Nançay est une commune rurale[Note 1],[1]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[2],[3].
La commune est en outre hors attraction des villes[4],[5].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (83% en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (78,7%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (80,5%), zones agricoles hétérogènes (7,6%), terres arables (4,1%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,5%), zones urbanisées (1,4%), eaux continentales[Note 2] (1,4%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9%), prairies (0,9%), mines, décharges et chantiers (0,4%), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,3%)[6].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Nançay est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[7]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[8].
Risques naturels
Le département du Cher est moins exposé au risque de feux de forêts que le pourtour méditerranéen ou le golfe de Gascogne. Néanmoins la forêt occupe près du quart du département et certaines communes sont très vulnérables, notamment les communes de Sologne dont fait partie Nançay. Il est ainsi défendu aux propriétaires de la commune et à leurs ayants droit de porter ou d’allumer du feu dans l'intérieur et à une distance de 200 mètres des bois, forêts, plantations, reboisements ainsi que des landes. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[9].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Nançay.
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[10]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,8% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 610 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 610 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100%, à comparer aux 83% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[11],[Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[7].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[12].
Toponymie
Son nom apparaît la première fois en 1010 (actes de l'abbé Engilbert) sous la forme Nanciacos, puis Nanciacum en 1239[13] (homonyme de la ville de Nancy). Il est construit sur le nom de personne gaulois Nantios avec le suffixe locatif d'origine gauloise -aco et signifie «le domaine de Nantios»[14].
Histoire
Le territoire appartient successivement à la mouvance des seigneuries de Vierzon et de La Ferté-Imbault, puis au comté de Sancerre jusqu'au milieu du XIVesiècle (Marie de Vierzon, † ap. 1283, dame de Souesmes, Neuvy, Nançay et Menetou-Salon, épouse en 1259 Jean Ier, comte de Sancerre), enfin au domaine de la maison de La Châtre. En effet, Marie de Sancerre-Sagonne, petite-fille du comte Jean Ier de Sancerre, l'apporte à son mari Godemar Ier (1267-vers 1340/1342), baron de Lignières, dont elle était la 1re femme; Nançay échoit ensuite à Godemar II, sire de Méréville, Aschères et Mennetou, fils de Godemar Ier et de sa 2e épouse Marguerite de Précigny-Laleu, qui vend Nançay le 16 janvier 1371 à son beau-frère Guillaume de La Châtre[15]; en fait Nançay ne quittait pas la descendance de ses anciens maîtres car Guillaume de La Châtre était l'époux d'Agnès de Li(g)nières, fille de Godemar Ier et de Marie de Sancerre.
Jeanne d'Arc y passa, laissant son nom à la Fontaine pucelle.
Son château date du XVesiècle et a été reconstruit durant la Renaissance.
Le village est parfois appelé le «Saint-Trop'» de la Sologne, en référence à nombre de personnalités habitant dans ses environs[16].
La Maison de La Châtre de Nançay
Au XIIIesiècle sous saint Louis, Ebbes de La Châtre, pour payer sa rançon lorsqu'il fut captif lors d'une croisade, dut vendre La Châtre. Après lui, au XIVesiècle, Philippe de La Châtre († av. 1360) n'hérita que de Bésigny-en-Gâtinais(en Château-Landon) et n'était qu'un chevalier désargenté, mais son fils - Guillaume de La Châtre devint donc seigneur de Nançay par acquisition sur les Li(g)nières en 1371 et par mariage dans cette famille; il était qualifié de chambellan du comte de Poitiers Charles en 1358. Succédèrent à Nançay ses descendants[17],[18],[19],[20]:
son fils aîné - Jean († ap. 1413, date à laquelle il est autorisé à fortifier son château de Nançay, de même que son fils Pierre le sera en 1447; ses deux frères cadets Guillaume et autre Jean sont seigneurs d'Etréchy qui serait Etréchy en Etampois; maître d'Hôtel du duc de Berry, bailli de Gien et capitaine de Mehun, mari d'Huguette de Voudenay); Père de - Pierre († ap. 1457; capitaine de Mehun, gentilhomme du roi Charles VII et aussi maître d'Hôtel du duc de Berry, marié à Marie de Roüy de Menetou); Père de - Claude (conseiller-chambellan du duc de Guyenne et de Berry et de son frère le roi Louis XI, capitaine des Gardes françaises en 1473, chevalier de St-Michel, combattant à Fornoue en 1495, frère de Jeanne de La Châtre qui épouse en 1453 Jean Savary de Lancosme; marié en 1460 à Catherine de Menou de Villegongis — héritière avec son mari Claude des Graçay de La Maisonfort); Père d'Abel (aussi combattant à Fornoue; † avant son père) et de - Gabriel († 1538; capitaine des Gardes du corps, Maître d'Hôtel du roi et des Cérémonies de France, prévôt de l'Ordre de St-Michel, gouverneur des Enfants de France, capitaine de la Grosse Tour de Bourges, de Mehun et de Romorantin, fidèle des rois Louis XII et François, marié 1° en 1496 à Marie de St-Amadour, et 2° sans postérité à Jeanne Sanglier de Boisrogues); Père de Claude (Ier de La Maisonfort; mari d'Anne Robertet, fille de Florimond Ier d'Alluye au Perche-Gouët et veuve de Claude d'Estampes de La Ferté: souche de la branche cadette de La Maisonfort, père du maréchal Claude II), et de l'aîné,
- Joachim († 1546; conseiller-chambellan, maître d'Hôtel du roi et des Cérémonies de France, capitaine des Gardes du corps, prévôt de l'Ordre de St-Michel, capitaine de la Grosse Tour de Bourges, capitaine-gouverneur de Gien, gouverneur d'Orléans et du duché d'Orléans, maître des Eaux et Forêts de l'Orléanais, seigneur de Nançay, Sigonneau et Besigni, mari de Françoise Foucher de Thénie/Thémines/Lemantine/L'Ementruère); Père de - Gaspard († 1576; en 1561, sa tante Jeanne/Anne de La Châtre, sœur de Joachim de Nançay et Claude de La Maisonfort, lui légua Ternant qu'elle tenait de son 1er mari Jean de Graçayde Champ(e)roux; gentilhomme de la Chambre, capitaine des Gardes, chevalier de St-Michel, marié en 1570 à Gabrielle dame de Bridoré, fille de René de Batarnay du Bouchage — petit-fils d'Imbert — et d'Isabelle de Savoie-Villars-Tende); Père - d'Henri (né en 1574; aussi seigneur de Sigonneau et de Bridoré, 1er comte de Nançay en 1609/1610, par réunion des seigneuries de Nançay, Neuvy et Sigonneau; frère de Madeleine (épouse de Charles III de Châtillon-(Porcien) d'Argenton, puis d'Henri de Bourdeillesd'Archiac), de Louise (femme de Louis de Voisins vicomtre de Lautrec, puis de Martin du Bellay de Gizeux prince d'Yvetot), et de Gasparde de La Châtre (1577-1616; femme de Jacques-Auguste de Thou); époux 1° en 1605 de Marie, fille du Procureur général Jacques de La Guesle de/du Laureau/Loreau en Beauce et de Marie de Rouvillede Chars, et 2° sans postérité de Gasparde, fille de Jacques Mitte de Chevrières de Miolans, veuve de Jean-Timoléon de Beaufort-Canillac et de Claude IV de l'Aubespine);
Père - d'Edme († 1645; 2e comte de Nançay, dit le marquis de La Châtre comme ses successeurs désormais, maître de la Garde-robe, colonel général des Suisses et Grisons, auteur de Mémoires, mari en 1632 de Françoise de Cugnac de Dampierre dame de Boucart et de Jars); Père de Louise-Antoinette-Thérèse (femme du maréchal-duc Louis de Crevant d'Humières) et de - Louis (né vers 1634-† tué en Afrique à Gigery en 1664; 3e comte de Nançay, gouverneur de Bapaume, il doit céder pour dette Jars et Boucart à son créancier, Navailles; marié en 1658 à Charlotte-Louise, fille d'Henri d'Hardoncourt de Rozières); Père de Louis-Charles-Edme (né vers 1661-† 1730; 4e comte de Nançay, lieutenant-général en Orléanais, maréchal de camp; son frère puîné Louis-Claude de La Châtre fut abbé de St-Sever en 1685-1699 et mourut dans un accident de voiture qui le défenestra de son carrosse; époux en 1694 de Marie-Charlotte, fille d'Henri-Charles de Beaumanoir de Lavardin); Père de Louis-Charles II (1695-1734; 5e comte de Nançay; frère de Claude-Louis de La Châtre, 1698-1740, abbé du Tréport en 1717-1740 et évêque d'Agde en 1726-1740; marié en 1723 à Marie-Elisabeth, fille de Jean-Emar de Nicolaÿ de Goussainville); Père de Charles-Louis (6e comte de Nançay, marié en 1744 à Elisabeth-Louise, fille d'Esprit-Constant de Jouvenel des Ursins d'Harville de Traînel et sœur de Claude-Constant); Père de Claude-Louis de La Châtre (1745-1824; 7e comte de Nançay, duc-et-pair de La Châtre en 1817; époux de Charlotte-Louise-Perrette-Aglaé Bontemps: Sans postérité survivante, leur fils Alphonse-Louis-Nicolas de La Châtre, né en 1779, étant † en 1802 dans l'expédition de Saint-Domingue)
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans le département du Cher et, depuis 1984, dans l'arrondissement de Vierzon. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la deuxième circonscription du Cher.
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Distinctions et labels
Dans son palmarès 2016, le Conseil national des Villes et Villages Fleuris de France a attribué une fleur à la commune au Concours des villes et villages fleuris[28].
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].
En 2019, la commune comptait 820 habitants[Note 3], en diminution de 7,66% par rapport à 2013 (Cher: −3%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 024
934
793
1 070
1 052
1 086
1 047
1 105
1 081
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 050
1 060
1 111
1 152
1 157
1 205
1 264
1 357
1 306
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 367
1 374
1 351
1 135
1 044
950
943
930
773
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
768
753
698
748
784
738
842
855
879
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
832
820
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Château de Nançay.
La station de radio-astronomie, avec le grand radiotélescope inauguré par Charles de Gaulle en 1965, le radiohéliographe[32] (47 antennes de 5 m de diamètre), le réseau décamétrique (144 antennes sur 10 000 m²), ainsi qu'une station LOFAR. Le terrain a été choisi en 1953 par l'École normale supérieure en raison de sa taille, de sa relative proximité de Paris et de l'absence de tissu industriel pouvant générer des parasites. Administrativement, l'observatoire de Nançay fait partie de l'Observatoire de Paris et est aussi partenaire de l'Université d'Orléans.
Le Pôle des Étoiles accueille les visiteurs curieux d'en savoir plus sur l'astronomie. Le site comporte des installations pédagogiques, un planétarium de 40 places, des expositions et propose des visites guidées de la station de radioastronomie.
L'église Saint-Laurian, construite en 1624, rebâtie au XIXesiècle après qu'elle fut détruite par un incendie.
Le château de Nançay. Château d'origine XIIesiècle, rebâti sur des fondations du XVesiècle, au XVIesiècle pour la famille de La Châtre, puis en 1855 pour Léon Pépin Le Halleur, manufacturier de porcelaine à Vierzon, qui entreprit une restauration néo XVIe, suivant les dessins exécutés par Georges Rouget au cours de sa démolition. Dans les bâtiments d'exploitation du château de Nançay, Galerie Capazza, galerie internationale d'art contemporain créée en 1975 par Gérard et Sophie Capazza. Les façade, côtés et toitures du château de Nançay et des communs, l’escalier intérieur monumental situé dans l’aile Sud du château, sont inscrits sur l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques par arrêté du .
Personnalités liées à la commune
Claude-Louis de La Châtre (1745-1824), comte de Nançay avant la Révolution, puis duc de La Châtre, militaire et homme politique français des XVIIIeetXIXesiècles.
Alain-Fournier y vécut et décrit le village dans son roman Le Grand Meaulnes.
Gastronomie
Les sablés, biscuits créés en 1953 sur une erreur de recette par Jacques Fleurier.
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1989, page 489.
Xavier Delamarre, Noms de lieux celtiques de l'Europe ancienne: -500 - +500, Paris, éditions Errance, , 383p. (ISBN978-2-87772-483-8), page 203.
Barral, André-Horace-François de (1743-1829). Notices sur les châteaux, abbayes et monuments du département du Cher, par le général Cte de Barral,... publiées avec des notes
par son petit-fils, M. le Cte Edgard de Barral,... et M. l'abbé Adrien de Barral,.... 1898.
Bardon G, La Sologne: un nid de "People"?, Le Petit Solognot, été 2010, p4-11
«Maison de La Châtre, p. 364-377», sur Histoire généalogique et chronologique de la Maison royale de France, t. VII, par les Pères Anselme, Ange et Simplicien, et Honoré Caille du Fourny, aux Libraires associés à Paris, 1733.
«Derniers vœux pour Patrice Pinguet», Le Berry républicain, (lire en ligne, consulté le )«Patrice Pinguet a d'entrée informé son auditoire qu'il ne se représentera pas aux prochaines élections. L'élu a servi la commune pendant trente et un ans, dont dix-huit ans (trois mandats) en tant que maire».
«Jacques Prévost a été élu maire», Le Berry républicain, (lire en ligne, consulté le ).
Yassine Azoug, «À Nançay, le maire Jacques Prévost et ses quatre adjoints démissionnent: Le maire de Nançay, Jacques Prévost, et ses quatre adjoints (Bernard Thoreau, François Thizeau, Jean-Laurent Bichereau et Marie-Claude Lefrançois) ont démissionné de leurs postes de maire, adjoints et conseillers municipaux», Le Berry républicain, (lire en ligne, consulté le )«La victoire du non à la proposition de rapprochement des communautés de communes des Villages de la Forêt et Vierzon Sologne Berry, lors du conseil municipal du 29 janvier, avec sept voix contre et six pour, a motivé les élus démissionnaires».
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