogonal (au centre du village), une autre près de la forêt de Bouvresse, au lieu-dit le Bouquet, qui portait le nom de fort de Namur, la troisième au lieu-dit le Vieux-Montel[1].
Il existait un prieuré fondé au XIIe siècle, dépendant de l'abbaye Saint-Crépin-le-Grand de Soissons, Auguste Lognon le fait dépendre de l'Abbaye Saint-Barthélemy de Noyon[25], et un couvent dépendant des religieuses de Sainte Catherine de Sienne [réf. nécessaire].
En 1430, après sa capture, Jeanne d'Arc est enfermée dans le château de Beaulieu. Elle y est bien traitée et il lui est laissé son propre intendant, Jean d'Aulon. Incarcérée au premier étage d'une tour d'enceinte, elle pouvait quitter sa geôle pour aller prier dans la chapelle du château. Fin mai, elle réussit à déplacer deux solives du plancher et se laisse glisser jusqu'au rez-de-chaussée, probablement à l'aide d'une corde. Elle parvinet jusqu'à l'entrée du château mais une ronde la surprit. Ce fut la première des deux tentatives de fuite de Jeanne[réf. nécessaire].
Le gouverneur de Beaulieu, Jacob Estobert renforce la garde, interdit les sorties et retient Jeanne dans un sombre réduit, avant son transfert pour le château de Beaurevoir[réf. nécessaire].
En 1465 et 1476, Beaulieu est deux fois assiégé, pris et détruit par les Bourguignons[1]. La seigneurie appartenait à la maison de Nesle et fit partie du marquisat de ce nom, érigé au XVIe siècle[1].
La cure avait été constituée en paroisse au XIIIe siècle [réf. nécessaire].
Les Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem possédaient des terres du membre de Beaulieu qu'ils avait obtenu de Germain-Louis Chauvelin, le , en échange de la commanderie de Santeny[26],[27]. Le membre relevait de la commanderie du Plessis.
Les ruines du château ont perduré jusqu'en 1793, époque à laquelle elles furent démolies comme reste de la féodalité, par ordre des représentants du peuple en mission[1].
En 1850, la commune disposait d'une école, d'un presbytère, d'un lavoir public, ainsi que d'une place plantée et d'un jeu d'arc. On y trouvait deux fours à chaux et deux moulins à vent. Une grande partie de la population était alors employée aux travaux de la forêt, mais comprenait également des sabotiers et des tisserands. Des femmes s'occupaient « d'enfants trouvés qui leur sont amenés de Paris par des commissionnaires de la commune de Thiescourt »[1].
Lors de la Première Guerre mondiale, le village est occupé par l'arlmée allemande dès le et une partie de ses habitants étant demeurée sur place, les hommes en âge de se battre sont faits prisonniers et déportés en Allemagne
La commune est libérée le 18 mars 1917 à la suite du repli allemand « Alberich » mais les habitants ont été déplacés, les "bouches inutiles" vers Noyon, les autres à l'arrière des nouvelles lignes. Les Allemands dynamitent l'église lors de leur retraite, afin de faire tomber le clocher pour barrer la route, mais celui-ci s'affaissa sur lui-même.
La commune redevient française pendant une année mais demeure en zone avancée sous contrôle militaire strict.
Le 24 mars 1918, trois jours après une offensive allemande au départ de Saint-Quentin, la commune est de nouveau envahie mais ses habitants ont eu le temps de fuir sur ordre de l'armée française et dans la crainte de vivre une nouvelle occupation. La commune est enfin libérée le 2 septembre 1918[28].
Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[29] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [30].
La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Lassigny[31]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Thourotte
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.
Beaulieu-les-Fontaines est membre de la communauté de communes du Pays des Sources, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 19976 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1792 | M. Frizon | |||
1820 | M. Charles | |||
1826 | M. Caron[Note 8] | |||
1831 | après 1841 | Marie François Armand Dercheu-Maillot[Note 9] | ||
1846 | après 1851 | M. Caron | ||
1856 | Jean-Charles Ducrocq | |||
1861 | 1889 | Ferdinand Haniet | ||
1889 | 1895 | Gustave Vignes | Chevalier de la Légion d'honneur | |
1895 | 1908 | Henri Frizon | ||
1908 | 1914 | Octave Allard | ||
1919 | 1927 | Edouard Caron | ||
1927 | 1932 | Alfred Ludard | ||
1932 | 1945 | Louis Chefdeville | ||
1945 | 1947 | Louis Radde | ||
1947 | 1971 | Paul Chossaland | ||
1971 | 1983 | Christiane Jacoby | ||
1983 | 1995 | Hermes Raevens | ||
1995 | 2001 | Marcel Virnoux | ||
mars 2001 | 2008 | Pierre Lagoutte | DVD | |
mars 2008 | mai 2020 | François Plevel[32] | Retraité | |
mai 2020[33] | En cours (au 14 août 2021) |
Robert Piechon |
Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Candor, Ecuvilly, Ognolles et Solente par un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) L'école de Beaulieu accueille les classes de maternelles et de CP[34].
Une maison familiale et rurale (MFR) se trouve également à Beaulieu.
Beaulieu-les-Fontaines dispose d'une agence postale communale[35].
La commune est, en 2021, dépourvue de médecin et pourrait bénéficier d'une maison de santé que créerait l'intercommunalité[36].
Une maison de retraite, la résidence Bellifontaine, destinée aux personnes âgées dépendantes et gérée par l’hôpital de Compiègne-Noyon, est implantée à Beaulieu. Elle dispose de 67 lits dont 12 en Unité Protégée Alzheimer[37]{{.}}[38].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[40].
En 2019, la commune comptait 595 habitants[Note 10], en diminution de 2,14 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
742 | 728 | 717 | 785 | 715 | 729 | 731 | 721 | 722 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
705 | 712 | 695 | 672 | 675 | 716 | 699 | 673 | 714 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
676 | 695 | 641 | 531 | 554 | 562 | 551 | 532 | 551 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2007 | 2012 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
571 | 527 | 453 | 459 | 470 | 505 | 576 | 585 | 597 |
2017 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
609 | 595 | - | - | - | - | - | - | - |
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,3 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 308 hommes pour 294 femmes, soit un taux de 51,16 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
2,6 | 90 ou + | 3,8 |
7,2 | 75-89 ans | 16,1 |
14,4 | 60-74 ans | 12,7 |
23,0 | 45-59 ans | 19,0 |
15,0 | 30-44 ans | 18,3 |
15,0 | 15-29 ans | 13,4 |
22,8 | 0-14 ans | 16,8 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,5 | 90 ou + | 1,3 |
5,3 | 75-89 ans | 7,5 |
15,1 | 60-74 ans | 15,8 |
20,9 | 45-59 ans | 20,1 |
19,5 | 30-44 ans | 19,4 |
17,9 | 15-29 ans | 16,5 |
20,8 | 0-14 ans | 19,4 |
![]() |
Blason | D'azur à l'épée haute d'argent, garnie d'or, enfilée en chef d'une couronne du même et accostée de deux fleurs de lis d'or[51]. |
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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