Blieux est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
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Blieux
Une des cluses qui cloisonnent le territoire de Blieux.
ravins de Reibert, de Chaudanne, du Riou d'Ourgeas, du Champ, de la Font des Bruscs, du Collet, de Chanier, de la Clue, de la Clape, de la Colle, du Riu, du Rayet, de la radasse, des Roumégière, de Longuet, des Lèches, de la Bourbonne, de la Castelle, de la Plâtrière, de la Charbonnière, de la Quille, des Combes, de Malamort, du Chast, du Pas d'Escale, de l'Enfantasse, du Roi, de la Gipière Blanche,
vallon Nègre,
torrent de Praux.
Risques naturels et technologiques
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Barrême auquel appartient Blieux est en zone 1b (risque faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[6], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[7]. La commune de Blieux est également exposée à trois autres risques naturels[7]:
feu de forêt;
inondation;
mouvement de terrain: la commune est concernée par un aléa moyen à fort dans toute la vallée de l’Asse[8].
La commune de Blieux n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[9].
Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[9] et le Dicrim existe depuis 2011[10].
La commune a été l’objet de plusieurs arrêtés de catastrophe naturelle, en 1994 (hiver et automne) et en 2011, pour des inondations, des glissements de terrain et des coulées de boue[7]. Les tremblements de terre qui ont été le plus fortement ressenti à Blieux sont ceux des 30 novembre 1951, avec une intensité de 6,5 (épicentre à Chasteuil, actuellement rattaché à Castellane) et 17 février 1947, d’intensité 3 dans la commune (avec un épicentre dans le Piémont)[11].
Urbanisme
Typologie
Blieux est une commune rurale[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Digne-les-Bains, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (96,9% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (97,9%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (61,5%), forêts (19,4%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (16%), zones agricoles hétérogènes (2,6%), prairies (0,5%)[17].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[18].
Toponymie
Selon Ernest Nègre, le nom de la commune (Bleus en 1110, Vleus au XIIesiècle selon l’Atlas historique de la Provence[19]) vient de l’occitanbleusse, qui signifie «sec», probablement en référence au sol sec[20]. Selon Charles Rostaing, il se forme sur la racine oronymique (désignant une montagne en forme d’éperon) *BL[21], toponyme qui est probablement préceltique[22]. Les Fénié sont du même avis que Rostaing[23].
Le lieu-dit la Melle (castri de Mela, vers 1200), a un nom tiré du celtique mello, désignant un lieu situé en hauteur[24],[25].
Histoire
Dans l'Antiquité, le peuple installé à l'arrivée des Romains est celui des Sentii[26].
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 1110, comme appartenant à Raimundus de Bleus[27]. Le fief appartient au chapitre épiscopal de Senez, puis passe aux Castellane au XIIIesiècle, aux Pontevès au XIVesiècle, aux Engelfred au XVIIIesiècle [19]. Les églises des paroisses de Blieux (à Blieux et à Melle), et les revenus qui y sont attachés, passent successivement à l'abbaye Saint-Victor de Marseille, à l’évêque de Senez, puis à l’abbaye de Lérins[27].
En 1342, la communauté de Blieux est rattachée à la viguerie de Castellane par le comte de Provence[28],[27].
Lors de la crise ouverte par la mort de la reine Jeanne Ire, la communauté de Roquemartine adhère à l'Union d'Aix (1382-1387), soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. Elle fait même partie des plus fidèles et maintient son soutien même après la reddition d'Aix. Ce n’est que fin 1387 qu’elle se soumet[29].
À la fin des guerres de Religion, les habitants de Blieux détruisent leur église pour éviter que leurs ennemis s’en emparent[27].
Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[30].
La Révolution et l’Empire apportent nombre d'améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du 15 septembre 1807 précise ses modalités. Dès 1811, le cadastre dit napoléonien de Blieux est achevé[31].
Comme de nombreuses communes du département, Blieux se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry: en 1863, elle en compte deux qui dispensent une instruction primaire aux garçons, situées au chef-lieu et au hameau de la Melle[32]. Les filles bénéficient elles aussi de cette instruction, bien que la loi Falloux (1851) n’impose l’ouverture d’une école de filles qu’aux communes de plus de 800 habitants[33],[34].
Héraldique
Article détaillé: Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.
Blasonnement:«Coupé d'or à un chien contourné d'azur lampassé de gueules colleté du champ, et aussi de gueules à un pont de trois arches d'argent maçonné de sable»[35],[36].
jusqu'en 2016, de la communauté de communes du Moyen Verdon;
à partir du , de la communauté de communes Alpes Provence Verdon.
Urbanisme
La communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le avec effet le , regroupe désormais 41 communes. Cet établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi)[41].
Budget et fiscalité 2016
En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[42]:
total des produits de fonctionnement: 82 000 €, soit 1 394 € par habitant;
total des charges de fonctionnement: 66 000 €, soit 1 126 € par habitant;
total des ressources d'investissement: 108 000 €, soit 1 837 € par habitant;
total des emplois d'investissement: 31 000 €, soit 526 € par habitant;
endettement: 6 000 €, soit 96 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants:
taxe d'habitation: 8,00%;
taxe foncière sur les propriétés bâties: 7,50%;
taxe foncière sur les propriétés non bâties: 53,00%;
taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties: 58,73% ;
cotisation foncière des entreprises: 17,16%.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014[43].
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
En 2019, Blieux comptait 57 habitants. À partir du XXIesiècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2004, 2009, 2014, etc. pour Blieux). Les autres «recensements» sont des estimations.
La commune est, parmi celles des Alpes-de-Haute-Provence qui ont subsisté sans être totalement abandonnées, celle qui a connu le plus grand recul démographique entre le milieu du XIXe (et même la fin du XVIIIesiècle) et le milieu du XXesiècle.
Évolution démographique
1315
1471
1765
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
150 feux
37 feux
823
913
801
818
810
907
969
876
Évolution démographique, suite (1)
1846
1851
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
802
780
735
736
650
598
573
560
537
508
Évolution démographique, suite (2)
1896
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
449
442
403
374
241
200
181
160
110
100
Évolution démographique, suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2009
2019
-
73
59
54
59
57
59
62
56
57
-
Population sans doubles comptes de 1962 à 1999; population municipale depuis 2006 (Sources: Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[19], EHESS jusqu'en 1962[44], Insee à partir de 1968[45],[46],[47],[48])
L’histoire démographique de Blieux, après la grande saignée du XIVesiècle et la lente croissance allant de la fin du XVesiècle aux années 1830, est marquée par une période d’«étale» où la population reste stable à un niveau élevé. Cette période, courte dure de 1831 à 1841. Elle est suivie d’un mouvement de diminution assez rapide. En 1896, la commune enregistre la perte de la moitié de sa population de 1836[49]. Le mouvement de baisse s’est poursuivi jusqu’aux années 1960. Depuis un demi-siècle, la population est stable, entre 50 et 60 habitants, soit 5 à 6% de la population du maximum de 1836.
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Aperçu général
En 2009, la population active s’élevait à 22 personnes, dont sept chômeurs[50]. Ces travailleurs sont majoritairement non-salariés (neuf sur dix-sept)[51] et travaillent majoritairement dans la commune (même proportion)[51]. L’essentiel des établissements de la commune se trouvent dans l’agriculture (13 sur 21 en 2010)[52].
Agriculture
Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait 13 établissements actifs au sens de l’Insee et aucun emploi salarié[52].
Le nombre d’exploitations, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est en forte baisse dans les années 2000, passant de 10 à 6, essentiellement des élevages ovins[53][réf.incomplète]. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) a fortement baissé, de 1 312ha à 960ha, alors que le nombre d’exploitations baissait (de 12 à 10)[54]. Ce mouvement s’est poursuivi, la SAU s’établissant à 256ha en 2010[53].
Industrie
Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait un seul établissement artisanal, employant un salarié[52].
Activités de service
Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait cinq établissements (sans aucun emploi salarié), auxquels s’ajoutent les deux établissements du secteur administratif, sanitaire et social[52].
D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est importante pour la commune, avec entre un et cinq touristes accueillis par habitant[55]. Plusieurs structures d’hébergement à finalité touristique existent dans la commune:
Les résidences secondaires apportent un appoint important à la capacité d’accueil[58]: plus de la moitié des logements (soit 52) sont des résidences secondaires, dont 10 avec deux logements ou plus[59],[60].
Lieux et monuments
Patrimoine religieux:
Chapelle de la Basse-Melle.Plaque monument aux morts des hameaux de la Haute et de la Basse-Melle.Pont muletier de La Melle.
Église Sainte-Elizabeth-de-Portugal à la Melle[2] (douteuse, il semble que ce soit à sainte Élisabeth (mère de Jean le Baptiste) et non à sainte Élisabeth de Portugal qu’il faille attribuer la titulature[27]). Elle est construite à plus de 1 400 m d’altitude au-dessus de la Melle[27];
Chapelle du Bas-Chaudoul; chapelle de la Tuilière, en ruines; la chapelle Saint-Pons, au hameau du Thor (ou du Thon, ou du Toun[27]), en ruines, peut avoir la partie antérieure qui remonte au XIIIesiècle[61]. Elle est déjà signalée en 1122[27].
L’église Saint-Symphorien (XVIIesiècle) est de caractère très archaïque, avec un décor fruste; les chapelles latérales sont formées de renfoncements voûtés pratiqués dans les murs[62]. La statue de la Vierge à l'Enfant, un marbre du XVIIIesiècle, est classée au titre objet[63]. Elle est ornée d’un tableau (159 cm sur 128), représentant la Visite de saint Antoine à saint Paul ermite. Il représente la scène de la Légende dorée où un corbeau envoyé par Dieu apporte un pain à l’ermite. Datée entre 1850 et 1875, elle est de la main de Fidèle Maria Patritti[64]. C’est cette église que les habitants détruisent en 1595, reconstruisent au XVIIesiècle, puis au XVIIIesiècle[27].
Monuments commémoratifs:
Plaque commémorative dans l'église Saint-Symphorien[65],
Château au sommet du village, en ruines (XIIe ou XIIIesiècles[67])
Quatre ponts de Blieux sont assez anciens:
le pont de l’Asse, à la Rouvière: situé sur la route allant à la Tuilière (RD 21), ancienne route de Castellane par le col des Lèques, il adopte une forme classique, en dos d'âne, à une arche. Il date approximativement des XVIIe – XVIIIesiècles[68];
toujours sur l’Asse, le pont en dessous de l’ancien village[69];
le pont sur un affluent de l’Asse: il a la particularité d’avoir un tablier en pente, proche deux précédents[70];
le pont de la Melle: situé sur le chemin muletier Senez-Melle, il permet le franchissement du ravin du Chast. Sa voûte est en partie taillée dans le tuf et est aux deux-tiers appareillée dans du tuf, qui a pu être extrait sur place. Il peut dater du XIXesiècle[71];
Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
Benoît Gréan, PSB 24 (Petite suite blieuxoise en 24 heures, alidades, 2010 (ISBN978-2-906266-98-8)
Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559p.
Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF35450017)
Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287p. (ISBN978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Références
Roger Brunet, «Canton de Barrême», Le Trésor des régions, consultée le 9 juin 2013.
Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence: le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. «Villes et villages de France», 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN2-7399-5004-7).
Magazine Conseil général des Alpes-de-Haute-Provence, juillet-août 2008, p.7.
Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 22 novembre 2011, consultée le 2 juillet 2012.
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p.37.
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p.95.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF35450017), p.165.
Ernest Nègre, Toponymie générale de la France: étymologie de 35 000 noms de lieux, vol.2: Formations non-romanes; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, coll.«Publications romanes et françaises» (no194), , 676p. (ISBN978-2-600-00133-5, lire en ligne).. Notice 23793, p.1281.
Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares), Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1reédition 1950), p.85.
Charles Rostaing, «Toponymie d’origine pré-gauloise» in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., carte 11 et commentaire.
Raymond Boyer et Guy Barruol, carte 12 «Peuples et habitats de l’époque pré-romaine», in Baratier, Duby & Hildesheimer, Atlas historique de la Provence, et commentaire
Daniel Thiery, «Blieux», Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 13 décembre 2010, mis à jour le 19 décembre 2010, consulté le 2 juillet 2012.
Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires », La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no307, 1ertrimestre 1989, 108eannée, p.296-298.
Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du XIXe siècle dans le sud-est des Basses-Alpes », in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, XVIIIe – XXIesiècle, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains: Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. (ISBN978-2-86004-016-7), p.10.
Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN978-2-86-004-015-0), p.9.
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Ministère de l'Agriculture, «Orientation technico-économique de l’exploitation», Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien: attention, le fichier fait 4,4 Mio).
Sandrine Restelli-Imbert, Marie-Christine Braillard, Hélène Cavalié, Des oiseaux… de la fin du Moyen Âge au XXIesiècle, Digne-les-Bains, Musée départemental d’art religieux, 2011, catalogue de l’exposition Des oiseaux, cathédrale Saint-Jérôme de Digne-les-Bains et prieuré de Salagon, Mane, juillet 2011-avril 2012. (ISBN978-2-86004-005-1). p.18.
Notice noIM04001713, base Palissy, ministère français de la Culture plaque commémorative
Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559p., p.315.
Notice qui lui est consacrée par Philippe Autran et Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre: les ponts de Haute-Provence de l’Antiquité à nos jours, Les Alpes de Lumière no 153, Forcalquier 2006, p.59.
Notice qui lui est consacrée par Philippe Autran et Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre op. cit., p.59.
Notice qui lui est consacrée par Philippe Autran et Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre, op. cit., p.60.
Notice qui lui est consacrée par Philippe Autran et Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre op. cit., p.160.
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