Champignelles est une commune française située dans le département de l'Yonne en région Bourgogne-Franche-Comté (anciennement région Bourgogne), limitrophe du département du Loiret.
Ne doit pas être confondu avec Champignolles ou Champigneulles.
Champignelles
Entrée de Champignelles par la route de Malicorne.
Géolocalisation sur la carte: Bourgogne-Franche-Comté
Champignelles
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Géographie
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Hydrographie
La source du ru du Cuivre, affluent de l'Ouanne, se trouve dans le sud-ouest de la commune (près du Chêne de la Danse). Il coule vers le nord et passe à l'ouest du bourg.
Le Beaune, affluent du Loing, fait un rapide passage dans le sud de la commune par le Grand Étang Neuf.
L'Agréau, affluent du Branlin, traverse la commune du sud au nord. Il entre dans la commune au Grand Villars, passe par les Vigreux, la source de la Fontaine Saint-Michel, contourne le vieux bourg de Champignelles par l'ouest (au pied de la butte, arrose la Ravine, le Petit Moulin, la Saronnerie, et sort de la commune au pied du château d'Asnières.
Le Branlin entre sur la commune près du leu-dit le Marteau, reçoit son affluent le ru de Louesme 300 m après le gué de la Forge, puis un autre affluent plus petit venant de l'étang d'Annebaude, avant de passer sur la commune de Malicorne.
La commune est donc sillonnée par quatre cours d'eau et deux de leurs affluents, à quoi s'ajoutent de nombreuses sources et quantité de mares, étangs et zones humides. Le Grand Etang Neuf sur le Beaune a plus de 7 ha sur Champignelles (et plus de 1 ha sur Champcevrais). L'étang d'Annebaude, deuxième plus grand étang de la commune, couvre environ 4,7 ha.
Hameaux
Hameaux de Champignelles
Les lieux-dits suivis d'une astérisque sont situés à l'écart de la route indiquée.
Champignelles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3].
La commune est en outre hors attraction des villes[4],[5].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,1% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,7%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (65,7%), forêts (20,6%), prairies (8,7%), zones agricoles hétérogènes (3,7%), zones urbanisées (1,4%)[6].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].
Toponymie
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Histoire
XIe siècle
Champignelles est cité dans une liste d'églises[8] datée du XIe s[9],ajoutée au Liber Sacramentorum de Sens[Note 2]. Il s’agit d’une liste de 145 églises, paroisses ou prieurés appartenant à l’archidiaconé de Sens[Note 3], qu’un scribe écrivit au verso des feuillets 3 et 4 d’un sacramentaire à l’usage de l’Eglise de Sens.
Campignol (Champignelles) apparaît plus précisément parmi les quarante-neuf églises composant le Ministerium confié à cette époque au prêtre Frédéraire, couvrant notamment le futur doyenné de Courtenay. Sont également citées, entre autres, les églises de Domnum Martinum (Saint-Martin-sur-Ouanne), Tanotram (Tannerre) et Grandem Campum (Grandchamp), mais ni Charny, ni Malicorne ne semblent avoir d’église à cette époque.
La paroisse de Champignelles dépendait dans l’ancienne France du doyenné de Courtenay, l’un des cinq doyennés de l’archidiaconé de Sens, lui-même l’un des cinq archidiaconés de l’archidiocèse de Sens. Ce doyenné de Courtenay comprenait au sud ouest Charny, Fontenouilles, Marchais-Beton, Chambeugle, Champignelles et Champcevrais. À l’ouest, les paroisses de Dicy, Douchy, Melleroy, Chêne-Arnoult, Saint-Maurice sur Lavéron, Aillant-sur-Milleron et Rogny appartenaient au doyenné de Ferrières de l’archidiaconé du Gâtinais.
Une période sombre pour Champignelles: 1348 -1360
Après la peste noire qui sévit en 1349 tuant environ le tiers de la population française, c'est au tour du capitaine anglais Robert Knolles, depuis la forteresse voisine de Malicorne, de ravager la région entre 1358 et 1360. Il dévaste Champignelles, maltraite et rançonne la population. Il faudra plusieurs générations avant que la région se repeuple.
Trace émouvante des exactions de Robert Knowles et de ses comparses, une lettre de rémission est accordée en mars 1368 par le Dauphin (futur Charles V) aux habitants de Saint-Martin-sur-Ouanne et de Champignelles:
«Savoir faisons que comme nos ennemis ont naguère pris et tiennent le châtel de Malicorne-sur-Ouanne et pillent, brûlent, rançonnent, détruisent tout le pays, mettent à mort et prennent prisonniers tous les hommes et ravissent et déshonorent toutes les femmes qu’ils peuvent trouver […] pour ce […] les habitants […] se sont rançonnés à ces ennemis sans notre licence […] et pour ce notre amé Bérard de Bellegarde a fait brûler plusieurs desdites villes en tout ou parti et pillé et pris les biens desdits habitants et avec ce a pris ou fait prendre quelques-uns desdits habitants […] et veut les rançonner […]»
Le Dauphin leur fit grâce, ordonne la mise en liberté des prisonniers et la restitution du butin et des rançons déjà perçues[10].
Les seigneurs de Champignelles
Pierre Ier de France (1126 - 1180/1183), sixième enfant de Louis VI le Gros , devient seigneur d'un vaste territoire en Gâtinais, dont Champignelles et Charny, par son mariage avec Élisabeth de Courtenay († 1205), fille de Renaud de Courtenay[11], d'où la Maison capétienne de Courtenay (leur fils aîné, Pierre II, continue les sires de Courtenay).
Robert Ier de Courtenay (1168-1239), second fils des précédents, seigneur notamment de Champignelles, Charny, Château-Renard en partie, Chantecoq et Conches, fut bouteiller du roi de France Louis VIII. Il fonde Villeneuve-les-Genêts où il fait bâtir une église en 1217 puis se croise en 1239 pour aller mourir en Palestine. De sa 1° femme, Constance de Toucy, il eut notamment Agnès, dame de Bléneau (x ~1220 Gibaud de Saint-Vérain). De sa seconde épouse Mahaut, dame de Mehun-sur-Yèvre et de Celles, il eut notamment[11]:
Robert de Courtenay (1224-1279), évêque d'Orléans[11]; Jean Ier de Courtenay (1226-1270), archevêque de Reims (1266-1270);
Pierre de Courtenay, sire de Conches et de Mehun, et père d'Amicie, dame de Conches et de Mehun, épouse de Robert II d'Artois;
Raoul de Courtenay sire d'Illiers-en-Auxerrois (ou Villiers? ), comte de Chieti, comte de Bigorre par son mariage avec Alix de Montfort;
Isabelle de Courtenay, x Jean le Sage ou l'Antique de Bourgogne-Chalon, d'où la suite des sires de Selles-sur-Cher, comtes d'Auxerre et de Tonnerre;
leur frère Philippe de Courtenay, sire de Champignelles (1221-† vers 1245/1246);
et leur frère Guillaume Ier de Courtenay (~ 1226 - ~ 1280), seigneur de Champignelles et de La Ferté-Loupière, qui participa avec saint Louis à la prise de Carthage en 1270
Robert de Courtenay-Champignelles (1251-1324), fils du précédent et de sa 1° femme Marguerite de Bourgogne-Chalon, fut archevêque de Reims (1299-1324) et sacra les trois derniers Capétiens directs[11]
Jean Ier de Courtenay-Champignelles (1265-1318), fils de Guillaume Ier et de sa seconde épouse Agnès de Toucy-Charenton, fonde en 1317 une chapelle dans l'enceinte du château de Champignelles[12]. De son épouse, Jeanne de Sancerre, fille d'Étienne II ou III, seigneur de Saint-Brisson, il eut:
Jean II de Courtenay-Champignelles (1291-1334), chef de nom et d'armes de la maison de Courtenay à la mort de son oncle, l'archevêque de Reims Robert. Frère aîné de Philippe de Courtenay (1292-1346), seigneur de La Ferté-Loupière. De son épouse Marguerite de Saint-Vérain dame de Bléneau (issue d'Agnès de Courtenay et Gibaud de St-Vérain ci-dessus), Jean II eut notamment deux fils[11]:
Jean III de Courtenay-Champignelles (1330-1392) qui participa à la bataille de Poitiers en 1356 et fut livré en otage au traité de Calais (1360). Il servit sous Du Guesclin en 1379 et fut sans descendance de son épouse Marguerite de Thianges-Vallery[11].
et Pierre II de Courtenay-Champignelles (1334-1394), frère du précédent. Il avait servi Jean le Bon en 1351, puis en 1369 participé à la bataille de Rosbeke (1382), mais il passa un an dans les rangs des ennemis du roi. D'Agnès de Melun-La Borde, tante du Grand-maître Charles de Melun, il eut[11]:
Pierre III de Courtenay-Champignelles (1377-1411), conseiller et chambellan du roi Charles VI , Grand-bailli de Sens et d'Auxerre, frère aîné de Jean Ier de Courtenay, sire de Bléneau, épousa Jeanne Bracque, héritière de Châtillon-sur-Loing[11], d'où:
Jean IV de Courtenay-Champignelles (~ 1410-472) qui suivit en Italie Gilbert de Montpensier , père du connétable de Bourbon , vice-roi de Naples, mais dissipa sa grande fortune terrienne ce qui lui valut le surnom de Jean sans Terre . Il vendit à Jacques Cœur en 1450 les seigneuries de Champignelles, Septfonfs et Saint-Maurice-sur-Aveyron , et mourut sans descendance légitime malgré deux mariages[11] . Il est l'auteur de la branche bâtarde du Chesne-Saint-E(u)soge (à Rogny) et de Changy (à Gy).
Jacques Cœur (~1398-1456), grand argentier du royaume de France, par acquisition.
Jean de Chabannes, fils du précédent, comte de Dammartin, seigneur de Puisaye, marié en 2° noces à Suzanne de Bourbon-Roussillon (1466-1531), fille de l'amiral Louis de Bourbon, comte de Roussillon, et de Jeanne de Valois dame de Mirebeau (fille naturelle de Louis XI, d'où:
Jean III de Rambures , époux en 1538 de Françoise d'Anjou-Mézières, petite-fille du précédent car fille de René d'Anjou, baron de Mézières, et d'Antoinette de Chabannes-Dammartin (fille de Jean et de Suzanne). Ses enfants vendirent la terre de Champignelles à Christophe de Saucière de Tenance[13].
Christophe de Saucière de Tenance (~ 1525-1595), gentilhomme ordinaire de la Chambre du roi, baron de Champignelles, il prend part à la bataille de Saint-Denis (1567) dans le camp catholique et y est fait prisonnier. Il épouse avant 1574 Louise de Vieilchastel [13].
François de Saucière de Tenance , écuyer de la petite-écurie du roi , baron de Champignelles, il épouse en 1616 Louise d'Orléans de Rère[13].
Charles de Rogres, seigneur de Chevrainvilliers, aide de camp, gendre du précédent, il épouse en 1643 Marie de Saucière de Tenance[13].
Louis de Rogres de Lusignan (1646-1684), capitaine de cavalerie, baron de Champignelles, il épouse en 1674 Nicole Grassin[13].
Charles-Louis de Rogres de Lusignan (1675-1756), cornette des gendarmes bourguignons et premier maître d'hôtel du duc de Berry, marquis de Champignelles, il épouse en 1702 Catherine de Brissay[13].
Louis-René de Rogres de Lusignan (1705-1784), lieutenant-général des armées du roi, marquis de Champignelles, il épouse en 1737 Henriette Lefebvre de Laubrières[13].
Armand-Louis de Rogres de Lusignan (1740-1830), maréchal de camp, marquis de Champignelles, il épouse en 1770 Charlotte d’Y de Missy[13].
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2014 dans l'Yonne.
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Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
mars 2008
En cours
Jacques Gilet
DVD
Retraité agricole
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[15].
En 2019, la commune comptait 920 habitants[Note 4], en diminution de 11,88% par rapport à 2013 (Yonne: −1,69%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 134
1 163
1 159
1 270
1 330
1 388
1 372
1 546
1 546
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 548
1 566
1 570
1 541
1 521
1 494
1 505
1 416
1 413
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 334
1 296
1 360
1 198
1 220
1 172
1 119
1 068
1 066
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
983
1 020
1 115
1 160
1 086
1 131
1 082
1 066
1 042
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
1 042
920
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[17].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
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Lieux et monuments
Église Sainte Colombe
Église Saint-Roch de Louesme.
Église Sainte Colombe
Culture
Le Tigre par Paul Welsch.
Statue à la fenêtre du presbytère, regardant le Tigre de Welsch.
Chaque été, depuis 2003, Champignelles est le centre névralgique des Estivales en Puisaye-Forterre, festival de musique classique qui se déroule dans la deuxième quinzaine d'août à travers une quinzaine de communes de la Puisaye, dans l'Yonne, la Nièvre et le Loiret. Une représentation originale d'une opérette ou d'un opéra est chaque année créée à Champignelles par la troupe des Estivales. Le maire de Champignelles, Jacques Gilet, et toute la commune apportent un soutien logistique aux Estivales.
Les «Rencontres de Champignelles» sont une manifestation annuelle organisée pour permettre aux maires et à leurs adjoints de se réunir afin de parler des problèmes spécifiques à leur fonction et pour mettre en commun leur expérience d'élus locaux. Les XXIe rencontres de Champignelles, en octobre 2010, ont réuni près de 150 maires et adjoints de Puisaye.
Loisirs
Le petit train de Champignelles a été créé par un groupe de passionnés qui a reconstitué un réseau ferroviaire en modèle réduit à l'échelle 1/3 sur de voies de 40 cm. Il promène les visiteurs dans les wagons spécialement conçus, sur un circuit de 1 km[18],[19].
Environnement
La commune inclut deux ZNIEFF:
La ZNIEFF des étangs, bocages, landes et forêts de Puisaye entre Loing et Branlin, 11 699 ha répartis sur 12 communes[20], et vise particulièrement les habitats d'eaux douces stagnantes; les autres habitats présents dans cette ZNIEFF sont des eaux courantes, landes, fruticées, pelouses, prairies humides et mégaphorbiaies, tourbières, marais, bocages et bois[21].
Sur Champignelles elle couvre la pointe sud-ouest de la commune attenante à celles de Bléneau, Saint-Privé et Champcevrais, soit environ 100 ha au sud de la D 207 qui incluent la partie sud du Grand Etang Neuf, et les lieux-dits les Roches et le Petit Étang.
Inondations saisonnières du Branlin et de l'Agréau.
La ZNIEFF de la vallée du Branlin de Saints à Malicorne, totalisant 2464 ha répartis sur huit communes[22]. Elle vise les habitats d'eaux courantes (milieu déterminant); on y trouve aussi des tourbières, marais, prairies humides et mégaphorbiaies, cultures et bocages[23].
Sur la commune elle couvre, comme son nom l'indique, la vallée du Branlin et une partie de ses coteaux voire leur hauteur complète. La photo ci-contre montre les inondations saisonnières de la vallée, ici en février, au nord de Champignelles juste avant la confluence de l'Agréau (en arrière-plan derrière les arbres) avec le Branlin en avant-plan).
Personnalités liées à la commune
Robert Ier de Courtenay-Champignelles (1168-1239), seigneur et petit-fils du roi Louis VI.
Pierre Duguiot (1823-1918), homme politique né et mort sur la commune.
André Barbault (1921-2019), astrologue français.
Pour approfondir
Bibliographie
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Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Attribuée tout d’abord au IXe s., information qui est souvent reprise à tort, cette liste, grâce aux travaux de Léopold Delisle, est datée du XIe s.
Cet archidiaconé recouvrait l’ancien pagus senonensis, l’une des cinq divisions territoriales de la civitas des Sénons, civitas qui formait l’assiette de l’archidiocèse de Sens jusqu’à la Révolution.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Geffroy, A. (Auguste Mathieu), 1820-1895, Notices et extraits des manuscrits concernant l'histoire ou la littérature de la France, qui sont conservés dans les bibliothèques ou archives de Suède, Danemark et Norvège, Paris, Imprimerie impériale, (lire en ligne), p; 71-72.
Auguste Longnon, Pouillés de la province de Sens, Paris, C. Klincksieck, .
Ambroise Challe,, «La Puisaye et le Gâtinais dans le département de l’Yonne», Bulletin de la Société des sciences historiques et naturelles de l'Yonne, , p.141.
Alice Saunier-Seïté, de l'Institut, Les Courtenay, destin d'une illustre famille bourguignonne, Paris, France-Empire, , 250p. (ISBN2-7048-0845-7), p.211 et s..
P.-G. Foucault, «La seigneurie de Champignelles», Bulletin de la société des sciences historiques et naturelles de l'Yonne, Auxerre, année?, p.179 et s..
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