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Compiègne [kɔ̃ piɛɲ] est une commune française située dans le département de l'Oise, dont elle est l'une des sous-préfectures, en région Hauts-de-France. La commune est située au nord-est de Paris. Résidence royale depuis les Mérovingiens, elle est souvent surnommée « la Cité Impériale » du fait de son passé étroitement lié au Second Empire.

Compiègne

La place de l'Hôtel-de-Ville.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
(sous-préfecture)
Arrondissement Compiègne
(chef-lieu)
Intercommunalité CA de la Région de Compiègne et de la Basse Automne
(siège)
Maire
Mandat
Philippe Marini (LR)
2020-2026
Code postal 60200
Code commune 60159
Démographie
Gentilé Compiégnois
Population
municipale
40 615 hab. (2019 )
Densité 765 hab./km2
Population
agglomération
70 699 hab. (2017 )
Géographie
Coordonnées 49° 24′ 54″ nord, 2° 49′ 23″ est
Altitude Min. 31 m
Max. 134 m
Superficie 53,10 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Compiègne
(ville-centre)
Aire d'attraction Compiègne
(commune-centre)
Élections
Départementales Cantons de Compiègne-1 et Compiègne-2
(bureau centralisateur)
Législatives 5e circonscription de l'Oise

6e circonscription de l'Oise

Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Compiègne
Géolocalisation sur la carte : France
Compiègne
Géolocalisation sur la carte : Oise
Compiègne
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Compiègne
Liens
Site web https://www.agglo-compiegne.fr/

    Elle constitue par sa superficie la première commune du département, et par sa démographie la deuxième. Elle est la troisième aire urbaine du département de l'Oise avec un peu moins de 100 000 habitants.


    Géographie



    Localisation


    La ville de Compiègne est située en aval du confluent des rivières Oise et Aisne, dans le département de l'Oise. Elle en constitue la troisième aire urbaine, avec 98 418 habitants[1].

    La ville se situe à moins d'une heure par voie autoroutière de Paris et une trentaine de minutes de l'Aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle.

    En termes de distance, Compiègne se trouve à 49 km de l’Aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle [2] et à 71 km de Paris[3].

    Compiègne et Paris possédant respectivement un territoire relativement vaste, la distance qui sépare les deux points les plus proches entre les deux villes n’est que de 62 km[4]. De ce fait la ville est située à la limite de l’Aire d'attraction de Paris, Compiègne possédant sa propre aire d’attraction mais étant directement concernée par l’influence économique parisienne.

    Au sud-est s'étend la forêt domaniale de Compiègne.

    La cité se situe aux limites du Valois et du Soissonnais, point de jonction naturel des trois zones géographiques et culturelles que sont la Picardie, la Champagne et l'Île-de-France. De par sa position géographique, Compiègne subit d'ailleurs l'influence de nombreuses villes et agglomérations alentour, dans, et en dehors de la Picardie[5] :

    Compiègne - Distance des villes principales les plus proches et leurs influences[5]
    Ville / DépartementStatutFonctions et attraits principauxDistance orthodromique[6]Distance routière[7]Direction
    Crépy-en-Valois 60emploi
    20,7 km
    23,8 km
    sud
    Noyon 60emploi, soins
    22,0 km
    28,8 km
    nord-est
    Senlis 60emploi
    29,5 km
    35,8 km
    sud-ouest
    Clermont 60emploi
    30,2 km
    34,4 km
    ouest
    Creil 60emploi
    30,9 km
    39,7 km
    sud-ouest
    Soissons 02commerces, culture, enseignement, soins
    36,3 km
    38,5 km
    est
    Beauvais 60Préfectureadministration, commerces, justice, transports
    53,0 km
    58,7 km
    ouest
    Amiens 80Ex-Capitale régionaleadministration, enseignement, justice, soins
    65,3 km
    98,8 km
    nord-ouest
    Paris 75Capitale nationaleadministration, commerces, culture, emploi, enseignement, soins, transports
    71,3 km
    84,3 km
    sud-ouest

    Communes limitrophes


    Distances orthodromiques[8] des communes dont le territoire est limitrophe de celui de Compiègne[9].

    Communes limitrophes de Compiègne
    Margny-lès-Compiègne (0,9 km) Clairoix (2,9 km) Choisy-au-Bac (4,3 km) Rethondes (8,2 km)
    Venette (1,8 km) Trosly-Breuil (10,2 km) Vieux-Moulin (8,2 km)
    Jaux (4,9 km) Lacroix-Saint-Ouen (7,5 km) Saint-Jean-aux-Bois (9,7 km)

    Hydrographie


    Compiègne longe l'Oise uniquement sur sa rive gauche sauf autour de la gare où le territoire communal s'étend sur les deux rives et également sur la rive gauche de l'Aisne près du confluent. Cette rive est longée par une piste cyclable qui se prolonge en aval jusqu'à La Croix Saint-Ouen.

    L'Oise est l'un des principaux affluents de la Seine.

    Le second pont sur l'Oise a été inauguré en septembre 2011[10],[11]


    Climat


    Statistiques 1981-2010 et records Station MARGNY-LES-COMPIEGNE (60) Alt: 92m 49° 25′ 48″ N, 2° 48′ 12″ E
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,1 1,8 3,4 5,3 8,9 11,2 13,2 13,3 10,4 7,9 4,4 1,5 6,9
    Température moyenne (°C) 3,6 4,9 7,4 10,2 13,8 16,7 18,9 18,9 15,5 11,9 7,3 3,8 11,1
    Température maximale moyenne (°C) 6,1 7,9 11,5 15,1 18,8 22,1 24,6 24,5 20,5 15,9 10,1 6,1 15,3
    Record de froid (°C)
    date du record
    −15
    07.2009
    −10,3
    07.2012
    −10,4
    13.2013
    −4,8
    07.2021
    −0,6
    07.1997
    3,1
    01.2006
    4,9
    03.2011
    4,9
    28.1998
    0,5
    30.2018
    −4,6
    28.2003
    −10,4
    24.1998
    −11,3
    29.1996
    −15
    2009
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    14,8
    09.2015
    19
    27.2019
    25,1
    31.2021
    27,5
    19.2018
    30,6
    27.2005
    35,3
    27.2011
    41,5
    25.2019
    39,2
    12.2003
    34,8
    15.2020
    28,2
    01.2011
    20,2
    06.2018
    16,4
    07.2000
    41,5
    2019
    Précipitations (mm) 53,3 45,7 46,9 48,1 58 51 59,7 70,9 49,8 63,9 55,3 59,6 662,2
    dont nombre de jours avec précipitations ≥ 1 mm 9,9 10,3 10 8,9 9,6 8,9 8,9 9,7 8 9,4 10,8 11,9 116,4
    dont nombre de jours avec précipitations ≥ 5 mm 3,7 2,8 3,5 3,3 3,9 3,8 3,7 4,4 3,1 3,8 4 4,4 44,4
    dont nombre de jours avec précipitations ≥ 10 mm 1,4 0,9 0,9 1,1 1,7 1,3 1,9 2,4 1 1,6 1,6 1,4 17,1
    Source : [MétéoFrance] « Fiche 60382001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/05/2021 dans l'état de la base

    Urbanisme



    Typologie


    Compiègne est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Compiègne, une agglomération intra-départementale regroupant quatorze communes[15] et 70 699 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].


    Occupation des sols


    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (73 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (73,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (72,1 %), zones urbanisées (11 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (6,4 %), eaux continentales[Note 3] (1,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %), mines, décharges et chantiers (0,7 %), zones agricoles hétérogènes (0,3 %), terres arables (0,1 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].


    Toponymie


    Le nom est attesté sous la forme latine Compendium au VIe siècle.

    Albert Dauzat et Charles Rostaing[22] l'expliquent par un bas latin *compendium « chemin de traverse ». Ce mot n'est pas attesté ailleurs dans la toponymie et n'a pas d'héritier en ancien français.

    En latin, on trouve compendia via « chemin de traverse » ou compendĭārĭa (via) « voie plus courte »[23].

    Le terme français compendium est un emprunt au latin médiéval compondium au sens de « résumé d'une science, d'une doctrine, etc. » qui ne convient pas ici.

    Ces mêmes auteurs classent Compiègne sous la rubrique Compains, commune à laquelle ils attribuent le nom de personne gallo-roman Compendius, de signification obscure.

    En fin de compte, l'origine du nom reste mal éclaircie, faute de formes anciennes. On peut très bien envisager une explication à partir du préfixe gaulois com- / con- 'avec', 'ensemble', 'également' entrant dans la composition de nombreux anthroponymes et toponymes, suivi d'un élément *pennia > *pendia (cf. Arpent, d'origine gauloise arependis < arepennis[24]).

    Pendant la Révolution française, la ville fut appelée « Marat-sur-Oise ».

    Ses habitants sont appelés les Compiégnois.


    Habitat et logement


    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 21 555, alors qu'il était de 21 374 en 2013 et de 20 717 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 91,6 % étaient des résidences principales, 1,7 % des résidences secondaires et 6,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 20,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 78,3 % des appartements[I 2].

    Compiègne dépasse les obligations qui lui sont faites par l'article 55 de la loi SRU qui lui imposent de disposer d'au moins 25 % de logements sociaux[25]. Au sens du recensement, la ville disposait en 2008 de 6 102 logementys HLM (32,5 % du parc des résidences principales), nombre qui s'est réduit à 5 558 en 2018 (28,1 %)[I 3].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Compiègne en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,7 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 35,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (32,3 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Compiègne en 2018.
    Typologie Compiègne[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 91,6 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,7 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 6,7 7,1 8,2

    Voies de communication et transports



    Voies de communication

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    Une piste cyclable est aménagée sur une part importante des quais de l'Oise[26]


    Transport

    La ville dispose de la gare de Compiègne située sur la ligne de Creil à Jeumont. Elle est desservie par les lignes de trains TER ParisSaint-Quentin (ou autre terminus) et Amiens – Compiègne.

    Les Transports intercommunaux du Compiégnois constituent le réseau de transport urbain et périurbain de l'agglomération compiégnoise. Ce service est gratuit du lundi au samedi depuis 1975. Il a transporté 4,7 millions de voyageurs en 2000.

    Il est constitué de 6 lignes urbaines régulières exploitées au moyen d'autobus et de 5 lignes périurbaines exploitées avec des autocars[27].

    Les dimanches et jours fériés lignes de bus spécifiques D1 et D2 circulent desservant le centre de l'agglomération au tarif d'un euro le trajet.

    La ville est également desservie par des lignes du réseau interurbain de l'Oise qui prennent leur départ sur le parvis de la gare.

    Un ensemble de taxis est implanté à Compiègne et un service de covoiturage a aussi été créé par la ville.


    Histoire



    Antiquité


    Les premières traces d'habitat humain sur la commune de Compiègne remontent au début du Ve millénaire avant notre ère et se continuent jusqu'à la conquête romaine[28]. À l'époque gallo-romaine, Compiègne fut un point de passage sur l'Oise (Isara) relié au réseau de voies secondaires à la frontière des territoires des Bellovaques (Beauvais) et des Suessions (Soissons). Un gué se trouvait au lieu-dit le Clos des Roses entre Compiègne et Venette. Dans le quartier du Clos des Roses ont été retrouvés les vestiges d'un bâtiment romain, peut-être un poste de garde militaire du gué[29]. Au centre-ville actuel, les fouilles menées n'ont pas permis de découvrir de vestiges gallo-romains. Dans les environs, quelques vestiges de villae furent mis au jour[30],[31].


    Moyen Âge



    Haut Moyen Âge

    Le faubourg de Saint-Germain paraît être le premier établissement de Compiègne. La ville, sur son emplacement actuel, est de formation relativement récente ; elle s'est créée autour du château des rois de France. Compiègne fut associée à la couronne de France dès l'avènement des Mérovingiens. L'acte le plus ancien qui en fait mention est un diplôme de Childebert Ier en 547[réf. souhaitée]. Clotaire Ier y mourut en 561[32] et les rois mérovingiens et carolingiens y séjournèrent souvent et y tinrent de nombreux plaids et conciles. Ragenfred, maire du Palais sous Dagobert III, bat en 715 les Austrasiens dans la forêt de Cuise, près de Compiègne[33]. Pépin le Bref en 757, reçoit à Compiègne une ambassade de l'empereur Constantin V Copronyme, qui lui fait présent pour son oratoire des premières orgues connues en France[34],[réf. non conforme]. Il y reçoit aussi le serment de vassalité du duc Tassilon III de Bavière.
    Charles II le Chauve (823-877) roi de Francie et empereur d'Occident en fit son séjour habituel. Par le traité de Compiègne, le 1er août[35],[réf. non conforme] ou le [36],[37], il concède le Cotentin, l'Avranchin ainsi que les îles Anglo-Normandes à Salomon, roi de Bretagne.
    Le , Charles le Chauve ordonne l'édification de la collégiale Sainte-Marie, future abbaye Saint-Corneille, sur le modèle de celle d'Aix-la-Chapelle. Le il la fait consacrer par le pape Jean VIII[réf. souhaitée]. L'importante abbaye Saint-Corneille riche de reliques insignes (Saint-Suaire, reliques de la Passion, Voile de la Vierge) devient alors le noyau autour duquel commence à se développer la ville et le roi y bâtit un nouveau palais.

    Article détaillé : Abbaye Saint-Corneille.

    Son fils Louis le Bègue fut sacré à Compiègne le dans l'abbaye Saint-Corneille par l'archevêque Hincmar de Reims et il y mourut en 879. En 884 à Compiègne, les grands du royaume au nom de son frère Carloman signent une trêve avec les Vikings. Enfin, Louis V le dernier Carolingien, qui fut sacré à Compiègne le et qui mourut le fut inhumé dans l'abbaye Saint-Corneille.


    Les Capétiens

    Le roi Louis VI le Gros accorde des privilèges aux habitants de la ville de Compiègne, vers le 21 mai 1111. Diplôme royal en latin, non daté, portant le monogramme royal. Archives nationales.
    Le roi Louis VI le Gros accorde des privilèges aux habitants de la ville de Compiègne, vers le 21 mai 1111. Diplôme royal en latin, non daté, portant le monogramme royal. Archives nationales.

    Hugues Capet ayant été élu roi des Francs en 987, Compiègne restera un des séjours préférés des premiers Capétiens[source insuffisante] : c'est à Saint-Corneille que la reine Constance d'Arles, épouse de Robert le Pieux, fit associer au trône son fils aîné Hugues[38] qui sera inhumé dans cette basilique en 1025, avant d'avoir pu régner seul.

    Louis VI, avant 1125, qui octroie à la ville sa première charte communale[39]. L'abbaye, par suite des scandales causés par les chanoines, devient une abbaye bénédictine à partir de 1150[réf. souhaitée]. Les bourgeois de Compiègne qui ont aidé à l'installation des moines et à l'expulsion des chanoines, obtiennent que leur ville soit instituée en commune par le roi Louis VII en 1153[réf. souhaitée]. Une charte communale sera aussi donnée aux habitants de Royallieu par la reine Adélaïde. Philippe Auguste confirme les droits communaux de Compiègne en 1207 et durant tout le XIIIe siècle la ville va accroître ses biens et son autorité avec le soutien du roi, qui sert d'arbitre entre les religieux de l'abbaye et les bourgeois de la commune[source insuffisante].

    En 1328, à l'occasion du mariage à Compiègne de Robert d'Artois avec Mahaut de Lorraine, Saint-Louis a organisé un tournoi auquel ont participé trois cent trente-huit princes et chevaliers[40]. Ce tournoi a été reconstitué à l'occasion des fêtes de Jeanne d'Arc les 28 mai et 5 juin 1911[40].

    Au milieu du XIIIe siècle, Saint Louis construit le Grand Pont, réparé sous Charles VIII et qui durera jusqu'en 1735. Saint Louis enlève aux moines la juridiction du prieuré et de l'hôpital Saint-Nicolas-au-Pont et va en faire un Hôtel-Dieu. Le roi, aidé par son gendre, roi de Navarre, y porta le premier malade sur un drap de soie en 1259.
    Durant le XIVe siècle, la commune de Compiègne en proie à des difficultés financières insurmontables, va devoir renoncer à sa charte communale et le roi va nommer un prévôt pour administrer la ville et rendre la justice, avec le concours d'un maire aussi nommé par le roi et des représentants des bourgeois[réf. souhaitée]. La communauté élit tous les quatre ans, plusieurs "gouverneurs-attournés" chargés de la gestion communale. En cas de guerre le roi nomme un capitaine, proposé par la communauté qui se charge de la défense.


    Les Valois

    Jusqu'à la fin du XIVe siècle les rois réunirent souvent les États-généraux à Compiègne. En 1358, le régent Charles y réunit les États de Langue d'oïl pour rétablir l'autorité royale face aux menées d'Étienne Marcel. En 1374, il commence la construction d'un nouveau château sur l'emplacement actuel du Palais. Compiègne est désormais séjour royal et séjour de la cour, et reçoit la visite de nombreux princes.
    Compiègne a vu naître Pierre d'Ailly, cardinal-évêque de Cambrai, chancelier de l'Université de Paris, diplomate qui contribua à mettre fin au Grand Schisme d'Occident, auteur de plusieurs ouvrages d'érudition. L'un de ses ouvrages permit à Christophe Colomb de préparer la découverte de l'Amérique.

    Pendant la guerre de Cent Ans, Compiègne fut assiégée et prise plusieurs fois par les Bourguignons. Elle embrassa quelque temps le parti du roi plantagenêt Henri VI. Mais à partir du sacre de son compétiteur le Valois Charles VII, elle devient fidèle à celui-ci. Le plus mémorable de ces sièges est celui de 1430 où Jeanne d'Arc, accourue dans la ville pour la défendre, tomba le 23 mai aux mains des capitaines bourguignons Guillaume de Wandonne et Antoine de Bournonville commandés par Jean de Luxembourg-Saint-Pol, lors d'une sortie sur la rive droite de l'Oise et fut vendue aux Anglais. Ce siège s'est traduit par d'importantes destructions par suite des bombardements, une baisse de la population et un appauvrissement des habitants. Les guerres menées par Louis XI se traduisent encore par des charges supplémentaires (fortifications, logement des gens de guerre), des impôts plus lourds et des emprunts forcés, et il faudra attendre le règne de Charles VIII pour entreprendre la reconstruction, relancer l'activité et retrouver la population d'avant la guerre.

    Depuis lors, les rois de France continuèrent à résider souvent à Compiègne et prirent l'habitude de s'y arrêter en revenant de se faire sacrer à Reims, ainsi qu'avait fait Charles VII, accompagné de Jeanne d'Arc, en 1429.

    La restauration de Compiègne est marquée par la reconstruction de l'hôtel de ville durant le premier tiers du XVIe siècle, symbole de la Ville. Le beffroi est orné des trois Picantins représentant des prisonniers anglais, flamands et bourguignons qui frappent les heures sur les cloches.

    Les rois faisaient encore de courts séjours de François Ier à Henri IV. Compiègne était ville royale, ses gouverneurs-attournés étaient nommés avec l'avis du roi, les impôts, taxes et emprunts étaient dus au roi et les régiments de passage étaient logés chez les habitants. Pendant les guerres de religion, Compiègne resta catholique, fidèle à la royauté et bénéficia en retour de quelques avantages de la part des souverains. L'édit de Compiègne de 1547 réservant aux tribunaux laïcs le jugement des protestants dès qu'il y a scandale public, est une des premières étapes de la répression contre les huguenots.


    Époque moderne



    Compiègne en 1627

    Vue cavalière de Compiègne en 1671.
    Vue cavalière de Compiègne en 1671.
    L'abbaye Saint-Corneille et l'hôtel de ville.
    L'abbaye Saint-Corneille et l'hôtel de ville.
    Compiègne sous l'Ancien Régime vue de l'Oise.
    Compiègne sous l'Ancien Régime vue de l'Oise.
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    L’administration royale est à Compiègne, ville de 8 000 habitants, d’après le recensement d’Arthur de Marsy[41], et dans les environs de la ville, peu importante, comme d'ailleurs dans l’ensemble des villes du royaume.

    Quelques notables (médecins, chirurgiens, etc.) sont classés parmi eux. Par contre, les marchands, les industriels, les taverniers et les artisans sont classés dans une autre catégorie : Commerces et industries diverses. Cette catégorie s’étend aux mariniers et aux laboureurs, vignerons ou encore aux jardiniers.

    Le premier ordre est lui aussi classé à part. Arthur de Marsy, auteur d'un recensement en 1627, ne donne que les chiffres des membres du clergé séculier par paroisse :

    Sur les 83 maîtres ou maîtresses d’écoles, 29 sont des ecclésiastiques. Mais le nombre de membres du clergé régulier dans les établissements reste la grande inconnue. Le nombre des pauvres et celui des mendiants est de 320, chiffre peu important, si on le compare avec la situation de Châteauroux qui en 1789 avec 7 000 habitants doit secourir 3 000 malheureux venus principalement du Massif Central. Par contre, il est supérieur à celui des pauvres vers 1760 à Morlaix, ville de 10 000 habitants qui est de cent.


    Ville

    Le capitaine de la ville de Compiègne, les gouverneurs-attournés, le receveur de la ville, le greffier de la ville et celui du bureau de la ville, le contrôleur de la ville, et le serviteur[pas clair].


    Justice

    L'élection est la juridiction la plus complète[Passage problématique], on y trouve un président, neuf élus, le procureur du roi, l'avocat du roi, le lieutenant, le contrôleur, le greffier, le commis-greffier et deux huissiers, en tout 48 fonctionnaires.

    Le lieutenant au bailliage, le lieutenant particulier, le procureur et l'avocat du roi ; un greffier et un commis greffier ; le prévôt de l'exemption, le prévôt de Margny, le prévôt forain, et leurs greffiers, ainsi que le greffier du prévôt de Thourotte, Deux grenetiers et deux contrôleurs du grenier à sel. Trois receveurs des tailles, un des consignations et un des Gabelles, ainsi qu'un commis aux Gabelles. Vingt avocats. Neuf notaires. Vingt-sept procureurs. Dix praticiens. Trente et un sergents. Le greffier et quatre sergents pour la police de Saint-Corneille. Le geôlier et deux exécuteurs des hautes œuvres.

    Le lieutenant, le greffier et trois archers de la Maréchaussée, cinq archers de robe courte

    [pas clair]

    Forêts

    Forêts de Compiègne et de Cuise. Le capitaine de la forêt, le maître particulier, le lieutenant, un garde marteau, un greffier, un greffier du maître verdier, trois sergents dangereux, et un sergent louvetier.

    Forêt de Laigue - Un maître particulier, un lieutenant, un procureur du roi, un garde marteau, un greffier et un sergent dangereux

    [pas clair]

    Divers

    Un concierge du logis du roi, un maître du Pont, un maître des relais, quatre portiers aux portes de la ville. Cinq médecins, sept chirurgiens, sept apothicaires et trois sages-femmes. Trois arpenteurs, le recommandeur des trépassés.

    Signalons encore un fondeur et un charpentier de l'artillerie du roi, le fauconnier du gouverneur, et quelques officiers de la maison royale, ou de celles des princes, dont on trouve les noms aux différents tours qu'ils habitent

    [pas clair]

    Les Bourbon

    Les premier et deuxième traités y sont conclus avec la République de Gênes pour le rattachement de la Corse à la France en 1756 et 1764. En 1770, Louis XV et le dauphin accueillent au château Marie-Antoinette lors de son arrivée en France.


    Epoque contemporaine



    Révolution et Empire

    En 1790, le département de l'Oise est créé après le démantèlement de l'ancienne province d'Île-de-France. En 1794, les seize sœurs carmélites de Compiègne sont jugées et guillotinées. Georges Bernanos s'inspira de leur histoire pour écrire sa pièce Dialogues des Carmélites.

    En 1804, le château de Compiègne intègre le domaine impérial. Le roi Charles IV d'Espagne, venant d'abdiquer, y est logé par Napoléon du 18 juin au . En mars 1810, l'Empereur y rencontre Marie-Louise d'Autriche pour la première fois.

    Le , les Prussiens attaquent la ville par la route de Noyon.


    Restauration, Second Empire et IIIe République

    Le , le mariage de Louise-Marie d'Orléans (fille du roi Louis-Philippe Ier) avec le roi des Belges, Léopold Ier, est célébré au château. Napoléon III y séjourne fréquemment de 1856 à 1869 afin de profiter de la Forêt de Compiègne.

    Compiègne accueille les épreuves de golf des Jeux olympiques d'été de 1900 sur le terrain de la Société des sports de Compiègne.


    Première Guerre mondiale

    Compiègne est la ville de cantonnement des 54e et 254e régiments d'infanterie et du 13e régiment d'infanterie territorial.

    Au début de la Première Guerre mondiale, le Génie français fait sauter le pont sur l'Oise afin de ralentir la progression allemande tandis qu'une partie de la population quitte la ville par trains, voitures et par péniches. La ville est néanmoins envahie dès le et est occupée jusqu'au 12 septembre, où ils se replient sur les hauteurs de Tracy-le-Mont après leur défaite lors de la Bataille de la Marne[42].

    Compiègne devient alors une ville de l'arrière du front où les anciens casernements, le palais et les écoles sont transformés en hôpitaux militaires. Elle est bombardée à plusieurs reprises par l'aviation allemande ainsi que par un canon à longue portée, le Long Max[42].

    Le général Pétain installe son quartier général au château du au . Plusieurs conférences interalliées y sont tenues. Le , durant l'offensive du printemps, une réunion de crise réunit Georges Clemenceau, Raymond Poincaré, Louis Loucheur, Henri Mordacq, Ferdinand Foch et Philippe Pétain dans la commune, afin d'organiser la défense de la ligne de front avec les Britanniques[42].

    Vide de ses habitants évacués, Compiègne subit en 1918 des bombardements quotidiens provoquant d'importantes destructions. Le 2 septembre 1918, tandis que le département de l'Oise est totalement libéré après l'offensive générale lancée le 10 juillet, Compiègne subit son dernier bombardement[42]

    Le , en forêt domaniale de Compiègne, dans un wagon au milieu d'une futaie, à proximité de Rethondes, l'Armistice de 1918 est signée entre la France et l'Allemagne en présence du maréchal Foch et du général Weygand[43].

    A la fin de la guerre, de nombreux bâtiments de la ville sont détruits[44] et Compiègne été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [45].


    Seconde Guerre mondiale

    Dans le même lieu, aménagé entre-temps en clairière dite clairière de Rethondes ou clairière de l'Armistice, et dans le même wagon qu'en 1918, est signé l'Armistice du 22 juin 1940 entre la France, représentée par la délégation envoyée par le maréchal Pétain et présidée par le Général Huntziger, et l'Allemagne représentée par le maréchal Keitel. Adolf Hitler et de nombreux dignitaires allemands étaient présents la veille, jour inaugural de la négociation d'Armistice.

    Articles détaillés : Clairière de l'Armistice et Wagon de l'Armistice.

    Durant l'Occupation, les nazis installèrent un camp de transit et d'internement de juin 1941 à août 1944 à Royallieu. Le premier train de déportés politiques quitte le camp de Royallieu pour celui d'Auschwitz, le . À cet endroit le , le « Mémorial de l'internement et de la déportation » a été inauguré[46].

    Article détaillé : Camp de Royallieu.

    Un des tout premiers groupes armés de la résistance française, le « groupe de Compiègne », est né dans l'Oise, en février 1941. Ralliés à Combat Zone Nord, ses militants sont pour la plupart arrêtés à compter du 3 mars 1942 et déportés en Allemagne d'où bien peu sont revenus.

    La ville de Compiègne a été décorée de la Croix de guerre 1939-1945 avec étoile d'argent accompagnée d'une citation à l'ordre de la division :

    « Ville au passé lourd de gloire qui a été cruellement meurtrie en 1940 et 1944 par de nombreux bombardements aériens qui l'ont partiellement détruite.

    Par l'attitude résistante de ses habitants, l'aide matérielle et morale apportée aux déportés du camp de Royallieu et l'accueil magnifique qu'elle a réservé aux prisonniers rapatriés a donné, face à l'ennemi, le plus bel exemple de solidarité française et de patriotisme. Déjà citée au titre de la guerre 1914-1918[47]. »


    L'après-Seconde-Guerre-mondiale

    La création de la région Picardie par décret[48] du ), y incorpore le département de l'Oise. Rappelons que jusqu'en 1790, année du démantèlement des anciennes provinces de France, Compiègne était située dans le Domaine royal français ou province d'Île-de-France et non en Picardie.

    Articles détaillés : histoire de l'Île-de-France et Picardie (province de France).

    En 1972 est créée l'université de technologie de Compiègne.

    Le , la réforme territoriale de 2015, la Picardie fusionne avec la région Nord-Pas-de-Calais, formant les Hauts-de-France[49], dont fait désormais partie la ville.


    Politique et administration



    Rattachements administratifs et électoraux


    La commune est le chef-lieu de l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle est divisée depuis 1988 entre la cinquième et la sixième circonscription de l'Oise.

    Elle était de 1793 à 1973 le chef-lieu du canton de Compiègne, année où celui-ci est scindé et la commune répartie entre les cantons de Compiègne-Nord et de Compiègne-Sud. En 1982, le canton de Compiègne-Sud est également scindé et la ville divisée entre les cantons de Compiègne-Nord, Compiègne-Sud-Ouest et de Compiègne-Sud-Est[50]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais partagée administrativement en deux cantons dont elle est le bureau centralisateur :
    - canton de Compiègne-1 (avec dix-neuf autres communes) ;
    - canton de Compiègne-2 (avec seize autres communes).


    Intercommunalité


    Le SIVOM de Compiègne est créé en 1970 et regroupe à l'origine onze communes. Celui-ci est transformé en 2000 et devient la communauté de communes de la région de Compiègne (CCRC), puis, en 2005, en communauté d'agglomération, l'agglomération de la région de Compiègne.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[51], cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, pour former le la communauté d'agglomération de la Région de Compiègne et de la Basse Automne[52], dont la ville est désormais le siège.


    Tendances politiques et résultats


    La ville est orientée vers une politique de droite. Chaque élection donnant lieu à un score assez élevée des partis politiques de droite.

    Lors du premier tour des élections municipales de 2014 dans l'Oise, la liste UMP/UDI menée par le maire sortant Philippe Marini obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 8 290 voix (64,75 %, 33 conseillers municipaux élus dont 20 communautaires), devançant très largement les listes menées respectivement par[53] :
    - Richard Valente (PS - EELV - PRG, 2 144 voix, 16,74 %, 3 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires) ;
    - Jean-Marc Branche (FN - RBM, 1 887 voix, 14,73 %, 3 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire) ;
    - Jean-Marc Iskin (LO, 481 voix, 3,75 %, pas d'élus).
    Lors de ce scrutin, 47,98 % des électeurs se sont abstenus.

    Article connexe : Élections municipales de 2014 dans l'Oise.

    Lors du premier tour des élections municipales de 2020[54], la liste menée par le maire sortant Philippe Marini (LR, LC, SL) obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 5 249 voix (57,85 %, 35 conseillers municipaux élus dont 21 communautaires), devançant très largement les listes menées respectivement par[55],[56] :
    - Daniel Leca (UDI, REM - EÉLV, 2 864 voix|, 31,56 %, 7 conseillers municipaux élus dont 4 communautaires) ;
    - Jean-Marc Branche (RN, 633 vois, 6,97 %, conseiller municipal élu) ;
    - Jean-Marc Iskin (L, 326 voix, 3,59 %, pas d'élus).
    Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 61,89 % des électeurs se sont abstenus.

    Article connexe : Élections municipales de 2020 dans l'Oise.

    Liste des maires


    Article détaillé : Liste des maires de Compiègne.
    Liste des maires successifs depuis la Libération de la France[57]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1947 James de Rothschild radical ind. Banquier
    octobre 1947[58] 1954 Jean Legendre[59],[60],[61] PRL Journaliste
    Député de l'Oise (1945 → 1962)
    mars 1954[62] 1959 Henri Adnot[Note 4]    
    1959 1987 Jean Legendre[60],[61],[63] CNIP Journaliste
    Député de l'Oise (1945 → 1962)
    Démissionnaire
    23 octobre 1987 En cours
    (au 25 février 2022)
    Philippe Marini[64] RPR
    puis
    UMP → LR
    Énarque, inspecteur des finances,
    Directeur financier du Commissariat à l'énergie atomique
    Sénateur de l'Oise (1992 → 2015)
    Conseiller général de Compiègne-Nord (1991 → 1992 et 2001 → 2002)
    Président de l'agglomération de la région de Compiègne (2005 → 2016)
    Président de la CA de la Région de Compiègne et de la Basse Automne (2017 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[65],[66], [67]

    Politique de développement durable


    Cette section doit être actualisée. (Dernière mise à jour : 2009)
    Des passages de cette section sont obsolètes ou annoncent des événements désormais passés. Améliorez-la ou discutez-en.

    La ville a engagé dans une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2009[68].


    Distinctions et labels


    La commune a obtenu 2 fleurs en 2007[69].puis 3 fleurs au concours des villes et villages fleuris de 2017. Elle concourt pour une quatrième fleur en 2018[70].

    Compiègne a été désignée comme ville la plus sportive de France en 2009[réf. nécessaire].


    Jumelages


    Jumelages et partenariats de Compiègne.
    Jumelages et partenariats de Compiègne.
    VillePaysPériode
    Arona[71]Italiedepuis
    Bury St Edmunds[71]Royaume-Unidepuis
    Elbląg[71]Polognedepuis
    Guimarães[71],[72]Portugaldepuis le
    Huy[71]Belgiquedepuis
    Jezzine[71]Liban
    Kiryat Tivon[71]Israëldepuis
    Landshut[71]Allemagnedepuis
    Raleigh[71]États-Unisdepuis
    Shirakawa[71]Japondepuis le
    Vianden[71]Luxembourgdepuis

    Équipements et services publics


    Une maison France services est installée en 2022 dans le bureau de poste du quartier du Puy-du-Roy et permet d'accéder à des services publics comme Pôle emploi, la Caisse primaire d'assurance maladie (CPAM), la Caisse d’allocations familiales, la Carsat (retraite), les cartes grises, le Trésor public[73]...


    Enseignement


    La commune compte[Quand ?] :

    ainsi que des établissements privés : quatre écoles primaires, deux collèges et un lycée.

    L'Université de technologie de Compiègne (UTC), grande école d'ingénieurs publique, qui propose des formations généralistes dans les domaines de la mécanique, de la biologie, de l'informatique, des procédés industriels et des systèmes urbains est installée à Compiègne, tout comme l'Ecole supérieure de commerce de Compiègne[75] et l'École supérieure de chimie organique et minérale (ESCOM).

    Par ailleurs, Compiègne comprend l'une des trois classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) de Picardie avec celles du lycée Louis-Thuillier d'Amiens et celles du lycée Marie-Curie de Nogent-sur-Oise, présente depuis les années 1980 au lycée Pierre-d'Ailly. La ville compte six classes d'enseignement supérieur dont une de première année en filière mathématiques-physique MPSI (respectivement physique-chimie PCSI), ainsi qu'une de deuxième année en MP (respectivement PC) ; une section en hypokhâgne et une en khâgne.


    Santé


    L'entrée de l'hôpital de Compiègne-Noyon.
    L'entrée de l'hôpital de Compiègne-Noyon.
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    Compiègne est dotée d'un centre hospitalier public avec un pôle d'urgences, un pôle de médecine, un pôle de chirurgie ainsi qu'un service de réanimation.

    La Ville dispose également de la Polyclinique Saint-Côme, première clinique de Picardie. Le Néphron, un bâtiment spécialisé dans les maladies rénales est attenant à la clinique.

    Le centre hospitalier dispose d'un CIMA (Centre d'imagerie médical avancé), pratiquant notamment les scintigraphies.

    La commune abrite un IFSI (Institut de Formation en Soin Infirmier), qui dispense des formations pour les métiers d'aides-soignants et d'infirmiers.


    Équipements sportifs


    L'hippodrome du Putois est installé à Compiègne où il accueille des courses de plat, d'obstacles et de trot.

    Le stade équestre du Grand Parc accueille de nombreuses compétitions équestres dont tous les ans un concours international de dressage 5* au mois de mai[76]

    Le gymnase du Manège, situé dans le quartier de l’ancienne école d’état-major, est rénové par l'agglomération avec le soutien financier de la ville et du Département pour accueillir le Cercle d’escrime Georges-Tainturier, ainsi que d'autres disciplines, et sera utilisé comme centre de préparation aux Jeux olympiques de Paris 2024 dans le cadre de l’obtention du label Terre de Jeux 2024[77]


    Équipements culturels


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    Justice, sécurité, secours et défense


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    Un service de police municipale fonctionne à Compiègne, dotée d'une équipe cynophile[78]. Onze fonctionnaires sont équipés en 2021 de caméras piétons qui permettent de fimer leurs interventions et de caractériser des infractions[79].

    La commune s'est dotée d'un réseau de vidéosurveillance, qu'elle renforce en 2022 avec l'installation de 60 nouvelles caméras qui se rajoutent aux 350 installées auparavant[80].

    L'ancien centre pénitentiaire de Compiègne, situé à proximité du centre-ville et du château, désaffecté depuis 2016, a été vendu par l'État en 2020[81],[82].


    Énergie


    Compègne dispose d'un réseau de chauffage urbain long de 16 km qui alimente en chaleur et en eau chaude sanitaire 9 000 équivalents logements : des habitations, des logements sociaux, ainsi que des bâtiments communaux tels que l’Espace Jean Legendre, le Conservatoire de musique, le groupe scolaire Pompidou, ou l’Université de technologie de Compiègne. Sa chaufferie datant de 1966 et alimentée par des combustibles fossiles, avec 60 % de gaz, 37 % de cogénération et 3 % de fioul, est doublée en 2021 par une installation biomasse alimentée par des matières végétales, notamment du bois. Cette nouvelle installation permettra d'alimenter le réseau avec 65 % d'énergies renouvelables[83].


    Population et société



    Démographie



    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[84],[Note 5]

    En 2019, la commune comptait 40 615 habitants[Note 6], en augmentation de 0,46 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8 0007 0587 1657 2288 8798 8959 0769 76210 795
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    10 36412 13710 71410 77513 39314 00814 37514 49815 225
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    16 50316 86817 04616 17917 36117 85218 88518 21822 325
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    24 42729 70037 69940 38441 89641 25442 03639 51740 258
    2019 - - - - - - - -
    40 615--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[85].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 41,0 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,4 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 19 199 hommes pour 21 343 femmes, soit un taux de 52,64 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[86]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7 
    90 ou +
    2,1 
    6,2 
    75-89 ans
    9,6 
    13,8 
    60-74 ans
    16,1 
    16,5 
    45-59 ans
    17,2 
    18,2 
    30-44 ans
    17,1 
    26,2 
    15-29 ans
    21,6 
    18,3 
    0-14 ans
    16,3 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[87]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Manifestations culturelles et festivité



    Sports


    Le Compiègnois BaseBall Club, fondé en 1989, évolue sur un terrain de baseball aux normes internationales. Son équipe est championne de France de baseball en 2009[réf. nécessaire],

    Le Tennis club Compiègne Pompadour (TCCP) a été créé en 2019 et succède alors auTennis Pompadour. Son équipe fanion évolue en Nationale 4 en 2020, et le club espère « faire monter le niveau général et pas seulement l’élite », dans les années à venir[105].

    Le Rugby club compiégnois ou RC Compiègne évolue en Fédérale 2; le Club de football américain, « Les scorpions », évolue en 4e division (régional) ; le Club de hockey sur glace, les Lions, évolue en Division 2; l'Association Football Club de Compiègne évolue en Championnat de France Amateur (CFA) ; le club d'aviron reste depuis 1933 en première division (SNC)[106]; l'équipe de basket-ball féminine du Stade Compiégnois Basket-Ball évolue en nationale 3 depuis plusieurs saisons.

    La course cycliste Paris-Roubaix part de Compiègne. Le 24e Raid Impérial Compiégnois a lieu en mars 2022 et propose des circuits de VTT entre 25 et 105 km et des randonnées en forêt de Laigue entre 25 et 105 km[107].

    Les championnats de France d'Athlétisme de l'UGSEL ont lieu à Compiègne en 2011.


    Médias


    Compiègne dispose de quelques radios locales, notamment une fréquence locale (décrochage) avec NRJ et Contact FM.

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    Cultes


    Catholicisme

    Islam

    Judaïsme

    Mormon

    Protestant


    Économie


    La ville s'est dotée en 1996 du quartier d'affaires L'Européen Parc.

    Le quartier de Mercières, situé au sud de la ville, accueil de nombreuses entreprises à travers une vaste zone d'activité tertiaire et industriel.

    Le plus grand centre de recyclage de l'aluminium de France se trouve à Compiègne[109]. Ce centre dispose de cinq fours qui font travailler 84 personnes pour la société Regial Affimet[110].


    Revenus de la population et fiscalité


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    La population de la ville est répartie à l’inverse de beaucoup de villes (ou anti-parisienne), le centre ville est situé au nord et est fort excentré du point le plus au sud de la commune. Les classes les plus aisées se trouvant au nord et à l’est (quartiers St Lazare, Hippodrome, Les Avenues, Centre-Ville, Bellicart (hors Écharde), Les Sablons et les Veneurs ou encore le nouveau quartier du Camp des Sablons), ces quartiers étant situés tous à proximité ou en lisière de la forêt domaniale et du palais. Tandis que les classes les plus populaires se trouvent au sud et à l’ouest (quartiers des Jardins, le Clos des Roses, la Victoire, les Maréchaux ou Royallieu-Pompidou). En effet, beaucoup de villes étant disposées de sorte que le sens classique du vent (Ouest), n’entraîne pas les fumées des sites industriels au-dessus des quartiers ouest ou sud, obligeant les ouvriers à s’installer au milieu des usines dans le nord-est des villes. A Compiègne, les usines sont positionnées en dehors des quartiers d’habitations et au nord de la ville entraînant les fumées vers l’agglomération nord-est, dépourvues d’habitations, la forêt et les terrains agricoles composant la partie est de l’agglomération de Compiègne.

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 25 508 €[111].

    La majorité des ménages sont catégorisés comme étant des classes moyennes voire aisées. Les classes populaires restent présentes essentiellement dans les quartiers disposant de grands ensembles à loyers modérés, comme le Clos des Roses, l’Echarde, la Victoire ou les Jardins.


    Culture locale et patrimoine



    Lieux et monuments


    Article détaillé : Liste des monuments historiques de Compiègne.

    Trente éléments du patrimoine civil de Compiègne sont protégés au titre des monuments historiques, dont trois ont disparu : une maison à colombages, le pont Jeanne-d'Arc et l'enseigne de l'auberge des Trois-Lurons. Trois monuments seulement sont classés, à savoir le château, l'hôtel de ville et l'hôtel d'Agincourt, rue Fournier-Sarlovèze. Quinze objets protégés sont des maisons d'habitation ou des immeubles, dont l'intérêt réside le plus souvent davantage dans leur importance historique que dans leur architecture. Un nombre important d'hôtels particuliers et maisons à colombages remarquables ne sont ni classés inscrits.

    Articles détaillés : Château de Compiègne, Hôtel de ville de Compiègne, Clairière de l'Armistice, Théâtre impérial de Compiègne et Camp de Royallieu.

    Parmi le patrimoine religieux de Compiègne, dix éléments sont protégés au titre des monuments historiques. Les deux principales églises, la chapelle Saint-Corneille, et les restes de deux abbayes (en partie) sont classées ; une église désaffectée, les restes de quatre abbayes et couvents et les vestiges d'un cimetière sont inscrits. La première église paroissiale de la ville, l'église Saint-Germain, ainsi que l'hôtel-Dieu médiéval ne sont ni classés, ni inscrits.

    Articles détaillés : Église Saint-Antoine, Église Saint-Jacques, Abbaye Saint-Corneille et Église Sainte-Thérèse.

    Musées



    Pèlerinage de Compostelle


    Compiègne est une étape entre la via Gallia Belgica et les grandes voies françaises du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. L'étape notable précédente est Saint-Quentin[154]. Au-delà de Compiègne, le pèlerin pouvait rejoindre l'une des trois voies principales vers Saint-Jacques-de-Compostelle : la via Turonensis plus directe par Paris, la via Lemovicensis par Vézelay et Limoges, la via Podiensis par Le Puy-en-Velay et Moissac.


    Personnalités liées à la ville



    Y sont nés

    Medaille d'or de la ville de Compiègne
    Medaille d'or de la ville de Compiègne

    Y ont été sacrés


    Y sont enterrés

    Plaque commémorative sur un mur de l'abbaye Saint-Corneille.
    Plaque commémorative sur un mur de l'abbaye Saint-Corneille.

    Plusieurs rois et un dauphin y sont enterrés d'après une plaque sur un mur de l'ancienne abbaye Saint-Corneille dont :

    L’abbaye Saint-Corneille, son église et les sépultures qu'elle renfermait furent profanées pendant la Révolution et détruites, comme le furent celles de la basilique de Saint-Denis. La rue Saint-Corneille a été percée à l'emplacement de la nef et du bas-côté Sud de l'abbatiale.


    Y sont morts


    Y ont vécu ou y sont passés


    Héraldique


    Blason
    D'argent au lion d'azur semé de fleurs de lys d'or, armé et lampassé de gueules, et couronné d'or
    Ornements extérieurs
    Croix de guerre 1914-1918
    Croix de guerre 1939-1945 avec étoile d'argent
    Devise
    'Regi et regno fidelissima « Au roi et au royaume la plus fidèle »[159].
    Détails

    Voir aussi


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    Bibliographie


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    Articles connexes



    Liens externes



    Notes et références



    Notes


    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Une avenue de la commune porte le nom de ce maire.
    5. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références



    Site de l'Insee


    Autres sources

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    6. http://www.distance2villes.com/.
    7. Itinéraire linéaire le plus rapide, http://www.distance2villes.com/.
    8. http://www.lion1906.com/Php/Resultats/Resultat_Proximite_Coord.php?RadLat1=0.862294&RadLong1=0.054372.
    9. Cartes des communes des cantons de Compiègne, Compiègne-Nord, Compiègne Sud-Ouest, Compiègne Sud-Est et Attichy : http://www.insee.fr/fr/methodes/nomenclatures/cog/carte_comcan.asp?codecan=6097 + http://www.insee.fr/fr/methodes/nomenclatures/cog/carte_comcan.asp?codecan=6009 + http://www.insee.fr/fr/methodes/nomenclatures/cog/carte_comcan.asp?codecan=6041 + http://www.insee.fr/fr/methodes/nomenclatures/cog/carte_comcan.asp?codecan=6037 + http://www.insee.fr/fr/methodes/nomenclatures/cog/carte_comcan.asp?codecan=6001.
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    102. Nicolas Aubouin, « le festival du film Plurielles organisé du 11 au 19 juin : Le festival du film Plurielles aura bien lieu au cinéma Le Majestic de Compiègne (Oise) cette année. Plusieurs nouveauté sont annoncées pour cette quatrième édition », Actu Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    103. « Compiègne : le festival Les Composites revient pour une 23e édition : Des spectacles et des expositions en nombre vous attendent pour la 23e édition du festival Les Composites, à Compiègne (Oise), du 3 au 27 mars prochain », Actu Oise, (lire en ligne, consulté le ).
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    [de] Compiègne

    Compiègne [.mw-parser-output .IPA a{text-decoration:none}kɔ̃ˈpjɛɲ] ist eine nordfranzösische Stadt mit 40.615 Einwohnern (Stand: 1. Januar 2019). Sie ist die Unterpräfektur des Arrondissements Compiègne im Département Oise in der Region Hauts-de-France.

    [en] Compiègne

    Compiègne (French pronunciation: ​[kɔ̃pjɛɲ]; Picard: Compiène) is a commune in the Oise department in northern France.[3] It is located on the river Oise.[4] Its inhabitants are called Compiégnois.
    - [fr] Compiègne

    [ru] Компьень

    Компье́нь, или Компье́н (фр. Compiègne [kɔ̃pjɛɲ], пикард. Compiène), — город на севере Франции, регион О-де-Франс, департамент Уаза. Центр одноименного округа. Находится в 65 км к юго-востоку от Амьена и в 71 км к северо-востоку от Парижа, в 11 км от автомагистрали А1 «Север». Через город протекает река Уаза. На правом берегу Уазы находится железнодорожная станция Компьень линии Крей-Жёмон. Близ Компьеня находится обширный Компьенский лес.



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