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Buis-les-Baronnies [bɥi le baʁɔni] est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Buis-les-Baronnies

Vue d'ensemble.

Blason
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Nyons
Intercommunalité Communauté de communes des Baronnies en Drôme Provençale
Maire
Mandat
Sébastien Bernard
2020-2026
Code postal 26170
Code commune 26063
Démographie
Gentilé Buxois, Buxoises
Population
municipale
2 325 hab. (2019 )
Densité 69 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 16′ 35″ nord, 5° 16′ 31″ est
Altitude Min. 319 m
Max. 1 080 m
Superficie 33,74 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Nyons et Baronnies
Législatives Troisième circonscription
Canton de Buis-les-Baronnies (avant mars 2015)
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Buis-les-Baronnies
Géolocalisation sur la carte : France
Buis-les-Baronnies
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Buis-les-Baronnies
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Buis-les-Baronnies
Liens
Site web http://www.buislesbaronnies.fr/

    Ses habitants sont dénommés les Buxois(es).


    Géographie



    Localisation


    La commune de Buis-les-Baronnies est située dans les Baronnies, une région naturelle et historique du Dauphiné et de la Drôme provençale.
    Limitrophe du Vaucluse, elle est située au sud-est de Nyons.

    Rochebrune
    Beauvoisin
    Sainte-Jalle Bésignan
    Vercoiran
    Propiac N La Roche-sur-le-Buis
    O    Buis-les-Baronnies    E
    S
    La Penne-sur-l'Ouvèze Saint-Léger-du-Ventoux
    Vaucluse
    Eygaliers

    Relief et géologie


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    Hydrographie


    L'Ouvèze.
    L'Ouvèze.

    La commune est arrosée par :


    Climat


    Article connexe : Climat de la Drôme.

    Voies de communication et transports


    La route des Princes d'Orange : Buis-les-Baronnies est situé sur cet itinéraire autrefois emprunté par les princes d'Orange (dynastie qui régna sur Orange de 1115 à 1702) pour rejoindre leur baronnie d'Orpierre.


    Urbanisme



    Typologie


    Buis-les-Baronnies est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].

    Elle appartient à l'unité urbaine de Buis-les-Baronnies, une unité urbaine monocommunale[5] de 2 302 habitants en 2017, constituant une ville isolée[6],[7]. La commune est en outre hors attraction des villes[8],[9].


    Occupation des sols


    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (66 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (25,9 %), zones agricoles hétérogènes (19,1 %), cultures permanentes (12 %), zones urbanisées (3,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,7 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].


    Morphologie urbaine


    La ville est situé au pied de l'arête crénelée du rocher Saint-Julien ; elle s'étend au milieu de prairies et de belles oliveraies[réf. nécessaire].


    Hameaux et lieux-dits

    Site Géoportail (carte IGN)[11] :

    Anciens quartiers :


    Logement


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    Projets d'aménagement


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    Risques naturels et technologiques


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    Toponymie


    La commune est dénommée Lo Bois dei Baroniás en occitan ou Lo Bois dei Baronias en provençal alpin[réf. nécessaire].


    Attestations


    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[16] :

    Non daté[réf. nécessaire] : Buis-les-Baronnies(l'article défini n'est plus prononcé).


    Étymologie


    Ce toponyme dériverait de l'occitan bois, « buis »[17], arbuste de la famille des Buxacés (ou du provençal médiéval bois (prononcez : boïs)[réf. nécessaire]).

    Les Baronnies sont une région naturelle et historique qui s'étend entre le sud-est de la Drôme, l'ouest des Hautes-Alpes et le nord de Vaucluse.


    Histoire


    Article connexe : Histoire de la Drôme.

    Protohistoire


    Le Buis est l'ancienne capitale de la tribu gauloise des Boxsani (confédération des Voconces)[réf. nécessaire].


    Antiquité : les Gallo-romains


    Le futur mandement du Buis est probablement habité par les Bocx(ani), mentionnés avec les Noiomagenses (habitants de Nyons) dans une inscription découverte à Tain[16].

    Le lieu est appelé Arx Apollinaris par les Romains[18].


    Du Moyen Âge à la Révolution


    D'une manière générale, à partir du XIe siècle, les villages des Baronnies dépendent de la baronnie de Mévouillon et de la baronnie de Montauban[réf. nécessaire].

    1178 : les seigneurs de Mévouillon sont les vassaux directs de l'empereur Frédéric Barberousse[réf. nécessaire].

    La seigneurie : elle ne comprenait que la paroisse du Buis[16] :

    XIIe siècle : l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon y possédait le prieuré Sancte Marie de Projactis (actuellement Saint-Denis-de-Projat) et l'église Saint-Julien, dont elle percevait les revenus[19].

    Du temps des barons de Mévouillon, Buis-les-Baronnies était la résidence du magistrat chargé de rendre la justice à tous leurs vassaux[16].
    (Après son annexion au Dauphiné, en 1317, Le Buis deviendra le siège d'un bailliage (1336 : bayllivia baroniarum montis Albani et Medullioni (Valbonnais, II, 320)) dont le ressort comprenait tout l'arrondissement de Nyons et quelques communes des cantons de Grignan et de Dieulefit[16]. À partir de 1447, ce tribunal, appelé bailliage du Buis, n'aura plus qu'un vibailli à sa tête [réf. nécessaire]).

    Depuis 1270, les Mévouillon sont endettés : en 1288, Raymond VI de Mévouillon donne une charte de franchise aux habitants[réf. nécessaire]. Cette charte de libertés sera confirmée en 1337 par les dauphins[16].

    1291 : Raymond VI de Mévouillon vend sa baronnie à Jean de Genève, évêque de Valence et de Die. La vente pour 6 000 livres tournois est ratifiée par le traité de Chamaloc, signé le 16 août 1291[réf. nécessaire]. Cet acte de vente n'est pas reconnu par Raymond V de Mévouillon car il est contraire aux dispositions testamentaires de Raymond IV de Mévouillon qui interdisait l'aliénation du domaine. Raymond VI de Mévouillon est condamné[réf. nécessaire].

    Le 10 juillet 1293, Raymond VI de Mévouillon vend sa baronnie au dauphin qui profite de son endettement. Raymond de Mévouillon a confié ses castra au dauphin à condition de pouvoir les reprendre en fief franc, noble et antique, et à fidélité non lige[réf. nécessaire].
    Concernant le reste des Baronnies, en 1294-1295, le domaine de Montauban est cédé au dauphin par Hugues Adhémar, héritier de Roncelin de Lunel[réf. nécessaire].

    1309 (démographie) : 3500 habitants[16].
    Vers 1310, on compte 700 maisons, soit environ 3 500 habitants[20],[21],[22].

    1317 : les Baronnies passent définitivement sous le contrôle des dauphins[réf. nécessaire].
    La partie orientale a été l'objet de négociations avec les comtes de Provence qui y avaient des intérêts[réf. nécessaire].

    Le Buis fut la ville préférée des dauphins de Viennois[réf. nécessaire].
    Humbert II signe plusieurs de ses chartes au Buis. La ville avait alors 3 500 habitants ce qui, pour l'époque, représente une grande cité[réf. nécessaire].

    1347 : la peste y fait des ravages. La moitié de la population périt[réf. nécessaire].

    1349 : le Dauphiné est vendu au royaume de France.

    Louis XI repeuple la ville en y attirant des reitres allemands avec leurs familles et en fait le siège d'un bailliage. En 1447, il y annexe la cour de justice de Nyons[réf. nécessaire].

    Les guerres de Religion font beaucoup de mal au Buis[réf. nécessaire].
    La baisse de la population est citée en 1656. Elle s'est accélérée après la révocation de l'édit de Nantes en 1685[réf. nécessaire].

    1720 (démographie) : 400 chefs de familles[16].

    1762 (démographie) : le conseil de ville déclare que la population est réduite à 400 habitants[23].

    Avant 1790, le Buis était une communauté de l'élection de Montélimar, chef-lieu de subdélégation et de bailliage.
    Elle comprenait trois paroisses : le Buis, Proyas et Ubrieux[16] :

    Le mandement du Buis ne comprenait que les paroisses du Buis et de Proyas. La paroisse d'Ubrieux formait un mandement séparé[16].


    De la Révolution à nos jours


    Buis-les-Baronnies au XIXe siècle, illustrée par Alexandre Debelle (1805-1897).
    Buis-les-Baronnies au XIXe siècle, illustrée par Alexandre Debelle (1805-1897).

    En 1790, le Buis devient le chef-lieu d'un canton comprenant le Buis et la Roche-sur-Buis, et celui d'un district comprenant les cantons du Buis, de Mirabel, de Mollans, de Montauban, de Montbrun, de Nyons, de Rémuzat et de Vinsobres[16].
    La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) en fait un simple chef-lieu de canton, comprenant les communes de Beauvoisin, Bellecombe, Bénivay, Bésignan le Buis, Eygaliers, Mérindol, Mollans, Ollon, la Penne, Pierrelongue, Plaisians, le Poët-en-Percip, Propiac, Rioms, Rochebrune, la Roche-sur-Buis, la Rochette, Saint-Auban, Sainte-Euphémie, Sainte-Jalle, Saint-Sauveur, Vercoiran[16].

    La Révolution lui porte un coup fatal en lui enlevant toute son administration qui est transférée à Nyons[réf. nécessaire].

    1811 : des platanes sont plantés pour la naissance du roi de Rome (fils de Napoléon I)[18].

    Au milieu du XIXe siècle, des tilleuls sont plantés en nombre et devinrent la spécialité de Buis-les-Baronnies[réf. nécessaire].

    En 1907, la ville est reliée à Orange par une ligne de chemin de fer à voie métrique dont elle accueille la gare terminus[24]. Le service des trains a pris fin en 1952 et la ligne a été démantelée[25].
    La gare est aujourd'hui un centre des finances publiques[26],[27].


    Deuxième guerre mondiale

    Article détaillé : Maquis Ventoux.

    Histoire récente

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    Politique et administration


    Mairie.
    Mairie.

    Tendances politiques et résultats


    Article connexe : Élections municipales de 2020 dans la Drôme.
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    Administration municipale


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    Liste des maires


    Article connexe : Élections municipales en France.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
    1790 1871  ?    
    Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
    1871    ?    
    1874    ?    
    1878    ?    
    1884    ?    
    1888    ?    
    1892    ?    
    1896    ?    
    1900    ?    
    1904    ?    
    1908    ?    
    1912    ?    
    1919    ?    
    1925    ?    
    1929    ?    
    1935    ?    
    1945    ?    
    1947    ?    
    1953    ?    
    1959    ?    
    1965    ?    
     ?  ? Aimé Buix PCF conseiller général (1945-1951)
    1971 1977 René Jouve SFIO-PS conseiller général (1955-1976)
    1977 1983 Raymond Argenson PS  
    1983 1989 Georges Bec UDF conseiller général (1976-1988)
    1989 1995 Raymond Argenson PS  
    1995 2001 Jean-Pierre Buix PCF  
    2001 2008 Jean-Pierre Buix   maire sortant
    2008 2014 Jean-Pierre Buix   maire sortant
    2014 2020 Sébastien Bernard PS conseiller juridique
    2020 En cours
    (au 18 janvier 2021)
    Sébastien Bernard[28][source insuffisante]   maire sortant

    Rattachements administratifs et électoraux


    Administrativement la commune est comprise dans l'arrondissement de Die, dans le canton de Crest.
    Elle est également une commune adhérente de la communauté de communes du Val de Drôme qui comprend trente communes et dont le siège est situé à Eurre.


    Politique environnementale


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    Finances locales


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    Jumelages


    Villes jumelées avec Buis-les-Baronnies.


    Population et société



    Démographie



    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].

    En 2019, la commune comptait 2 325 habitants[Note 2], en augmentation de 2,83 % par rapport à 2013 (Drôme : +4,46 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 2152 2152 1962 1372 1802 1472 2632 3582 348
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 3892 3702 4132 3432 2032 1602 0691 9661 868
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8551 9321 8061 4731 4661 3381 4721 3331 383
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 4961 6021 7291 8852 0302 2262 2832 2512 293
    2019 - - - - - - - -
    2 325--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 23,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (33,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 44,2 % la même année, alors qu'il est de 27,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 065 hommes pour 1 240 femmes, soit un taux de 53,8 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,55 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,8 
    90 ou +
    4,8 
    13,7 
    75-89 ans
    18,6 
    25,5 
    60-74 ans
    23,6 
    18,8 
    45-59 ans
    18,7 
    14,1 
    30-44 ans
    13,7 
    12,9 
    15-29 ans
    8,4 
    13,1 
    0-14 ans
    12,3 
    Pyramide des âges du département de la Drôme en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8 
    90 ou +
    1,9 
    7,5 
    75-89 ans
    10 
    17,4 
    60-74 ans
    18,2 
    20,5 
    45-59 ans
    20 
    18,1 
    30-44 ans
    17,9 
    16,3 
    15-29 ans
    14,5 
    19,5 
    0-14 ans
    17,5 

    Services et équipements


    Le trésor public a maintenu un service[réf. nécessaire].


    Enseignement


    Un regroupement scolaire des onze communes alentour se trouve dans la ville : école maternelle et collège[réf. nécessaire].


    Santé


    Un petit hôpital avec principalement une unité gériatrique complète les services locaux[réf. nécessaire].


    Manifestations culturelles et festivités



    Loisirs



    Sports



    Evénements sportifs


    Médias


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    Cultes


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    Économie



    Agriculture


    Marché de Provence à Buis-les-Baronnies.
    Marché de Provence à Buis-les-Baronnies.

    En 1992 : oliviers (olives noires / tanches, huile d'olive / coopérative oléicole), vignes (vin AOC Coteaux des Baronnies), vergers (amandes), lavande (essence), truffes, apiculture (miel), ovins (fromage Picodon)[18].

    Divers[réf. nécessaire] :

    Marchés et foires[18] :

    Marché de la laine (août)[réf. nécessaire].


    Tourisme



    Revenus de la population et fiscalité


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    Emploi


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    Culture locale et patrimoine



    Lieux et monuments


    Enceinte du XIVe siècle : quatre tours (tour carrée du Safre, tours rondes de la Gendarmerie, de l'Office du Tourisme et une troisième), remparts sud[réf. nécessaire].
    Église (XVIIe siècle) : baptistère (XVIIIe siècle), maître-autel en bois doré polychrome (XVIIIe siècle)[18].
    La place du marché : encombrée avant 1291, d'échoppes de bouchers, savetiers et autres artisans. Elle est entourée de belles arcades en grande partie gothiques qui rappellent certaines villes de la Suisse alémanique ou de l'Allemagne du Sud. Elles doivent cette ressemblance à la construction qu'en firent, au XVe siècle, les reîtres allemands que Louis XI établit au Buis après la grande peste du siècle précédent[réf. nécessaire].
    L'ancien couvent des dominicains : fondé en 1294 par Raymond V de Mévouillon, le couvent fut élevé près du ruisseau de Malguery. Incendié en 1562 par Paul de Mouvans, l'un des chefs calvinistes, il n'en reste aucune trace. Rebâti à la fin du XVIe siècle, l'évêque de Vaison y autorisa le la création d'un séminaire et d'un collège. Les Dominicains devinrent les instructeurs de la jeunesse buxoise. Vendu comme bien national après 1791, le couvent est devenu la propriété de la ville. Dans la cour, existent encore deux galeries du cloître de l'ancien monastère[réf. nécessaire].
    Porte Renaissance au centre-ville (classée)[réf. nécessaire].
    Cette digue, qui protège la ville des crues de l'Ouvèze, est pendant la saison hivernale une promenade ensoleillée d'où l'on aperçoit le vieux village de La Roche-sur-le-Buis avec les ruines de son château féodal[réf. nécessaire].
    Chapelle Saint-Trophime dite de l'ermitage, située à 5 kilomètres du village, près du rocher Saint-Julien, elle est mentionnée dès le XIVe siècle[réf. nécessaire].

    Patrimoine culturel



    Patrimoine naturel



    Personnalités liées à la commune



    Héraldique, logotype et devise


    Les armoiries de Buis-les-Baronnies se blasonnent ainsi : « D'argent au dauphin d'azur brochant sur une branche de buis de sinople. »

    comme l'atteste le blason sculpté dans la salle du conseil municipal de la mairie de Buis, le dauphin n'est pas comme sur l'illustration mais tête en bas.


    Annexes


    Sur les autres projets Wikimedia :


    Bibliographie



    Articles connexes



    Liens externes



    Notes et références



    Notes et cartes


    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références


    1. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 2 (Aigue-Julianne).
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Buis-les-Baronnies », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
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    На других языках


    [de] Buis-les-Baronnies

    Buis-les-Baronnies ist eine französische Kleinstadt mit 2.325 Einwohnern (Stand 1. Januar 2019) am Nordrand der Provence im Département Drôme. Im Mittelalter war der Ort zeitweise die Hauptstadt der Baronnies.

    [en] Buis-les-Baronnies

    Buis-les-Baronnies (French pronunciation: ​[bɥi le baʁɔni]; Vivaro-Alpine: Lo Bois dei Baroniás) is a commune in the Drôme department in southeastern France.
    - [fr] Buis-les-Baronnies

    [it] Buis-les-Baronnies

    Buis-les-Baronnies è un comune francese di 2.383 abitanti situato nel dipartimento della Drôme della regione dell'Alvernia-Rodano-Alpi.



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