Le plateau de Vassieux fait partie du massif du Vercors. On y trouve de nombreux phénomènes karstiques (scialets, lapiaz, pertes, grottes), explorés et étudiés notamment par les clubs spéléologiques locaux[réf.nécessaire].
Le village est bâti sur un petit éperon calcaire, dominant de quelques mètres une vaste dépression karstique allongée, de type poljé. Ce poljé occupe lui-même une partie du synclinal généralement nommé « plateau de Vassieux » ou « plateau vassivain »[réf.nécessaire].
Hydrographie
La commune est arrosée par de petits ruisseaux qui se perdent rapidement dans le sol:
Vassieux-en-Vercors est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (72,7% en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (67,7%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante: forêts (54%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (18,6%), prairies (17,7%), zones agricoles hétérogènes (6,8%), terres arables (2,1%), zones urbanisées (0,6%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,1%)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
Vassieux-en-Vercors.
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1891: Vassieux, commune du canton de la Chapelle-en-Vercors[8].
1911: Vassieux-en-Vercors (Bulletin des lois)[sourceinsuffisante].
Étymologie
Le toponyme pourrait signifier «château» mais rappelle davantage le latin vacivus[9] «vide, non occupé»[réf.nécessaire].
Histoire
Article connexe: Histoire de la Drôme.
Préhistoire
Au sud du village, on retrouve plusieurs sites d'extraction et de taille de silex[10], datés entre 2700 et 2400 avant notre ère (Néolithique final)[11].
Une «lame-poignard» façonnée à Vassieux a été trouvée dans une sépulture néolithique de l'île de Groix (Morbihan)[12].
L'atelier P51, lieu-dit de l'Hâle
Le site principal, appelé «P51», est découvert en 1970 au lieu-dit de l'Hâle[12] par Michel Malenfant, président du Centre de recherches préhistoriques du Vercors (Crpv), une association d'archéologues amateurs. Cette association fouille le site jusqu'en 1980, mettant au jour un atelier de taille de silex de plus de 80 m2 en bon état de conservation[13].
En 1978, Alain Beeching dirige une fouille sur les abords nord et est de ce site (Beeching 1978);
lors de la première extension du musée en 1988, Jean-Marc Roche dirige une autre plus à l'est[14].
De 1992 à 1998, Jacques Pelegrin et Caroline Riché effectuent des recherches complémentaires: ils rassemblent les observations disponibles, identifient les éléments de mobilier, et précisent l'importance et la datation des activités d'exploitation diverses du silex pendant le Néolithique (Riché 1998[10]; Pelegrin & Riché 1999; Pelegrin et al. 1999[15])[16].
Les artisans qui ont utilisé le site ont employé la technique de taille dite «pressignienne», ce qui suggère qu'ils ont peut-être été initialement formés au Grand-Pressigny, en Indre-et-Loire, à quelque 540 km[12] au nord-ouest.
Le site a été abandonné il y a 4 500 ans par les hommes de la fin du Néolithique.
Il est classé au titre des monuments historiques depuis le [17].
Le musée de la préhistoire du Vercors est installé depuis 1980 sur son site (labellisé Musée de France en 2002)[18].
Protohistoire
Le territoire de la commune faisait partie de la tribu gauloise des Vertamocores.
Antiquité: les Gallo-romains
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Du Moyen Âge à la Révolution
Fief des comtes de Diois, puis des dauphins et des évêques de Die[19].
Avant 1790, Vassieux était une communauté de l'élection de Montélimar, subdélégation de Crest et du bailliage de Die.
Elle formait une paroisse du diocèse de Die (archiprêtré du Royans-Vercors puis du Vercors[réf.nécessaire]). Son église, dédiée à la sainte Vierge, était celle d'un prieuré de l'ordre de Saint-Antoine (de la dépendance de la commanderie de Sainte-Croix), dont le titulaire avait les dîmes de la paroisse et présentait à la cure.
Le mandement de Vassieux avait les mêmes limites que la paroisse de ce nom[8].
De la Révolution à nos jours
En 1790, la commune est comprise dans le canton de Saint-Julien-en-Quint. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans le canton de la Chapelle-en-Vercors[8].
Seconde Guerre mondiale
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Article détaillé: Maquis du Vercors.
En , les maquisards attendent l'atterrissage des premiers avions alliés sur la piste construite à proximité du village. Les Allemands pensent sans doute que la piste, aussi sommaire soit-elle, va permettre de débarquer des troupes en nombre important. Ils prennent donc les devants et, le , une opération aéroportée est lancée contre le village.
Premier atterrissage de planeurs
Ce au matin, vers 7h30, vingt-deux planeurs DFS 230 remorqués par des Dornier Do 17 décollent du terrain de Lyon/Bron avec chacun dix hommes à bord, dont le pilote. Le vol, qui dure une heure trente, est effectué sans problème particulier et les planeurs commencent à se poser très près du village, certains pratiquement à côté des maisons. L'arrivée de ces soldats est une surprise totale pour les résistants mais ils se ressaisissent rapidement et mettent en place des mitrailleuses. Plusieurs planeurs sont détruits durant l'atterrissage et certains équipages sont tués. Les Allemands se réfugient dans le village où ils résistent pendant toute la journée ainsi que le lendemain, les maquisards ayant monté une contre-attaque; isolées, sans ravitaillement, les troupes allemandes vont se trouver à plusieurs reprises sur le point d'être anéanties. À cause des très mauvaises conditions météorologiques, elles ne peuvent recevoir de soutien aérien le ; il n'y a donc ni arrivée de renforts ni intervention de l'escadrille spécialisée dans la lutte contre les « terroristes ».
Second atterrissage de planeurs
Le 23 juillet, le beau temps étant revenu, vingt planeurs DFS 230 et un planeur lourd Gotha Go 242, remorqués par les mêmes avions que le , décollent de l'aérodrome de Chabeuil avec deux cents hommes et du matériel, notamment une pièce de 20 mm. Trois planeurs n'atteignent pas le plateau lors de ce vol du . L'un cassera son câble de remorquage, à la verticale de Marignac-en-Diois et deux avions remorqueurs se laisseront déporter à plus de 25 kilomètres au sud de la route prévue. Lorsqu'ils reprendront le cap nord en direction de Vassieux, ils seront pris dans les rabattants créés par le très fort mistral et les montagnes environnantes. Les câbles seront rompus. L'un d'eux aura son aile arrachée, et il s'écrasera près de Montjoux, tuant tous ses occupants[20]. Ce renfort va permettre de briser la résistance des maquisards, d’autant que les troupes terrestres commencent elles aussi à déboucher sur le plateau ce même jour. Le 26, les parachutistes brûlent leurs planeurs avant de descendre dans la vallée. Ce n'est que le que les Allemands auront évacué totalement le plateau.
Bilan des exactions
Pendant leur présence à Vassieux, les troupes allemandes se sont livrées à de très nombreuses exactions sur les habitants du village et des hameaux environnants, n’hésitant pas à mutiler et à torturer. L’équipe de la Croix-Rouge, montée par le col de Rousset, qui arrive à Vassieux le , découvre 73 habitants (sur une population de 7 430 habitants) et 91 résistants massacrés, les maisons détruites[21].
Troupes allemandes engagées
Les assaillants ayant fait preuve d'une barbarie inhabituelle jusqu'alors, on a pensé et écrit que les assaillants étaient des Waffens SS. On sait aujourd'hui qu'il n'y a pas eu de Waffen SS à Vassieux, ni ailleurs dans le Vercors (La seule opération aéroportée de parachutistes SS est celle menée le à Drvar (Yougoslavie) contre un des refuges de Tito).
D'après les rapports journaliers de l'OB West des 23 et , transmis par le Militärbefehlshaber in Frankreich[22], ont été aéroportées sur Vassieux-en-Vercors, les 21 et , les troupes suivantes:
Le : environ deux cents hommes issus des Fallschirmjäger-Bewährungstruppe (troupes disciplinaires) formant le Fallschirm-Kampfgruppe «Schäfer»[23], et, puisque, selon Alain Chazette[24], trois Français ont été tués dans un planeur écrasé près de La Mure, soit un groupe de la 8ecompagnie du 3erégiment «Brandenburg» (composée de volontaires français), soit un groupe de la Sipo-SD de Lyon accompagnant le Kommandeur, ont été aéroportés de Lyon-Bron à Vassieux par vingt-deux planeurs DFS-230 (chacun un pilote et neuf soldats), remorqués par des Dornier-17 du I./Luftlandegeschwader 1[25]. D'après Peter Lieb[26], un planeur a été contraint de se poser avant l'objectif, deux planeurs se sont écrasés et sept ont atterri loin de Vassieux; donc, la première vague d'assaut sur ce village ne comprenait qu'une centaine de soldats.
Le : vingt planeurs DFS-230 et, remorqués par des Heinkel-111 du I./LLG 1, trois planeurs Go-242 (chacun deux pilotes et vingt et un soldats ou du matériel)[25] ont transporté, de Valence-Chabeuil à Vassieux, une Ostkompanie (Ost-Legion: volontaires russes, ukrainiens et caucasiens) et une section de chasseurs parachutistes[22]. D'après Peter Lieb[26], deux DFS-230, au moins, et un Go-242 se sont égarés, un autre Go-242 s'est posé trop loin, un seul, apportant des armes lourdes (mortiers) et du ravitaillement, a atterri à Vassieux; donc, la seconde vague d'assaut ne comprenait qu'environ cent cinquante soldats.
Le Kommandeur der Sipo-SD de Lyon (KDS), le SS-Obersturmbannführer (lieutenant-colonel SS) Werner Knab, a également été aéroporté sur Vassieux dès le et, blessé par balles, a été évacué dans un Fieseler Fi 156Storch le [27],[26]. Il aurait joué un grand rôle dans le massacre des maquisards et des habitants.
Postérité
Le , pour ses hauts faits de résistance durant l'occupation, le village a reçu la croix de la Libération par décret du général de Gaulle. Le village est ainsi devenu la quatrième des cinq collectivités civiles françaises élevées au rang de Compagnon de la Libération avec la mention suivante:
«Village du Vercors qui, grâce au patriotisme de ses habitants, s'est totalement sacrifié pour la cause de la résistance française en 1944. Principal centre de parachutage pour l'aviation alliée sur le plateau, a toujours aidé de tous ses moyens les militaires du Maquis dans les opérations de ramassage d'armes. Très violemment bombardé le 14 juillet, attaqué par 24 planeurs allemands les 21 et 22 juillet, a eu 72 de ses habitants massacrés et la totalité de ses maisons brûlées par un ennemi sans pitié. Martyr de sa foi en la résurrection de la Patrie[28].»
Les ornements extérieurs du blason de la commune attestent désormais de cet événement, avec la mention 21-VII-1944 et les médailles de la commune (voir plus bas: héraldique).
La nécropole nationale de Vassieux-en-Vercors.Tombes d'hommes, de femmes, de musulmans et de chrétiens au cimetière de la résistance à Vassieux-en-Vercors. Aout 2017.
Le Mémorial de la Résistance[29], bâti au col de la Chau, et le musée départemental de la Résistance, implanté au village, conservent la mémoire de ces événements. Un cimetière situé au départ de la route qui mène au mémorial, créé dès 1945 à l'initiative du colonel Pierre Tanant, chef d'état-major du maquis, afin de réunir les corps des maquisards militaires et civils tombés au combat, contribue également à perpétuer le souvenir et à honorer les victimes. D'autres monuments disséminés dans le village et la campagne environnante rappellent des événements ponctuels.
Histoire récente
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Politique et administration
La mairie.
Tendance politique et résultats
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Administration municipale
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Liste des maires
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2015: Vassieux-en-Vercors est l'une des cinq communes de la communauté de communes du Vercors, incluse depuis 2015 dans le nouveau canton de Vercors-Monts du Matin.
2017 (janvier): fusion de la CCV sous une nouvelle entité CCRV Communauté de communes du Royans-Vercors.
Politique environnementale
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Finances locales
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Budget et fiscalité 2015
En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[32]:
total des produits de fonctionnement: 439 000 €, soit 1 215 € par habitant;
total des charges de fonctionnement: 443 000 €, soit 1 226 € par habitant;
total des ressources d’investissement: 122 000 €, soit 338 € par habitant;
total des emplois d’investissement: 204 000 €, soit 565 € par habitant.
endettement: 469 000 €, soit 1 299 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants:
taxe d’habitation: 16,31%;
taxe foncière sur les propriétés bâties: 8,59%;
taxe foncière sur les propriétés non bâties: 48,51%;
taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties: 50,03% ;
cotisation foncière des entreprises: 14,42%.
Jumelages
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Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].
En 2019, la commune comptait 326 habitants[Note 2], en diminution de 3,26% par rapport à 2013 (Drôme: +4,46%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
866
921
1 302
930
1 003
1 022
978
899
981
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
941
930
850
800
773
758
741
701
660
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
641
622
540
486
474
448
430
309
373
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
320
257
257
310
283
290
344
354
344
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
318
326
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique
Services et équipements
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Enseignement
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Santé
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plaque commémorative aux morts 1914-1918 (église),
plaque commémorative aux maquisards 1939-1945 (crypte de la Nécropole de La Résistance),
plaque commémorative aux maquisards (mur de la route des Grands Goulets),
monument commémoratif 1939-1945 (face à la mairie),
monument commémoratif (entrée ouest du hameau de La Mûre),
plaque commémorative aux morts 1944 (église, à côté de la plaque 1914-1918),
stèle commémorative 1939-1945 (sortie du village en direction de la nécropole et du Mémorial de La Résistance),
stèle commémorative 1939-1945 (sortie sud du village, rue des Maquis),
stèle commémorative 1939-1945 (entrée nord de Vassieux-en-Vercors, au milieu du champ à droite de la D76),
stèle commémorative 1939-1945 (hameau Le Château, près du bassin, sur le coté de la route),
nécropole nationale (entrée de Vassieux-en-Vercors, en bordure de route).
Carcasse de planeur allemand DFS 230 restaurée pour le musée de la Résistance.
Mémorial de la Résistance en Vercors
Nécropole nationale de Vassieux-en-Vercors: située au bord de route à l'entrée de Vassieux en Vercors, ce cimetière militaire, créée en 1948, rassemble 187 tombes dont 86 de résistants membres des FFI, 52 habitants de Vassieux et 49 inconnus.
Musée départemental de la Résistance du Vercors à Vassieux-en-Vercors: créé en 1973 par un ancien maquisard, Joseph La Picirella, le musée a été repris par le département de la Drôme en 1999. Il a été entièrement rénové en 2010.
Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Vassieux-en-Vercors (inaugurée en 1951): Vierge à l'Enfant, fresques[19].
Patrimoine culturel
Le musée de la préhistoire du Vercors (voir plus haut: paragraphe Préhistoire).
Le Monde des santons avec son exposition permanente (Restaurant Rey)[40].
Patrimoine naturel
La commune possède de nombreuses grottes et scialets:
La commune fait partie du Parc naturel régional du Vercors[19].
Personnalités liées à la commune
Eugène Chavant (1894-1969): chef civil du Maquis du Vercors. Le , sous les bombardements, il réussit l'évacuation des femmes et des enfants de Vassieux-en-Vercors.
Héraldique, logotype et devise
Blason de la commune avec ornements extérieurs.
Les ornements extérieurs du blason ont été élaborés après les événements de : mention 21-VII-1944 et médailles de la commune (voir plus haut: paragraphe Histoire).
Article connexe: Armorial des communes de la Drôme.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
[Riché 1998] Caroline Riché, Les ateliers de silex de Vassieux: exploitation des gîtes et diffusion des produits (thèse de doctorat en Histoire, dir. Catherine Rerles), université de Paris X, (résumé).
[Clappier et al. 2018] Anne-Marie Clappier, Carine Marande et Jacques Pelegrin, «Les silex de Vassieux-en-Vercors, de l'atelier de taille à l'enfouissement», Les nouvelles de l'archéologie, no151 «Inventaire après déchets», , p.63-67 (lire en ligne[sur journals.openedition.org], consulté en ), paragr. 6.
[Pelegrin, Riche & Malenfant 1999] Jacques Pelegrin, Caroline Riché et Michel Malenfant, «Un projet collectif de recherche sur les ateliers néolithiques du Vercors: premiers résultats», dans Alain Beeching & Joël Vital (dir.), Préhistoire de l'espace habité en France du Sud et actualité de la recherche (actes des premières rencontres méridionales de Préhistoire récente, Valence, 3-4 juin 1994), Centre d'archéologie préhistorique de Valence, coll.«Travaux du Cap» (no1), , p.151-158.
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