Ercheu est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
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Ercheu est un gros village rural picard situé à 12 km à l'est de Roye, 30 km au sud-ouest de Saint-Quentin et 15 km de Noyon. Situé dans la Somme, il est limitrophe du département de l'Oise[1].
Le sol de la commune appartient généralement aux formations de l'ère tertiaire. La plus grande partie est constituée par les couches argileuses ou limon. Il est formé d'alluvions dans la partie longeant l'agglomération et dans la vallée du Petit-Ingon[2].
En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau interurbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no53, Roye - Esmery-Hallon - Ham)[3].
Hameaux et écarts
Ercheu avait plusieurs hameaux: Bessancourt, Lannoy (couvent Notre-Dame cité au XIVesiècle), Ramecourt (avec château fort), Wailly-lès-Ercheu (disparu au XIXesiècle)[4],[2].
Au niveau du canal du Nord, sur la route d'Esmery-Hallon, le hameau de Lannoy est rattaché à la commune.
Urbanisme
Typologie
Ercheu est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7].
La commune est en outre hors attraction des villes[8],[9].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,1% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,9%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (83,9%), zones urbanisées (6,4%), zones agricoles hétérogènes (5,7%), prairies (2,5%), forêts (1,5%)[10].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].
Toponymie
Dérivant du mot latin «Arx - Arcis», lieu fortifié:
Les habitants se nomment les Arcéens et les Arcéennes.
Histoire
Antiquité
Des silex taillés ainsi que d'autres objets ont été trouvés dans la commune, en particulier au lieudit La Capelle en 1864 et 1892 et vers Ramecourt et Lannoy[2]. Ils sont déposés au musée de la mairie (visites lors des Journées du Patrimoine et sur demande au secrétariat de mairie).
De nombreuses pièces de monnaie ancienne ont été retrouvées[2].
Moyen-Âge
La découverte d'un cimetière mérovingien et carolingien a provoqué des fouilles archéologiques au XIXesiècle, au bout de la «rue du Cimetière-Mérovingien»[12]. Le site a été abandonné.
Étienne, évêque de Noyon accorda en 1194 la charte d'affranchissement au village, qui fut confirmée par Philippe Auguste l'année suivante[2].
Durant la Guerre de Cent Ans, le village est détruit par les Anglais de Robert Knolles en 1370[2].
Ercheu possédait un château fort, encore cité au milieu du XVIIesiècle[2]. Le château et son domaine appartinrent jusqu'à la fin du XVIIIesiècle aux évêques de Noyon[13].
En 1913, on notait que «l'église ayant été détruite par les Anglais, l'évêque Gilles de Lorris, par un acte du 28 avril 1372, donna dans l'ancien cimetière un terrain pour la réédifier. Mais les guerres retardèrent la construction, qui date pour la plus grande partie du xve siècle et ne fut même complètement achevée que dans les premières années du XVIesiècle. On a remarqué, non sans raison, que cet édifice ressemble, par plus d'un point, à Saint-Germain d'Amiens. Précédée d'un vaste préau planté d'une double rangée d'arbres, la façade présente un portail en cintre très surbaissé, encadré dans une grande voussure en plein cintre, que remplissent cinq élégantes niches, couronnées de dais ouvragés. Au-dessus estime grande rose inscrite dans un arc en tiers-point. Plus haut encore, sous une autre niche avec fronton en pyramide, on remarque un écusson aux armes de l'évêque de Noyon, Charles de Hangest (1501-1524)[13]».
Temps modernes
Une école des filles est construite à l'entrée du parvis de l'église en 1758 à l'initiative du curé Legrand et en 1851 une école des garçons[14]
La commune, instituée lors de la Révolution française, absorbe celle de Wailly-les-Ercheux entre 1790 et 1794[15],[2].
En 1850 sont mentionnées une sucrerie et quatre moulins à vent[16]. L'activité sucrière était importante au XIXesiècle à Ercheu, depuis qu'un arrêté préfectoral de 1812 avait prescrit la culture de 3 hectares de betteraves dans la commune. En 1847, une fabrique de sucre au hameau de Lannoy appartient à Félix Leclercq de Lannoy et est remplacée ultérieurement par une distillerie agricole de betteraves. La distillerie des sieurs Lenoir, Doit et Penier est, elle, construite en 1853, équipée de machines à vapeur en 1864 et est convertie en fabrique de sucre en devenant la propriété de messieurs Cranney et Lalane, qui est reprise en 1912 par la Société sucrière agricole d’Ercheu, mais est détruite pendant la Première Guerre mondiale[17]. Les ruines sont acquises par la Compagnie Nouvelle des Sucreries Réunies qui décide de construire sur le même emplacement l'une de ses trois râperies principales (avec celle de Monchy-Lagache et de Montescourt), reliée à la sucrerie centrale d'Eppeville. Les nouvelles installations sont mises en service pour la saison 1922 et traitent 400 tonnes journalières de betteraves, produisant 2 400hl de jus sucré qu'elle envoie par canalisations souterraines jusqu'à l'usine d'Eppeville. Elle cesse son activité en 1964[18].
En 1869 est créé le bureau de poste de la commune, qui est reliée au réseau téléphonique en 1905-1910[14]. La poste est devenue depuis une agence postale communale.
Ercheu a été desservi de 1890 à 1849 par la ligne d'Albert à Noyon via Offoy et Bussy à voie métrique des chemins de fer départementaux de la Somme, un réseau de chemin de fer secondaire[19].
Première Guerre mondiale
Ercheu a été occupé par l'armée allemande, qui y avait stocké des objets précieux spoliés dans les villages des alentours[20],[21].
Le village est considéré comme très largement détruit à la fin de la guerre[22] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [23].
Articles détaillés: Occupation de la France du Nord-Est par l'Allemagne pendant la Première Guerre mondiale, Croix de guerre 1914-1918 des communes de la Somme et Reconstruction en France et en Belgique après la Première Guerre mondiale.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de la Somme.
Elle fait partie depuis 1801 du canton de Roye[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont dépend toujours la commune, est modifié et s'étend de 33 à 62 communes.
Intercommunalité
La commune est membre de la communauté de communes du Grand Roye, créée en 2012.
Technicien irrigation Réélu pour le mandat 2020-2026[27]
Population et société
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].
En 2019, la commune comptait 769 habitants[Note 2], en diminution de 5,41% par rapport à 2013 (Somme: −0,2%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 021
1 018
1 014
1 053
1 014
1 039
1 086
1 110
1 060
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 032
1 091
1 067
1 020
1 039
1 073
1 019
1 088
1 096
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 104
1 007
1 093
715
800
767
742
778
779
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
720
576
601
648
709
704
780
790
813
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
785
769
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement et enfance
Place des droits de l'enfant, inaugurée le 14 juillet 2019.
Les enfants de la commune sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal qui regroupe Ercheu, Moyencourt et Cressy-Omencourt. Ercheu accueille l'école maternelle et deux classes élémentaires (CE1 - CE2, CM1 - CM2). Les locaux, 2 rue du Four Banal, ont été rénovés en 2019; ils comprennent une cantine scolaire[31].
Le centre périscolaire, construit en 2014, est situé près de la salle polyvalente de la commune. On y accède par la cour de l’école. Il comprend une salle d'activité et le dortoir des petits[32].
La commune dispose d'un centre de loisirs et d'un city stade; ce dernier a été aménagé en 2015 sur une place dénommée en 2019 Place des Droits de l'enfant[33].
Santé
Depuis le départ en retraite du médecin du village en 2017, les habitants doivent consulter leur généraliste à Nesle. La municipalité cherche à attirer un nouveau praticien et a aménagé des locaux adaptés dans l'ancienne boulangerie, où est déjà implanté un cabinet infirmier[34],[35].
Le village accueille un institut médico-éducatif (IME) et une maison de retraite, l'EHPAD la Rivière bleue, qui accueille 75 résidents en 2020[35],[36].
Sécurité
La commune a installé en 2017 quatre caméras de vidéosurveillance afin de «sécuriser le centre du village, rassurer les habitants et apporter une aide supplémentaire à l’action des Voisins vigilants[37]»[38].
Commerces et services
L'ancienne boulangerie a été rachetée par la commune afin d'y aménager le bureau d’un médecin et celui d’une infirmière; une superette a ouvert ses portes en juin 2020 sur environ 350 m2 (relais mondial colis retrait espèce-gaz- etc), ainsi que la relocalisation de l'agence postale[39],[40],[41].
Un distributeur de baguettes[42], et un autre de pommes de terre, équipent le village.
Dans le cadre de la réalisation du Canal Seine-Nord, Ercheu demande la réalisation d'une halte fluviale sur la commune, potentiellement équipée d'anneaux d’attache pour les bateaux de tourisme et autres, afin de favoriser son développement économique[43].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église moderne Saint-Médard, toute en pierre blanche.
L’église Saint-Médard, auparavant appelée église Saint-Martial, a été construite au XVesiècle[44],[45],[46],[47],[48],[49]. Elle a été éprouvée par les combats de la Première Guerre mondiale et a dû être reconstruite en 1926.
Sa façade néogothique et son portail de style roman constituent ses attraits extérieurs. À l’intérieur, se trouvent des vitraux de Jacques Grüber et de grandes orgues[50].
Ancienne raperie de betteraves, route de Roye, reconstruite en 1922, à l'emplacement présumé d'une sucrerie mentionnée en 1850 et détruite pendant la Première Guerre mondiale. Elle a cessé son activité en 1964 pour devenir un entrepôt agricole. Elle était reliée par conduites souterraines à la sucrerie d'Eppeville[16].
Chapelle dédiée à La Sainte-Famille, à Lannoy. Construite en 1923, elle offre au regard des symboles sculptés au-dessus de la porte d'entrée[51].
Allée de l'église.
Façade de l'église.
Saint-Médard.
Autre vue de l'église.
Personnalités liées à la commune
Marie Médard Stanislas Dufour, né le à Ercheu et mort le à Amiens, adjoint au maire d'Amiens et chevalier de la Légion d'honneur en 1854[52].
Héraldique
Blason
D'azur chargé de deux herses héraldiques d'or entrelacées en pal[53].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Pour approfondir
Bibliographie
Abbé Irénée Mache, Notice sur les anciens curés d'Ercheu de 1659 à 1904, Montdidier, Imprimerie Bellin, , 203p. (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
Abbé A. Arcelin, A Heuduin, Dictionnaire historique et archéologique de la Picardie, t.V: Arrondissement de Montdidier, cantons de Rosières et Roye, Amiens, Librairie Yvert et Tellier, coll.«Société des antiquaires de Picardie - Fondation Ledieu», , 479p. (lire en ligne), p.301-315, lire en ligne sur Gallica.
Articles connexes
Liste des communes de la Somme
Liste de monuments aux morts français surmontés d'un coq
Carte spéciale des régions dévastées: 22 NO, Laon [Nord-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
Notes et références
Notes
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Références
Martin Levisse, «Les frontaliers Samariens le prennent avec philosophie», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Auguste Baudoux, «Excusion du 9 septembre 1913 de Noyon à Frétoy-le-Château», Comité archéologique et historique de Noyon - Comptes rendus et mémoires lus aux séances, t.XXV, première partie, , p.XXX-XXXV (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
«Les industries disparues - Au temps du sucre roi à Ercheu: Lancée au XIXesiècle, l’industrie sucrière a fait les beaux jours d’Ercheu jusqu’au milieu du siècle dernier. Encore une fois, la Grande Guerre n’a pas épargné l’économie locale», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
«Discussion du projet de loi déclarant d'utilité publique le chemin de fer d'intérêt local de Bussy a Ercheu», Journal officiel de la République française. Débats parlementaires. Sénat, , p.861 (lire en ligne, consulté le ).
«La découverte d'Ercheu», Le Petit Parisien, , p.1 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
«L’ancien maire d’Ercheu est décédé», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )«Guy Rumpala est décédé à l’âge de 73 ans, jeudi 20 août. Il avait intégré le conseil municipal d’Ercheu, en 1983, comme simple conseiller. Ensuite, il a assuré trois mandats de maire, jusqu’en 2008».
«Toutes les écharpes ont trouvé preneur», Le Journal de Ham, no15, , p.2 (ISSN0755-1398).
Arnaud Brasseur, «Municipales à Ercheu: François Lamaire réélu», Le Bonhomme picard, (lire en ligne, consulté le ).
«L’école primaire d’Ercheu se refait une beauté», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
«Les locaux ne sont pas prêts pour le centre périscolaire», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
Anne Kanaan, «La place des droits de l’enfant est née à Ercheu: Il fallait trouver un nom à une place du village, jusque-là anonyme. Pour Jean-Yves Bonnissant, figure locale décédée en février dernier, il était tout trouvé», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )«Élu dans la commune depuis 2008- et adjoint depuis 2014 – Jean-Yves Bonnissant était surtout connu pour son engagement auprès des enfants. Un combat mené dans le cadre de son métier au sein de l’établissement médico-éducatif d’Ercheu qui accueille les enfants et adolescents ayant une déficience intellectuelle. Mais un combat qui prend aussi racine dans une tragédie familiale, celle de la disparition de son fils Emmanuel, le 16 février 1996 et qui a conduit Jean-Yves Bonnissant à créer Manu association en 1999».
«Un cabinet médical tout neuf à Ercheu: es deux infirmières du village ont pris place dans le nouveau cabinet. Cependant, l’appel au médecin est resté sans réponse», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
Anne Kanaan, «Ercheu appelle un médecin généraliste à la rescousse: Voilà deux ans que la commune n’a plus de médecin de famille. Le maire remue ciel et terre pour en trouver un, mais le parcours est semé d’embûches», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
Aude Collina, «Une aire de jeux anti-chutes pour tous les habitants d’Ercheu: La résidence pour personnes âgées de la commune a fait installer huit ateliers pour travailler son équilibre. Tout le village peut en profiter gratuitement.», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
«Quatre caméras de vidéo surveillance: La commune s'équipe», [[Le Journal de Ham|Le Journal de Ham]], no10,«Ces caméras coûtent très cher aux communes. C’est pourquoi, pour le moment, il n’y en aura que quatre dans Ercheu, situées à des endroits stratégiques afin de couvrir un maximum de territoire. «Évidemment, notre objectif est de positionner le dispositif partout dans la commune à l’avenir et surtout à toutes les entrées du village», ajoute le premier magistrat».
«Ercheu joue la carte de la sécurité: Les élus ont pris des mesures pour accroître la sécurité aux intersections des routes et aux abords de l’école ,installation de miroirs», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
«Ercheu transforme l’ex-boulangerie pour faire revenir les services: Le village d’Ercheu refait l’ancienne boulangerie afin d’offrir à ses habitants de nombreux services», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )«Je suis sur ce dossier depuis trois ans et les travaux viennent enfin de commencer, sourit François Lamaire, le maire d’Ercheu. L’agence postale n’est plus aux normes. Pour y pénétrer, il faut monter quelques marches. Nous avons donc cherché un nouvel emplacement pour l’installer. Comme l’ancienne boulangerie était à l’abandon, nous avons racheté les murs et décidé de monter un vrai projet autour».
«La supérette d’Ercheu ouvrira à la fin de l’année: Les travaux de la supérette vont débuter à la fin du mois d’août, pour une ouverture en fin d’année», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )«Cette supérette, représente un budget important pour le village: 728.000 euros sont investis pour le confort des 820 habitants d’Ercheu ainsi que des villages avoisinants. Subventionné à hauteur de 60% par l’État, ce budget comprend donc la construction du bâtiment, mais aussi celle d’un parking d’une dizaine de places qui permettra également un accès au nouveau bureau de Poste, ainsi qu’au cabinet médical situés au même endroit».
Aude Collina, «Ercheu, 800 habitants, a sa supérette: La commune située entre Roye et Nesle, dépourvue de commerce, entre dans une nouvelle ère avec l’ouverture de Coccimarket, par deux hommes enthousiastes et impliqués», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
«Ercheu dit bonjour à un kiosque à baguettes: Un drôle d’automate a fait son apparition dans les rues d’Ercheu. La machine distribue des baguettes de pain frais. Explications», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
Aude Colina, «Ercheu aimerait sa halte au bord du grand canal», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
Claudine Derobert-Mazure, le Courrier picard, «Ercheu, l'église nettoyée par les bénévoles», , p.22.
André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll.«Richesses en Somme», 4e trimestre 2003, 302p., p.278 (ASINB000WR15W8).
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