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Charenton-du-Cher est une commune française située dans le département du Cher en région Centre-Val de Loire.

Charenton-du-Cher

Église de Charenton-du-Cher.

Blason
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Cher
Arrondissement Saint-Amand-Montrond
Intercommunalité Communauté de communes du Cœur de France
Maire
Mandat
Pascal Aupy
2020-2026
Code postal 18210
Code commune 18052
Démographie
Gentilé Charentonnais[1]
Population
municipale
1 023 hab. (2019 )
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 43′ 50″ nord, 2° 38′ 35″ est
Altitude 178 m
Min. 167 m
Max. 253 m
Superficie 47,89 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Amand-Montrond
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Dun-sur-Auron
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Charenton-du-Cher
Géolocalisation sur la carte : France
Charenton-du-Cher
Géolocalisation sur la carte : Cher
Charenton-du-Cher
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Charenton-du-Cher

    Géographie


    Charenton-du-Cher est un village faisant partie de la région Centre, dans le département du Cher. Chef-lieu de canton, il regroupe 9 communes (Charenton compris). Pour une superficie de 47,89 km2, la cité compte 1 154 habitants. Charenton comprend deux hameaux : Laugère et les Perrons.

    Le bourg de 750 habitants s'étire sur la route de Saint-Amand-Montrond à Sancoins et est compris entre la Marmande et l'ancien canal de Berry. La partie centrale du bourg date des époques gallo-romaine (Carento-Magus) et mérovingienne et est limitée par l'ancienne enceinte.


    Localisation


    Arpheuilles Le Pondy
    Thaumiers
    Vernais
    Saint-Pierre-les-Étieux N
    O    Charenton-du-Cher    E
    S
    Coust Saint-Bonnet-Tronçais Ainay-le-Château

    Urbanisme



    Typologie


    Charenton-du-Cher est une commune rurale[Note 1],[2]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3],[4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Amand-Montrond, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 36 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[5],[6].


    Occupation des sols


    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (68,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (48,5 %), forêts (29,9 %), terres arables (17,8 %), zones urbanisées (2,5 %), zones agricoles hétérogènes (1,4 %)[7].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Risques majeurs


    Le territoire de la commune de Charenton-du-Cher est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[8]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[9].


    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Charenton-du-Cher.
    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Charenton-du-Cher.

    La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[10]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 95,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 636 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 628 sont en en aléa moyen ou fort, soit 99 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[11],[Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2016, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[8].


    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[12].

    La commune est en outre située en aval du barrage de l'étang de Goule, de classe B[Note 3]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[14].


    Toponymie


    Attestée sous les formes vicaria Carintominse en 818, Carentonium en 1327, du nom propre gaulois Carantus et -ó-magos[15]. Les Gaulois mettaient l'accent tonique sur la dernière voyelle -o- du premier élément : les finales en -ômagos se sont donc transformées en -ômos pour finalement être réduites au simple son -on, -an ou -en.
    Le mot gaulois magos a d'abord désigné un simple champ, puis un champ de foire, un marché et enfin le village ou la ville qui se développe autour de ce marché.


    Histoire



    Origines


    Carento Magus est le nom gaulois de Charenton. Ce toponyme de Magus correspond aux bourgs commerçants établis aux carrefours des grands axes routiers. Magus signifie originellement « champ », puis « marché » et enfin « ville ». Carento pouvant signifier ami, il s'agirait du « champ d'un ami ». Cette appellation est liée à la présence d'une fontaine bénéfique comme à Nerimagus ou à Argentomagus. À l'époque gallo-romaine, Carento-magus relève de l'Aquitaine Première et est situé en territoire des Bituriges sur le chemin reliant Avaricum à Bourbon.


    Moyen Âge


    La famille de Sancerre possédera la baronnie de Charenton jusqu'en 1402. La comtesse de Sancerre, Marguerite, † 1418, laissant une descendance dans les dauphins d'Auvergne-comtes de Clermont (elle fut la 2e femme du dauphin Béraud II), ses héritiers se disputeront les terres jusqu'en 1454. La seigneurie de Charenton revient alors à Anne de Bueil, dame d'Aubijoux, épouse de Pierre Ier d'Amboise de Chaumont, fille de Jean IV de Bueil et de Marguerite d'Auvergne-Sancerre (fille benjamine de la comtesse Marguerite et du dauphin Béraud). L'un de ses fils, le cardinal Georges d'Amboise financera l'embellissement de leur demeure de Meillant ainsi que la réfection de l'abbaye bénédictine féminine à Charenton.


    Vicairie et seigneurs


    Charenton est au IXe siècle une vicairie et forme au XIIe siècle une baronnie comprenant Orval, Bruère, le château fort de Saint-Amand, Épineuil, Vallon, Blet, Ainay, Meillant, et très probablement Chalivoy, Neuilly, Sancoins (avec Jouy), Sagonne... Il a longtemps été admis, suivant La Thaumassière, que cet ensemble féodal composait l'apanage d'une branche cadette — apparentée aux La Châtre — de la très puissante maison des princes de Déols et de Château-Raoul (cf. Déols, Châteauroux), laquelle joua un rôle brillant au Moyen Âge mais dont le rayon d'action se trouvait plus à l'ouest, dans le Bas-Berry (l'Indre).

    Il semble davantage aujourd'hui que les princes de Charenton ont une origine bourguignonne/nivernaise ou bourbonnaise : les princes de Charenton portent d'ailleurs le nom d'Ebe (le site MedLands indexé plus bas les appelle Ebles), donc pas tout à fait Ebbe(s) comme certains princes de Déols (mais en fait on trouve indifféremment en latin Ebo ou Ebbo, et l'historien du Berry Guy Devailly — né en 1924 — les nomme Ebbes) ; surtout on ne trouve pas chez eux le nom de Raoul, un marqueur des Déols qui a forgé le nom de Château-Raoul/Châteauroux, ni de mention des Déols dans leurs actes.

    Cela n'empêche pas des liens étroits avec les Déols, peut-être très anciens, ni bien sûr le mariage d'Agnès de Charenton dame de Meillant, avec Raoul VI de Déols dans la 2e moitié du XIIe siècle[17],[18].

    A noter : Guillaume de Saint-Amand, Saint-Amand le Chastel fondé par les seigneurs de Charenton, était vassal des Bourbons en 1095/96, puisqu'il fut convoqué par Archambaud V de Bourbon avec d'autres vassaux à une réunion avec le pape Urbain II. À cette époque cette région était dans la zone d'influence du Bourbonnais, y compris Charenton.

    Les seigneurs princes de Charenton aux XIIe et XIIIe siècles[19],[20] :

    Le partage successoral de mai 1250 accorde alors Charenton aux Courtenay-Champignelles, Agnès de Toucy — fille d'Anséric II de Toucy de Bazarnes et d'Agnès de Montfaucon-Charenton qu'on vient d'évoquer — ayant épousé Guillaume Ier de Courtenay-Champignelles (1228-1280 ; dernier fils de Robert et de Mahaut de Mehun), et ayant été déclarée en 1264 héritière de tous les biens de sa mère Guillerme de Montfaucon-Charenton hormis Champroux). En 1265, un accord entre les Courtenay-Champignelles et les Sancerre accorda les biens hérités par Agnès de Toucy et qui constituaient sa dot, à son grand-cousin et beau-frère Louis de Sancerre ci-dessus, en échange de La Ferté-Loupière : la cohérence ou cohésion géographique l'emportait !

    Au XIVe siècle, Charenton est donc une possession des Maisons de Sancerre, puis d'Amboise jusqu'en 1540 (les Sancerre étant aussi seigneurs de Montfaucon, environ de 1329 à 1483). En effet, comme on vient de le voir, un échange entre les Sancerre et les Courtenay-Champignelles a fait passer vers 1265/1266 Charenton aux comtes de Sancerre (Louis Ier ci-dessus, époux de Blanche de Courtenay-Champignelles, une sœur de Guillaume Ier de Courtenay : deux des enfants de Robert de Courtenay), les Courtenay obtenant en contrepartie La Ferté-Loupière.

    Puis Anne de Bueil-Sancerre (1405-1458), dame d'Aubijoux, Charenton, Meillant, Sagonne, Jouy..., fille de Jean IV de Bueil et Marguerite-Dauphine d'Auvergne (héritière de Sancerre), sœur du comte de Sancerre Jean V de Bueil, épouse en 1428 Pierre de Chaumont d'Amboise. Les Chaumont d'Amboise tiendront Charenton jusqu'à Antoinette (1495-1552 ; aussi dame de Chaumont, Meillant, Sagonne, Ravel et Li(g)nières), qui transmet ses fiefs à son mari épousé en 1518, Antoine de La Rochefoucauld-Barbezieux (1471-1537). Leur fils Charles de La Rochefoucauld-Barbezieux (1520-1583) cède Linières, Meillant et Charenton à sa deuxième fille Antoinette de La Rochefoucauld, † 1627, femme en 1577 d'Antoine de Brichanteau marquis de Nangis, amiral de France (1552-1617) : leur arrière-arrière-petite-fille Louise-Madeleine-Thérèse de Brichanteau, † 1713, mariée sans postérité en 1710 à Pierre-François Gorge d'Antraigues, est la dernière dame de Meillant et de Charenton en lignée héréditaire. Voir alors la succession de la baronnie de Charenton ci-dessous et aux articles Brichanteau et Meillant, jusqu'à Armand-Joseph de Béthune, duc de Chârost (1738-1800).

    Charenton dépendra jusqu'à la Révolution de la châtellenie d'Ainay-le-Château et de l'élection de Saint-Amand. Sa coutume était particulière et fortement influencée par celle du Bourbonnais.

    Le sarcophage de saint Chalan (VIIe siècle).
    Le sarcophage de saint Chalan (VIIe siècle).

    L'abbaye royale de Bellavaux de Charenton dédiée à Notre-Dame était une abbaye bénédictine féminine qui à son origine, en 620, avait suivi la règle de saint Colomban. Elle avait, au XVIIIe siècle, le Roi comme collateur et l'archevêque de Bourges pour patron. L'abbaye de Charenton possédait un sarcophage en marbre blanc attribué à saint Chalan[25] (visible au musée du Berry à Bourges).

    Les plus anciens vestiges trouvés à Charenton lors des travaux d'adduction d'eau en 1963 sont de l'époque romaine (tégula, monnaie, sols...) et surtout mérovingienne (mobilier, boucles de ceinture, sarcophages, lampe à huile en terre cuite...). Sous l'actuelle place de l'Église, il existe un cimetière daté du haut Moyen Âge.


    Temps modernes



    Révolution


    XIXe siècle


    XXe siècle


    Politique et administration



    Tendances politiques et résultats


    Article connexe : Élections municipales de 2014 dans le Cher.
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    Liste des maires


    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
        Joseph Gaulmier   -
    mai 1946 1947 Marcel Chacrot   -
    octobre 1947 1949 Charles Vincent   -
    mars 1949 1952 André Dard   -
    juillet 1952 1957 Jean Gaulmier   Professeur et écrivain
    mai 1957 1959 Joseph Pehu   -
    mars 1959 1995 Pierre Leblanc   -
    juin 1995 2000 Guy Morinat   -
    mai 2000 en cours Pascal Aupy[26],[27]   Agriculteur sur grande exploitation
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

    En 2019, la commune comptait 1 023 habitants[Note 4], en diminution de 6,58 % par rapport à 2013 (Cher : −3 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1861 1721 1431 2081 3051 4211 4361 5681 526
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5821 6551 7221 7601 8281 9942 0041 9432 030
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 9851 9842 0121 7371 7081 6581 5541 5171 511
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 3821 3721 3711 2921 1541 0961 1141 1191 095
    2018 2019 - - - - - - -
    1 0261 023-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine



    Lieux et monuments



    Personnalités liées à la commune



    Héraldique


    Les armes de la commune se blasonnent ainsi :
    Taillé: au 1er d'azur à deux crosses adossées d'argent mouvant du trait de partition, au 2e d'argent à trois fasces de gueules[32].


    Notes et références



    Notes et cartes


    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[13].
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références


    1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 22/07/2008.
    2. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. « Les risques près de chez moi - commune de Charenton-du-Cher », sur Géorisques (consulté le )
    9. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    10. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
    11. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    12. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    13. Article R214-112 du code de l’environnement
    14. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    15. Ernest Nègre Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 193
    16. Histoire du Berry: Volume 2 - 1844 - Louis Reinal - page 64-72
    17. « Les sires de La Châtre et de Charenton, p. 375 », sur Le Berry du Xe siècle au milieu du XIIIe, par Guy Devailly, chez Mouton, à Paris et La Haye, 1973.
    18. « Le château de Sagonne (Cher), palais fortifié du connétable de Sancerre, p. 85-116, notamment p. 85, 86-note 8, et 112-Généalogie et succession des Charenton, par Jean Mesqui », sur Société française d'Archéologie - Congrès archéologique de France, dir. Etienne Hamon, 176e session, 2017 : Cher, Gothique flamboyant et Renaissance en Berry.
    19. « Seigneurs de Charenton », sur MedLands.
    20. « Histoire : de Montfaucon à Villequiers (activer les flèches pour tourner les pages) », sur Villequiers.
    21. « L'abbaye cistercienne de Bussière, par Olivier Trotignon », sur blog Berry médiéval.
    22. « La mort du dernier Ebe (V ou VII) de Charenton, par Olivier Trotignon », sur blog Berry médiéval.
    23. « Le testament de Mathilde de Charenton (1243), par Olivier Trotignon », sur blog Berry médiéval.
    24. « L'univers spirituel d'un seigneur du Berry : le testament de Renaud de Montfaucon, par Olivier Trotignon », sur blog Berry médiéval.
    25. Saint Chalan sur portal amisaintcolomban.org
    26. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
    27. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    32. « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

    Annexes



    Articles connexes



    Liens externes


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    Bibliographie



    На других языках


    [de] Charenton-du-Cher

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    [en] Charenton-du-Cher

    Charenton-du-Cher (French pronunciation: ​[ʃaʁɑ̃tɔ̃ dy ʃɛʁ]) is a commune in the Cher department in the Centre-Val de Loire region of France.
    - [fr] Charenton-du-Cher

    [ru] Шарантон-дю-Шер

    Шаранто́н-дю-Шер (фр. Charenton-du-Cher) — коммуна во Франции, находится в регионе Центр. Департамент — Шер. Главный город кантона Шарантон-дю-Шер. Округ коммуны — Сент-Аман-Монтрон.



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