Grand-Fougeray est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine, en région Bretagne.
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Grand-Fougeray
L'ancienne maison de justice.
Héraldique
Administration
Pays
France
Région
Bretagne
Département
Ille-et-Vilaine
Arrondissement
Redon
Intercommunalité
Bretagne Porte de Loire Communauté
Maire Mandat
Nadine Dréan 2020-2026
Code postal
35390
Code commune
35124
Démographie
Gentilé
Fulkerien
Population municipale
2 455 hab. (2019 en augmentation de 1,57% par rapport à 2013)
La commune a été labellisée Village étape en 2010.
Géographie
La toponymie du Grand-Fougeray vient du latin "filicaria" (fougère) et du suffixe "acum" (d'origine gallo-romaine)[1].
Du point de vue de la richesse de la flore, Grand-Fougeray est à la douzième place des communes du département possédant dans leurs différents biotopes le plus de taxons, soit 601 pour une moyenne communale de 348 taxons et un total départemental de 1373 taxons (118 familles). On compte notamment 52 taxons à forte valeur patrimoniale (total de 207); 30 taxons protégés et 26 appartenant à la liste rouge du Massif armoricain (total départemental de 237)[2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]
Moyenne annuelle de température: 11,8°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,6 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 3,8 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,7 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,1 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Derval», sur la commune de Derval, mise en service en 1979[9] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12°C et la hauteur de précipitations de 767,8 mm pour la période 1981-2010[11].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Rennes-Saint-Jacques», sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et à 38 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,7°C pour la période 1971-2000[13], à 12,1°C pour 1981-2010[14], puis à 12,4°C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Grand-Fougeray est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[16],[17],[18].
La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,8% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (95,8%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
zones agricoles hétérogènes (43,9%), terres arables (42,4%), prairies (8,5%), forêts (2,1%), zones urbanisées (2%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,1%)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].
Économie
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Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Felkeriac au IXesiècle[23], Plebs Fulkeriac en 852, Fulkeriac Major en 903, Felgeriacum en 1123[24],[25]. De filicaria (fougère)[23]. Fougeray désignerait ainsi un «lieu où pousse la fougère».[réf.nécessaire]
Histoire
Moyen-Âge
851 - Bataille de Jengland
Le château du Grand-Fougeray, occupé par les Anglais est repris par Bertrand Du Guesclin vers 1350.
Temps modernes
Le règlement du évoque des toiles dénommées "beurières", tissées dans les régions de Nozay et de Fougeray[26].
Révolution française
La population de la commune est favorable aux changements apportés par la Révolution française, surtout après la fin de la Terreur. La principale fête révolutionnaire est celle célébrant l’anniversaire de l’exécution de Louis XVI, accompagnée d’un serment de haine à la royauté et à l’anarchie, fêtée à partir de 1795[27]. La fondation de la Ire République est aussi fêtée tous les ans.
Le XIXesiècle
À cette époque, le territoire communal est découpé en différentes sections: Cherhal, La Collinais... En 1847, le nom de la commune de Fougeray est modifié en Grand-Fougeray.
Mathurin Cœurdray, instituteur au Grand-Fougeray pendant plus de trente ans, reçut de nombreux prix (notamment de la Société centrale d'agriculture d'Ille-et-Vilaine) entre 1849 et 1880 pour la qualité de son enseignement agricole dispensé aux agriculteurs de la commune en plus de ses cours à l'école primaire. Jusqu'en 1873 les effectifs de son école progressent régulièrement, passant de 135 garçons en 1857 à 203 en 1870. Mais l'ouverture d'une école privée congréganiste en 1873 fait perdre à l'école communale 60% de ses effectifs en deux ans et une véritable guerre scolaire oppose «l'école des chouans» et «l'école des rouges»[28]
La gare de Fougeray - Langon est mise en service en [29], par la compagnie des chemins de fer de l'Ouest, soit deux ans après l'inauguration de la ligne. La station est établie[30] sur la rive droite de la Vilaine à proximité du Pont-de-la-Fosse. Elle porte le nom du chef-lieu de canton, Fougeray dit aussi Grand-Fougeray (6 264 habitants) situé à environ 12 km, et de la commune de Langon (1 698 habitants) dont le bourg est à environ 1 km.
En 1880, la commune se sépare d'une partie importante de son territoire qui va donner naissance à deux autres communes: Sainte-Anne-sur-Vilaine et La Dominelais[31]. Elle perd son statut de la plus grande commune en Ille-et-Vilaine.
Le XXesiècle
La Belle Époque
Lors de l'inventaire de 1906, les portes de l'église étant trop résistantes, on défonça un mur pour pouvoir procéder à l'inventaire[32].
Une ligne de tramway des TIV (Transports d'Ille-et-Vilaine) allant de Rennes au Grand-Fougeray en passant par Chartres, Noyal-sur-Seiche, Pont-Péan, Orgères, Chanteloup, Le Sel, Saulnières, Pancé, Bain et La Dominelais fut construite à partir de 1909[33]; mise en service en 1910, la ligne était longue de 64 km; elle ferma en 1937; les tramways y circulaient à environ 25 km/h[34].
Le XXIesiècle
En 2019[35], le territoire de la commune s'agrandit en intégrant la totalité du hameau du Lamberdais[36] qui était à cheval sur Mouais.
Héraldique
Blasonnement: D'hermine à la tour de gueules chargée d'une vache d'or, la queue fourchée passant entre les jambes et remontant au-dessus du dos.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Grand-Fougeray appartient à l'arrondissement de Redon et au canton de Bain-de-Bretagne depuis le redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, la commune était le chef-lieu du canton de Grand-Fougeray.
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la quatrième circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis par Gaël Le Bohec (LREM). Sous la Ve République, Grand-Fougeray et son canton ont toujours été intégrés à cette circonscription, sauf pendant la période 1986-1988 où les députés étaient élus au scrutin proportionnel de liste, le département d'Ille-et-Vilaine formant une circonscription unique. Auparavant, elle a successivement appartenu à la circonscription de Montfort - Redon (Second Empire, 1857-1870) et à la circonscription de Redon (IIIe République, 1876-1919 et 1928-1940).
Intercommunalité
Depuis le , date de sa création, la commune appartient à Bretagne Porte de Loire Communauté. Cette intercommunalité est issue de la fusion de la communauté de communes de Moyenne Vilaine et Semnon et de celle du Pays de Grand-Fougeray, dont Grand-Fougeray était la ville principale et le siège.
La communauté de communes du Pays de Grand-Fougeray fut fondée en 1994 et avait succédé au SIVU des Quatre Routes, créé en 1988.
Grand-Fougeray fait aussi partie du Pays des Vallons de Vilaine.
Administration municipale
Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 19[37].
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Politique en Ille-et-Vilaine.
Élections municipales et communautaires
Élection municipale de 2020
Article détaillé: Élections municipales de 2020 en Ille-et-Vilaine.
Tête de liste
Liste
Premier tour
Sièges
Voix
%
CM
CC
Nadine Dréan
DVD
472
54,31
15
2
Réunis pour l'avenir de Grand-Fougeray
Norbert Janvier
SE
397
45,68
4
1
Une dynamique, une équipe au service de tous
Élection municipale de 2014
Article détaillé: Élections municipales de 2014 en Ille-et-Vilaine.
Électricien, ancien président de la CCI de Redon Président du SIVU des Quatre Routes (1988 → 1993) Président de la CC du Pays de Grand-Fougeray (1994 → 2016) 1er vice-président de Bretagne Porte de Loire Communauté (2017) Réélu en 2008 et 2014, décédé en fonction [43]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[48].
En 2019, la commune comptait 2 455 habitants[Note 6], en augmentation de 1,57% par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine: +5,84%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
4 417
4 193
3 898
4 673
5 501
5 407
5 254
5 425
5 619
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
5 656
5 859
6 264
6 310
6 370
3 701
3 813
3 869
3 815
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
3 861
3 706
3 581
3 064
3 044
2 898
2 829
2 753
2 522
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
2 311
2 219
2 008
2 032
1 995
1 970
2 211
2 279
2 417
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
2 436
2 455
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee à partir de 2006[50].)
Histogramme de l'évolution démographique
Sites et monuments
La Tour Duguesclin, vestige de l'ancien château de Grand-Fougeray.
Clocher de l’église Saint-Pierre-Saint-Paul (XVIIIe – XXesiècles).
Côté ouest de la croix du XVesiècle.
Côté est de la croix du XVesiècle.
Bénéficiant d'un rôle important au Moyen Âge, Le Grand-Fougeray possède aujourd'hui quelques vestiges des siècles passés. La commune compte ainsi trois monuments historiques:
Du château-fort édifié au XIIIesiècle subsiste le donjon, couramment appelé la tour Duguesclin en hommage à Bertrand du Guesclin, dont le château aurait été la première conquête en 1354. Des ouvertures ont été percées au XVesiècle. La tour a été classée par arrêté du [51].
L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul, partiellement romane, domine le bourg de sa haute silhouette. Elle a aussi une histoire riche liée au passé de la ville. L’église construite au XIIe[52] siècle a été constamment remaniée au cours des siècles. La partie romane la plus lisible est le mur sud de la nef. En petit appareil polychrome il est épaulé de contreforts maçonnés plats répartis de façon irrégulière. Entre le troisième et le quatrième, on lit la trace d’une mince fenêtre-meurtrière de plein cintre rebouchée. Les grandes fenêtres ont été percées en 1830. Le clocher-porche a été construit au XVIIIesiècle puis rehaussé au début du XXesiècle par Hyacinthe Perrin[53]. À l'intérieur, le mur sud et la porte occidentale de la nef charpentée sont romans. Le mur nord a été repris au XVesiècle et modifiées en 1830. D'un style indéfinissable, il est percé d'arcs de hauteurs différentes à simple rouleau retombant de grosses piles rondes. Le chœur à chevet plat date du XIIIesiècle. Il est percé d'une maîtresse-vitre à remplages.
L’ancienne maison de justice, une maison à colombages du XVIesiècle, abrite désormais les services de la communauté de communes du Grand-Fougeray. Elle a été inscrite par arrêté du [54].
La croix du XVesiècle située près de l’église a été inscrite par arrêté du [55].
La commune, particulièrement étendue, abrite de nombreux vestiges dans les différents villages.
Personnalités liées à la commune
Jean de Rieux, maréchal de Bretagne, seigneur et propriétaire de la forteresse du Grand-Fougeray, favorable au roi d'Angleterre à la mort de Jean de Bretagne en 1341.
Bertrand du Guesclin, qui a repris le château du Grand-Fougeray occupé par les Anglais, grâce à une ruse de guerre.
François Dollier de Casson, historien de Montréal.
La famille de Rougé, anciens propriétaires de la tour Du Guesclin.
L'amiral Schwerer, mort en son château de la Derre le .
Notes et références
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Louis Diard, La flore d'Ille-et-Vilaine, Atlas floristique de Bretagne, Rennes, Siloë, 2005, carte p.170.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Jean-Pierre Brunterc’h, «Puissance temporelle et pouvoir diocésain des évêques de Nantes entre 936 et 1049», Mémoires de la Société Historique et Archéologique de Bretagne, t.LXI, 1984, p.34.
"Mémoire concernant la fabrique et le commerce des différentes toiles comprises dans le règlement du 22 may 1736 des toiles rayées et des coutil qui se fabriquent en Bretagne", Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, C 3929
Louis Dubreuil, «Fêtes révolutionnaires en Ille-et-Vilaine», in Annales de Bretagne, volume 21, tome 4, 1905, p.398-399.
Gilbert Nicolas, "Instituteurs entre politique et religion", éditions Apogée, 1993, (ISBN2-909275-11-6).
Jean-Pierre Nennig, Le chemin de fer de Bretagne Sud: de Savenay et de Rennes à Landerneau par Redon, Vannes, Auray, Lorient, Quimper et Châteaulin et ses embranchements vers Ploërmel, Quiberon, Pontivy, Concarneau, Pont-l'Abbé et Douarnenez-Tréboul, Pornichet, JPN éd, coll.«Archéologie ferroviaire», , 221p. (ISBN978-2-9519898-5-6, OCLC470735372), «421+568 - Gare de Fougeray-Langon», p.66.
Adolphe Laurent Joanne, Itinéraire général de la France: Bretagne, L. Hachette, (lire en ligne), «De Rennes à Nantes», p.362-363.
Jean Rohou, "Catholiques et Bretons toujours? (essai sur l'histoire du christianisme en Bretagne)", éditions Dialogues, Brest, 2012, (ISBN978-2-918135-37-1).
«Tramway de Rennes au Grand-Fougeray», La Dépêche bretonne, (lire en ligne, consulté le ).
Décret no2018-824 du 28 septembre 2018 portant modification des limites territoriales de communes, de cantons, d'arrondissements, de départements et de régions en Ille-et-Vilaine et en Loire-Atlantique
«Jacques Blain, une figure emblématique de la commune, disparaît», Ouest-France,
«M. Alain Gislais, élu maire», Ouest-France,
«Le maire de Grand-Fougeray, Alain David, est décédé ce samedi 26 août: Alain David, maire de Grand-Fougeray depuis 2001 est décédé ce samedi 26 août des suites d'une maladie.», Ouest-France, (lire en ligne)
«Bernard Chauvin, nouveau maire de Grand-Fougeray: Après le décès d'Alain David, le conseil municipal de Grand-Fougeray avait quinze jours pour élire son nouveau maire. C'est le 1er adjoint qui a été élu.», Ouest-France, (lire en ligne)
«Grand-Fougeray. Nadine Dréan est devenue maire: Première adjointe au conseil précédent, élue depuis 11 ans, Nadine Dréan, a été élue maire de Grand-Fougeray lundi 25 mai.», Ouest-France, (lire en ligne, consulté le )
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