ReynèsÉcouter est une commune française, située dans le sud-est du département des Pyrénées-Orientales en région Occitanie. Les habitants de Reynès sont appelés les Reynésiens, Reinesencs.
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Reynès est une commune rurale qui compte 1 255 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'unité urbaine de Céret et fait partie de l'aire d'attraction de Céret. Ses habitants sont appelés les Reynésiens ou Reynésiennes.
Géographie
Localisation
Carte de la commune avec localisation de la mairie.
La commune de Reynès se trouve dans le sud-est du département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie et est frontalière avec l'Espagne (Catalogne)[I 1]. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Vallespir, ancienne vicomté (englobée au Moyen Âge dans la vicomté de Castelnou), rattachée à la France par le traité des Pyrénées (1659) et correspondant approximativement à la vallée du Tech, de sa source jusqu'à Céret.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Tech, l'Ample, la Palmère, le Mondony, la rivière de Calsan, la rivière de Reynès, la rivière de Vaillère et par deux autres cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable: un site Natura 2000 («le Tech») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Elle se situe à 29 km à vol d'oiseau de Perpignan[1], préfecture du département, à 4 km de Céret[2], sous-préfecture, et à 3 km d'Amélie-les-Bains-Palalda[3], bureau centralisateur du canton du Canigou dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].
La commune fait en outre partie du bassin de vie de Céret[I 1].
Sur le plan historique et culturel, Reynès fait partie du Vallespir, ancienne vicomté (englobée au Moyen Âge dans la vicomté de Castelnou), rattachée à la France par le traité des Pyrénées (1659) et correspondant approximativement à la vallée du Tech, de sa source jusqu'à Céret[5].
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[8].
Hydrographie
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Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat méditerranéen altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type «climat méditerranéen» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[9].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 14,2°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 0 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 9,5 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 4,3 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Amelie-les-Bains», sur la commune d'Amélie-les-Bains-Palalda, mise en service en 1977[14]et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[15],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 15,6°C et la hauteur de précipitations de 889,6 mm pour la période 1981-2010[16].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Perpignan», sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 29 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 15,4°C pour la période 1971-2000[18], à 15,7°C pour 1981-2010[19], puis à 16,1°C pour 1991-2020[20].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats: «le Tech»[22], d'une superficie de 1 467ha, hébergeant le Barbeau méridional qui présente une très grande variabilité génétique dans tout le bassin versant du Tech. Le haut du bassin est en outre colonisé par le Desman des Pyrénées[23].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Trois ZNIEFF de type 2[Note 6] sont recensées sur la commune[24]:
«le Vallespir» (47 344ha), couvrant 18 communes du département[25];
le «massif des Aspres» (28 819ha), couvrant 37 communes du département[26];
la «rivière le Tech» (933ha), couvrant 14 communes du département[27].
Urbanisme
Typologie
Reynès est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[28],[I 2],[29].
Elle appartient à l'unité urbaine de Céret, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[I 3] et 13 888 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 4],[I 5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Céret dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 3 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 6],[I 7].
Mairie de Reynès
La commune compte plusieurs écarts et hameaux (veïnats):
le Bourg de Reynès;
la Forge (La Farga);
le Pont de Reynès;
les Andreuics;
la Cabanassa;
le Vila (El Vilar);
Mas de Sant Pau et Sant Pau;
Buçac;
can Borrell
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (77,8% en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (76,4%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (77,1%), zones agricoles hétérogènes (17%), zones urbanisées (3,8%), cultures permanentes (1,4%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,7%)[30].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
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Le territoire de la commune de Reynès est vulnérable à différents aléas naturels: inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à deux risques particuliers, les risques radon et minier[31],[32].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin du Tech[33].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs, soit des effondrements liés à des cavités souterraines[34]. Une cartographie nationale de l'aléa retrait-gonflement des argiles permet de connaître les sols argileux ou marneux susceptibles vis-à-vis de ce phénomène[35]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[36].
Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques inondations et mouvements de terrains[37].
Carte des zones inondables.
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des argiles.
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une canalisation de transport de gaz. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[38].
Risque particulier
La commune est concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[39].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Reynès est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[40].
Toponymie
Article connexe: Toponymie des Pyrénées-Orientales.
Panneau indiquant le jumelage avec Maçanet de Cabrenys
Population et société
Démographie ancienne
La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
Évolution de la population
1378
1470
1515
1553
1643
1709
1720
1730
1767
40 f
14 f
16 f
15 f
30 f
53 f
64 f
79 f
502 H
Évolution de la population, suite (1)
1774
1789
-
-
-
-
-
-
-
60 f
108 f
-
-
-
-
-
-
-
(Sources: Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France: dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol.66: Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378p. (ISBN2-222-03821-9))
Notes:
1474: 9 f pour Reynès et 5 f pour les hameaux de Saint-Paul et Le Vilar;
1774 et 1789: pour "Reynès et Vilars".
Démographie contemporaine
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[51].
En 2019, la commune comptait 1 255 habitants[Note 9], en diminution de 3,24% par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales: +3,73%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
624
644
725
741
798
810
842
851
824
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
855
834
821
892
849
790
818
932
872
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
830
842
798
748
714
692
668
590
662
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
663
676
692
787
964
1 203
1 258
1 266
1 212
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
1 349
1 255
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee à partir de 2006[53].)
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Manifestations culturelles et festivités
Fête patronale: 22 janvier[58], jour de la saint Vincent. On distribuait pour cette occasion la Brena, un petit pain de seigle en forme de boule[59].
Santé
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Sports
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Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 602 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 1 325 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 480 €[I 8] (19 350 € dans le département[I 9]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 743 personnes, parmi lesquelles on compte 67,6% d'actifs (60,7% ayant un emploi et 6,9% de chômeurs) et 32,4% d'inactifs[Note 11],[I 10]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Céret, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 13]. Elle compte 168 emplois en 2018, contre 168 en 2013 et 167 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 465, soit un indicateur de concentration d'emploi de 36,1% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 45,3%[I 14].
Sur ces 465 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 89 travaillent dans la commune, soit 19% des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 87,4% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,9% les transports en commun, 5% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,6% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
93 établissements[Note 12] sont implantés à Reynès au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 17].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
93
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
4
4,3%
(8,7%)
Construction
15
16,1%
(14,3%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
25
26,9%
(30,5%)
Activités financières et d'assurance
2
2,2%
(3%)
Activités immobilières
5
5,4%
(6,2%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
19
20,4%
(13%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
5
5,4%
(13,9%)
Autres activités de services
18
19,4%
(8,5%)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,9% du nombre total d'établissements de la commune (25 sur les 93 entreprises implantées à Reynès), contre 30,5% au niveau départemental[I 18].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[60]:
MCB, hôtels et hébergement similaire (196 k€)
Gomez Consulting, activités des sièges sociaux (156 k€)
Euro Negoce Automobiles, commerce de voitures et de véhicules automobiles légers (121 k€)
Barcares Presqu Ile SARL, location de logements (17 k€)
Pierre & Bois, commerces de détail de charbons et combustibles (1 k€)
Agriculture
La commune est dans les «Vallespir et Albères», une petite région agricole située dans le sud du département des Pyrénées-Orientales[61]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes[Carte 3].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 62 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] à 29 en 2000 puis à 23 en 2010[63] et enfin à 15 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 76% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 73% de ses exploitations[64],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 191 ha en 1988 à 53 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 3 à 4 ha[63].
Culture locale et patrimoine
Monuments et lieux touristiques
Les lieux et monuments notables de Reynès sont les suivants[58]:
L'église paroissiale Saint-Vincent, achevée en 1727;
L'église Saint-Paul du Vila, construite au XVIIesiècle et comportant des vestiges du Xesiècle;
L'église Sainte-Marie du Vila, du XIIesiècle et remaniée en 1775;
Église Saint-Julien de Bussac;
Le dolmen du Camp de Seris;
L'ancien moulin;
Le château de Saint-Paul.
L'ancien pont du 19-Août-1944
L'église Saint-Vincent
Chapelle Saint-Paul
L'église Sainte-Marie du Vila
L'église Sainte-Marie du Vila
L'église Sainte-Marie du Vila en infrarouge
Mairie de Reynès
Chapelle Saint-Paul en infrarouge (entrée)
Le nouveau pont en infrarouge
Stèle à l'entrée du pont du 19-Août-1944
Personnalités liées à la commune
Gabriel Domenech (1920-1990): homme politique né à Reynès.
Voir aussi
Bibliographie
Étienne Roudier (dir.), Château de Reynès. Sondages archéologiques: Rapport Final d’Opération Campagne de sondages Janvier-Février 2018, Acter Archéologie, 72p. (lire en ligne).
(ca) Montserrat Cailà Guitart et Jean-Paul Escudero, Història dels noms de Reiners: les arrels d'un poble del Vallespir, Institut d'Estudis Catalans, , 246p. (ISBN84-7283-805-6, lire en ligne)
Articles connexes
Liste des communes des Pyrénées-Orientales
Liste des anciennes communes des Pyrénées-Orientales
Plan de prévention des risques naturels de Reynès (lire en ligne)
Notes et références
Notes et cartes
Notes
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[62].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
(ca)(fr)Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France: dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol.66: Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378p. (ISBN2-222-03821-9).
Aymat Catafau, Les Celleres et la naissance du village en Roussillon, Perpignan, Presses Universitaires de Perpignan, , 771p. (ISBN2-905828-97-8, lire en ligne).
Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales: Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll.«Villes et villages de France», (ISBN2-7399-5066-7).
Guide du Roussillon et de l'Andorre: touristique, historique, social, économique, Perpignan, Sud Roussillon, , 286p..
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