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Montbrison-sur-Lez
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Montbrison-sur-Lez
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Géographie
Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes
Localisation
Montbrison-sur-Lez est situé à 11 km à l'est de Grignan (chef-lieu de canton), à 9 km au nord de Valréas, à 14 km au nord-ouest de Nyons qui est le chef-lieu d'arrondissement, à 17 km au sud de Dieulefit et à 31 km au sud-est de Montélimar.
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Hydrographie
La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1]:
le Lez
le Rieu Sec
Ravin de Bruges
Ravin de Fontaine Pute
Ravin de Gros Serre
Ravin de l'Étang
Ravin des Pigières
Climat
Pour un article plus général, voir Climat de la Drôme.
Voies de communication et transports
La commune est desservie par les routes départementales 24, 538 et 551[1].
Urbanisme
Typologie
Montbrison-sur-Lez est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].
La commune fait partie de l'aire d'attraction de Valréas dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[5],[6].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,2% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62,2%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante: cultures permanentes (53,4%), forêts (26,3%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,6%), zones agricoles hétérogènes (8,8%)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
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Projets d'aménagement
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Risques naturels et technologiques
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Toponymie
Attestations
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[8]:
1284: castrum de Monte Brissono (Valbonnais, II, 118).
1509: mention de l'église secondaire Saint-Michel: ecclesia baptismalis Sancti Michaelis Montis Brisonis (visites épiscopales).
1521: mention de la paroisse: cura Montis Brisoni (rôle de décimes).
XVIesiècle: mention du prieuré (dont l'église principale Saint-Blaise): prioratus Sancti Blasii de Monte Brissono (pouillé de Die).
1576: Montbrizon (rôle de décimes).
1891: Montbrison, commune du canton de Grignan.
(non daté)[réf.nécessaire]: Montbrison-sur-Lez.
Étymologie
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Histoire
Pour un article plus général, voir Histoire de la Drôme.
Préhistoire
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Protohistoire
Skyphos à décor pseudo-ionien (vers 525/450 avant notre ère).
La proximité de l'oppidum du Pègue (commune du Pègue) où la céramique pseudo-ionienne, provenant d'ateliers en relation avec Massalia, a été importante, permet de supposer dans la région environnante une consommation de vin entre le milieu du VIesiècle et le IVesiècle. La production d'œnochoés et de vases à vin (en pâte claire micacée, portant un décor peint, avec un registre allant de la bande ocre au développement de formes figuratives) sont majoritaires. Ces récipients ont gardé dans leurs formes de fortes influences gauloises (coupes carénées)[9].
Antiquité: les Gallo-romains
Le territoire est rattaché à la tribu gauloise des Aletani. Sa capitale est la cité gallo-romaine d'Aletanum[réf.nécessaire].
Du Moyen Âge à la Révolution
En 1281, les comtes de Lunel possèdent le château[10].
Au point de vue féodal, Montbrison était une terre de la baronnie de Montauban.
1316: possession des Ancezune qui la cèdent alors aux dauphins en échange de celle de Chauvac.
1334: les dauphins la donnent aux Beaumont.
1339: les dauphins la donnent aux princes d'Orange.
1380: les Bellon avaient certains droits sur cette terre.
1484: les princes d'Orange l'apanagent à un bâtard.
1501: passe (par héritage) aux Poitiers d'Allan.
Recouvrée par les princes d'Orange qui l'incorporent dans leur principauté (Sur la section de Vaison de la carte de Cassini (XVIIIesiècle), Montbrison est encore noté comme dépendance de la principauté d'Orange, formant une enclave de celle-ci dans le Dauphiné, jouxtant le Comtat Venaissin).
1702: la principauté passe aux Bourbon-Conti.
1724: la terre de Montbrison est engagée aux Raymond-Modène, derniers seigneurs.
Avant 1790, Montbrison était une communauté de l'élection de Montélimar, subdélégation de Saint-Paul-Trois-Châteaux et du bailliage du Buis.
Elle formait une paroisse du diocèse de Die qui avait une église secondaire sous le vocable de Saint-Michel mais dont la principale église, premièrement dédiée à saint Biaise et qui prit ensuite le vocable de Notre-Dame-des-Églises, était celle d'un prieuré de l'ordre de Cluny (dépendant de celui du Pont-Saint-Esprit). Les dîmes de cette paroisse appartenaient, partie au roi, partie au prieur, partie au curé[8].
De la Révolution à nos jours
En 1790, cette commune est attribuée au canton de Taulignan. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans celui de Grignan[8].
Politique et administration
Tendance politique et résultats
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Administration municipale
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Liste des maires
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Article connexe: Élections municipales en France.
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Les données manquantes sont à compléter.: de la Révolution au Second Empire
1790
1871
?
Les données manquantes sont à compléter.: depuis la fin du Second Empire
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Politique environnementale
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Jumelages
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Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[13].
En 2019, la commune comptait 275 habitants[Note 3], en diminution de 7,72% par rapport à 2013 (Drôme: +4,46%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
274
225
282
360
349
381
430
393
412
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
450
449
454
451
424
429
402
433
403
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
364
362
375
293
271
257
232
212
223
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
210
208
198
258
266
312
310
310
304
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
281
275
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[15].)
Histogramme de l'évolution démographique
Services et équipements
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Enseignement
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Santé
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Emploi
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Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Le Montbrison médiéval n'était pas le petit village de plaine d'aujourd'hui; il se situait sur la Vialle. Un sentier de randonnée permet de s'y rendre (suivre la table d'orientation). Les ruines du village et du château se trouvent sur un promontoire adossé au flanc sud de la Montagne de la Lance[réf.nécessaire].
Pontaujard: maison forte médiévale restaurée au-dessus du pont sur le Lez[réf.nécessaire].
La Vialle: restes de l'enceinte du village fortifié médiéval avec tour circulaire[réf.nécessaire].
Chapelle du prieuré Notre-Dame (XIIesiècle): pilier carolingien[16].
Église Saint-Blaise: consacrée en 1791, elle a été construite pour remplacer la chapelle du prieuré qui servait jusque-là d'église paroissiale mais qui était trop loin du village. La construction de Saint-Blaise fut ordonnée après une cinquantaine d'années de discussions. À la fin du XIXesiècle, la population demanda la construction d'un clocher pour y installer la cloche nouvellement acquise (du fondeur lyonnais Aimé Burdin), et baptisée en 1875 du nom de «Claire Immaculée». Le clocher ne sera jamais édifié et la cloche se trouve encore dans la remise de l'église[17],[18].
Église Saint-Blaise de Montbrison-sur-Lez.
Cloche «Claire Immaculée» de l'église Saint-Blaise.
Patrimoine culturel
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Patrimoine naturel
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Personnalités liées à la commune
Marcel Descour (né en 1899 à Paris, mort en 1995 à Montbrison): général d'armée, héros de la Résistance (dit «colonel Bayard»), commandant militaire dans le maquis du Vercors (1944), Grand Officier de la Légion d'honneur.
Pierre Simonet (né en 1921 à Hanoï, mort en 2020 à Toulon): militaire français des FFL, héros de Bir Hakeim, compagnon de la Libération, inhumé dans la commune.
Jacques Descour dit «La Flèche» (né en 1925 à Sarrelouis (Allemagne), tué le à Vassieux-en-Vercors (Drôme)). Âgé de 19 ans, originaire de Montbrison-sur-Lez, fils aîné du général Marcel Descour, élève au Prytanée, Jacques Descour, aspirant, était candidat à Saint-Cyr. Il fit partie des soixante étudiants de la JEC qui venaient de Lyon pour recevoir une instruction militaire en vue de leur affectation ultérieure comme cadres du maquis. Le , sous la direction de Jean Mourgues, il commande un réseau d'une vingtaine d'agents de liaison, puis il rejoint le Vercors. Il est tué parmi les premiers au combat de Vassieux-en-Vercors le [19].
Jean Besson (né en 1948 à Valréas): issu d’une famille de vignerons et de commerçants de Montbrison-sur-Lez, sénateur de la Drôme (1989-2014), Chevalier de la Légion d'honneur[20].
Héraldique, logotype et devise
Montbrison-sur-Lez possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 225 (Montbrison).
C. Lagrand, La céramique pseudo-ionienne dans la moyenne vallée du Rhône, Cahiers Rhodaniens, X, 1963.
Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du Moyen-Âge en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 1286p. (ISBN2-86535-070-3).
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