Beaulieu (en occitan : Bello Loco, ou Belloc) est une commune française située dans le nord-est du département de l'Hérault, en région Occitanie.
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Beaulieu | |
Chapelle Notre-Dame-de-la-Pitié de Beaulieu. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Hérault |
Arrondissement | Montpellier |
Intercommunalité | Montpellier Méditerranée Métropole |
Maire Mandat |
Arnaud Moynier 2020-2026 |
Code postal | 34160 |
Code commune | 34027 |
Démographie | |
Gentilé | Beaulieurois, Beaulieuroise |
Population municipale |
2 144 hab. (2019 ![]() |
Densité | 277 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 43′ 43″ nord, 4° 01′ 19″ est |
Altitude | Min. 47 m Max. 105 m |
Superficie | 7,73 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Beaulieu (ville-centre) |
Aire d'attraction | Montpellier (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton du Crès |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | mairiedebeaulieu.fr |
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Exposée à un climat méditerranéen, aucun cours d'eau permanent n'est répertorié sur la commune. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Beaulieu est une commune urbaine qui compte 2 144 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est ville-centre de l'agglomération de Beaulieu et fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelés les Beaulieurois ou Beaulieuroises.
Situé à l'est du département, entre Montpellier (16 km) et Nîmes (33 km), et à 27 km des stations balnéaires (La Grande Motte et Carnon), ce village viticole traversé par la Via Domitia est réputé dans la région pour ses pierres extraites dans les carrières, sur le plateau du Regagnat, au sud de la commune. La commune fait partie du Montpellier Méditerranée Métropole et de l'association Alliance des Beaulieu de France et de tout pays.
Beaulieu est située sur une colline de calcaire, s'étend sur des plaines et des coteaux arborés ou cultivés (vigne) au nord et au sud-ouest de la commune, elle est boisée par la garrigue au sud ainsi qu'une petite partie au nord par le Bois du Peillou. La commune située dans l'arrière pays montpelliérain, est à une demi-heure de la Méditerranée et du Pic Saint-Loup, à moins d'une heure des hauteurs cévenoles, à 5 minutes des communes de Sommières et Castries, à 20 minutes de Montpellier et à une demi-heure de Nîmes.
Saint-Hilaire-de-Beauvoir (3.24 / 4,07 km) Saint-Jean-de-Cornies (2.41 / 3,30 km) Montaud (5.69 / 6,77 km) |
Galargues (4.69 / 5,78 km) |
Campagne (6.60 / 7,89 km) Aspères (9.09 / 10,65 km) Salinelles (9.98 / 14,32 km) Saussines (4.71 / 6,03 km) Boisseron (5.95 / 7,12 km) Aubais (10.32 / 14,84 km) |
Saint-Drézéry (3.60 / 4,30 km) |
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Saint-Christol (4.62 / 5,09 km) |
Assas (10.24 / 12,01 km) Teyran (9.33 / 11,71 km) Sussargues (2.25 / 2,93 km) |
Baillargues (7.55 / 10,80 km) |
Restinclières (1.34 / 1,44 km) Valergues (7.30 / 9,78 km) Saint-Geniès-des-Mourgues (3.55 / 3,88 km) |
Trois cours d'eau sont situés dans la commune : Le Bérange et les ruisseaux du Mas de Lauriol et de la Gendarme.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[2].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Drezery », sur la commune de Saint-Drézéry, mise en service en 1980[7] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,3 °C et la hauteur de précipitations de 768,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946 et à 12 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 14,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 15,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 15,5 °C pour 1991-2020[13].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[14] :
Beaulieu est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[18],[I 1],[19]. Elle appartient à l'unité urbaine de Beaulieu, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[I 2] et 3 834 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[I 3],[I 4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 5],[I 6].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (61 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (57,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (21,8 %), zones urbanisées (13,3 %), forêts (5,2 %), zones agricoles hétérogènes (1,4 %), prairies (0,5 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Beaulieu est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Beaulieu est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 7],[23].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 70 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 626 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 192 sont en en aléa moyen ou fort, soit 31 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1994, 1998, 2001, 2002, 2003, 2005, 2014 et 2015.
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[26].
Elle est desservie par la route nationale RN110 (déclassée en RD610) qui relie Montpellier à Alès, par la D120 qui relie Sussargues à Campagne et est traversée par la D118, reliant Saint-Drézéry à Saturargues.
Deux lignes de bus desservent Beaulieu : La ligne 112 et la ligne 105, toutes les deux à destination de Castelnau-le-Lez (Arrêt Notre-Dame-De-Sablassou, liée à la ligne 2 du tramway de Montpellier), passant par le collège Les Pins de Castries. Un bus scolaire dessert aussi Beaulieu à destination des lycées Victor Hugo et Louis Feuillade de Lunel.
L'ancien village s'appelait Aissadanègues, et jouxtait un village du nom de Beaulieu, qui se situait près de la Chapelle Notre-Dame-de-la-Pitié de Beaulieu. Lorsque le « Beaulieu primitif », trop éloigné du château, fut abandonné, Aissadanègues reprit à son compte le nom de Beaulieu, attesté sous les formes de Bello Loco en 1194, de Belluoc en 1209, Beaulieu en 1526[27],[28].
Le nom provient du latin bellus locus, fidèlement traduit en « beau lieu », c'est-à-dire « bel endroit, beau site », endroit agréable à habiter.
En France, dix communes portent le nom de « Beaulieu » dans d'autres département : Ardèche, Cantal, Côte-d'Or, Indre, Isère, Haute-Loire, Nièvre, Orne et Puy-de-Dôme. Certaines communes ont adjoint, pour se différencier, un complément indiquant leur situation : Beaulieu-sur-Dordogne, Beaulieu-sur-Mer, Beaulieu-sur-Loire, Beaulieu-sur-Layon, Beaulieu-sous-la-Roche, Beaulieu-les-Fontaines, Beaulieu-sur-Sonnette, Beaulieu-sur-Oudon, Beaulieu-en-Argonne, Beaulieu-lès-Loches et Beaulieu-sous-Parthenay.
La gentilé des habitants de Beaulieu est très variée : Beaulieusard, Beaulieurois, Bellilocien, Bellieurain, Bellilocois, Belliloquois, Belliloqueteux, Belliquière, Berlugan, Beloudonien[réf. nécessaire].
Anciennement appelé Belloc au XVIIe siècle, Beaulieu, juché sur un plateau calcaire à 100 mètres d'altitude, s'est implanté autour de son château datant du XIIe siècle. Il reste en même temps très attaché à sa chapelle romane. Petit village qui vivra durant des siècles essentiellement d'agriculture dans la plaine agricole du nord (vigne, céréale, pastoralisme, etc.) et de l'extraction de la pierre dans ses carrières au sud. Le village était autonome avec ses nombreux commerçants et artisans comme le maréchal-ferrant, bourrelier, charron, etc.. Dans les dernières décennies du XXe siècle, sa population croît fortement et se tourne résolument vers la métropole de Montpellier.
Les habitants de Beaulieu ont pour surnom les Manges-Agasses (en occitan: Li Manjo-Agasso), qui signifie Les Mangeurs de Pie. L'origine de ce surnom survient à une période de diète auquel les Beaulieurois et le village voisin de Restinclières se disputèrent un chêne entre les deux communes abritant un nid de pies. Les Beaulieurois ont fini par obtenir leurs sésame, tandis que les Restinclièrois seront surnommés à la suite de cette histoire Li Rasclet, signifiant Les fauchés[réf. nécessaire].
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Blason | D'azur (de sable) au lion d'or. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1904 | 1929 | Jean Thouzellier | Viticulteur | |
1929 | 1935 | Jean Ferrier | Viticulteur | |
1935 | 1944 | Barthélémy Coudeyre | Viticulteur | |
1944 | 1947 | Paul Grasset | ||
1947 | 1959 | Gustave Julian | Viticulteur | |
1959 | 1965 | André Martinier | Viticulteur | |
1965 | 1983 | Henri Vianes | Viticulteur | |
1983 | 1995 | Pierre Volle | PS | |
1995 | 2008 | Claudette Le Faou | PS | |
2008 | En cours (au 25 mai 2020) |
Arnaud Moynier[29],[30] | UMP, LR puis DVD[31] |
Chef d'entreprise dans le secteur de l'agriculture[30],[32] Conseiller de Montpellier Méditerranée Métropole[33], suppléant de la Députée LREM Laurence Cristol |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].
En 2019, la commune comptait 2 144 habitants[Note 8], en augmentation de 29,86 % par rapport à 2013 (Hérault : +7,63 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
177 | 162 | 227 | 262 | 323 | 383 | 427 | 418 | 455 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
476 | 486 | 555 | 600 | 585 | 510 | 504 | 564 | 593 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
605 | 601 | 539 | 515 | 469 | 468 | 462 | 401 | 429 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2013 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
424 | 508 | 556 | 739 | 921 | 1 400 | 1 568 | 1 616 | 1 651 |
2018 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 057 | 2 144 | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018, la commune compte 850 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 2 201 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 24 540 €[I 7] (19 820 € dans le département[I 8]). 58 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 10] (40,7 % dans le département).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 9] | 5,2 % | 7,8 % | 8,9 % |
Département[I 10] | 8,9 % | 11,1 % | 11,2 % |
France entière[I 11] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 297 personnes, parmi lesquelles on compte 80,4 % d'actifs (71,5 % ayant un emploi et 8,9 % de chômeurs) et 19,6 % d'inactifs[Note 11],[I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 12]. Elle compte 185 emplois en 2018, contre 182 en 2013 et 178 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 939, soit un indicateur de concentration d'emploi de 19,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 64 %[I 13].
Sur ces 939 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 114 travaillent dans la commune, soit 12 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 89,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,2 % les transports en commun, 3,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
182 établissements[Note 12] sont implantés à Beaulieu au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 16].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 182 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 14 | 7,7 % | (6,7 %) |
Construction | 33 | 18,1 % | (14,1 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 27 | 14,8 % | (28 %) |
Information et communication | 13 | 7,1 % | (3,3 %) |
Activités financières et d'assurance | 1 | 0,5 % | (3,2 %) |
Activités immobilières | 7 | 3,8 % | (5,3 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 44 | 24,2 % | (17,1 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 28 | 15,4 % | (14,2 %) |
Autres activités de services | 15 | 8,2 % | (8,1 %) |
Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 24,2 % du nombre total d'établissements de la commune (44 sur les 182 entreprises implantées à Beaulieu), contre 17,1 % au niveau départemental[I 17].
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[38] :
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 49 | 27 | 16 | 9 |
SAU[Note 14] (ha) | 392 | 326 | 201 | 322 |
La commune est dans le « Soubergues », une petite région agricole occupant le nord-est du département de l'Hérault[39]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la viticulture[Carte 4]. Neuf exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 16] (49 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 322 ha[41],[Carte 5],[Carte 6].
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