CornimontÉcouter (/kɔʁ.ni.mɔ̃/) est une commune de moyenne montagne du nord-est de la France, dans le département des Vosges en région Grand Est. Elle appartient à l'unité urbaine de la Bresse, dont elle est l'une des villes-centres, à la communauté de communes des Hautes Vosges et au Massif des Vosges.
Ses habitants sont appelés les CounehetsÉcouter et les CounehettesÉcouter.
Géographie
Localisation
Localisation dans le département.Situation géographique de Cornimont.Légende.
Cornimont se situe à 25 km de Remiremont, 20 km de Gérardmer, 35 km de Thann et 12 km du Thillot. Son point culminant est le Grand Ventron, à 1 204 m d'altitude, et le point le plus bas est à 493 m.
Cornimont vue de la croix de mission.
La cité est située dans la vallée de la Moselotte, entre La Bresse et Saulxures-sur-Moselotte, mais le peuplement est dispersé: le hameau de Xoulces occupe une vallée sans issue (vallée du Xoulces), celui de Travexin se situe en direction de Ventron et du Thillot, les adrets ont vu l'implantation de fermes puis de chalets: le Droit de Cornimont, le Droit de Xoulces, Parfongoutte, le Brabant… D'amont en aval, la Moselotte traverse les quartiers de Lansauchamp, Cherménil, le Faing, le Daval et les Meix Fraiteux.
La commune est délimitée dans toutes les directions par des sommets couverts de résineux: la Tête du Canard (927 m) au sud-ouest, la Tête de Zéfeu (966 m), la Tête du Saut (974 m) et le Péchin (975 m) au nord-ouest, le Rondfaing (1 066 m) au nord, le Faing Berret (999 m) au nord-est, l'Altenberg (1 197 m), le Hasenlochkopf (1 135 m) et le Rothenkopf (1 137 m) à l'est, le Grand Ventron, la Tête de la Vache brûlée (1 135 m), la Tête du Broche (1 103 m) et le Haut de Tomteux (1 066 m) au sud-est.
C'est l'une des 188 communes[1] du parc naturel régional des Ballons des Vosges.
On note que Rochesson est en contact avec Cornimont en un seul point situé sur la borne dite Pierre des Quatre Communes.
Hydrographie
La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Moselotte, le ruisseau le Ventron, le ruisseau de Xoulces, la goutte de la Grande Basse, la goutte de Parfongoutte, la goutte des Blancs Murgers, la goutte des Grands Clos, la goutte du Grand Ventron, la goutte du Pre Cuna, la goutte le Longfoigneux, le ruisseau de Travexin, le ruisseau la Wassongoutte et le ruisseau Les Echarges[2],[Carte 1]. Les «gouttes» désignent localement des torrents.
La Moselotte prend sa source sur la commune de La Bresse, à 1 280 mètres d’altitude, entre le Hohneck (1 363 mètres) et Kastelberg (1 350 mètres), à proximité des sources de la Vologne et de la Meurthe et de la Crête supérieure des Vosges. Elle se jette dans la Moselle au niveau de la commune de Saint-Étienne-lès-Remiremont[3].
Le ruisseau le Ventron, d'une longueur totale de 11,4 km, prend sa source dans la commune de Ventron et se jette dans la Moselotte sur la commune[4].
La Moselotte au centre, entre le pont du Daval et Saulcy.
Réseaux hydrographique et routier de Cornimont.
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Urbanisme
Typologie
Cornimont est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7].
Elle appartient à l'unité urbaine de la Bresse, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[8] et 10 603 habitants en 2019, dont elle est ville-centre[9],[10].
La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (73,9% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74,4%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (70,4%), prairies (11,1%), zones agricoles hétérogènes (10%), zones urbanisées (4,2%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,5%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,8%)[13].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].
Toponymie
Une tradition populaire voudrait que la commune tire son nom d'une corne d'aurochs oubliée par Charlemagne lors d'une partie de chasse dans les forêts sauvages des Hautes-Vosges qu'il appréciait. Parmi les interprétations plus scientifiques, Albert Dauzat voit dans Cornimont un mont pointu, ayant la forme d'une corne; quant à Ernest Nègre, il pense plutôt au mont de Cornicus, nom de personne d'origine latine. En allemand, le village se nommait naguère Hornenberg (Hornen = cor / Berg = Montagne), et en alsacienHornepari, noms inusités depuis longtemps dans les deux langues.
Inhabitée avant le VIIesiècle, la haute vallée de la Moselotte et ses forêts étaient un terrain de chasse pour les seigneurs mérovingiens puis carolingiens[17]. Plus tard, la vallée est empruntée pour relier les monastères de Remiremont et de Munster. Petit à petit, des colonies se fixèrent sur ce trajet[17].
Le village date environ du IXesiècle[17] au Xesiècle. Il dépendait alors de la baronnerie de Faucogney[réf.nécessaire]. Cornimont relevait du ban de Vagney et appartenait au bailliage de Remiremont[18],[16]. Les territoires de Cornimont et de Xoulces sont ensuite détachés du bailliage romarimontain et dépendent de la seigneurie de Fougerolles[17].
Au Moyen Âge, le village subit une famine en 1315, la peste en 1349 et les fréquentes guerres entre seigneurs tiraillent la seigneurie de Fougerolles entre le duché de Bourgogne et le duché de Lorraine, transférant régulièrement Cornimont de l'un à l'autre. Au XIVesiècle, le village compte environ 300 habitants répartis entre le plain de Xoulces, Cherménil et le Daval. Deux oratoires et une chapelle au Saulcy, nommée Saint-Barthélémy aux Bois, sont érigés[17].
Son église, annexe de Saulxures-sur-Moselotte, était dédiée à saint Barthélemy[16],[19].
Première mention connue: Cournimont (1345).
À la Révolution, Cornimont fut choisi comme chef-lieu de canton de 1790 à l'an XI, dans le district de Remiremont. Par arrêté consulaire du 26 ventôse an XI, le chef-lieu du canton de Cornimont fut transféré à Saulxures-sur-Moselotte. Par une ordonnance du , la section de Travexin est rattachée à Cornimont[16]. Cette ancienne commune était dotée d'une église.
Cornimont, qui connut une forte expansion à la fin du XIXesiècle, vit l'implantation de plusieurs usines textiles, à l'initiative de Georges Perrin[20]. Depuis la crise de cette industrie, la population a fortement chuté.
Combats de la Seconde Guerre mondiale
Évocation des combats de Cornimont du sur une citation de conducteur de GMC.
Le , le 2erégiment de cuirassiers participe à la libération de Lyon, à la prise de Chalon-sur-Saône puis de Dijon et le d'Is-sur-Tille. Le , Langres est à son tour libérée après un vif combat. Le même jour, la jonction est effectuée près de Châtillon-sur-Seine, au nord-est de Chaumont, avec la 2e DB qui arrive de Paris. Obliquant à l'est, la 1re DB s'axe alors vers Colmar. Sa poussée vers les Vosges enlève Travexin mais ne peut en déboucher.
Après quarante-cinq jours de marche vers Le Thillot, dont les stations sont Mélisey, Servance, Château-Lambert, Ramonchamp, Cornimont, Travexin, Fresse-sur-Moselle, La Chevestraye, Recolonges et enfin Ronchamp dont la Chapelle Notre-Dame-du-Haut primitive est démolie par l'artillerie allemande. La 1re DB parviendra ainsi à l'orée de l'Alsace le .
Cornimont et ses environs ont été le théâtre de combats acharnés entre l'armée allemande et l'armée française d'Afrique[21]. En effet, l'armée des États-Unis a lancé une offensive vers Saint-Dié et l'Alsace. Les commandos sont arrivés le dans la zone de Ferdrupt pour dégager la vallée du Ménil, à la sortie du Thillot. Le climat de cette région est humide, il pleut sans discontinuer. La ligne de défense allemande va depuis les Baranges (au sud de Cornimont) et court vers l'est, devant Travexin et Ventron. Les commandos vont investir la ligne de crêtes qui court au-dessus de 1 000 m, partant de la cote 743 vers le Haut de Tomteux, en passant par le Haut de Grosse Pierre et le Brûleux. L'artillerie allemande (canons automoteurs) tire avec précision et les pertes sont lourdes avec des combats contre les troupes aguerries. Le bilan de neuf jours de combats est lourd[22]:
92 tués dont 19 officiers,
370 blessés.
Les commandos sont relevés. Du au [23], le 7erégiment de chasseurs d'Afrique va combattre avec ses blindés dans la boue, sous la neige et le froid. Les blindés (chasseurs de chars) sont affrontés à l'artillerie allemande. Les camions de ravitaillement seront mis à contribution pour fournir vivres et carburant.
Les troupes partiront à l'assaut des cols des Vosges à partir du .
La commune a été décorée, le , de la Croix de guerre 1939-1945[24].
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2020 dans les Vosges.
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Pharmacien Député de la 3ecirconscription des Vosges (1973 → 1981) Conseiller régional de Lorraine (1977 → 2004) Conseiller général du canton de Saulxures-sur-Moselotte (1973 → 1979 puis 1985 → 1992)
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].
En 2019, la commune comptait 3 111 habitants[Note 2], en diminution de 8,55% par rapport à 2013 (Vosges: −2,86%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1856
1 769
1 701
1 977
2 139
2 540
2 685
2 590
3 052
3 789
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1901
4 163
4 517
4 044
4 513
4 614
4 725
4 821
5 328
5 268
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
5 463
5 607
4 746
4 790
4 561
4 705
4 157
4 915
5 058
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
2015
5 021
5 211
4 556
4 042
3 861
3 761
3 739
3 546
3 260
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
3 111
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
Collège Charlemagne, rebaptisé Hubert-Curien le .
Économie
L'industrie textile:
Comme l'ont relevé les ethnologues et historiens, et notamment Pierre Durupt, l'industrie textile a eu une forte influence sociale et culturelle sur la vie des vallées vosgiennes et notamment à Cornimont[32],[33].
L'entreprise industrielle de menuiseries PVC Les Zelles siègeant à La Bresse dispose d'une entité à Cornimont.
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la construction de l'hospice-hôpital de Cornimont a été décidée par délibération du conseil municipal en date du , sur un terrain acheté par la municipalité en 1898. Un décret ministériel du officialise la création de l'établissement, qui reçoit dès 1906 les malades, vieillards et infirmes de Cornimont et quelques indigents de Ventron;
en 1907, la commune cède à l'hospice sa propriété de Cherménil, grosse ferme acquise vers 1900 pour accueillir les mendiants;
en 1930, les sœurs de la congrégation du Saint-Esprit de Rouceux prennent en charge la gestion de l'établissement, qui se voit augmenté d'une maternité en 1950;
en 2007, une maison de retraite est adjointe à l'hôpital.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Saint-Barthélémy.Le monument Notre-Dame-de-la-Paix.Carte postale de la gare au début du XXesiècle.
Patrimoine religieux
Église Saint-Barthélémy (annexe de Saulxures-sur-Moselotte), construite en 1864 et consacrée le :
son clocher de plus de 60 mètres abrite quatre cloches et un bourdon. La chanterelle Anna Albertine (400 kg) donne le «la» et la petite cloche Marie-Louise Eugénie (68 kg) donne le «fa», la cloche majeure, Maire-Clarisse Caroline (950 kg) donne le «mi», la grosse cloche Élisabeth Jeanne (1 300 kg) donne le «ré». Élisabeth Jeanne, abîmée par les éclats d'obus en octobre 1944, a été descendue, refondue dans des ateliers spéciaux et remise en place en 1959 au cours d'une cérémonie de baptême après avoir été présentée à travers le village, toute enrubannée[35]. Une convention a été conclue en juin 2015 entre la Fondation du patrimoine, la paroisse et la commune pour lancer une souscription publique pour la recherche de financement de la restauration de deux cloches.
l'orgue, de Jacquot-Jeanpierre, a été reçu le par Romary Grosjean, organiste de la cathédrale de Saint-Dié et par Liehrmann, organiste à Raon-l'Étape[36]. il a été reconstruit par Curt Schwenkedel[37],[38],[39],[40].
l'église paroissiale abrite par ailleurs une statue de Vierge à l'Enfant connue sous le nom de «Madone de Cornimont»[41], datée de 1711 sur son socle, dernier maillon d'une lignée de statues issues du génie d'un des plus grands sculpteurs du XVIIesiècle, l'Italien Le Bernin.
les vitraux des seize baies de l'église ont été réalisés par Les Ateliers Loire entre 1947 et 1956[42]
église du Sacré-Cœur, à Travexin, aujourd'hui «chapelle de Travexin» et son orgue[43],[44].
Article détaillé: Chapelle de Travexin.
Autres sites
Monument Notre-Dame-de-la-Paix: érigé en 1952 au lieudit la Grand-Roche, à la suite d'un vœu du chanoine Bihr, curé de la ville en 1940, qui souhaitait que le bourg ne soit pas détruit par l'occupant. Le monument représente la Vierge étendant ses mains en direction de la vallée[45],[46].
Albert Littolff (1911-1943), capitaine pilote de chasse.
Yvan Littolff (1915-1991), pilote d'essais.
Georges Gaillemin (1919-1958), député.
Gilles Curien (1922-2017), ambassadeur de France.
Hubert Curien (1924-2005), scientifique et ministre.
Chantal Favre-Bismuth (1932-), professeur de médecine à Paris[57].
Christophe Mengin (1968-), coureur cycliste.
Héraldique et traditions
Article connexe: Armorial des communes des Vosges.
Blasonnement:
Taillé de gueules à un cor d'or, et d'azur, à un mont de sinople surmonté d'une comète d'argent, au village de même à la toiture de gueules.
Commentaires: Le cor est celui que Charlemagne aurait perdu lors d'une de ses chasses, et qui était conservé à la mairie avant la dernière guerre. L’autre partie du blason est une représentation naïve de la commune.
Quelques indications sur l'origine de la corne de Cornimont, issues des notes d'Alphonse Didier (1862-1944)[58]:
La tradition orale affirme que cette corne était garnie d'argent à son embouchure et à son pavillon encore au milieu du XIXesiècle. Un vandale l'aurait dégradée pour s'emparer de sa garniture. Depuis l'an 1860, des jeunes gens l'ayant demandée au secrétaire de mairie pour faire un charivari à un veuf, en se l'arrachant des mains, lui en enlevèrent une longueur de près de dix centimètres.
Pendant longtemps, avant que la communauté puisse disposer d'une cloche, la corne servait de cor d'appel pour les assemblées du plaid. Du haut d'un pic de rocher, nommé Roche du Counou, depuis la grande rue dominant la Moselotte à un point où elle se précipitait autrefois dans des gouffres affreux à une quarantaine de mètres du pont du Daval, sur la rive droite, le Counou (corneur) convoquait les habitants des groupes épars de Cherménil, Xoulces, Champs à Nabord et du Daval.
Association d’Étude pour la Coordination des Activités Musicales (ASSECARM), Orgues Lorraine Vosges, Metz, Éditions Serpenoise, , 677p. (ISBN2-87692-093-X), p.649
Présentation de l’orgue de salon de Curt Schwenkedel à Cornimont
Patrick de Gmeline, Commandos d'Afrique: De l'île d'Elbe au Danube, Paris, Presses de la Cité, coll.«Troupes de choc», , 336p., poche (ISBN2-258-00685-6).
(fr) Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du Ministère français de la Culture (base architecture et patrimoine), photographie de Georges Louis Arlaud, Jean-Yves Henry, Ministère de la Culture (France), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service de l'inventaire général de la Région Lorraine
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Association d’Étude pour la Coordination des Activités Musicales (ASSECARM), Orgues Lorraine Vosges, Metz, Éditions Serpenoise, , 677p. (ISBN2-87692-093-X), p.207 à 211.
Association d’Étude pour la Coordination des Activités Musicales (ASSECARM), Orgues Lorraine Vosges, Metz, Éditions Serpenoise, , 677p. (ISBN2-87692-093-X), p.212 à 213.
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