Senez est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Senez est un exemple de ces minuscules évêchés de Provence dont l’église aux dimensions sans rapport avec l’importance du village, rappelle aujourd’hui l’ancien statut.
Pour les articles homonymes, voir Senez (homonymie).
Petit village, situé à 5 kilomètres de Barrême, Senez est une commune très étendue qui ne compte que très peu d’habitants et d’habitations. Les maisons sont typiques du style architectural provençal.
Le nombre de communes limitrophes est très important en raison de la fusion du Poil et de Senez, dont les territoires ne sont pas contigus.
Montagne de Vibres (1670 m).Roche Percée au passage de la clue de Taulanne (ex-RN 85).
Son territoire recèle de nombreuses aiguilles rocheuses.
Points remarquables:
la source de Font Géline;
la Clue de la Roche Percée.
Le périmètre de protection de la Réserve naturelle géologique de Haute-Provence couvre également la commune de Senez.
Environnement
La commune compte 2 229ha de bois et forêts, soit 31% de sa superficie[1].
Une vesse-de-loup de cinq kilogrammes a été trouvée en 2014 près du Poil[3].
Voies de communications et transports
Voies routières
La partie principale de la commune est traversée par la départementale RD 4085, ancienne route nationale 85, qui passe à proximité du village. L’enclave du Poil est desservie par la RD 17, qui s’y termine en cul-de-sac.
Transports en commun
Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur
Lignes SNCF
La partie de Senez qui correspond à l’ancienne commune du Poil était desservie par la halte du Poil - Majastres, sur la ligne de Nice à Digne pour desservir Le Poil et Majastres qui sont situés à plusieurs heures de marche dans la montagne, par les chemins et les sentiers. Selon les horaires 2013, cette halte n'est plus desservie par le « train des Pignes ».
Halte du Poil
Risques naturels et technologiques
La commune de Senez est exposée à deux risques naturels[4]:
feu de forêt;
mouvement de terrain: de nombreux versants, dans la partie de la commune autour de Senez, sont concernés par un aléa moyen à fort. Du côté de l’ancienne commune du Poil, l’aléa existe mais le danger est moins important[5].
La commune de Senez est de plus exposée à un risque d’origine technologique, celui de transport de matières dangereuses par route[6]. La départementale RD 4085 (ancienne route nationale 85 et route Napoléon) peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses[7].
Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[6] mais le Dicrim existe depuis 2011[8].
La commune a été l’objet de plusieurs arrêtés de catastrophe naturelle pour des inondations et des coulées de boue en 1994 (deux fois) et pour des glissements de terrain la même année[4]. Puis, en 1998, ce sont d’importants blocs de roche qui chutent[9].
Sismicité
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Barrême auquel appartient Senez est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[10], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[4].
Hydrographie et les eaux souterraines
L'Asse à Senez
La commune se trouve sur la rive gauche de l’Asse. La route Napoléon passe sur la rive droite.
ravins de taulanne, de la bonde, du riou d'ourgeas, de la mamelière, de tabori, de serraje, de la combe, de boades, de longeiroule, de malpasset, du dégoutail, de baumes roman, du gipas, du pas d'escale,
vallon le gros.
Climat
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Article détaillé: Climat des Alpes-de-Haute-Provence.
Toponymie
Le nom de la localité évolue sous les formes Sanition (IIesiècle), civitas Sanitiensum (vers 400), Sanetia (VIesiècle), puis Senaciensis comitatum au IXesiècle.
Le nom du village fait l’objet de différentes interprétations:
selon Charles Rostaing, il dérive du nom d’ethnie ligure des Sentii[12] et l’on peut donc le considérer comme probablement antérieur aux Gaulois[13];
selon Ernest Nègre, il peut venir d’un nom propre, Senicius, ou de l’attribut relatif à la santé, sanites[14]. La commune se nomme Senès en provençal;
selon le couple Fénié, il est issu d’une racine oronymique (servant à caractériser une montagne) *Sen, préceltique[15].
Histoire
Antiquité
La ville existe dès l’époque gauloise, et il paraît assuré qu’elle était le chef-lieu d’un peuple gaulois, mais le nom de ce peuple n’est pas certain[16]:
les Sentii, d’après Ptolémée, qui leur donne cependant Digne pour capitale (qui est généralement considérée comme la capitale des Bodiontici);
Pline l’Ancien en fait une ville secondaire des Vediantii, dont le chef-lieu était Cimiez (Cemenelum).
À l’époque romaine, elle est le siège d’une civitas de la province des Alpes-Maritimes dès le IIesiècle, avec pour nom Sanitensium ou Salinensium[17]. Elle se situait sur la voie qui reliait Vence à Sisteron[18]. La commune possède peu de vestiges de cette époque. Un trésor de 600 à 700 monnaies de bronze romaines a été découvert en 1657[19].
Le ressort de la civitas est peu étendu, mais s’étend à la fin de l’Antiquité. Alors que chaque civitas a accueilli un diocèse, Senez absorbe celui de Thorame dans la seconde moitié du Vesiècle, puis celui de Castellane[20].
Moyen Âge
Au Vesiècle, un évêché est installé à Senez. Les deux évêchés préexistants de Salinae (Castellane) et Eturamina (Thorame) lui sont rattachés après 450, ou au début du siècle suivant.
Au IXesiècle, un château est construit à la Roche, sur la rive droite de l’Asse[21]. Évêché très pauvre, et placé dans une ville minuscule et inconfortable, il est plusieurs fois tenté de le rattacher à l’évêché de Vence ou d’en déplacer le siège à Castellane, sans succès[22]. Les évêques résident souvent à Castellane, dès la deuxième moitié du XVesiècle.
L’évêque était seigneur de la ville, mais partageait les droits de justice avec les Pontevès (XVe–XVIesiècles), puis les Gautier (de 1556 jusqu’à la Révolution)[23].
En 1342, les communautés de Senez sont rattachées à la viguerie de Castellane par le comte de Provence[24],[25]. Lors de la crise ouverte par la mort de la reine Jeanne Ire, le seigneur, Guigonnet, se rallie à Louis Ier d'Anjou, et entraîne dans son sillage la communauté dès 1385[26].
Sur le territoire de l’actuelle Senez se trouve l’écart de Boades, qui est à l’emplacement d’une ancienne communauté signalée au XIIIesiècle[25]. La paroisse de Boades relevait des évêques de Senez[25]. La communauté (Debosada en 1251), qui comptait 17 feux en 1315[23], est fortement dépeuplée par la crise du XIVesiècle (Peste noire et guerre de Cent Ans). Au XVesiècle, la communauté de Boades est rattachée à celle de Senez[27].
La communauté du Poil est signalée dès le XIesiècle: de nombreuses donations sont faites à l’abbaye Saint-Victor de Marseille qui y possède trois églises, des terres et progressivement tous les revenus ecclésiastiques[25]. Elle aussi relevait de la viguerie de Castellane[25].
Époque moderne
L’évêque Jean III Clausse de Mouchy (évêque de 1561 à 1587) restaure et aménage le château fort pour améliorer son confort.
Pendant les guerres de religion, la ville est plusieurs fois la cible des huguenots comme siège d’un évêché. Les frères Antoine et Paulon de Mauvans détruisent les ornements de la cathédrale en 1562[28] et les brûlent dans un bûcher où ils jettent également la dépouille de l’évêque Jean-Baptiste de Laigue d’Oraison, mort quatorze ans plus tôt[29]. La ville est à nouveau pillée en 1569[30]: l’incendie allumé fait s’effondrer le clocher et détruit le cloître[31]. L’évêque, qui quitte la ville pour Castellane, fait néanmoins réparer la cathédrale en 1572[28], travaux qui reprennent au début du XVIIesiècle.
Avec la promulgation de l’édit de Nantes, Senez est une des dernières places fortes de sûreté des protestants en Provence, qu’ils tiennent encore en 1620[32].
Au XVIIIesiècle, Jean Soanen, évêque de Senez, refuse de condamner le jansénisme. Il est poursuivi[22], et condamné par un concile (1727). Il bénéficie d’un soutien important d’une partie du clergé et des avocats du Parlement de Paris. Un de ses successeurs, Amat de Volx, fait faire des travaux: détournement de la Bonde, qui ravage le bourg lors de ses crues (1764–1768)[34]; pont sur l’Asse (1767–1770)[35]. Cependant, dès 1774, le torrent a repris son ancien cours[36].
Une école pour les garçons (régence de latinité) est ouverte en 1713, et une école de filles en 1779[37].
Révolution française
L’évêché est supprimé en : le dernier évêque de Senez Ruffo de Bonneval comme les chanoines refusent de se soumettre et de prêter serment à la constitution civile du clergé, dans un département où 85% des prêtres sont jureurs. En , Ruffo de Bonneval tente d’émigrer, est arrêté à Rouaine, puis emprisonné à Digne puis à Seyne. Il est jugé, et simplement condamné à la perte de son traitement et de ses droits civils, et il lui est interdit de revenir à Senez et de faire usage de son titre d’évêque de Senez, comme il continuait à le faire. Il s’exile finalement à Nice, puis Rome[38], et se fixe à Viterbe, où il meurt en 1837, ayant refusé tout nouveau siège épiscopal[39]. En , l’archidiacre Raynard avait été lynché à Sausses, dans une tentative similaire[40].
La société patriotique de la commune (appelée la société d’amis du patriotisme et de la Constitution) fait partie des 21 premières créées dans les Basses-Alpes, avant : elle a ceci de particulier que c’est la municipalité elle-même qui la crée[41]. Seulement 10 à 40% de la population masculine la fréquente[42].
Les biens de l’évêché et de l’évêque sont vendus en 1793, ainsi que tout le mobilier précieux de la cathédrale et du séminaire. En 1795, les prêtres qui étaient restés réfractaires prêtent serment à la Constitution[43].
Au XIXesiècle
La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du précise ses modalités. Dès 1811, les cadastres dits napoléoniens de Senez et du Poil sont achevés[44].
Le coup d'État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression s’abat sur ceux qui se sont levés pour défendre la République, dont un habitant de Senez[45].
Au XIXesiècle, le bourg devient un petit centre administratif, en tant que chef-lieu de canton[46]:
une gendarmerie est installée de 1852 à 1866 et de 1875 à 1924;
Outre le moulin à farine, un moulin à plâtre est créé en 1868, ainsi qu’une scierie à eau, et des moulins à huile (pour broyer les noix)[48]. Une tuilerie existe du début du XVIIIesiècle au début du XXe; enfin, une filature de laine est active au XIXesiècle[23].
Une deuxième fontaine est construite en 1896.
Au XXesiècle
Monument aux morts de la Première Guerre mondiale.
Un groupe scolaire est construit en 1902[49]. Le même bâtiment abrite également la mairie et la justice de paix[50].
En 1927, une distillerie de lavande est créée, poussant au développement de la culture de la lavande sur les coteaux, puis à la plantation de lavandin, afin d’obtenir les énormes quantités de fleurs nécessaires (100 kg pour 0,72 kg d’essence). Elle ferme en 1972[47].
En 1973, la commune du Poil fusionne avec Senez, bien qu’ils n’aient pas de limite en commun.
Au Poil, des vestiges de diverses époques ont été observés:
sur le Chastelar, une grotte occupée à l’époque néolithique[51];
près du pont du Pas d’Escale, une vaste grotte a été occupée à la même époque[51].
Héraldique
Article détaillé: Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.
Blasonnement: De gueules à une ville d’argent essorée et ajourée de sable surmontée de trois fleurs de lis d’or rangées en chef[52].
Blasonnement: Le Poil (ancienne commune rattachée en 1973): D’azur à un chameau d’or sur une terrasse de sinople[52],[53]
En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[57]:
total des produits de fonctionnement: 282 000 €, soit 1 667 € par habitant;
total des charges de fonctionnement: 207 000 €, soit 1 224 € par habitant;
total des ressources d’investissement: 423 000 €, soit 2 503 € par habitant;
total des emplois d’investissement: 299 000 €, soit 1 772 € par habitant.
endettement: 181 000 €, soit 1 068 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants:
taxe d’habitation: 9,50%;
taxe foncière sur les propriétés bâties: 9,50%;
taxe foncière sur les propriétés non bâties: 45,00%;
taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties: 58,73% ;
cotisation foncière des entreprises: 15,61%.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014: Médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation: 18 135 €[58].
Intercommunalité
Senez fait partie:
jusqu'en 2016 de la Communauté de communes du Moyen Verdon;
à partir du , de la communauté de communes Alpes Provence Verdon.
Urbanisme
Typologie
Senez est une commune rurale[Note 1],[59]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[60],[61].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Digne-les-Bains, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[62],[63].
La Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le avec effet le , regroupe désormais 41 communes. Cet Établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi)[64].
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
En 2019, Senez comptait 163 habitants. À partir du XXIesiècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2006, 2011, 2016, etc. pour Senez). Depuis 2004, les autres chiffres sont des estimations.
Évolution démographique
1315
1471
1765
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
111 feux
30 feux
673
765
768
750
787
913
856
860
Évolution démographique, suite (1)
1846
1851
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
887
872
857
800
750
675
606
575
552
525
Évolution démographique, suite (2)
1896
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
488
472
459
427
352
301
274
256
230
198
Évolution démographique, suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2019
-
-
172
174
134
153
121
145
176
163
-
-
Population sans doubles comptes de 1962 à 1999; population municipale à partir de 2006 (Sources: Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[23], EHESS[65], Insee à partir de 1968[66],[67],[68])
L’histoire démographique de Senez, après la saignée des XIVeetXVesiècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXesiècle, est marquée par une période d’«étale» où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1811 à 1856. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. En 1911, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1831[69]. Le mouvement de baisse se poursuit jusqu’aux années 1990. Depuis, la croissance démographique de Senez a repris, faiblement.
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
Elle conserve ses écoles datant de l’Ancien Régime: en 1863, elle en possède deux pour les garçons, au chef-lieu et au hameau de Lioux[70]. Les filles bénéficient elles aussi d’une instruction primaire: la loi Falloux (1851) impose en effet l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[71],[72]. La commune profite de la deuxième loi Duruy (1877) pour rénover l’école du chef-lieu[73].
Outre des infirmiers, sur la commune elle-même, les professionnels de santé dans les communes les plus proches sont à Barrême: Médecin et kinésithérapeutes[75], et des cliniques Centre hospitaliers dans les environs[76].
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Lieux et monuments
Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Entrée de la cathédrale.
Le cadran solaire daté de 1674 sur la façade de la cathédrale.
Bas-relief de l’église Saint-Laurent du Poil, sculptés lors d’une tentative de reconstruction
La fontaine.
Patrimoine religieux:
L'ancienne cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption: de style roman provençal, décorée de tapisseries des Flandres et d’Aubusson des XVIeetXVIIIesiècles. Les stalles sont du XVIesiècle, les retables et le lutrin sont du XVIIesiècle, l’antiphonaire du XVIIIesiècle. Elle change de statut en 1790. Elle est classée monument historique[80],[81]. Sur la façade, un cadran solaire exceptionnel date de 1673 ou 1674 (repeint), le plus connu du département. Repeint une première fois en 1784, il a été restauré en 1999, et représentait un ours (le premier évêque de Senez s’appelant Ours)[82],[83].
Le palais épiscopal est construit de 1751 à 1756 par Louis de Vocance (évêque de 1741 à 1756). De plan rectangulaire, il possède deux étages, éclairés par de hautes fenêtres; à droite de la façade, une longue destinée aux communs; la porte est surmontée d’un petit fronton[84].
La fontaine de la Lampie datant d’avant 1642[98], est inscrite à l’inventaire des monuments historiques[99]. Un pilier orné de masques sculptés, de style plus ancien que la fontaine, se trouve au centre du bassin[100],
Senez sur le site de l’Institut national de l'information géographique et forestière
Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
Juliette Hermellin, Senez en Haute-Provence: chroniques d’une cité épiscopale aux XVIIe–XVIIIesiècles, Les Alpes de Lumière, 2002, inLes Cahiers de Salagon no7, (ISBN2-906162-64-7)
Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF35450017)
Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559p.
Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287p. (ISBN978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
Juliette Hermellin, Michel Hermellin "Sanitium Senez" Histoire de Senez depuis l'époque Romaine, de sa Cathédrale, de ses Evêques... (livre de 480 pages, en format A4), (ISBN978-2-7466-5424-2)
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Références
Roger Brunet, «Canton de Barrême», Le Trésor des régions, consultée le 9 juin 2013
Juliette Hermellin, Senez en Haute-Provence: chroniques d’une cité épiscopale aux XVIIe–XVIIIesiècles, Les Alpes de Lumière, 2002, inLes Cahiers de Salagon no7, (ISBN2-906162-64-7), p.18.
« Des champignons pas comme les autres », La Provence, 28 octobre 2014, p.2.
Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 21 août 2012
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 98
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 80
Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares, Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1reédition 1950), p
Charles Rostaing, «Toponymie d’origine pré-gauloise» in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., carte 11 et commentaire
Ernest Nègre, Toponymie générale de la France: étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève: Librairie Droz, 1990. Volume I: Formations préceltiques, celtiques, romanes. Notice 11287, p.671.
Guy Barruol, «Senez dans l’Antiquité», in Juliette Hermellin, Senez en Haute-Provence, p.15–17.
Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559p., p.15.
Barruol, op. cit., p.16.
Raymond Collier, op. cit., p.37.
Brigitte Beaujard, «Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s.», Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22
Hermelin, op. cit., p.40.
Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence: le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll.«Villes et villages de France», , 72 (non-paginé)p., Relié (ISBN2-7399-5004-7)
Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF35450017), p.200.
Daniel Thiery, «Senez», Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2011, mis à jour le 23 décembre 2011, consulté le 21 août 2012
Patrice Alphand, «Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no307, 1ertrimestre 1989, 108eannée, p.296–301.
Patrice Alphand, op. cit., p.320.
Hermelin, op. cit., p 77
Alexeï Laurent, «Paysages ruraux de la première moitié du XIXesiècle dans le sud-est des Basses-Alpes», in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, XVIIIe-XXIe siècle, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains: Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. (ISBN978-2-86004-016-7), p.10.
Henri Joannet, Jean-Pierre Pinatel, «Arrestations-condamnations», 1851-Pour mémoire, Les Mées: Les Amis des Mées, 2001, p.72.
Hermelin, op. cit., p.95–97.
Hermelin, op. cit., p.104.
Hermelin, op. cit., p.102–103.
Hermelin, op. cit., p.83.
Labadie, op. cit., p.60.
Géraldine Bérard, Carte archéologique des Alpes-de-Haute-Provence, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Paris, 1997, p.451.
Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, 1866. Réédition: Marcel Petit CPM, Raphèle-lès-Arles, 1994
Moyen Verdon 3: Senez, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
élu en mai 1945, cf. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], «La Libération», Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, «Notice communale: Senez», sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
«Eglise Notre-Dame», notice noPA00080481, base Mérimée, ministère français de la Culture
Arrêté du 26 octobre 1910, «église Notre-Dame-de-l’Assomption», notice noIA04001093, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 11 janvier 2010.
Jean-Marie Homet et Franck Rozet, Cadrans solaires des Alpes-de-Haute-Provence, Aix-en-Provence, Édisud, (ISBN2-7449-0309-4), p.99.
Raymond Collier, op. cit., p.448.
Raymond Collier, op. cit., p.365.
«évêché, puis immeuble», notice noIA04001200, base Mérimée, ministère français de la Culture
Juliette Hermellin, Senez en Haute-Provence, p.41.
arrêté du 9 janvier 1930, qui la date du XVIesiècle, «fontaine de la Lampie», notice noPA00080482, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 11 janvier 2010.
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