Détruite pendant la Première Guerre mondiale, elle est située sur le circuit du Souvenir.
Géographie
Localisation
Bouchavesnes-Bergen est un village rural picard du Vermandois situé dans une vallée sèche surplombant la vallée de la Somme, à 9 km au nord de Péronne, 35 km au sud-est d'Arras, 29 km au sud-ouest de Cambrai. Il est traversé par l'ex-Route nationale 17 (France) (RN 1017). La sortie 13.1 de l'autoroute A1 (Albert - Péronne) se trouve à environ 5 km.
Entrée du village traversé par la D1017.
Géographie physique
Nature du sol et du sous-sol
Le sol de la commune est de nature argileuse, imperméable en beaucoup d'endroits[1].
Relief, paysage, végétation
Le relief de la commune est accidenté surtout au sud-ouest et à l'est[2].
Hydrographie
Aucun cours d'eau ne traverse la commune.
Géographie humaine
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (70%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (68,1%), forêts (25,7%), zones urbanisées (4,3%), zones agricoles hétérogènes (1,9%)[3].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[4].
Voies de communication et transports
Le territoire de la commune est traversé du nord au sud par la D1017, ancienne N17 qui relie Bapaume au nord à Péronne au sud.
En 2019, la localité est desservie par la ligne d'autocars no39 (Albert - Péronne) du réseau Trans'80, Hauts-de-France, chaque jour de la semaine sauf le dimanche et les jours fériés[5].
Bouchavesnes-Bergen est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Péronne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 52 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].
La commune de Bouchavesne-Bergen présente un habitat groupé. Le village a été reconstruit après les destructions de la Première Guerre mondiale.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Buschavenae en 1138, Buiscavenne en 1139, Bossier avanae en 1202, Boisceavesnes en 1217[11].
Il s'agit d'un type toponymique en -avesne. L'origine de l'appellatif avesne est discutée.
Ernest Nègre reprenant la suggestion d'Albert Dauzat[12], y voit un dérivé du mot avoine[11]. Ernest Nègre suppose qu'il s'agit de l'ancien français avenesne, issu d'un terme bas latin non attesté *avenesna «terre propice à l'avoine»[11]. Il se serait hypothétiquement réduit à avesne, puisque les différents Avesnes ne sont jamais mentionnés sous la forme *Avenesne.
Le bas latin *avenesna est un dérivé du latin avena qui a donné avoine en français, anciennement aveine (XIIesiècle) forme en usage jusqu'au XVIIIesiècle, la forme avoine apparaît cependant dès le XIIIesiècle conjointement. Il se base sur le glossaire du latin médiéval de Du Cange qui cite les mots latin(isé) Avesna et d'ancien français Avenesne tous deux apparaissant dans des textes tardifs du XIIIesiècle[13].
En revanche, les formes les plus anciennes du type Avesnes remontent au VIIIe – IXesiècle sont toutes basées sur un radical Avis(i)n-[14],[15]. Ainsi en témoignent, par exemple Avesnes-Chaussoy (Somme, Avisnas en 750), Avesnes (Somme, Vron, Avisnis en 844), Avesnes-le-Sec (Nord, Avisinas en 775), Avesnes-en-Bray (Seine-Maritime, Avisnis en 842). Maurits Gysseling et à sa suite, François de Beaurepaire considèrent qu'il est semblable au radical du mot germanique avisna / afisna (cf. vieil anglaisæfesn «pâturage»)[14],[15]. Il est possible qu'une attraction du terme aveine se soit exercée postérieurement, dans ce cas dès le XIIesiècle, le mot germanique n'étant plus compris et l'existence de champs d'avoines étant vraisemblable. On sait que sur les 703 hectares de terres labourables de la commune, 160 hectares étaient consacrés à la culture de l'avoine en 1899[1]. Cependant les Avesnes se retrouvent dans le pays de Bray, zone de bocage et de pâturages, ce qui est également le cas de l'Avesnois. Enfin le sens de «pâturage» est attesté dans Les Avesnes (Seine-Maritime, Communes patures nommées les Avesnes dans le fief de Montérolier 1455).
En France, le type toponymique Avesnes, -avesnes reste concentré en Picardie, dans le Nord-Pas-de-Calais et en Normandie. Il se retrouve dans des régions où la toponymie révèle la présence de divers appellatifs germaniques et où l'archéologie a découvert des sites liés à la présence des Francs et des Saxons.
Le premier élément Bouche- est obscur. Albert Dauzat propose prudemment un anthroponyme germanique Bucco ou un verbe bocer «bosseler», cependant il ne connaît pas de forme ancienne. Ernest Nègre suppose un emploi hypothétique du mot bouche (bouque en picard) au sens de «botte, fagot, javelle», mais sans donner de signification globale au toponyme. Les formes anciennes ne vont pas dans le sens de cette explication, elle postule au contraire un élément Busch-, devenu Buisc- ou Boisc-, qui représente plutôt l'appellatif busc «buisson, lande, bois» (apparenté à bûche, buisson), variante de bosc > bois et que l'on retrouve dans Bucamps (Oise, Buschans 1075)[16], c'est-à-dire «le champ aux buissons» de structure identique, Boucheavesne signifierait donc «le pâturage aux buissons».
En 1920, la commune prend le nom de Bouchavesne-Bergen[17] en hommage à la ville norvégienne de Bergen qui finança une partie de sa reconstruction après la Première Guerre mondiale[18].
Histoire
Antiquité
C'est aux portes de Bouchavesnes que les Francs, alors sous les ordres de Clodion le Chevelu, perdent la bataille d'Helena contre les troupes romaines commandées par Aetius et son lieutenant Majorien[1].
Moyen Âge
En 1177, il est fait mention de Bouchavesnes dans une charte de l'Abbaye Saint-Nicolas d'Arrouaise où parait, comme témoin, Mathieu de Bouchavennes, de l'illustre famille de ce nom[1].
En 1189, Baudouin, abbé de Mont-Saint-Quentin, donne à vie quelques arpents de terres à des colons de Bouchavesnes, à la charge de lui fournir des pierres pour la construction de son église.
On retrouve encore les seigneurs de Bouchavennes dans un aveu de 1214 fait au roi à cause de son château de Péronne[1].
Époque moderne
L'église Saint-Paul.
Vers 1567 commence la nouvelle maison Lameth-Bouchavennes. Josias de La Meth, seigneur de Bouchavennes, gouverneur de Laon, épouse Madeleine Créqui-Bernieules. Leur fils, Ferry de La Meth, est vicomte de Monchy-Lagache, enseigne des gardes du roi. Antoine de La Meth-Bouchavennes, leur second fils, est tué à la Bataille de Honnecourt, en 1645[1].
Le château de Bouchavesnes est cité autrefois au nombre des forteresses importantes de la province et en a subi le sort, puisqu'il a été détruit par l'ordre de Louis XIII. Il s'élevait sur la côte, au sud-est de l'église, avec une enceinte de murailles crénelées, dont les angles et l'entrée principale étaient défendus par des tours massives de forme ronde. La porte de cette forteresse se trouvait près de l'école avant la Première Guerre mondiale, où l'on pouvait encore voir des grès, des pierres, et des cintres sculptés provenant des souterrains du château fort[1].
Époque contemporaine
XIXesiècle
La Seconde République instaure le suffrage universel masculin: en 1849, comme dans toutes les communes de France, la totalité de la population masculine majeure peut voter pour la première fois. Voici la répartition (en nombre) de quelques patronymes des électeurs:
Abraham
Adam
Roussel
1
6
1
(saisie non exhaustive)
Le droit de vote des femmes n'a été reconnu en France qu'en 1945, et l'âge de la majorité civile n'a été abaissé de 21 à 18 ans qu'en 1974.
On compte en 1899 trois écarts[1]: les Dix-Huit: 3 habitants, le Bois Saint-Pierre Vast: 2 habitants et le Bois l'Abbé: 2 habitants.
Première Guerre mondiale
Durant la Première Guerre mondiale, au cours de la Bataille de la Somme, la commune de Bouchavesnes - aux mains des Allemands depuis 1914 - est reprise, le , par la 41edivision d'infanterie et le 8erégiment d'infanterie de l'Armée française, au cours d’âpres et meurtriers combats. Le village est totalement ruiné.
Le 25ebataillon de Chasseurs à Pied (127e DI) était également engagé à Bouchavesnes le et enlève la première ligne ennemie puis repousse une forte contre-attaque. Il est cité à l'Ordre du Corps d'Armée.
Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[19] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [20].
Articles connexes: Occupation du Nord-Est de la France par l'Allemagne pendant la Première Guerre mondiale, Croix de guerre 1914-1918 des communes de la Somme et Reconstruction en France et en Belgique après la Première Guerre mondiale.
Entre-deux-guerres
Après la Première Guerre mondiale, Haakon Wallem, norvégien et armateur fortuné en visite en France, parcourt les régions situées sur le front et les lieux de combat de la Première Guerre mondiale. Particulièrement frappé par l’état de destruction de certains villages, il rencontre le maréchal Foch et lui demande de désigner une de ces communes meurtries à adopter. Le généralissime nomme le village de Bouchavesnes qui, à ses yeux, est le plus touché. Des donations viennent alors de Norvège afin d’aider les Picards dans leur détresse. Pour remercier le philanthrope et ce pays ami, Bouchavesnes devient Bouchavesnes-Bergen en 1920, du nom de la ville de Bergen d’où est originaire Haakon Wallem. Un médaillon représentant son portrait ainsi qu'un autre représentant la ville de Bergen sont présents sur le fronton de la mairie[18].
Article connexe: Reconstruction en France et en Belgique après la Première Guerre mondiale.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Rattachements administratifs
La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Péronne[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Péronne
Articles détaillés: Liste des cantons de la Somme, Conseil départemental de la Somme et Liste des conseillers départementaux de la Somme.
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de la Somme.
Articles détaillés: Liste des circonscriptions législatives de la Somme et Liste des députés de la Somme.
Intercommunalité
Bouchavesnes-Bergen est membre de la communauté de communes de la Haute Somme, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre recréé en 2012 par la fusion d'anciennes intercommunalités et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Liste des maires
La mairie.
Le monument aux morts.
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Maires avant 1945
Période
Identité
Étiquette
Qualité
avant 1791
19 juillet 1791
Fourrière
avant 1802
après 1831
Hubert Roger
avant 1836
1844
Pierre Poix
1844
7 Février 1871
Jean Pierre Saget
février 1871
juin 1871
Paul Thomas
Adjoint au maire
Juin 1871
1878
Charles François Nobécourt
1878
1881
Pierre Alexandre Magnier
1881
1906
Irénée Magnier
1906
1911
Martial Magnier
1911
1912
Fabius Hervet
1912
1919
Martial Magnier
1919
1937
Martial Gellé
1937
1938
Marcel Hervet
1938
1939
Victor Roche
1939
1940
Paul Wilmort
Nommé par la sous-préfecture en raison du départ au front du maire
Les habitants de la commune sont appelés les Bouchavesnois[24].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].
En 2019, la commune comptait 282 habitants[Note 3], en diminution de 16,81% par rapport à 2013 (Somme: −0,2%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
534
556
580
608
676
713
706
700
682
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
688
716
681
658
678
624
611
569
552
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
518
517
455
212
221
226
244
255
257
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
247
239
225
277
359
326
332
339
298
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
282
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique
Article connexe: Exode rural dans la Somme.
Enseignement
Le regroupement pédagogique intercommunal Bouchavesnes - Sailly-Saillisel compte cinq classes à la rentrée scolaire 2017[28]. Une des classes de ce RPI se trouve dans la mairie-école[22].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Statue du maréchal Foch.
La mairie, reconstruite dans l'entre-deux-guerres grâce à la générosité de la ville de Bergen. Elle est l’œuvre de l'architecte norvégien Ole Landmark[18].
L'église Saint-Paul, reconstruite après sa destruction lors de la Première Guerre mondiale[29],[22].
Monument aux morts, par Firmin Michelet, de 1926[30] - En 1996 le monument, abîmé, fut remplacé par une stèle en granit[31],[32].
Statue du maréchal Foch, par Firmin Michelet, inauguré le 4 juillet 1926 en présence du maréchal Foch, érigée à l'initiative d'Haakon Wallem.
Chapelle Notre-Dame de Brebières. Reconstruite après la Première Gierre mondiale, la chapelle primitive datait de 1870[33].
Chapelle Notre-Dame-de-Lourdes, donnée à l'hôpital de Péronne, route de Moislains[33].
Chapelle du Souvenir français devant la nécropole de Bouchavesnes-Bergen, construite en 1922 à l'initiative de la famille du soldat Jean Du Bos, tué le en participant à l’assaut de Rancourt. Propriété du Souvenir français, elle est réhabilitée en 2020 pour en faire un musée de l’histoire des religions durant la Grande Guerre[34],[35]
Cimetières militaires britannique et allemand de la Première Guerre mondiale[36]:
nécropole nationale de Rancourt
Article détaillé: Cimetière britannique de Rancourt, implanté sur le terroir de Bouchavesnes-Bergen..
Cimetière militaire allemand de Rancourt
Article connexe: Liste des mémoriaux et cimetières militaires de la Somme.
Nécropole française.
Monument de la nécropole française.
Cimetière britannique.
Un tombeau se trouve en plein champ, juste avant la chapelle de Rancourt et Bouchavesnes. Le soldat Maurice Gallé, du 106e R.I., mort là le , y est enterré. Blessé au ventre en secteur allemand, il meurt à l'âge de 21 ans. Porté d'abord disparu, il n'est déclaré mort que lorsque les Britanniques reprennent le secteur et découvrent son corps en mars 1917. Fils unique, ses parents, originaires de Creil achètent le terrain à la commune de Bouchavesnes pour y faire construire une tombe en l'honneur de leur fils, Maurice. Le monument, qui comporte aussi les noms des soldats de Bouchavesnes, morts au combat, est inauguré en 1922. Le tombeau, surmonté d'une grande croix, existe toujours. Il est situé à la croisée du chemin rural du Moulin-Fondu et de celui du Paradis-des-Vaches, en face de la D 149 venant de Cléry-sur-Somme[37].
Via Francigena
La via Francigena qui part de Canterbury (Royaume-Uni) pour rallier Rome passe dans le village[38],[39].
Personnalités liées à la commune
Jules Toquenne (1854-1928), un enfant du pays, né de parents obscurs, s'engage à dix huit ans dans l'infanterie de marine, prend part à l'expédition du Tonkin, où il se couvre de gloire et conquiert le grade de capitaine. Au cours de l'année 1898, cet officier se signale à Madagascar en faisant prisonnier un des chefs les plus influents des révoltés, ce qui lui vaut d'être promu officier de la Légion d’honneur et commandant[1],[40].
Jean-Baptiste Cauet (1843-1918), curé de la commune, membre titulaire non résidant de la Société des antiquaires de Picardie depuis 1891, s'est intéressé aux vestiges de certaines sépultures gallo-romaines présentes dans les carrières de phosphate à Bouchavesnes et dans les villages avoisinants.
Bouchavesnes-Bergen dans la littérature
C'est dans les tranchées de première ligne appelées Bingo Crépuscule, dans le secteur de Bouchavesnes, que Sébastien Japrisot, dans son roman, Un long dimanche de fiançailles, situe le lieu où Manech Etchevery a été fusillé[41].
Gustave Ramon, L'invasion en ¨Picardie: récits et documents concernant les communes de l'arrondissement de Péronne pendant la guerre allemande 1870-1871, 1873
Abbé Paul Decagny, L'Arrondissement de Péronne ou recherches sur les villes, bourgs, villages et hameaux qui le composent, 1844 - réédition partielle, Péronne et son canton, Inval-Boiron, La Vague verte, 2010 (ISBN978 - 2 - 913 924 - 75 - 8)
René Lavalard, La résurrection d'un village, Bouchavesnes-Bergen Village Picard, 1983
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Références
Notice historique et géographique, réalisée par l'instituteur, M. Plin, 1899 et l'élève Maurice Vanègue, Archives départementales, Amiens
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume Ier, Formations préceltiques, celtiques et romanes, Librairie Droz, Genève, 1990, no5585, p.349 (lire en ligne)
Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN2-85023-076-6), p.101a.
Du Cange, et al., Glossarium mediæ et infimæ latinitatis, Niort: L. Favre, 1883-1887 (lire en ligne)
Maurits Gysseling, Toponymisch woordenboek van België, Nederland, Luxemburg, Noord-Frankrijk en Duitsland (vóór 1226), Deel I, Belgisch Interuniversitair Centrum voor Nederlandistiek, 1960, p. 86 (lire en ligne)
François de Beaurepaire (préf.Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180p. (ISBN2-7084-0040-1, OCLC6403150), p.35.
Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit., p. 122a
«L’église de Bouchavesnes-Bergen va retrouver sa croix: Pour cette année 2021, le conseil municipal de Bouchavesnes-Bergen met l’accent sur trois projets concrets», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
«Le maire de Bouchavesnes-Bergen Régis Gourdin réélu pour un 3emandat», Le Courrier picard, 77/2020 (lire en ligne, consulté le ).
André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll.«Richesses en Somme», 4e trimestre 2003, 302p., p.252 (ASINB000WR15W8).
Vincent Fouquet, «La chapelle de Bouchavesnes-Bergen et Rancourt va devenir un incontournable lieu du devoir de mémoire: La chapelle de la nécropole de Bouchavesnes-Bergen et Rancourt, qui appartient au Souvenir français, est en cours de restauration. Elle va être transformée en musée de l’histoire des religions durant la Grande Guerre. La première phase des travaux est achevée et une cérémonie y a été organisée dimanche midi», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
Stéphane Audoin-Rouzeau et Nathalie Garreau-Demilly, Maurice Galle: Vie d'un Soldat, deuil d'une famille 1914-1929, Nemo - Isis à Montataire (Édité avec la collaboration des Amis du musée Gallé-Juillet de Creil), .
Romain Michelot, «La via Francigena a le potentiel de Saint-Jacques: Le chemin de pèlerinage qui part de Canterbury pour rallier Rome passe par la Somme et l'Aisne. Il est maintenant référencé dans un guide.», Courrier picard, , p.8.
Romain Michelot, «La Via Francigena, qui traverse la Somme et l’Aisne, «a le potentiel de Saint-Jacques»: Le chemin de pèlerinage, qui part de Canterbury (Royaume-Uni) pour rallier Rome, passe par la Somme et l’Aisne. Il est désormais référencé dans un guide», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )«Dans la Somme, le chemin traverse un axe d’une trentaine de kilomètres allant de Sailly-Saillisel à Tertry en passant par Péronne, avant de continuer dans l’Aisne. Saint-Quentin et surtout Laon sont des étapes avant Reims, plus de 120 kilomètres de chemins étant aménagés dans tout le département».
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