Rougon est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
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Ruines du château fort et les Traverses en arrière-plan (1 075 m).
Le village est perché à 930 m d’altitude[2], sur un éperon qui sert également de col, à proximité des gorges du Verdon.
Le belvédère du Point Sublime (site inscrit) est sur le territoire de la commune[3]. L’éperon sur lequel est situé le château est un site classé[3]. Le point culminant est le Mourre de Chanier (1 930 m), dans le massif du Montdenier.
On trouve des fossiles tithoniques sur la commune. L'essentiel du substrat est cependant composé des calcaires jurassiques, qui ont donné lieu à de nombreuses formations karstiques[3].
La commune est située dans le périmètre de protection de la Réserve naturelle géologique de Haute-Provence.
ravins du Riu, de Passerin, de Patarasse, de Cabroulet, de Saint-joseph, de Réquiran, des Conhets;
torrent de Praux;
vallon le grand.
Climat
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Article détaillé: Climat des Alpes-de-Haute-Provence.
Voies de communication et transports
Voies routières
La commune de Rougon est desservie par la route départementale RD 952 (ancienne route nationale 552), qui relie Castellane à Gréoux-les-Bains en empruntant la vallée du Verdon et le plateau de Valensole[5].
Services autocars
Lignes régionales
Riez est desservie par une ligne express régionale LER Provence-Alpes-Côte d'Azur[6] qui sont les suivantes:
La commune compte 980ha de bois et forêts, soit 27% de sa superficie[1].
Risques naturels et technologiques
La commune de Rougon est également exposée à trois risques naturels[9]: les feux de forêt, les inondations et les mouvements de terrain.
La commune de Rougon est de plus exposée à deux risques d’origine technologique[10]:
celui de transport de matières dangereuses par route: la départementale RD 952 peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses[11];
celui de rupture de barrage. Rougon fait partie de la zone d’inondation spécifique en cas de rupture du barrage de Castillon[12],[13]. Si cette rupture advenait, l’onde de submersion passerait en crête au-dessus de celui de Chaudanne[14], et atteindrait la clue de Chasteuil en 17 à 18 minutes (où elle entre dans la commune de Rougon)[15], progressant à une vitesse moyenne de 60km/h. Ensuite, elle ralentirait pour arriver à hauteur du village au bout de 28 minutes, ne dépassant pas toutefois la cote des 670 m (soit une hausse du cours du Verdon de plus de 60 m)[16].
Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[10] mais le Dicrim existe depuis 2011[17].
La commune a été l’objet de deux arrêtés de catastrophe naturelle pour des inondations et des coulées de boue en 1994 et 2011[9]. Le dernier tremblement de terre fortement ressenti dans la commune est celui de Chasteuil, le . Il a été ressenti avec une intensité macro-sismique de VI et demi sur l’échelle MSK[18],[19]. Celui du avait son épicentre dans la commune, et une intensité de 4[20].
Sismicité
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Castellane auquel appartient Rougon est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[21], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[9].
Toponymie
Le nom de la commune est ancien: outre villa Rovagonis 814, on connaît les formes Rovagonus (1056), de castro Rogone (1096), oppidi Ragonis (1114) et de Roagono (1200). Il fait l’objet de différentes interprétations:
selon Charles Rostaing, il est construit sur la racine *Rub-, désignant un rocher[22], et antérieure aux Gaulois[23];
selon Ernest Nègre, il est construit sur un nom propre préceltique, à l’origine et au sens incertains[24]. La commune se nomme Rogon en provençal selon la norme classique et Rougoun selon la norme mistralienne.
Histoire
Sur la barre de Catalan (1333 m d’altitude), une enceinte, peut-être protohistorique a été repérée par prospection aérienne: elle était défendue par deux murs concentriques, épais d’environ 1,5 m[25],[26],[27].
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 814, avec la mention de villa Rovagonis dans le polyptyque de Wadalde. Cette villa est le siège d’une vaste exploitation appartenant à l’abbaye Saint-Victor de Marseille. Elle a aussi de nombreuses fermes sous sa dépendance à Rougon et La Palud[28],[29].
Un château fut construit au XIesiècle[30],[31]. La paroisse relevait de l’évêque de Riez, qui, à partir de 1096, partagea les dîmes avec l’abbaye de Montmajour[28].
Les Templiers possédaient un bien à Rougon[32]. Il s’agit du Prieuré Saint-Maxime, en limite de la commune de Trigance[28],[33]. Comme tout bien des Templiers, il était exempté de redevance envers l’évêque de Riez, et donc toutes les dîmes et redevances allaient intégralement aux Templiers. Le prieuré est passé à l’ordre des Hospitaliers au XIVesiècle[28].
La seigneurie, d’abord aux Castellane (XIVesiècle), passe aux Glandevez (XVesiècle), puis aux Brun-Castellane (XVIe – XVIIesiècle) et est enfin achetée par l’abbaye de Lérins en 1732[34],[28]. Cette seigneurie comportait le château, les droits de justice et divers autres, le moulin banal, plusieurs bâtiments dont deux bastides, des terres, prés.
La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. Le seigneur de Rougon, Guyard de La Garde, se rallie aux Angevins en 1385, après la mort de Louis Ier[35].
Durant la Révolution, la commune de Rougon compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[36].
La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. Ce n’est qu’en 1835 que le cadastre dit napoléonien de Rougon est achevé[37].
Comme de nombreuses communes du département, Rougon se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry: en 1863, elle compte déjà son école qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu[38]. Aucune instruction n’est donnée aux filles: ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[39], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent Rougon[40]. Ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles d’Allons sont régulièrement scolarisées.
Héraldique
Article détaillé: Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.
Blasonnement: De gueules à un château donjonné de trois tours d'or maçonnées de sable sur une terrasse du même[41],[42].
jusqu'en 2016 de la Communauté de communes du Moyen Verdon;
à partir du , de la communauté de communes Alpes Provence Verdon.
Urbanisme
Typologie
Rougon est une commune rurale[Note 1],[47]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[48],[49].
La commune est en outre hors attraction des villes[50],[51].
La Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le avec effet le , regroupe désormais 41 communes. Cet Établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi)[52].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (100,1% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100,1%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (59,2%), forêts (30,4%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (10,5%)[53].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[54].
Budget et fiscalité 2016
En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[55]:
total des produits de fonctionnement: 228 000 €, soit 2 212 € par habitant;
total des charges de fonctionnement: 190 000 €, soit 1 849 € par habitant;
total des ressources d’investissement: 124 000 €, soit 1 203 € par habitant;
total des emplois d’investissement: 171 000 €, soit 1 660 € par habitant.
endettement: 56 000 €, soit 539 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants:
taxe d’habitation: 9,75%;
taxe foncière sur les propriétés bâties: 8,84%;
taxe foncière sur les propriétés non bâties: 58,88%;
taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties: 58,73%;
cotisation foncière des entreprises: 16,52%.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014[56].
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[57]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[58].
En 2019, la commune comptait 121 habitants[Note 2], en augmentation de 17,48% par rapport à 2013 (Alpes-de-Haute-Provence: +1,48%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1765
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
484
539
506
497
505
496
548
558
560
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1851
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
485
500
484
487
478
406
357
349
309
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1896
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
317
319
331
265
180
180
150
126
93
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1954
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
90
52
41
40
55
77
85
128
135
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2009
2014
2019
-
-
-
-
-
-
104
103
121
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[59] puis Insee à partir de 2006[60].)
Évolution démographique
1315
1471
54 feux
16 feux
(Sources: Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[34].)
En 1906, la population comprend 21 ouvriers présents temporairement pour la construction d'une conduite maçonnée devant amener l'eau du Verdon de Castellane à l'usine hydro-électrique du Galetas, qui ne fut jamais achevée[61].
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
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Santé
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Cultes
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Économie
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Entreprises et commerces
Agriculture
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Tourisme
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Commerces
Le café La Terrasse, qui porte le label Bistrot de Pays[62], adhère à une charte dont le but est de «contribuer à la conservation et à l’animation du tissu économique et social en milieu rural par le maintien d’un lieu de vie du village»[63].
Lieux et monuments
Ruines du château fort accrochées au rocher.
Le patrimoine naturel, la faune et la flore
Le site des gorges du Verdon traverse la commune, il est classé depuis 1990 et figure dans tous les guides touristiques consacrés à la région[3].
L'inventaire des espèces et infra-espèces sur la commune a permis de recenser 1 181 taxons terminaux[64]
Le patrimoine civil
Le village est dominé par les ruines du château fort, perché sur une arête vertigineuse dominant l'entrée des gorges du Verdon[65]. Le site du château est lui aussi classé[3]). Une arche construite au-dessus d’une faille permettait d’agrandir la surface du château, accessible par un sentier malaisé. D’autres vestiges de fortifications sont visibles à la barre des Catelans[66]. Ce château défendait la route d’accès à Castellane[67].
La commune compte deux ponts anciens:
le pont du Tusset[68] qui franchit le Verdon, au pied du village. Situé à l’aplomb du Point Sublime, il est construit au XVIIIesiècle sur une draille de transhumance entre Chasteuil et le plan de Canjuers. Son arche en dos-d'âne supporte un tablier de 24 m long et de 3 m de large. Sa chaussée est caladée[69];
le pont de Carajuan[70], également sur le Verdon: situé dans la clue de Carajuan, ses deux arches surbaissées supportent une voie de 3 m de large. La pile centrale est protégée par un avant-bec. Construit au XVIIIesiècle, il remplace un pont qui existait en 1655[71].
L’église paroissiale Notre-Dame-de-la-Roche-et-Saint-Romain[34], patronnée par saint Christophe[83],[28], est de style roman.
La chapelle romane Saint-Christophe[84],[85], située au cimetière[28], précédée d’un porche, possède une nef de trois travées voûtées d’arêtes qui débouche dans une chœur à chevet plat en berceau. Elle est construite à la fin du XVIIesiècle ou au début du suivant[86]. Les peintures à motifs végétaux des arcs-doubleaux datent de la fin du XVIIIesiècle[87]. Enfin, son sol est recouvert d’un carrelage émaillé jaune[88]. Dans son mobilier se trouve un buste-reliquaire des environs de 1600, classé monument historique au titre objet[89].
L’ancienne chapelle templière[90] puis hospitalière[91] Saint-Mayme (anciennement Saint-Maxime) et les bâtiments du prieuré, parfois décrits comme une bastide[33], sont occupés par une ferme[28].
Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559p.
Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF35450017)
Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287p. (ISBN978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Références
Roger Brunet, «Canton de Castellane», Le Trésor des régions, consultée le 9 juin 2013.
Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence: le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. «Villes et villages de France», 1989, Relié, 72p. (non-paginé) (ISBN2-7399-5004-7).
Direction régionale de l'environnement, «Les gorges du Verdon», Inventaire départemental des sites classés, DIREN, publié en octobre 2003, consulté le 4 août 2012.
Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale«Copie archivée» (version du 21 février 2014 sur l'Internet Archive) sur la base de données Gaspar, mise à jour le 22 novembre 2011, consultée le 13 août 2012.
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p.97.
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p.80.
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p.88.
Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares, Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1reédition 1950), p 237
Charles Rostaing, «Toponymie d’origine pré-gauloise» in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., carte 11 et commentaire
Ernest Nègre, Toponymie générale de la France: étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève: Librairie Droz, 1990. Volume I: Formations préceltiques, celtiques, romanes. Notice 1176, p 56
Géraldine Bérard, Carte archéologique des Alpes-de-Haute-Provence, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Paris, 1997, p.397.
«mégalithe», notice noIA04001922, base Mérimée, ministère français de la Culture
Daniel Thiery, «Rougon», Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2011, mis à jour le 23 décembre 2011, consulté le 13 août 2012.
Joseph-Antoine Durbec (préf.Jacques Juillet), Templiers et Hospitaliers en Provence et dans les Alpes-Maritimes, Grenoble, Le Mercure Dauphinois, , 430p. (ISBN978-2-9138-2613-7, présentation en ligne), p.109-110.
Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF35450017), p.193.
Patrice Alphand, «Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no307, 1ertrimestre 1989, 108eannée, p.296-298.
Alexeï Laurent, «Paysages ruraux de la première moitié du XIXe siècle dans le sud-est des Basses-Alpes», in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, XVIIIe – XXIesiècle, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains: Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. (ISBN978-2-86004-016-7), p.10.
Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN978-2-86-004-015-0), p.9.
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, «Liste des maires«Copie archivée» (version du 22 octobre 2014 sur l'Internet Archive)», 2014, consultée le 20 octobre 2014.
«Zonage rural», sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
«pont du Tusset», notice noIA04001637, base Mérimée, ministère français de la Culture
Notice qui lui est consacrée par Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre: les ponts de Haute-Provence de l’Antiquité à nos jours, Les Alpes de Lumière no 153, Forcalquier 2006, p 107
«pont de Carajuan», notice noIA04001638, base Mérimée, ministère français de la Culture
Notice qui lui est consacrée par Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre: les ponts de Haute-Provence de l’Antiquité à nos jours, Les Alpes de Lumière no 153, Forcalquier 2006, p 106
«fontaine-lavoir», notice noIA04001939, base Mérimée, ministère français de la Culture
«fontaine», notice noIA04001940, base Mérimée, ministère français de la Culture
«fontaine du T.C.F.», notice noIA04001935, base Mérimée, ministère français de la Culture
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