Auxerre se trouve à 40 km à l'Est (autoroute A6 à 45 km pour la sortie n° 20 de Venoy); Briare dans le Loiret est à 35 km au sud-sud-ouest (sortie n° 20 de l'autoroute A77 à 40 km). La sortie n° 21 de la A77 est à 30 km près de Bonny-sur-Loire (Loiret).
De nombreux hameaux composent la commune. Certains sont encore le siège d'une exploitation agricole, mais la plupart ne comportent que des "maisons de campagne".
Le Branlin traverse la commune du sud au nord sur 7 km, longé d'un bout à l'autre par la D 7. Divisé en de nombreux bras, biefs et canaux aux abords de Tannerre, l'un d'eux y alimente au passage la pièce d'eau du château puis les trois étangs du moulin de la Forge. Il sert de limite de communes avec Villeneuve-les-Genêts sur 2 km (à la Billauderie, où il est séparé en trois bras, c'est le bras du milieu qui sert de limite), puis passe sur la commune de Villeneuve pendant 850 m avant de repasser sur Tannerre vers la Carpe; encore 1,2 km et il sort définitivement de la commune pour passer sur celle de Champignelles. Toute sa vallée et la plupart de ses coteaux sont compris dans la ZNIEFF de la vallée du Branlin de Saints à Malicorne.
L'Agréau sert de limite de communes au sud avec Saint-Fargeau sur les 1,7 km de longueur de cette limite, mais sans être inclus dans la commune qui n'est donc concernée que par son coteau en rive droite.
Un cours d'eau partiellement souterrain
Le ru de l'Orsière, au sortir de l'étang de la Bruyère sur la commune de Dracy, entre sur Tannerre par l'Est et y coule sur 500 m avant de disparaître dans les pertes notables du lieu-dit les Entonnoirs.
Avant que ne s'ouvrent les pertes qui l'absorbent, ce cours d'eau a laissé son empreinte dans le paysage sous la forme de coteaux sinueux orientés vers le nord-ouest puis le nord en direction de l'étang Neuf et du ru de Louesme, affluent du Branlin. Cependant il est vraisemblablement relié à la rivière souterraine des Usages dont le point d'accès se trouve au hameau des Petites Usages sur Villiers-Saint-Benoît, en limite de communes avec Tannerre. De nos jours la rivière des Usages est quant à elle la continuation probable de l'Orsière ou alimentée par cette dernière[1].
Étangs
La commune compte également deux étangs d'environ 1 ha chacun dans le grand bois du Mouton à l'est de Tannerre; un étang de 6 ha dans le bois des Assises au sud du bourg; l'étang Neuf, l'une des sources du ru de Louesme, au nord, près de 4 ha dont 1,5 ha sur Tannerre et le reste sur Champignelles; et nombre de petites pièces d'eau[2].
Urbanisme
Typologie
Tannerre-en-Puisaye est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].
La commune est en outre hors attraction des villes[6],[7].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (51,6%), forêts (28,1%), prairies (13,9%), zones agricoles hétérogènes (6,5%)[8].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].
Toponymie
Une forme du (IXesiècle) est retrouvée dans un missel du diocèse de Sens: «Tanotra» (forme latine).
Dans une charte du château de Saint-Fargeau datant de 1233 on trouve le mot «Tannodurum» formé à partir de deux mots gaulois:
Tann qui signifie chêne mais aussi vallée;
Duros qui signifie forteresse.
On peut donc traduire par «la forteresse de la chênaie» ou «la forteresse de la vallée».
Cependant, le nom romain était déjà Tanodurus.
La terminaison -dorus ou -durus, d'origine celtique der, désigne un lieu sur un cours d'eau dont le passage est difficile (Autissidorus, Auxerre; Tornodorus, Tonnerre; Brioderus, Briare ...)[10].
Histoire
Buttes de scories dans le ferrier
Tannerre, qui était sur le territoire des Sénons, a été connue dès l'époque des Celtes (en Gaule l'âge du fer débute vers 800 à 700 av. J.-C.) pour son activité métallurgique très importante. Son plus grand ferrier (il en existe beaucoup d'autres sur la commune et dans toute la Puisaye), le ferrier antique de Tannerre-en-Puisaye occupe un peu plus de 30 hectares. C'est le plus grand de France, avec celui des Martys[11], et l'un des plus grands d'Europe[12]. On y a retrouvé de nombreux témoignages de ces temps passés (monnaies, poteries, vestiges des techniques d'alors comme des tuyères...)[13]. Vers la fin de la Tène, tous les sites d'exploitation importants de Puisaye, donc Tannerre dans la foulée, semblent avoir accru leur taille et raffiné leur équipement[11].
Puits romain dans le ferrier de la Garenne
Cette activité, commencée par les Celtes, explose avec la conquête romaine: environ 80% de la production entière du site, toutes époques confondues, est réalisée durant les 300 ans de leur occupation. Accroissant considérablement la taille des ateliers, ils y appliquent un outillage et des techniques perfectionnés qui donnent un matériau de qualité égale à la production des hauts-fourneaux modernes[11]. Un village gallo-romain était certainement construit à flanc de colline.
Un système de défense existait dans le ferrier même, surveillant la "Route du Fer": une route d'importance puisqu'elle était utilisée par l'Empire pour la collecte de la production des sites métallurgiques et autres villes traversés. Elle passait par Saint-Sauveur, Mézilles, Tannerre, Malicorne, etc., sur la route de Bibracte à Sens[14].
Après le départ des Romains, la production de fer décroît pour quasiment cesser vers la fin du haut Moyen Âge[11]. Restent ces immenses buttes dont beaucoup atteignent 15 m de hauteur, faites des scories issues du traitement du minerai de fer. De cette époque de fin d'empire et du début du Moyen Âge, rien d'autre ne reste sauf des tombes en pierre tendre de Thury; on en trouve des similaires vers Bléneau[15].
N'ayant plus de raison de rester à flanc de coteau, le bourg descend dans la vallée du Branlin[14].
Vers le Xesiècle, une zone dans la partie ouest du grand ferrier (au nord-est de la vallée) est nivelée pour y construire un château-fort: la Motte Champlay, sise sur des scories et sur l'emplacement de l'ancien système de défense. Une enceinte de 180 mètres d'ouest en est et 100 m du sud au nord, entourait deux forts, un fortin, des casernes couvertes d'ardoises, et une basse-cour.
Maison du XVesiècle, 14 Grande Rue
Vers la fin du haut Moyen-Age est également construite la maison-fort dans la vallée du Branlin.
Relevant du fief de Saint-Fargeau ainsi que la Motte-Champlay, le domaine direct de Tannerre au début du XIVesiècle est considérable. Il a droit de haute, moyenne et basse justice, a une prison avec carcan et gibet, et en plus des droits seigneuriaux habituels on note que le seigneur a le droit de faire visiter toutes les bêtes à la boucherie pour en prélever les langues; et de prélever une gerbe sur cent des blés et grains appartenant à la cure de Tannerre. Tannerre a une maladrerie et un hôpital équipé «de tout le nécessaire pour recevoir les malades»[16] (ce qui n'était pas toujours le cas pour les hôpitaux à l'époque).
Tannerre se trouvant proche du chemin du sel entre Loire et Yonne, route fort empruntée depuis longtemps[17],[18], l'Anglais Robert Knolles s'en empare en 1358 pour s'assurer une retraite fortifiée et stratégiquement placée pendant qu'il écume la région (son quartier général est à Malicorne, mais il doit caser ses 1 000 hommes en plusieurs endroits pour répartir la charge de leur approvisionnement - et accroître l'étendue de leurs pillages).
Il fait raser la Motte Champlay, le village et le fort du bas quand il reçoit l'ordre de quitter la Puisaye et la France en 1360[14]. La motte Champlay n'est pas reconstruite. Tannerre s'éteint pendant plus de deux siècles, et n'a pas recouvré son intense activité passée[12],[19].
Au XIVesiècle Tannerre appartenait à la maison de Courtenay[20].
Lorsque le duché de Saint-Fargeau est créé en 1541, Tannerre et Bléneau ne sont pas citées parmi les villes du nouveau fief: les lettres royales n'indiquent que les villes étant des possessions directes du titulaire et faisant partie de son domaine[21].
Politique et administration
Liste des maires
Liste des maires de la Révolution française à la Libération[22]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].
En 2019, la commune comptait 277 habitants[Note 2], en diminution de 5,78% par rapport à 2013 (Yonne: −1,69%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
750
690
687
788
810
837
885
927
988
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
950
979
954
918
942
901
905
852
843
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
801
825
838
650
650
646
632
602
546
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
421
373
335
286
256
309
316
318
299
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
285
277
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 24,8%, soit en dessous de la moyenne départementale (31,4%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 38,3% la même année, alors qu'il est de 31,2% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 138 hommes pour 142 femmes, soit un taux de 50,71% de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,33%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
1,5
90 ou +
0,7
6,7
75-89 ans
7,9
28,9
60-74 ans
30,9
25,9
45-59 ans
20,1
14,8
30-44 ans
12,9
14,8
15-29 ans
13,7
7,4
0-14 ans
13,7
Pyramide des âges du département de l'Yonne en 2018 en pourcentage[28]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,9
90 ou +
2,4
8,3
75-89 ans
11,2
19,7
60-74 ans
19,8
20,6
45-59 ans
20,1
17,3
30-44 ans
16,8
15,1
15-29 ans
13,3
18,1
0-14 ans
16,3
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Dans le ferrier, chemin entre buttes de scories et tranchées.
Le ferrier antique de Tannerre-en-Puisaye, l'un des deux plus grands de France, a été classé monument historique en 1982 grâce aux efforts de Pierre François Chapat pour sauver le site[29].
15,2 hectares, propriété de la commune, sont aménagés par l’«l'association du ferrier de Tannerre» et accessibles au public actuellement[13]. Un terrain de course d'orientation y a été installé, dont l'accès est libre, gratuit et permanent. Le championnat d'Académie UNSS s'y est déroulé le , avec 177 participants qui ont unanimement apprécié le terrain et ont assis la réputation des installations[30]. Les autres aménagements incluent une aire de repos sur le site de l'ancienne Motte Champlay, des panneaux explicatifs à l'entrée et le long des parcours de découverte, et des recréations des modes de travail d'antan (bas-fourneau, forge, chemin de fer et son wagonnet d'époque, etc), avec démonstrations ponctuelles[31].
Monuments civils
Blocs de calcaire et mortier provenant de la Motte-Champlay.
La «maison-forte».
La motte Champlay du XIVesiècle, dont on a utilisé les scories présente sur le site pour sa construction[32], était composée:
d'une enceinte de 100 × 180 mètres, entourée par un fossé;
de deux forts et un fortin communiquant entre eux par des souterrains, le premier fort était un carré de 33 mètres de côté, le second était un rectangle de 33 × 40 mètres, et le fortin de 12 × 12 mètres. Ces trois fortifications étaient elles-mêmes ceintes de murs et de fossés;
de casernes et d'une basse-cour.
La motte Champlay fut prise et détruite en 1360 par l'Anglais Robert Knolles (dit «le Mouton»). Aujourd'hui il ne reste rien de la forteresse si ce n'est quelques fossés dans le bois de la Garenne, au milieu du ferrier. De gros blocs maçonnés en ont été trouvés en 2009 lors de relevés de terrain[31].
La maison forte était, au Moyen Âge, la deuxième fortification de Tannerre. Elle est située à proximité du Branlin, dans le parc du château Renaissance. Elle fut prise peu après la Motte Champlay par Robert Knolles mais ne fut pas détruite. Aujourd'hui elle est toujours visible.
Le château Renaissance datait de la fin du XVIIIesiècle, début XIXe.
Façades et proportions harmonieuses, pierres blanches et briques rosées sous sa toiture ardoisée, et agrémenté d'une pièce d'eau, véritables douves, il fut construit par la famille de Lestrade, près de l'entrée d'un parc ornée d'un écu avec croix de Saint-André, à proximité d'une maison de bois du XVesiècle. Ce château, propriété de la ville de Vitry, fut détruit par un incendie le .
Lavoir inondable le long du Branlin.
Les lavoirs: aujourd'hui encore Tannerre dispose de trois lavoirs couverts sur le Branlin. Ces lavoirs ont été utilisés jusque vers 1960:
le lavoir public, à proximité du pont, dispose d'un plancher mobile;
le petit lavoir est équipé de pelle permettant de réguler le niveau de l'eau;
un lavoir privé avec plancher mobile.
Monuments religieux
Église Saint-Blaise, clocher du début XVIesiècle.
L'église consacrée à saint Martin
Cette église a été détruite durant la guerre de Cent Ans lors de la prise de Tannerre. Elle fut reconstruite par Jacques Dupé, seigneur de Tannerre (†1530). Il ne reste de l'église du XIIesiècle que les murs de la nef, de petites fenêtres à plein cintre et le portail intérieur. Un nouveau clocher est construit sur la façade ouest; percé de meurtrières, il était un élément de défense important.
L'abbé Fondras, curé de Tannerre entreprit d'importants travaux de restauration en 1888 (remplacement des voûtes en bois par une voûte en pierre). Elle est ornée de vitraux:
Chapelle du château.
baptême de Jésus dans le Jourdain
Sainte Marguerite et Saint Hubert
Sainte Madeleine et Saint Henry
Saint Jean et Sainte Françoise
Résurrection de Lazare (rosace)
Saint Eloi et Sainte Colombe
Sainte Marguerite et Sainte Rosalie
Jésus, Saint Martin et l'abbé Fondras en médaillon
Saint Germain et Sainte Adeline
Sainte Suzanne et Saint Charles de Baronée
Saint Joachim et Sainte Anne
Saint Severin et Sainte Rosalie
La chapelle du château
Située à proximité du cimetière, elle a été construite par Étienne TournYol de la Rode. Elle abrite les sépultures des familles De Lestrade et De Montferrand.
Patrimoine naturel
La commune est concernée par deux ZNIEFF:
la ZNIEFF de la vallée du Branlin de Saints à Malicorne, totalisant 2 464ha répartis sur huit communes[note 1]. Elle vise les habitats d'eaux courantes (milieu déterminant); on y trouve aussi des tourbières, marais, prairies humides et mégaphorbiaies, cultures et bocages[33].
Sur la commune, ce sont environ 410ha sur le fond de vallée du Branlin, tous les coteaux en rive droite sauf en face du «moulin de Béon», et une grande partie des coteaux en rive gauche;
la ZNIEFF des étangs, bocages, landes et forêts de Puisaye entre Loing et Branlin, 11 699ha répartis sur douze communes[note 2], vise particulièrement les habitats d'eaux douces stagnantes (milieu déterminant); les autres habitats présents dans cette ZNIEFF sont des eaux courantes, landes, fruticées, pelouses, prairies humides et mégaphorbiaies, tourbières, marais, bocages et bois[34].
Sur la commune, les terrains concernés représentent environ 7ha du bois du Ferrier jouxtant la commune de Mézilles.
Tourisme, activités
Le village est traversé par une variante du GR de pays «tour de Puisaye». Il suit grosso modo la rive droite du Branlin, et au nord de Tannerre se dirige vers l'ouest et vers l'Agréau.
Des courses d'orientation sont organisées sur le site du ferrier de la Garenne, un terrain de qualité spécialement aménagé pour ces courses[35].
Le vélorail de Puisaye, le plus long de France, et le train touristique de Puisaye-Forterre, passent à 8 km à Villiers-Saint-Benoît.
Personnalités liées à la commune
Edmé Dupe, baron de Tannerre, décédé le , s’illustra comme capitaine d’Henri IV. Ses dons de négociation - et sa réputation - furent à l’origine de la reddition d’Auxerre (qui était sous l'autorité de Charles X)[36].
Edme Carreau, né le 8 ventôse an VII (), décédé le , fut député de l’Assemblée constituante de 1848 et maire de Tannerre de 1870 à 1871.
Pour approfondir
Bibliographie
M. Déy, Histoire de la Ville et du Comté de Saint-Fargeau, Auxerre, , 435p. (présentation en ligne)
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Références
Spéléo-club de Chablis, Crots de l'Yonne, Paris, , 105p. (lire en ligne), p.84.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Le grand ferrier antique de Tannerre-en-Puisaye, dans Histoire du ferrier, sur le site de l'association «Le ferrier de Tannerre». Cartes des ferriers répertoriés en Puisaye, de ceux sur la commune de Tannerre, plan du site du ferrier de Tannerre, et nombreuses autres informations.
La Motte Champlay, sur le site de l'association du ferrier de Tannerre.
Déy 1856, p.60: la seigneurie de Tannerre à l'époque de l'arrivée des anglais.
Ambroise Challe, «Ponnessant – Pons Maxientus», Bulletin de la Société de sciences hist. et nat. de l'Yonne, 1847-1856 (lire en ligne[sur echo.auxerre.free.fr], consulté le ).
Paul Gache (professeur d'histoire à Orléans), «Histoire de Marché Beton»[marchaisbeton.ccop.fr], sur le site de la communauté de communes Orée de Puisaye (consulté le ).
Déy 1856, p.64-65: témoignage de 1731 sur la destruction à Tannerre.
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