Au recensement de 2015, la commune comptait 43 732 habitants[1]. En 2015, la communauté d'agglomération de Châteauroux devenue Châteauroux Métropole au 1er janvier 2015, compte 70 445 habitants et l'aire urbaine de Châteauroux compte quant à elle 93 202 habitants ce qui fait d'elle la 85e de France. C'est la plus petite aire urbaine pour une préfecture d'un département de la région Centre-Val de Loire. Il s'agit de la première ville du département de l'Indre, et la cinquième de la région Centre, derrière Tours, la capitale régionale Orléans, Bourges et Blois mais devant Chartres.
La ville est notamment connue pour son club de football, La Berrichonne de Châteauroux.
Géographie
Localisation
Châteauroux est située dans le centre[2] du département de l'Indre.
La ville est constituée de différents quartiers[3] tels que: Saint-Denis, le Fontchoir, Bitray, l'Omelon, les Nations, la Belle Étoile, les Fadeaux, le Buxerioux, Saint-Jean-le-Lac, Touvent, les Grands-Champs, Cré, la Loge, les Méraudes, Beaulieu, la Pointerie, la Bourie, Notz, Saint-Jacques, le Grand Poirier, la Brauderie, les Chevaliers, Saint-Christophe, les Rocheforts, Vaugirard, Belle Isle, Centre-Ville et les Marins.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 19,04 km2 et son altitude varie de 154 à 164mètres.
Châteauroux se situe sur des calcaires et marnes datant du Jurassique, bien que le cours de l'Indre et ses rives soient composés d'argiles et de sables datant du plio-Pléistocène[4].
Hydrographie
Le territoire communal est arrosé par les rivières Indre[5] et Ringoire[6]. Le confluent de ces deux cours d'eau est sur le territoire de la commune.
L'Indre coule au cœur de la cité. - Photo: Benjamin Steimes - Châteauroux Métropole
La rivière Indre, au pied du Château Raoul - Photo: Benjamin Steimes - Châteauroux Métropole
Climat
Article détaillé: Climat de l'Indre.
La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1963 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[7]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Statistiques 1981-2010 et records CHATEAUROUX (36) - alt: 161 m 46° 47′ 12″ N, 1° 41′ 42″ E Statistiques établies sur la période 1987-2010 - Records établis sur la période du 01-01-1987 au 04-01-2022
Mois
jan.
fév.
mars
avril
mai
juin
jui.
août
sep.
oct.
nov.
déc.
année
Température minimale moyenne (°C)
1,5
1,6
3,5
5,3
9
12,2
14,1
14
10,7
8,4
4,2
2
7,2
Température moyenne (°C)
4,4
5,4
8,2
10,5
14,6
17,9
20,1
20,1
16,4
12,9
7,6
4,8
11,9
Température maximale moyenne (°C)
7,4
9,2
12,9
15,8
20,2
23,6
26
26,3
22,1
17,4
11
7,6
16,7
Record de froid (°C) date du record
−17,5 17.01.1987
−16,5 09.02.12
−12 01.03.05
−5 27.04.16
−0,5 06.05.19
4,5 01.06.11
5,7 11.07.1990
4,5 29.08.1998
2 20.09.12
−6,5 30.10.1997
−9,5 22.11.1993
−12,5 19.12.09
−17,5 1987
Record de chaleur (°C) date du record
19,1 05.01.1999
24 27.02.19
25,5 31.03.21
29,5 30.04.05
33 28.05.17
40 29.06.19
41,5 25.07.19
41 05.08.03
36,5 14.09.20
30 12.10.01
24,5 08.11.15
20,1 16.12.1989
41,5 2019
Précipitations (mm)
73,1
59,6
60,9
72,1
76,4
56,8
61,1
56,7
68,3
85,7
76,8
81,9
829,4
Source: «Fiche 36044001» [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le: 06/01/2022 dans l'état de la base
Paysages
Elle est située dans la région naturelle de la Champagne berrichonne.
Milieux naturels et biodiversité
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Urbanisme
Typologie
Châteauroux est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].
Elle appartient à l'unité urbaine de Châteauroux, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[11] et 60 747 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[12],[13].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châteauroux, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].
Zonages d'études
La commune se situe dans l'unité urbaine de Châteauroux, dans l’aire urbaine de Châteauroux, dans la zone d’emploi de Châteauroux et dans le bassin de vie de Châteauroux[16].
Occupation des sols
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Logement
Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[1] de la commune:
Date du relevé
2013
2015
Nombre total de logements
26 148
26 140
Résidences principales
85,5%
83,8%
Résidences secondaires
1,8%
1,6%
Logements vacants
12.7%
14,6%
Part des ménages propriétaires de leur résidence principale
46,4%
47,2%
Planification de l'aménagement
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Projets d'aménagement
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Voies de communication et transports
Voies de communication
Le territoire communal est desservi par les routes départementales: 40, 81, 101, 151, 920, 925, 943, 956 et 990[17].
La place de la République en 2009.
L'avenue Charles-de-Gaulle en 2009.
La rue de la Vieille-Prison en 2016.
La porte Saint-Martin en 2016.
Transports
Les lignes des Aubrais - Orléans à Montauban-Ville-Bourbon et de Joué-lès-Tours à Châteauroux passent par le territoire communal, une gare[17] dessert la commune.
Châteauroux est desservie par toutes les lignes du réseau de bus Horizon[18]; par les lignes A, B, D, F, I, N, Q, S et V du Réseau de mobilité interurbaine[19] et par les lignes 1.3, 2.4, 4.2 et 4.3 du réseau d'autocars TER Centre-Val de Loire[20].
L'une des singularités de l'agglomération de Châteauroux est de proposer un accès gratuit à son réseau de bus urbain, depuis le . Elle est une ville pionnière en France en matière de gratuité des transports en commun.
L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[17], à 6 km.
Celui-ci est consacré au fret aérien, à la maintenance aéronautique, à l'entrainement des pilotes ainsi qu'à la formation des pompiers d'aéroports. Cependant, l'aéroport propose une ligne saisonnière régulière de fin mai à fin septembre chaque année vers Ajaccio en Corse mais également de nombreux vols «charters» durant les saisons printemps-été notamment vers l'Albanie, l'Autriche, la Bulgarie, la Crète, l'Égypte, la Jordanie, la Laponie, l'île de Madère, Faro/Lisbonne et Porto (Portugal) (programme février-octobre 2020).
La gare SNCF, après rénovation du parvis, en 2021 - Photo: Benjamin Steimes - Châteauroux Métropole
La commune possède deux postes sources[21] sur son territoire: «Madron» dans le quartier de Beaulieu et «Mousseau» dans le quartier de Buxerioux. Ils sont principalement approvisionnés par des lignes 90 et 225 kV, venant du barrage d'Éguzon.
Risques naturels et technologiques
La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[22].
Qualité de l'environnement
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Risques majeurs
Le territoire de la commune de Châteauroux est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque industriel[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Ringoire et l'Indre. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2001 et 2014 et au titre des inondations par remontée de nappe en 2016[25],[23].
Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif de Chäteauroux, est classée au niveau de risque 4, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[26].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Châteauroux.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[27].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (84,7% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 12 856 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 12856 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100%, à comparer aux 86% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28],[29].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 1993, 2002, 2011, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[23].
Risques technologiques
La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[30].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[31].
Toponymie
Châteauroux doit son nom à son fondateur, Raoul le Large, fils d'Ebbes le Noble, prince de Déols, qui, au XIesiècle, quitta le bourg héréditaire, berceau de sa famille et capitale de ses domaines, pour un château qu'il fit construire à environ deux kilomètres, sur un monticule abrupt plongeant dans les eaux de l'Indre. Autour, vinrent se grouper des habitations qui, plus tard, formèrent la ville[32].
Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement les noms d’Indrelibre ou d'Indreville.
Ses habitants sont appelés les Castelroussins[33].
Vue sur le Château Raoul depuis la prairie Saint-Gildas - Photo: Benjamin Steimes - Châteauroux Métropole
Histoire
Préhistoire
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Antiquité
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Moyen Âge
Châteauroux a été précédée dans l’histoire par Déols. La présence gallo-romaine y est attestée par des pierres sculptées, des monnaies, des céramiques, des urnes funéraires. Vers 920, les moines de l'abbaye Saint-Gildas de Rhuys près de Vannes, trouvent refuge auprès d'Ebbes le Noble prince de Déols, pour protéger les reliques de saint Gildas de l'occupation du Sud de la Bretagne par les Normands entre 919 et 939 et fondent une abbaye sous le même vocable dans l'actuel quartier Saint-Christophe. Leur abbaye bretonne sera relevée en 1008 par les moines de l'abbaye de Fleury de Saint-Benoît-sur-Loire.
Vers 937, deux ans après la mort au combat de son père Ebbes le Noble à Orléans, lors d'un nouveau raid hongrois qui avait traversé Champagne et Bourgogne[Note 3], le seigneur Raoul le Large, premier baron de Châteauroux, délaissa son palais de Déols, en raison de l’insécurité, ou encore pour doter l’abbaye Notre-Dame de Déols, également fondée par son père en 917, et il fit bâtir une forteresse en face de l'abbaye Saint-Gildas, sur un coteau de la rive gauche de l’Indre. À partir de 1112, ce château fut nommé «château Raoul», en raison du prénom fréquent chez les seigneurs de Déols, ce qui donna le nom de Châteauroux. La période féodale vit naître à l’abri de cet emplacement fortifié une bourgade d’artisans et de commerçants[34]. Les seigneurs de Châteauroux étaient puissants: leur «principauté» couvrait les deux tiers de l’actuel département de l’Indre[35]; au XIesiècle, ils avaient leur propre monnayage[36].
Le château et le bourg furent pris par Philippe Auguste en 1188[37]. À cette époque, la ville connaissait déjà une activité drapière importante, avec un moulin à foulon depuis quelques décennies[38]. Toute l’activité textile se concentrait le long de l’Indre, qui apportait sa force motrice, et une baronnie régie par ses propres coutumes se créa (actuelle rue de l’Indre)[39]. Cette production fut réglementée contre les fraudes externes (les drapiers de l’extérieur de Châteauroux vendant leurs pièces de tissu comme fabriquées à Châteauroux) et internes (les drapiers castelroussins étirant parfois leurs rouleaux de tissu pour vendre une plus grande longueur), et vendue lors de la grande foire annuelle[40].
Article détaillé: Liste des seigneurs, comtes et ducs de Châteauroux.
Temps modernes
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Révolution française et Empire
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Époque contemporaine
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De la fin du XIXesiècle à nos jours
Le [41], un train de marchandise a heurté un bœuf, entre la gare de Châteauroux et le «pont de Bryas», ce qui le fera dérailler. Malheureusement, le train rapide (voyageurs) no67, circulant à proximité, entra en collision avec le train de marchandise. Cet accident aura fait 19 morts. Un jeune stagiaire de 25 ans, qui faisait fonction de sous-chef de gare, est inculpé pour «blessures et homicides par imprudence».
Témoignage[41] d'un journaliste de l'époque à La Dépêche du Centre:
«Quel horrible spectacle ! On ne sait quels mots employer pour décrire les scènes qui se déroulent sous nos yeux. La paroi gauche du wagon de 3eclasse a été arrachée sur toute sa longueur et rejetée sur le ballast et sous les roues du wagon métallique. On ne distingue plus que couvertures, bras, jambes, enchevêtrés parmi les ressorts et le crin des banquettes». Il y a aussi des miraculés, comme cette femme, blessée. «La malheureuse, qui avait conservé toute sa présence d'esprit, était étendue parmi trois ou quatre cadavres, dont celui de son mari. Elle marque une défaillance, car voilà déjà plus d'une heure qu'elle est dans cette position. On lui fait absorber une nouvelle rasade de rhum.»
Malgré la distance de la frontière espagnole, Châteauroux se retrouve concernée par la guerre d'Espagne. Dès 1936, des réfugiés arrivent. Ils sont installés dans les taudis de la cité Bitray[42]. Entre le 29 janvier et le , plus de 2 000 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant les troupes de Franco, arrivent dans l’Indre. Contrairement aux départements voisins qui font appel aux communes, l’Indre réussit à les regrouper dans seulement sept centres (dont Châteauroux), ce qui permet un meilleur contrôle de cette population considérée comme dangereuse[43]. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants, sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré[44].
Articles détaillés: Retirada et Histoire de l'Indre.
De 1940 à 1942, les unités de l’armée d'armistice cantonnées à Châteauroux sont[45]:
le 32e régiment d’infanterie, régiment de Touraine;
le 8e régiment de cuirassiers, régiment de Lorraine;
le 89e groupe de transmissions;
le 14e régiment de tirailleurs algériens, un régiment d'infanterie de l'armée de terre française.
Dans le cadre des Jeux olympiques d'été de 2024, la commune accueillera les épreuves de tir qui se dérouleront au Centre national de tir sportif[46].
Châteauroux s'est engagée dans une démarche de développement durable avec l'élaboration de son Agenda 21 qui a débuté en avril 2007. Celui-ci s'articule autour de quatre axes regroupant 39 actions[76]:
axe I: développer l'attractivité de la ville;
axe II: préserver et valoriser la qualité environnementale et patrimoniale;
axe III: renforcer la sensibilisation de tous et les comportements écoresponsables;
axe IV: organiser les partenariats et renforcer les solidarités.
Centre d'entretien et d'exploitation des routes du conseil départemental de l'Indre[115]
La préfecture en 2009.
Le palais de justice en 2009.
Le centre de tri postal en 2009.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10000habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8% de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[116],[Note 4]
En 2019, la commune comptait 43 122 habitants[Note 5], en diminution de 4,62% par rapport à 2013 (Indre: −3,85%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
7 503
8 049
8 512
10 429
11 587
13 847
13 551
14 517
15 931
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
18 237
16 170
17 161
18 670
19 442
21 179
22 860
23 924
23 863
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
24 957
25 437
26 095
26 566
25 806
26 707
28 578
34 611
36 420
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
45 063
49 138
53 429
51 942
50 969
49 632
47 559
45 521
44 088
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
43 122
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[117] puis Insee à partir de 2006[118].)
Histogramme de l'évolution démographique
Le recensement de 2015 indique un vieillissement de la population et un solde naturel négatif: 438 naissances pour 499 décès.
Manifestations culturelles et festivités
Biennale internationale de céramique de Châteauroux, organisée par les musées de la ville de Châteauroux et Châteauroux métropole
Châteauroux est traversé par le sentier de grande randonnée 46[120].
Élue 3e ville la plus sportive de France lors du «Challenge l'Équipe» en 1997, Châteauroux offre la possibilité aux 12 500 licenciés des 137 associations sportives et sections omnisports de pratiquer 52 disciplines dans plus de 70 équipements[121] sportifs mis à leur disposition:
une salle de skate, de roller qui contient aussi un mur d'escalade;
un hippodrome;
boulodrome;
des pistes de voitures téléguidées;
des pistes d’aéromodélisme
un golf 18 trous;
un plan d'eau de 8 hectares;
un stand national de tir est réalisé en 2016 sur l'ancienne zone militaire de «La Martinerie». Il sera la propriété de la Fédération française de tir. Ce stand, sans équivalent en Europe, permet de pratiquer près de 60 disciplines différentes;
deux skate-park;
lac de Belle-Isle (site de baignade surveillé[122]).
Stade Gaston Petit - Photo: Benjamin Steimes - Châteauroux Métropole
Stade Gaston Petit - Photo: Benjamin Steimes - Châteauroux Métropole
Tour de France de cyclisme
Le , la commune a accueilli le départ de la 1re étape de la course de cyclisme Paris-Nice 1996. Elle a également accueilli quatre étapes du Tour de France, le (5e étape); le (à nouveau la 5e étape); le , la 7e étape et le (6ème étape).
Arrivée du Tour de France 2021. Photo: Benjamin Steimes - Châteauroux Métropole
Médias
La commune est couverte par les médias suivants: La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry, RCF en Berry et Radio balistiq.
L'émission de France 3 Midi en France[123], présentée par Laurent Boyer a tourné cinq émissions les 19 et .
Plusieurs films ont aussi été tournés:
1987: Châteauroux district, film de Philippe Charigot, sorti en salle le ;
2010: L'Ordre et la Morale, film de Mathieu Kassovitz, quelques scènes tournées en intérieur et en extérieur dans le quartier Saint-Jacques, rue Pierre-de-Ronsard, dans un décor rappelant une cité militaire.
Cultes
Catholique
La commune de Châteauroux dépend de l'archidiocèse de Bourges et de sa subdivision le doyenné de Châteauroux[124].
Elle est divisée en 3 paroisses: Saints-Apôtres - Châteauroux, La Résurrection - Châteauroux et Saint Gildas - Châteauroux.
Les lieux de culte sont les églises: Saint-Martial, Saint-André, Notre-Dame, Saint-Christophe, Saint-Joseph, Sainte-Thérèse et Saint-Jean, ainsi que la chapelle Saint-Jacques située dans le quartier du même nom.
Islamique
La commune compte trois mosquées: Al Mouhssinine, Ibn abaas et la mosquée des Turc, toutes dans le quartier Saint-Jean.
Évangélique
Église évangélique, rue de la Concorde.
Église protestante évangélique, allée des Lucioles.
Église néo-apostolique, rue Charles-Perrault.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
Le revenu net déclaré moyen par foyer fiscal et le pourcentage de foyers fiscaux imposables sont présentés dans les tableaux ci-dessous[125],[1]:
Revenu net déclaré moyen par foyer fiscal
2009
2015
Châteauroux
?€
18 609 €
Indre
19 310 €
19 175 €
Centre-Val de Loire
22 400 €
20 494 €
France
23 433 €
20 566 €
Pourcentage de foyers fiscaux imposables
2009
2015
Châteauroux
?%
49.2%
Indre
47.9%
48.7%
Centre-Val de Loire
55.1%
55.5%
France
54.3%
55.4%
Emploi
Lancé en 2007, la zone d'Ozans de l'agglomération de Châteauroux est appelée à devenir un parc d'activités économiques. Des investisseurs chinois devraient s'y installer. D'une taille de 508 hectares et à vocation internationale, cette zone d'aménagement concerté (ZAC) se situe en quasi-totalité sur la commune d'Étrechet. Ce projet est réalisé suivant une démarche volontaire ancrée dans le développement durable par la certification HQE (haute qualité environnementale).
Ce projet devait ouvrir en 2012, afin de relancer la croissance économique et l'emploi dans la région, toutefois des questions demeurent quant aux avantages qu'en tirerait la ville[126].
Entreprises et commerces
Le Châteauroux Business District[126] devait ouvrir en 2012, afin de relancer la croissance économique et l'emploi dans la région. Des investisseurs chinois devaient s'y installer. Toutefois des questions demeurent quant aux avantages qu'en tirerait la ville.
L'usine de Pyrex France y est installée.
La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay[127].
Tourisme et hébergement
Un camping est présent dans la commune. Il s'agit du camping Le Rochat Belle-Isle qui dispose de 142 emplacements[128].
Culture locale et patrimoine
Ville et Pays d'art et d'histoire
Châteauroux a obtenu au concours des villes et villages fleuris:
Le château Raoul (Xesiècle) domine les bords de l'Indre, il appartenait aux seigneurs de Déols. Il fut reconstruit au XVesiècle, et restauré au XIXesiècle.
Article détaillé: Château Raoul.
Le château Raoul en 2015.
Château du Parc
Le château fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [134]. Il est situé dans le parc Balsan, entre l'IUT de Châteauroux et le centre universitaire supérieur de Châteauroux.
Article détaillé: Château du Parc (Châteauroux).
Le château du Parc en 2014.
Château du Touvent
Article détaillé: Château du Touvent.
La chapelle du château du Touvent a été construite en 1855. Elle dispose de dimensions modestes et orientée. La chapelle a un vaisseau unique de cinq travées, flanqué de bas-côtés très étroits, et terminé par une abside en hémicycle.
Édifices religieux
Couvent des Cordeliers
Article détaillé: Couvent des Cordeliers de Châteauroux.
C'est un ancien couvent franciscain du XIIIesiècle, place Sainte-Hélène, il héberge aujourd'hui une partie de l'École des beaux-arts et des expositions d'art contemporain (par exemple la biennale internationale de céramique de Châteauroux). Situé dans la partie historique de la ville et dominant la vallée de l'Indre, c'est un lieu de promenade agréable.
Le lavoir des Cordeliers en 2002.
Centre paroissial Saint-Jacques
Il a été construit en deux temps entre le milieu des années 1970 (logement de fonction + première chapelle, actuelle salle de réunion) et le début des années 1980 (chapelle actuelle), rue Stéphane-Mallarmé, le centre paroissial Saint-Jacques est implanté au cœur du quartier du même nom (Saint-Jacques - le Grand Poirier). Son architecture est représentative des centres paroissiaux construits à cette époque dans les nouveaux quartiers en périphérie des villes. Dépend de la paroisse des Saints-Apôtres.
Chapelle de la Rédemptoristes, rue Paul-Louis-Courier.
Chapelle Sainte-Solange, rue de la Gare.
Chapelle de la maison de retraite George Sand, rue du 3e-Régiment-d'Aviation-de-Chasse.
Chapelle du château de Tout Vent, route de Velles.
Temple protestant de Châteauroux, rue Thabaud-Boislareine, construit en 1877.
L'église Saint-Martial en 2010.
L'église Saint-André en 2011.
L'église Notre-Dame en 2009.
Chapelle Saint-Martin
La chapelle Saint-Martin, place Roger-Brac, existait déjà au début du Xesiècle, comme l'atteste la charte lors de la fondation de l'abbaye de Déols en 917 qui la désigne comme étant à côté du château de Déols.
Article détaillé: Chapelle Saint-Martin de Châteauroux.
Le musée Bertrand[136] (XVIIIesiècle): dans un ancien hôtel du XVIIIesiècle ayant appartenu au général Bertrand se trouvent des collections napoléoniennes, des souvenirs du général Desaix, de bons spécimens de peinture flamande du XVIIesiècle et des écoles régionales de peinture et de sculpture XIXeetXXesiècles, dont le sculpteur Ernest Nivet.
Le musée Bertrand en 2010.
La statue du général Bertrand, dans la cour du musée en 2010.
Maison des arts et traditions populaires du Berry
Article détaillé: Maison des arts et traditions populaires du Berry.
La Maison des arts et traditions populaires du Berry est située au cœur du parc Balsan. Ce musée regroupe des collections basées sur le thème de la culture berrichonne, ainsi que sur la vie rurale en Berry. Photographies, gravures, coiffes, objets en tout genre font renaître la vie des paysans d'antan, au cœur de cette province de France[137].
Équinoxe
Quoiqu'étant des bâtiments voisins, il convient de bien distinguer la médiathèque Équinoxe de la Scène Nationale Équinoxe.
L'Équinoxe Scène Nationale propose une programmation à la fois riche et variée (théâtre, danse contemporaine, mais aussi jazz, chanson, lectures) résultant de l'importante politique culturelle dédiée à la seule grande scène de la ville. Équinoxe accueille également en janvier le festival du clown «La barrière de dégel».
L'Équinoxe en 2009.
Autres
Conservatoire de musique de Châteauroux
Cinémas: Cinemovida et cinéma Apollo.
Stage-Festival International de Châteauroux
Le conservatoire de musique en 2015.
Personnalités liées à la commune
Eudes de Châteauroux, légat du pape à l'armée des Croisés, sous Saint-Louis, évêque de Tusculum, mort en 1273 à Orvietto.
Jean VI d'Aumont (1522-1595), comte de Châteauroux, maréchal de France, né à Châteauroux, repose dans la chapelle du couvent des Cordeliers.
Dom Placide Porcheron (1652-1694), bénédictin de Saint-Maur, historien et géographe.
Jean Cousturier (1688-1770), directeur du grand séminaire de Paris.
Claude Guimond de La Touche (1723-1760), poète et dramaturge: fils du procureur du roi au bailliage de Châteauroux. Auteur d'Iphigénie en Tauride.
Henri Crublier d'Opterre (1739-1799), général des armées de la République.
Guillaume Boëry (1742-1822), député du Berry et de l'Indre pendant la Révolution et le Premier Empire, décédé à Châteauroux.
Jérôme Legrand (1746-1817), député du Berry et de l'Indre pendant la Révolution française et le Ier Empire, mort à Châteauroux.
Sébastien Ruby (1755-1809), général des armées de la République et de l'Empire y est décédé.
Jean-Claude Charlemagne (1762-1853), député de l'Indre, décédé à Châteauroux.
Joseph Dupertuis (1763-1839), magistrat à Châteauroux, député de l'Indre à l'Assemblée législative.
Henri Gatien Bertrand (1773-1844), général d’Empire, fidèle à NapoléonIer.
Edmond Charlemagne (1795-1872), magistrat, député de l'Indre, enterré au cimetière Saint-Denis.
Pierre Leroux (1797-1871), journaliste fondateur du Globe.
François Rollinat (1806-1867), avocat à Châteauroux, député de l'Indre pendant la Deuxième République, ami de George Sand, mort et enterré à Châteauroux.
Napoléon Chaix (1807-1865), imprimeur, inventeur de l'indicateur horaire des trains.
Raoul Charlemagne (1821-1902), maire de Châteauroux, député de l'Indre.
Henri Barboux (1834-1910), avocat et homme politique.
Maurice Rollinat (1846-1903), poète, né à Châteauroux; il est enterré avec son père François Rollinat au cimetière Saint-Denis de Châteauroux.
Henry Dauvergne (1848-1917), architecte, y a travaillé et y est décédé.
Adolphe Combanaire (1859-1939), voyageur et essayiste.
Gabriel-Albert Aurier (1865-1892), poète et critique d'art, enterré au cimetière Saint-Denis.
Ernest Nivet (1871-1948), sculpteur, enterré au cimetière Saint-Denis.
Joseph Patureau-Mirand (1873-1945), natif de Châteauroux, député de l'Indre, maire de Châteauroux.
Anselme Patureau-Mirand (1875-1958), (natif de La Châtre), député de l'Indre, décédé à Châteauroux.
Jean de Bosschère (1878-1953), poète et peintre, mort à Châteauroux.
Maurice Brançon (1887-1956), homme politique et syndicaliste, né à Châteauroux.
Adrien Henry (1888-1963), colonel commandant la gendarmerie de Châteauroux; il a participé activement à la Résistance dans l'Indre[138].
Marcel Boussac (1889-1980), industriel, né à Châteauroux, élève du lycée Jean-Giraudoux.
Robert Jallet (1890-1945), résistant, enterré au cimetière Saint-Christophe.
Adrien Tixier (1893-1946), homme politique français, a étudié à Châteauroux.
Hélier Cosson (1897-1976), peintre et portraitiste, né à Châteauroux.
Georges Pirot (1898-1982), résistant, député de l'Indre, décédé à Châteauroux.
Robert Barriot (1898-1970), peintre, émailleur, sculpteur.
Jacques Barge (1904-1979), architecte, né à Châteauroux et concepteur de plusieurs bâtiments de la ville.
Émile Goué (1904-1946), compositeur, né à Châteauroux.
Roger Cazala (1906-1944), il fut pharmacien et dirigeant de laboratoire à Châteauroux avant d'être résistant. Il est mort au Camp de concentration de Flossenbürg (reconnu Juste parmi les nations)[139].
Édouard Ramonet (1909-1980), maire de Châteauroux (né à Cerbère, Pyrénées-Orientales).
Marie-Louise Carven (1909-2015), connue également sous le nom de Carmen de Tommaso, née à Châteauroux, styliste française de mode ayant fondé la Maison Carven.
Robert Monestier (1910-1986), résistant, président du Comité départemental de libération de l'Indre, décédé à Châteauroux; une place de la ville porte son nom.
Jean Gaultier (1916-1987), instituteur, né à Châteauroux, auteur d'une histoire du quartier des Marins; inhumé au cimetière Saint-Denis.
Marcel Lemoine (1918-1998), condamné à mort par Vichy, déporté à Buchenwald, adjoint au maire de Châteauroux, conseiller général, député de l'Indre (lieu de naissance inconnu).
Jean Fourton (1934-), écrivain, humaniste, psychanalyste et peintre français. Conseiller municipal de la ville de Châteauroux de 1957 à 1967.
Jacques Coquillay (1935-), sculpteur et pastelliste, né à Châteauroux.
Jack Claude Nezat (1943-), écrivain, né à Châteauroux.
Jacques-Alain Miller (1944-), psychanalyste, né à Châteauroux.
Michel Denisot (1945- ), journaliste et animateur de télévision, y a commencé sa carrière, dans les années 1960 (né à Buzançais dans l'Indre).
Gérard Depardieu (1948-), acteur, né à Châteauroux.
Sylvie Germain (1954-), écrivain, née à Châteauroux.
Christine Angot (1959-), écrivain, née à Châteauroux.
Emmanuelle Huynh (1963-), danseuse et chorégraphe française de danse contemporaine, née à Châteauroux.
Jeannette Bougrab (1973-), essayiste, juriste et femme politique française, a étudié à Châteauroux (née à Déols, Indre).
Bénédicte Le Panse (1978-), powerlifteuse évoluant dans la catégorie des 47kg.
Mathieu Lescop (1978-), chanteur du groupe Asyl, né à Châteauroux.
Florent Urani (1990-), judoka français, né à Châteauroux.
Manon Genest (1992-), athlète handisport française, née à Châteauroux.
Estelle Touzet (1981-), sommelière française, née à Châteauroux.
Adrian Michenet-Delys (1986-), auteur, né à Châteauroux.
Gazo (1994-), rappeur, né à Châteauroux.
Dans la culture populaire
Dans le sketch Le Sâr Rabindranath Duval, Pierre Dac tient le rôle du fakir (faussement Indien) qui vient de Châteauroux.
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Héraldique, logotype et devise
Blason
D'azur au château flanqué de deux tours d'argent, maçonné, ajouré et ouvert de sable, essoré de gueules et girouetté d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Le logo de Châteauroux Métropole:
Depuis 2015, le logo de Châteauroux représente l'initiale de la ville sur lequel est apposé sept barres représentant les directions de principales villes de l'agglomération. Il s'agit du logo mutualisé entre la ville et la communauté d'agglomération.
Ancien logo de la commune de Châteauroux:
L'ancien logo de Châteauroux est blanc avec les armoiries de la commune au centre et «Ville de Châteauroux» en lettres bleues en dessous.
Drapeau de Châteauroux:
Le drapeau est formé de trois bandes verticales verte, jaune et rouge. Le vert représente les prairies, le jaune les moissons et le rouge la vigne. À l’origine ce drapeau est celui du Berry. Il a été repris par la commune de Châteauroux[réf.nécessaire].
Drapeau de Châteauroux:
Le drapeau de Châteauroux est formé de deux bandes verticales bleue et rouge. Les couleurs proviennent des armoiries[140].
Simon Ostermann, «La clandestinité des Juifs dans les villes de province sous Vichy. L'exemple de Châteauroux (1940-1944)», dans Sylvie Aprile (dir.), Emmanuelle Retaillaud-Bajac (dir.), Clandestinités urbaines: Les citadins et les territoires du secret (XVIe-XXe), Rennes, Presses universitaires de Rennes, (ISBN9782753531307, lire en ligne), Troisième: Topographies et géographies de la clandestinité urbaine, p.255-275.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
De 911 à 917, les premiers raids hongrois avaient atteint la Bourgogne, la Champagne, voire le Berry.
Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10000habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10000habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Archives départementales de l’Indre, Berry médiéval: à la découverte de l’Indre au Moyen Âge, Châteauroux, Archives départementales de l’Indre, coll.«Catalogue d’exposition», , p.11.
Berry médiéval, p.11.
Berry médiéval, p.12.
Berry médiéval, p.13.
Christine Méry-Barnabé, De la manufacture royale de draps à l’usine Balsan, Châteauroux, Archives municipales de Châteauroux, coll.«Châteauroux et les cités lainières d’Europe», , p.17.
Christine Méry-Barnabé, op. cit., p.18.
Christine Méry-Barnabé, op. cit., p.19.
«1939: dix-neuf morts dans le Paris - Toulouse», La Nouvelle République du Centre-Ouest, Indre, (lire en ligne, consulté le ).
Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p.42.
Jeanine Sodigné-Loustau, L'accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940. Un exemple: la région Centre, coll.«Matériaux pour l'histoire de notre temps», (lire en ligne), chap.44, p.43.
Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p.43-44.
Roger Picard, La Vienne dans la guerre 1939/1945: la vie quotidienne sous l’Occupation, Lyon: Horvath, , 264p. (ISBN2717108386), p.41.
Adrien Henry, Un Meusien au cœur des deux guerres: mémoires du colonel Adrien Henry, Ysec, .
Henri Bonnemain, «Hommage à Roger Cazala prononcé par Henri Bonnemain à la séance du 4 décembre 1994», Revue d'histoire de la pharmacie, vol.83, no305, , p.184-185 (lire en ligne, consulté le ).
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