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Saint-Léon-sur-Vézère est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. La commune fait partie du canton de la Vallée de l'Homme (et auparavant du canton de Montignac).

Saint-Léon-sur-Vézère

Le château de Clérans à Saint-Léon-sur-Vézère.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée de l'Homme
Maire
Mandat
Yannick Dalbavie
2020-2026
Code postal 24290
Code commune 24443
Démographie
Gentilé Saint-Léonnais
Population
municipale
416 hab. (2019 )
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 00′ 41″ nord, 1° 05′ 22″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 260 m
Superficie 13,76 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée de l'Homme
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Léon-sur-Vézère
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Léon-sur-Vézère
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Saint-Léon-sur-Vézère
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Léon-sur-Vézère
Liens
Site web saint-leon-sur-vezere.fr

    Elle fait partie de l'association « Les Plus Beaux Villages de France ».


    Géographie



    Généralités


    La commune de Saint-Léon-sur-Vézère, traversée par le 45e parallèle nord, est de ce fait située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km).

    Au sud-est du département de la Dordogne, en Périgord noir, elle est, comme son nom l'indique, arrosée par la Vézère qui y forme deux méandres successifs. Elle est membre de l'association « Les Plus Beaux Villages de France ».

    Le village de Saint-Léon-sur-Vézère, au bord de la rivière et traversé par la route départementale 66, se situe, en distances orthodromiques, huit kilomètres au sud-ouest de Montignac-Lascaux et onze kilomètres au nord-est des Eyzies.

    La commune est également desservie par la route départementale 706 qui longe la Vézère en rive droite, et par la route départementale 45 au nord.

    Le sentier de grande randonnée GR 36 traverse le territoire communal sur plus de cinq kilomètres.


    Communes limitrophes


    Saint-Léon-sur-Vézère est limitrophe de six autres communes. Au sud-ouest, son territoire est distant d'une trentaine de mètres de celui de Tursac.

    Communes limitrophes de Saint-Léon-sur-Vézère
    Plazac Fanlac Thonac
    Fleurac Peyzac-le-Moustier Sergeac

    Géologie et relief



    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Léon-sur-Vézère est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c3b-c, date du Coniacien moyen à supérieur, composée de calcaires bioclastiques grossiers et quartzeux jaunes à bryozoaires et gastéropodes, à niveaux gréseux (formation des Eyzies). La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 783 - Thenon » et « no 784 - Terrasson » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].

    Carte géologique de Saint-Léon-sur-Vézère.
    Carte géologique de Saint-Léon-sur-Vézère.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 62 mètres au sud-ouest, là où la Vézère quitte la commune pour entrer sur celle de Peyzac-le-Moustier, et 260 mètres au nord, près du lieu-dit Argiller, en limite de la commune de Plazac[6].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[8]. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[9].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 13,76 km2[10],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 13,84 km2[3].


    Hydrographie



    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[13]. Elle est drainée par la Vézère[Note 3] qui constitue un réseau hydrographique de plus de km de longueur totale[14],[Carte 1].

    La Vézère, d'une longueur totale de 211,2 km, prend sa source en Corrèze dans la commune de Meymac et se jette dans la Dordogne  dont elle est l'un des principaux affluents  en rive droite, à Limeuil, face à Alles-sur-Dordogne[15],[16]. Elle traverse la commune de l'est au sud-ouest, lui servant de limite naturelle sur près de quatre kilomètres et demi en deux tronçons, face à Thonac, Sergeac et Peyzac-le-Moustier.


    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Vézère-Corrèze ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de la Vézère et de la Corrèze, d'une superficie de 3 730 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental de la Corrèze[17]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [18].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].


    Climat


    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[19]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[20].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[19]

    • Moyenne annuelle de température : 13 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 6] : 879 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[23] complétée par des études régionales[24] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sarlat », sur la commune de Sarlat-la-Canéda, mise en service en 1995[25] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[26],[Note 7], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 854,5 mm pour la période 1981-2010[27]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, dans le département du Lot, mise en service en 1961 et à 38 km[28], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[29], à 12,7 °C pour 1981-2010[30], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[31].


    Urbanisme



    Typologie


    Saint-Léon-sur-Vézère est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[32],[33],[34]. La commune est en outre hors attraction des villes[35],[36].


    Occupation des sols


    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (52,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,6 %), zones agricoles hétérogènes (25,3 %), prairies (18,3 %), terres arables (7 %), zones urbanisées (1,8 %)[37].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].


    Prévention des risques


    Le territoire de la commune de Saint-Léon-sur-Vézère est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[38]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[39].


    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vézère. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1996, 1999, 2001 et 2008[40],[38]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Vézère » approuvé le , pour les crues de la Vézère. La crue historique la plus forte sur le secteur du PPRI pour laquelle des informations sont disponibles est la crue d’octobre 1960. Le débit de pointe de cette crue a été défini à 1 360 m3/s à Montignac, soit une période de retour d’environ 250 ans[41],[42].

    Saint-Léon-sur-Vézère est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[43]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[44],[45].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Léon-sur-Vézère.
    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Léon-sur-Vézère.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[46]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[47]. 33,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 9],[48].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999[38].


    Risque technologique

    La commune est en outre située en aval du barrage de Monceaux la Virolle, un ouvrage de classe A[Note 10] situé dans le département de la Corrèze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[50].


    Toponymie


    Le nom de la commune se réfère à saint Léonce et à la Vézère, important affluent de la Dordogne et rivière qui arrose le territoire communal[51].

    Ses habitants se nomment les Saint-Léonais[52].

    En occitan, la commune porte le nom de Sent Lèon de Vesera[53].


    Histoire



    Préhistoire


    Au lieu-dit Belcayre à environ 1,2 km au nord-est de Saint-Léon, près du château de Belcayre, en limite de Thonac au nord-est et Sergeac à l’est[54], le long de la Vézère, se trouvent quatre gisements paléolithiques[55]. D'amont vers l'aval :

    Ces abris ont été découverts vers 1872-1874 par Alain Reverdit. Ses collections dispersées se retrouvent au British Museum (une vingtaine de lames en feuilles, dont deux du Solutréen I), au musée d'Art et d'Archéologie du Périgord (Périgueux ; deux fragments de « feuilles de laurier »[56] et un tronçon de flèche à cran[57]). L'abbé Landesque a fouillé pendant quelques jours vers 1900 l'abri de la Métairie, mais n'a laissé aucun écrit à ce sujet[57].

    Dans le prolongement de Belcayre, l'abri de la Rochette, classé monument historique en 1932[58], a livré du Moustérien, du Châtelperronien et de l'Aurignacien[59],[60]. Une des pièces de vestiges humains trouvés par Otto Hauser en 1910 a été datée (datation absolue SMA) au Gravettien supérieur[61].


    Époque gallo-romaine


    Le lieu a connu une implantation gallo-romaine[51].


    Moyen Âge


    Un prieuré bénédictin dépendant de l'abbaye de Sarlat s'installe sur le territoire communal actuel au XIIe siècle[51].

    La première mention écrite connue du lieu remonte au XIIIe siècle sous la forme Sanctus Leontius[51]. C'est de cette époque que date le château de Chaban, détruit au XIVe siècle et reconstruit lors des deux siècles suivants[62].


    Époque moderne


    Le manoir de la Salle, est construit au XVe siècle[63] et le château de Clérans au XVIe siècle[51]. Le château de Belcayre[54] daterait du XVe siècle[55].


    Époque contemporaine


    Le , la 111e division blindée allemande, en route vers la Normandie, abat un résistant à Saint-Léon-sur-Vézère et y fusille deux autres personnes[64].

    De jeunes résistants Francs-tireurs et partisans, seront formés au maniement des armes et explosifs par des instructeurs républicains à Saint-Léon sur-Vézère, à l’Espicerie et à Combareytier. Francisco Coy dit Pistolete était l’un d’eux, un officier républicain espagnol gradé qui a grandement aidé les maquisards à la libération des territoires occupés[65].


    Politique et administration



    Administration municipale


    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[66],[67].


    Liste des maires


    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    mars 2001 mars 2014 François Bruno SE[68] Retraité de la fonction publique hospitalière
    mars 2014 juillet 2020 Frédéric Malvaud[69] PS Enseignant
    juillet 2020[70] En cours Yannick Dalbavie SE Agent général en assurances

    Juridictions


    Dans le domaine judiciaire, Saint-Léon-sur-Vézère relève[71] :


    Politique environnementale


    Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[72].


    Population et société



    Démographie


    Articles connexes : Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.

    Les habitants de Saint-Léon-sur-Vézère se nomment les Saint-Léonnais[73].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[74]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[75].

    En 2019, la commune comptait 416 habitants[Note 11], en diminution de 3,03 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8598308869701 0159159371 067927
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0001 0301 0931 0681 102931822743700
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    665670670564538507505439377
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    319345334390427419434414429
    2019 - - - - - - - -
    416--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[76] puis Insee à partir de 2006[77].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement


    En 2013, Saint-Léon-sur-Vézère est organisée en regroupement pédagogique intercommunal[78] (RPI) avec les communes de Peyzac-le-Moustier et Plazac au niveau des classes de maternelle et de primaire. La commune se charge des classes de maternelle et le cours préparatoire. Les classes de cours élémentaire et de cours moyen ont lieu à Plazac.


    Manifestations culturelles et festivités


    Depuis 1983, l’église accueille plusieurs concerts du festival de musique du Périgord noir en août.

    Depuis 2006, l'église accueille une ou deux représentations du Festival Più di Voce en Périgord, fin juillet ou début août.

    Depuis 2001, la Rando Silex, randonnée en VTT, mais aussi pédestre, organisée par le club Vélo Silex[79], attire le premier dimanche d'octobre de nombreux concurrents (1 300 vététistes et 200 marcheurs en 2016 pour la 16e édition[80]).


    Économie



    Emploi


    En 2015[81], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 185 personnes, soit 43,2 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-neuf) a augmenté par rapport à 2010 (vingt-sept) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 15,4 %.


    Établissements


    Au , la commune compte 90 établissements[82], dont cinquante-huit au niveau des commerces, transports ou services, quinze relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, sept dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, six dans la construction, et quatre dans l'industrie[83].


    Entreprises


    Dans le secteur du BTP, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, l' « Entreprise de travaux publics Estardier » (travaux de terrassement courants et travaux préparatoires), implantée à Saint-Léon-sur-Vézère, se classe en 44e position quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 2 719 k€[84].


    Culture locale et patrimoine



    Lieux et monuments


    L'église romane Saint-Léonce.
    L'église romane Saint-Léonce.

    Personnalités liées à la commune



    Voir aussi


    Sur les autres projets Wikimedia :


    Articles connexes



    Liens externes



    Notes et références



    Notes et cartes


    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[11],[12]
    3. Contrairement à ce qu'indique le Sandre, la Seignolle, affluent de rive gauche de la Vézère, n'arrose pas la commune de Saint-Léon-sur-Vézère située en rive droite à leur confluence.
    4. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[21].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[22].
    7. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    10. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[49].
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    1. « Réseau hydrographique de Saint-Léon-sur-Vézère » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
    4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références


    1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    2. « Carte géologique de Saint-Léon-sur-Vézère » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
    3. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Léon-sur-Vézère », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    4. « Notice associée à la feuille no 783 - Thenon de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    5. « Notice associée à la feuille no 784 - Terrasson de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
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    [de] Saint-Léon-sur-Vézère

    Saint-Léon-sur-Vézère ist eine Gemeinde mit 416 Einwohnern (Stand 1. Januar 2019) in der französischen Region Aquitanien im Département Dordogne. Sie ist als eines der Plus beaux villages de France (Schönste Dörfer Frankreichs) klassifiziert.[1]

    [en] Saint-Léon-sur-Vézère

    Saint-Léon-sur-Vézère (French pronunciation: ​[sɛ̃ leɔ̃ syʁ vezɛʁ], literally Saint-Léon on Vézère; Occitan: Sent Leu de Vesera) is a commune in the Dordogne department in Nouvelle-Aquitaine in southwestern France.

    [es] Saint-Léon-sur-Vézère

    Saint-Léon-sur-Vézère (en occitano Sent Leu de Vesera) es una población y comuna francesa, situada en la región de Aquitania, departamento de Dordoña, en el distrito de Sarlat-la-Canéda y cantón de Montignac. Está clasificada dentro de los pueblos más bellos de Francia.
    - [fr] Saint-Léon-sur-Vézère

    [ru] Сен-Леон-сюр-Везер

    Сен-Леон-сюр-Везер (фр. Saint-Léon-sur-Vézère) — коммуна на юго-западе Франции в департаменте Дордонь административного региона Аквитания.



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