Incluse dans l'unité urbaine de Périgueux, la commune de Champcevinel est située au nord de l'agglomération périgourdine. Son bourg est distant de quatre kilomètres seulement du centre-ville de Périgueux.
Champcevinel constitue la banlieue immédiate de Périgueux, au nord, entre les routes départementales 3 (la route d'Agonac) et 8 (la route de Paris).
Communes limitrophes
Carte de Champcevinel et des communes avoisinantes.
Champcevinel est limitrophe de cinq autres communes. À l'ouest, le territoire de Chancelade est distant de moins de 300 mètres.
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Champcevinel est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c2c, date du Turonien moyen à supérieur, composée de calcaires cryptocristallins, calcaires gréseux à rudistes et marnes à huîtres et à rhynchonelles. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles «no758 - Périgueux (ouest)» et «no759 - Périgueux (est)» de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].
Carte géologique de Champcevinel.
Légende de la carte géologique.
Ère
Période
Époque
Formations géologiques
Cénozoïque (0 - 66.0)
Quaternaire (0 - 2.58)
Holocène
CFp :
Formations superficielles: colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites indifférenciées
CFvs :
Formations superficielles: colluvions carbonatées de vallons secs: sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris
Alluvions subactuelles à actuelles indifférenciées: argiles silteuses, argiles sableuses, argiles tourbeuses, sables argileux, sables fins à graviers (Pré-boréal à actuel)
Pléistocène
Fvb(D) :
Hautes terrasses (RD Garonne) - Terrasse de Malleret inf. (type 2) indifférenciée: sables à graviers et galets rubéfiés (Ménapien-Bavélien - '-Gunz'-)
Néogène (2.58 - 23.03)
non présent
Paléogène (23.03 - 66.0)
Oligocène
g1a :
Formation de Boisbreteau moy. et formation de la Garde: sables feldspathiques à graviers et galets passant vers le sommet à des argiles sableuses (Rupélien inf. continental)
Éocène
non présent
Paléocène
non présent
Mésozoïque (66.0 - 252.17)
Crétacé (66.0 - ≃145.0)
Supérieur
Ac :
Altérites du Crétacé sup.: argiles kaoliniques, silteuses à sableuses, parfois rubéfiées, à gravier, à silex et chailles, avec apport local du Tertiaire (complexe des Doucins)
c5b :
Campanien 2: calcaires crayo-marneux blanchâtres à grosses silicifications grises en alternance dures et tendres puis calcaire crayeux à glauconie (formations de Marsaguet, de Segonzac et sommet de Trémolat)
c5a(2) :
Campanien 1: calcaires packstone à wackstone crayo-marneux gris blanchâtres à subalvéolines à silex gris ou noirs avec localement des niveaux gréseux bioclastiques, marnes à rhynchonelles à la base (formations d'Atur, de Vergt, de Salon et de Trémolat)
c4a-c :
Santonien inf. à sup.: calcaires crayeux gris glauconieux en plaquettes évoluant dans le secteur sud avec apparition de silex noirs ou bruns et de rudistes (formation de Saint-Laurent-sur-Manoire)
c3(2) :
Coniacien indifférencié: calcaires gréseux, sables et marnes à la base puis calcaires bioclastiques et calcaires crayeux et glauconieux ou calcaires à huitres au sommet
c2c :
Turonien moyen à supérieur: calcaires cryptocristallins, calcaires gréseux à rudistes et marnes à huîtres et à rhynchonelles, localement grès et sables jaunes (feuille de Terrasson)
inférieur
non présent.
Jurassique (≃145.0 - 201.3)
non présent
Trias (201.3 - 252.17)
non présent
Paléozoïque (252.17 - 541.0)
non présent
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 86 m et 237 m[6],[7].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[9]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[10].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 17,72 km2[6],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 18,34 km2[3].
Hydrographie
Réseau hydrographique
Réseaux hydrographique et routier de Champcevinel.
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par des petits cours d'eau qui constituent un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[15],[Carte 1].
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) «Isle - Dronne». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[16]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [17].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[18]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[19].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[18]
Moyenne annuelle de température: 12,1°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,9 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 6,8 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,9 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,7 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[22] complétée par des études régionales[23] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «La Tour Blanche», sur la commune de La Tour-Blanche-Cercles, mise en service en 1967[24] et qui se trouve à 28 km à vol d'oiseau[25],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 12,3°C et la hauteur de précipitations de 964,3 mm pour la période 1981-2010[26].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Bergerac», sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 45 km[27], la température moyenne annuelle évolue de 13,2°C pour la période 1971-2000[28], à 13,1°C pour 1981-2010[29], puis à 13,3°C pour 1991-2020[30].
Urbanisme
Typologie
Champcevinel est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[31],[32],[33].
Elle appartient à l'unité urbaine de Périgueux, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[34] et 65 511 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue[35],[36].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[37],[38].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,1% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (48,9%), zones agricoles hétérogènes (31,3%), zones urbanisées (12,9%), terres arables (2,3%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,2%), cultures permanentes (1,9%), prairies (0,4%)[39].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Prévention des risques
Un plan de prévention des risques naturels (PPRN) a été approuvé en 2004 pour Champcevinel, dont l'ensemble des coteaux est exposé aux risques de mouvements de terrain et de retrait-gonflement des sols argileux[40],[41].
Toponymie
La première mention écrite connue du lieu se trouve dans un pouillé du XIIIesiècle sous la forme Chansavinel[42]. On trouve ensuite les graphies Campi Savinelli en 1243, Champsavinel en 1303, Chamsevineau en 1330, Campus Savinelli en 1381, Chantavinel en 1483 et Champsevinel en 1774[42]. Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Champ le Vinel[43].
Le nom est formé de «champ» qui en occitan signifie «champ, terre» et de «Sabinel» qui est un diminutif de Sabin, lui-même dérivé d'un nom de personne romaine, Sabinus[44]. L'ensemble correspond à la «terre de Sabinel» ou au «domaine de Sabinel».
En occitan, la commune porte le nom de Champ Savineu[45].
Histoire
Les pierres taillées recueillies sur de nombreux sites de la commune prouvent que des hommes y ont séjourné aux époques paléolithique et néolithique, même si aucune preuve d'une implantation permanente n'a été découverte[46].
Au XIIesiècle, les chanoines de l'église de la Cité possèdent la seigneurie de Champcevinel et les bories qui s'y trouvent (la «borie» qui signifie «maison des bœufs» est une ferme riche). Ces bories sont rachetées au XVIesiècle par de riches bourgeois qui laisseront des châteaux placés sur des sites magnifiques: les plus prestigieux, Borie-Brut et Borie-Petit, sont aménagés en centres de loisirs et d'équitation.
Située près du centre-ville de Périgueux, la commune a connu une explosion démographique dans les années 1980. De nombreux équipements et aménagements ont accompagné cette évolution, maîtrisée dans le cadre d'une opération «greffe de village».
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune de Champcevinel a été rattachée, dès 1790, au canton de Périgueux qui dépendait du district de Perigueux. Les districts sont supprimés en 1795. Le canton est rattaché à l'arrondissement de Périgueux en 1800. Celui-ci est scindé en trois en 1973 et Champcevinel fait partie du nouveau canton de Périgueux-Nord-Est[6].
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[47]. La commune est alors rattachée au canton de Trélissac.
Intercommunalité
Le 1er janvier 2000, elle intègre dès sa création la communauté d'agglomération périgourdine. Celle-ci disparaît le 31 décembre 2013, remplacée au 1er janvier 2014 par une nouvelle intercommunalité élargie: Le Grand Périgueux.
Tendances politiques et résultats
Articles détaillés: Élections municipales de 2014 en Dordogne et Élections municipales de 2020 en Dordogne.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 2 500 et 3 499 habitants au recensement de 2017, vingt-trois conseillers municipaux ont été élus en 2020[48],[49].
Dans le domaine judiciaire, Champcevinel relève[54]:
du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux;
de la cour d'appel de Bordeaux.
Jumelages
Champcevinel: panneau d'entrée en franco-occitan et de jumelage.
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[56].
En 2019, la commune comptait 2 965 habitants[Note 9], en augmentation de 6,27% par rapport à 2013 (Dordogne: −0,88%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1856
816
801
818
681
852
864
766
800
834
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1901
836
800
777
781
801
810
760
701
684
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
684
690
563
594
607
626
668
666
914
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
2017
1 127
1 359
1 697
2 208
2 335
2 467
2 486
2 782
2 880
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
2 965
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[57].)
Histogramme de l'évolution démographique
Manifestations culturelles et festivités
Fête votive le week-end du troisième dimanche de mai[58].
La 13eédition du salon «Livre en fête» s'effectue en avec la présence de 65 auteurs dont Pierre Lemaitre, Prix Goncourt 2013[59].
Économie
Emploi
L'emploi est analysé ci-dessous selon qu'il affecte les habitants de Champcevinel ou qu'il est proposé sur le territoire de la commune.
L'emploi des habitants
En 2018[60], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 1 310 personnes, soit 44,9% de la population municipale. Le nombre de chômeurs (114) a augmenté par rapport à 2013 (93) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 8,7%.
L'emploi sur la commune
Fin 2018, la commune offre 450 emplois pour une population de 2 915 habitants[61]. Le secteur administratif (administration publique, enseignement, santé, action sociale) prédomine avec 41,5% des emplois devant le secteur tertiaire avec 37,1%.
Au , la commune compte 196 établissements[62], dont 127 au niveau des commerces, transports ou services, vingt-neuf relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, vingt-trois dans la construction, dix dans l'industrie, et sept dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[63].
Entreprises
Dans le secteur des services, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société «In extenso Dordogne» (activités comptables) située à Champcevinel se classe en 29eposition quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 4 446 k€[64].
L'entreprise «Périgord bois» a été créée en 1922 à Périgueux avant de s'installer à Champcevinel en 1976; rebaptisée «La Maison Périgord», elle emploie 40 personnes en 2021[65].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Le château de Borie-Petit, XVeetXVIIesiècles, inscrit aux monuments historiques, aujourd'hui centre équestre,
Le château de Borie-Brut, XVIIesiècle, fortement retouché, actuellement centre de loisirs,
Le château de Vigneras, XVIIIesiècle
Le château de Borie-Petit vu de l'est.
Le château de Borie-Petit vu du nord-est.
L'entrée du château de Borie-Brut.
Le château de Vigneras, façade avant.
Le château de Vigneras, façade arrière.
L'église Saint-Marc, construite de 1874 à 1877
À côté de l'église, la bibliothèque (ancienne demeure de l'intendant de la seigneurie de Champcevinel) et le centre socioculturel (ancien presbytère) datent tous deux du XVIesiècle,
Le manoir de Boisset, XVIesiècle.
L'église Saint-Marc vue du sud-ouest.
L'église Saint-Marc vue du nord-est.
L'abside et ses vitraux.
Partie supérieure d'un vitrail relatant la construction de l'église.
La nef de l'église.
L'ancienne demeure de l'intendant.
L'ancien presbytère.
Le manoir de Boisset.
Contrairement à ce qui est indiqué dans le Dictionnaire des châteaux du Périgord[66], le château de Barbadeau se trouve sur le territoire de Périgueux et non pas sur celui de Champcevinel.
Personnalités liées à la commune
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Héraldique
Blason
D'azur à la foi d'argent, mouvant des flancs et enserrant un châtaignier d'or fruité au naturel de douze pièces ordonnées 1,2,4 et 5.
Détails
Un châtaignier tenu par deux mains serrées qui symbolisent l'amitié.
Le châtaignier a contribué à procurer un certain confort aux paysans et à améliorer l'ordinaire lors des périodes difficiles de leur vie. Douze fruits représentant les douze mois de l'année Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[20].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[21].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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