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Creil est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Creil
De haut en bas et de gauche à droite: la bras sud de l'Oise; vue de l'Oise; l'Hôtel-de-Ville; le théâtre "Le Lido"; l'église St-Médard; vestiges du château royal; la croix des mariniers; la fontaine de la place Carnot; façade de la gare.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Senlis
Intercommunalité CA Creil Sud Oise
(siège)
Maire
Mandat
Jean-Claude Villemain (PS)
2020-2026
Code postal 60100
Code commune 60175
Démographie
Gentilé Creillois
Population
municipale
36 169 hab. (2019 )
Densité 3 261 hab./km2
Population
agglomération
121 051 hab. (2017 )
Géographie
Coordonnées 49° 15′ 30″ nord, 2° 29′ 00″ est
Altitude Min. 26 m
Max. 129 m
Superficie 11,09 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Creil
(ville-centre)
Aire d'attraction Paris
(commune d'un pôle secondaire)
Élections
Départementales Canton de Creil
(bureau centralisateur)
Législatives 3e circonscription de l'Oise
7e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Creil
Géolocalisation sur la carte : France
Creil
Géolocalisation sur la carte : Oise
Creil
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Creil
Liens
Site web https://www.creil.fr/

    Située dans la vallée de l'Oise, au nord de la région parisienne, cette ville de plus de 35 000 habitants, appelés Creillois, est au centre de l'unité urbaine de Creil rassemblant 120 350 habitants en 2015[1] (116 662 habitants en 2009[2]), la première du département de l'Oise.

    Siège d'un château royal au Moyen Âge, Creil s'est surtout développée au cours du XIXe siècle, grâce à une industrie bénéficiant de la présence du chemin de fer à partir de 1844 et de la proximité de la capitale. Spécialisée dans un premier temps dans la faïence, l'agglomération est devenue un grand centre métallurgique et abrite à partir du XXe siècle plusieurs usines liées au secteur automobile. La ville, dont le site historique est situé sur l'île Saint-Maurice puis sur la rive gauche, s'est étendue aux alentours de la gare, sur la rive droite à partir de 1850. Avec la période des Trente glorieuses, de nouveaux quartiers sous la forme de grands ensembles sont édifiés sur le plateau dominant la vallée. La ville subit cependant de plein fouet la crise du secteur métallurgique à partir des années 1970, entraînant une montée du chômage et des problèmes sociaux. Un important projet de renouvellement urbain, lancé en 2007, concerne plusieurs quartiers de la ville.


    Géographie



    Localisation


    Creil est située dans le bassin parisien, au sud des Hauts-de-France. Elle est située historiquement à la limite entre le Valois et le Beauvaisis. Creil est située à 45 km de Paris, 35 km de Beauvais et 72 km d'Amiens[3].


    Communes limitrophes


    Communes limitrophes de Creil[4]
    Nogent-sur-Oise
    Montataire Verneuil-en-Halatte
    Saint-Maximin Apremont


    La ville est traversée par l'Oise. Ville porte du parc naturel régional Oise-Pays de France, Creil est bordée à l'est par la forêt d'Halatte et au sud-est par la forêt de Chantilly,

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Topographie et géologie


    Carte géologique vectorisée et harmonisée de Creil .
    Carte géologique vectorisée et harmonisée de Creil .

    Le site originel de la ville est un ancien gué sur la rivière Oise, en contrebas d'un plateau dominant la vallée. Le site étant très étroit sur la rive gauche, la ville s'est étendue sur la rive droite, beaucoup plus large et plate. Entre les deux, se trouve l'île Saint-Maurice. Le point le plus bas est situé au niveau de la rivière, en aval de la ville, à 25 m d'altitude. Le point le plus haut est située dans la forêt de la Haute-Pommeraie, à 129 m de haut.

    La ville ancienne est construite sur des sables cuisiens sur la rive gauche, alors que, sur la rive droite, elle se développe sur des limons récents. Le plateau est composé de calcaire du Lutétien recouvert, sur le territoire de la commune, par des limons[6]. La position en rebord de plateau, avec l'affleurement de la roche, a favorisé le développement de carrières de pierre (Carrières de Saint-Maximin et pierre de Saint-Leu) puis d'habitations troglodytes, appelées « tufs », qui ont aujourd'hui presque toutes été murées[7].

    Géologie de la commune de Creil selon l'échelle des temps géologiques[8],[9].
    Ères Périodes géologiques Époques géologiques
    (Âge en Ma)
    Nature des sols
    Cénozoïque Quaternaire Holocène
    (0.0117)
    Fz  :Alluvions récentes : argiles et limons, parfois tourbeux
    Dd  :Sables éoliens formant des dunes (Quaternaire)
    LP  :Limons argileux des plateaux, à composante loessique
    Pléistocène
    (0.0117 - 2.58)
    Néogène Pliocène
    (2.58 - 5.333)
    non présent.
    Miocène
    (5.333 - 23.03)
    non présent.
    Paléogène Oligocène
    (23.03 - 33.9)
    non présent
    Éocène
    (33.9 - 56.0)
    e6b1  :Sable quartzeux verdâtre d'Ezanville, Calcaire de Ducy, Horizon de Mortefontaine et Calcaire et Marnes de Saint-Ouen (faciès &‘Marinésien’ inférieur et moyen) (Bartonien supérieur)
    e6a4  :Sables de Beauchamp (faciès ‘Auversien’) (Bartonien inférieur)
    e6a3  :Argiles (‘Argile de Saint-Gobain, Argiles de Villeneuve-sur-Verberie’) (faciès ‘Auversien’) (Bartonien inférieur)
    e6a2  :Sables roux à niveaux de galets (‘Sables d'Auvers’)(faciès ‘Auversien’) (Bartonien inférieur)
    e5b-c  :Calcaire grossier et Calcaire à cérithes (Lutétien moyen et supérieur)
    e5a  :Calcaires et sables glauconieux (‘Glauconie grossière’), Calcaire à Nummulites laevigatus (‘Pierre à Liards’) (Lutétien inférieur)
    e4b  :Argile de Laon, Sables de Cuise s.l. (faciès ‘Cuisien’ indifférencié) (Yprésien supérieur)
    Paléocène
    (56.0 - 66.0)
    non présent.

    Hydrographie


    L'Oise devant le Temple de l'amour.
    L'Oise devant le Temple de l'amour.

    La ville est traversée par l'Oise qui donne son nom au département. Elle s'y sépare en deux bras où se trouve l'île Saint-Maurice.

    L'Oise est l'un des affluents principaux de la Seine.

    En aval immédiat de la commune, se trouve un barrage appelée barrage ou écluse de Creil, situé en réalité sur la commune de Saint-Leu-d'Esserent. Ce barrage a été totalement reconstruit en 2003-2004 afin de procéder à une modernisation de son mode de fonctionnement, l'ancien datant de 1902. Il possède deux passes navigables de 31 m, une passe non navigable de 12 m ainsi qu'une passe à poissons. Il est muni de clapets métalliques pesant jusqu'à 50 tonnes. Le site intègre deux écluses de 125 m et 185 m de long qui ont elles aussi fait l'objet d'une rénovation en 2002-2003[10].

    L'Oise, en aval de Creil, a fait l'objet d'un dragage afin de limiter les risques de crues mais aussi de permettre le passage de péniches de lourd tonnages (jusqu'à 4 000 tonnes), dans le cadre du projet de Liaison Seine-Escaut mené par Voies navigables de France[11].


    Climat


    Creil connaît un climat océanique dégradé.

    Creil 1981 - 2010
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,1 1 3,2 4,7 8,3 11 13,1 12,9 10,3 7,6 3,9 1,4 6,6
    Température maximale moyenne (°C) 6,6 7,8 11,6 14,9 18,7 21,9 24,7 24,6 20,6 15,6 10,1 6,5 15,3
    Record de froid (°C)
    date du record
    −21,6
    1985
    −18,5
    1956
    −11,4
    1971
    −5,3
    1973
    −2,6
    1981
    0,7
    1975
    3,5
    1960
    3,2
    1965
    −0,6
    1971
    −5
    2003
    −11,3
    1998
    −16,7
    1970
    −21,6
    1985
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    15,9
    2003
    21,4
    1960
    24,8
    1955
    27,9
    1955
    31,7
    1976
    36,4
    2011
    41,6
    2019
    39,1
    2003
    32,3
    1982
    28,3
    2011
    19,6
    1993
    16,9
    2000
    41,6
    2019
    Précipitations (mm) 58,8 46,5 52,6 48,1 61,8 58,2 55,6 56,6 50,1 70,8 56,6 65,4 681,1
    Source : « données climatiques », sur meteofrance.com (consulté en )

    Urbanisme



    Typologie


    Creil est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Creil, une agglomération intra-départementale regroupant 23 communes[15] et 123 989 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune d'un pôle secondaire[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[18],[19].

    Creil est le centre d'une unité urbaine (ou agglomération au sens de l'Insee) composée de 22 communes : Angicourt, Blaincourt-lès-Précy, Brenouille, Cauffry, Cinqueux, Cramoisy, Laigneville, Liancourt, Mogneville, Monceaux, Monchy-Saint-Éloi, Montataire, Nogent-sur-Oise, Précy-sur-Oise, Rantigny, Rieux, Saint-Leu-d'Esserent, Thiverny, Verneuil-en-Halatte, Villers-Saint-Paul, Villers-sous-Saint-Leu, regroupant ainsi 116 662 habitants en 2009[20],[21]. C'est la première agglomération de l'Oise et la deuxième agglomération de l'ancienne région administrative Picardie[22]. Son aire urbaine reprend les mêmes limites avec une commune de plus : Verderonne, regroupant ainsi officiellement 104 029 habitants en 2008[23].


    Occupation des sols


    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (56,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (52,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (32,5 %), forêts (24,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (23,7 %), terres arables (11,1 %), zones agricoles hétérogènes (4 %), eaux continentales[Note 3] (3,8 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].


    Morphologie urbaine


    La place Carnot, principal aménagement urbanistique au centre-ville datant de la reconstruction de l'après-guerre.
    La place Carnot, principal aménagement urbanistique au centre-ville datant de la reconstruction de l'après-guerre.
    La tour Descartes.
    La tour Descartes.

    Creil est constitué de plusieurs quartiers nettement distincts. Le centre-ville est situé de part et d'autre de la rivière et en partie sur l'île Saint-Maurice. Il s'agit d'un quartier dense constitué d'immeubles mélangeant habitat, commerces et services. Ce quartier ancien et dense a subi de lourds bombardements lors de la Seconde Guerre mondiale et a été reconstruit dans les années 1950, notamment dans la zone située à proximité de la gare. Il a connu ensuite une politique de résorption de l'habitat insalubre sous la forme d'une Zone d'aménagement concerté (ZAC) dans les années 1970[26].

    Le quartier de Gournay - les Usines : c'est un quartier industriel ancien en voie de totale désindustrialisation, partagé avec la commune de Montataire et celle de Nogent-sur-Oise plus à la marge. Seules quelques usines sont encore en activité, le reste du quartier étant partagé entre des zones d'activités en cours de reconversion et des maisons de villes prenant parfois la forme de cités ouvrières. Le quartier fait l'objet d'un plan de rénovation urbaine, ce qui est exceptionnel pour une zone d'habitat individuel[27]. La création de la passerelle Mandela en 2015 qui la relie à l'île Saint-Maurice et au-delà au plateau Rouher est la première étape de la rénovation de ce quartier[28].

    Le quartier du plateau peut être distingué lui-même en trois quartiers :

    L'espace communal intègre aussi deux anciens villages autrefois séparés de la ville :


    Politique de la ville dans la commune


    Le quartier Saint-Medard, sur la rive gauche de l'Oise.
    Le quartier Saint-Medard, sur la rive gauche de l'Oise.

    Très tôt, certains quartiers de la commune sont pris en charge par les politiques de la ville mises en place par les gouvernements successifs. Le quartier Rouher entre ainsi dès 1980 dans le processus baptisé alors « Développement social des quartiers » (DSQ) puis un premier contrat de ville est signé en 1989, en association avec la commune de Villers-Saint-Paul, un deuxième en 1994 avec les communes de Montataire et de Nogent-sur-Oise. Dans ce dernier cadre, le quartier Rouher est défini comme une zone urbaine sensible en 1996 et fait l'objet d'une zone franche urbaine dès 1997, toujours valable de nos jours. En 2000, un troisième contrat de ville est signé avec les mêmes communes et dans ce cadre, est défini un grand projet de ville qui est signé en 2001, s'occupant là encore du quartier Rouher et cette fois-ci du quartier Gournay-Les Usines[34],[35].

    En septembre 2007, un projet de renouvellement urbain est signé avec l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU) pour l'agglomération creilloise (Creil, Nogent-sur-Oise, Montataire et Villers-Saint-Paul)[36]. Ce projet concerne pour la commune de Creil, deux quartiers :

    En juin 2007, un contrat urbain de cohésion social, succédant aux contrats de ville, est signé entre la communauté de communes et l'État pour une durée de deux ans et concerne à Creil, cette fois-ci, toujours le quartier Rouher, mais aussi la Cavée de Senlis et le quartier du Moulin-Ouest[38].

    La tour Carpeaux.
    La tour Carpeaux.

    Habitat et logement


    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 13 835, alors qu'il était de 13 444 en 2013 et de 13 512 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 92,5 % étaient des résidences principales, 0,5 % des résidences secondaires et 7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 15,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 81,4 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Creil en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,5 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 19,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (21,9 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Creil en 2018.
    Typologie Creil[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 92,5 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,5 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 7 7,1 8,2

    Parmi les bailleurs sociaux, Oise Habitat possède en 2010 5 697 logements situés dans tous les quartiers de la ville, soit 43 % des logements de la ville et 83 % des logements sociaux. On trouve ensuite Le Logement francilien, qui possède 1 200 logements situés dans le quartier Rouher et l'OPAC de l'Oise, organisme lié au Conseil général de l'Oise, qui possède 600 logements sur le plateau[39].


    Voies de communication et transports



    Voies de communication


    Réseau routier

    L'ancienne route nationale 16, ancienne route royale qui allait de Pierrefitte-sur-Seine à Dunkerque en passant par Amiens, traversait autrefois la ville par le centre-ville et la rue de la République. Désormais numérotée départementale 1016, elle bénéficie d'une rocade à quatre voies qui contourne la ville par l'est. Les D 200 et D 201 permettent pour leur part de contourner la commune par l'ouest. Creil est par ailleurs reliée à l'autoroute A1 par la D 1330 qui passe par Senlis et permet ainsi de rejoindre Paris. Elle est aussi reliée à Beauvais par la D 1016 et la RN 31, elles aussi à quatre voies.

    Articles détaillés : A1 et Route Départementale 1016.

    Réseau fluvial

    Creil possède un port fluvial de commerce sur l'Oise. Il est géré par la Chambre de commerce et d'industrie de l'Oise[40]. Canalisée à grand gabarit, la rivière permet le passage à Creil de péniches atteignant jusqu'à 180 m de long pour 11,50 m de large et un poids de 4 000 tonnes. Creil se trouve ainsi à un peu moins de 50 km de la confluence avec la Seine par voie fluviale[41].


    Transports en commun

    Entrée de la gare de Creil.
    Entrée de la gare de Creil.
    Articles détaillés : Gare de Creil et Service de transports de l'agglomération creilloise.

    La gare de Creil constitue un véritable nœud ferroviaire, desservi à la fois par les trains de la ligne D du RER, de la ligne H du réseau Paris-Nord du Transilien, le TER Hauts-de-France et enfin l'Intercités. Ces lignes permettent de rejoindre Paris-Gare du Nord, Pontoise, Compiègne, Amiens, Beauvais, Boulogne-sur-Mer et Saint-Quentin. Cependant, l'essentiel des trajets se fait depuis et vers Paris : par l'Intercités, direct en 25 min, le TER, semi-direct en 32 min ou encore le RER, omnibus en 52 min. Le trajet Paris-Creil a représenté 1 193 000 voyages en 2006[42].

    En , Réseau ferré de France a annoncé la création, à l'horizon 2017/2020, de la ligne Roissy - Picardie passant par Creil, qui placera la ville à 20 minutes des gares et aéroports de Roissy-Charles de Gaulle, via des lignes TER et TGV[43].

    La communauté de l'agglomération creilloise (CAC), puis, à compter de 2017, la communauté d'agglomération Creil Sud Oise (CACSO) est l'autorité organisatrice de la mobilité du réseau de bus urbains exploité sous le nom de Service de transports de l'agglomération creilloise jusqu'en 2019 par Keolis, puis, à compter de cette date jusqu'en 2026, par RATP Dev, qui doit restructurer le réseau en septembre 2020[44],[45].

    Celui-ci, avant la gestion par RATP Dev et en juillet 2019, desservait plus de 86 000 habitants au sein des 11 communes du territoire. Il compte 10 lignes de bus, 11 circuits scolaires et du Transport à la demande (TAD)[46].

    Fin août 2020, le réseau est restructuré sous le nom de Réseau AXO destiné à « mailler davantage le territoire », desservir les 11 communes de l'intercommunalité et « s’adapter aux évolutions urbaines », ce qui s'accompagne d'un accroissement de l'ofvfre de transport de 21 % et de l'élargissement des amplitudes de service[47].

    En 2021, afin de favoriser les mobilités alternatives, l'intercommunalité crée un service de location de vélo électrique pour ses habitants, pour une durée variant d'un mois à un an, avec l'assistance de l’association AU5V, qui gère le Relais vélo pour la remise, l’entretien et la restitution du matériel à la fin de la location[48],[49].


    Toponymie


    Le nom de la ville apparaît pour la première fois dans un texte en 656 sous le nom Criolo dans une Vie de saint Éloi, ensuite Crioilum vers 672, puis plus par la suite, sous la forme Credilium en 851. Cretheltense castrum désigne un château dans un texte de 942[50] et Credulii vers 1115.

    Le second élément -eil s'explique vraisemblablement par le gaulois ialo[51] qui est un appellatif ialon, et non pas un suffixe selon Xavier Delamarre, et qui a signifié « lieu défriché, clairière » avant de prendre le sens de « village » (cf. gallois iâl, tir iâl « clairière, espace découvert »)[52]. Généralement, il donne la finale -euil ou -ueil dans le nord de la France, mais exceptionnellement on trouve -eil (voir également *Corbo-ialum > Corbeil[52]).

    L'identification du premier élément s'avère plus problématique. En effet, il faut exclure les formes de 656 et 672 pour identifier dans Creil le nom de personne gaulois Credius[51]. Xavier Delamarre associe également cet anthroponyme à Credus et Credanus, autres noms de personnes attestés, peut-être issus du mot crid(io)- signifiant « cœur » (avec r >ri > re), même racine que le vieil irlandais cride « cœur » et le breton kreiz « centre, milieu »[53]. D'autres auteurs, cités par François de Beaurepaire[54] y décèlent le mot latin creta > craie (creide XIe siècle) ce qui est phonétiquement et sémantiquement possible.

    Cependant, les formes les plus anciennes Criolo et Crioilum contredisent ces interprétations : elles sont semblables à celles de Criel-sur-Mer (Criolium 1059 ; Crioil 1070) et Saint-Germain-du-Crioult (Crioil 1198)[51],[54], basées sur un élément non identifié *cri- et les formes ultérieures en Cred- de Creil seraient liées à une latinisation savante suivant un processus bien connu par ailleurs. En fin de compte, seul l'appellatif ialon est identifié avec certitude.


    Histoire


    Article détaillé : Histoire de Creil.

    Préhistoire de la ville


    Le site originel de Creil est un ancien gué sur la rivière Oise, au niveau de l'île Saint-Maurice, et en contrebas d'un plateau dominant la vallée.

    Les traces archéologiques les plus anciennes à Creil sont situées sur le plateau, en limite de la commune de Saint-Maximin. Une station d'époque néolithique est attestée sur le site de Canneville, où de nombreux outils lithiques ont été retrouvés[55]. Les archéologues pensent que ce site a servi d'oppidum à l'époque gauloise, dominant la vallée de l'Oise du haut de l'éperon rocheux. Une petite nécropole d'époque de l'âge du bronze final a été mise au jour lors de fouilles réalisées un peu plus au nord, à l'emplacement du parc d'activité Alata, en 1999-2000[56].

    À l'époque gallo-romaine, la commune est le lieu de passage d'une voie allant de Senlis (Augustomagus) à Beauvais, en passant l'Oise par un gué au niveau de l'écluse actuelle. Un trésor monétaire, datant de 273 environ, a d'ailleurs été retrouvé à cet endroit en 1974. Cette voie traversait un petit vicus, appelé Litanobriga, que plusieurs archéologues situent sur le plateau, à l'entrée de la forêt de la Haute-Pommeraie actuelle[57].


    Le château


    La première mention de Creil date de 633 environ. À cette date, selon la Vie de saint Éloi, écrite par Dadon de Rouen, le roi mérovingien Dagobert Ier y reçoit l'hommage du roi breton Judicael.

    Au Xe siècle, le château de Creil appartient aux seigneurs de Senlis, il est situé sur l'actuelle île Saint-Maurice. Vers 1150, la collégiale Saint-Evremond est fondée à proximité de celui-ci, accueillant des reliques faisant l'objet d'un pèlerinage très suivi.

    Louis IX acquiert la seigneurie et les rois de France y résident régulièrement. Charles le Bel y nait en juin 1294[58].


    La ville au Moyen Âge et à l'époque moderne


    Un bourg se développe sur l'extrémité de l'île mais aussi sur la rive gauche de la rivière, autour d'une nouvelle paroisse, Saint-Médard. Ce développement est tel qu'une charte communale est accordée le 23 janvier 1197 par le seigneur Louis de Clermont autorisant les bourgeois de la ville à tenir un conseil de ville. Un hôtel-dieu et une maladrerie sont présentes dans la ville dès le XIIe siècle.

    La révolte de la Grande Jacquerie est initiée à Saint-Leu-d'Esserent en 1358, juste au sud de la commune. En 1374, Charles V de France intervient pour faire restaurer le marché de la commune puis rachète l'année suivante la seigneurie à Wenceslas, fils de Béatrice de Bourbon et de Jean Roi de Bohême et comte de Luxembourg. Des travaux sont alors lancés pour reconstruire la forteresse. Charles VI de France, atteint de folie, y est envoyé en résidence. La ville subit plusieurs combats de la guerre de Cent Ans et est définitivement reconquise en 1441.

    À l'époque moderne, la ville est de nouveau occupée par des troupes armées : en 1567, la ville est prise par les Huguenots, puis à nouveau occupée pendant la Fronde. En 1782, la seigneurie, qui est entrée dans les propriétés des Princes de Condé, est vendue par ceux-ci à Pierre Juéry, un magistrat d'origine roturière. Pendant cette période, l'activité économique de la ville se limite à l'exploitation de la pierre et de la meunerie le long de la rivière.


    Les Hospitaliers


    En 1730, Germain-Louis Chauvelin, garde des sceaux, ministre d’État et président à mortier au Parlement, voulu réunir sa seigneurie de Villecresnes qui jouxtait la commanderie de Santeny qui appartenait aux Hospitaliers. Il donnait en échange sa terre du Plessis-Pommeraie et son fief de Beaulieu. Jean Philippe d'Orléans, prieur, après consultation du grand maître António Manoel de Vilhena, accepte l'échange à la condition que Chauvelin rajoute deux maisons d'un revenu annuel de 500 livres au lieu dit la Grande-Pinte, hors du faubourg Saint-Antoine. L'échange fut fait par acte notarié le [59],[60]. Chauvelin constitua ainsi le marquisat de Grosbois et les Hospitaliers avec le fief de Beaulieu créèrent la commanderie du Plessis à Creil[61].


    Le développement industriel du XIXe siècle



    En 1797 Robert Bray O'Reilly, industriel parisien d'origine irlandaise, crée une manufacture de cristal, rapidement transformée en faïencerie. Construits entre juillet 1797 et 1798, les 17 ateliers sont repris par une autre société en 1801. Cette faïencerie de Creil devient le premier employeur de la ville pour un siècle, employant près de 900 personnes en 1840[62],[63]. Elle ferme ses portes en 1895, à la suite de sa fusion avec l'usine de Montereau-Fault-Yonne. En 1810, l'Oise est reliée à l'Escaut par le tout nouveau Canal de Saint-Quentin et des travaux de canalisation de la rivière sont entamés à partir de 1825. Une nouvelle industrialisation se développe alors dans la commune, sous la forme de four à chaux, à plâtre et de tanneries. Les forges de Montataire, créée en 1793, se développent réellement à partir des années 1830.

    En 1846, l'industrie est de nouveau relancée par l'arrivée du chemin de fer et la création de la ligne de Paris-Nord à Lille. La ville se trouve ainsi en connexion directe avec les approvisionnements en fer et charbon du nord et de l'est de la France, d'un côté et à proximité immédiate du débouché parisien de l'autre. Cette fois-ci, l'installation de nouveaux établissements se fait sur la rive droite, autour de la nouvelle gare. Plusieurs usines métallurgiques s'y installent, aux limites des communes voisines : on y trouve des tréfileries, clouteries. Des manufactures leur emboîtent le pas : fabriques de coffres forts Fichet, de machines à imprimer Voirin et Marinoni à Montataire, les ateliers de constructions métalliques Daydé et Pillé, ou encore la fonderie d'alliages cuivreux Montupet à Nogent. Une usine d'aluminium fut installée, avec pour directeur Tristan Bernard[64]. Les besoins de l'armée lors de la Première Guerre mondiale redonnent un coup de fouet à l'activité de l'agglomération, située idéalement à proximité du front, avec l'installation de la fonderie de zinc Vieille Montagne et l'usine de produits chimiques de Villers-Saint-Paul. L'industrie se diversifie aussi toujours, au cours du XIXe siècle, mais de manière plus ponctuelle, dans les domaines de la briqueterie, verrerie[65], la confection[66], le travail du bois[67], ou encore l'agroalimentaire[68].

    Des logements pour les ouvriers sont construits sous la forme de cités. La cité Saint-Médard, la plus ancienne (1866), est construite sur la rive gauche à l'initiative du directeur de la faïencerie et futur maire, Henri Barluet[69]. Sont construites aussi mais sur la rive droite, les cités Lucile, Vieille-Montagne (1925) et de la Tonnellerie (fin des années 1920)[70].


    Creil au XXe siècle


    Les lendemains de la Première Guerre mondiale marquent un tournant politique pour la ville : la SFIO remporte les élections municipales portant Jules Uhry, avocat d'affaire, à la tête de la commune. Creil est resté depuis un fief socialiste sans interruption. Uhry mène une politique de modernisation municipale sur le modèle des communes socialistes de la région parisienne avec la création de nombreux services : assainissements, ramassage des ordures, écoles professionnelles, équipements sportifs (piscine, vélodrome) et logements sociaux (cité-jardin sur le rebord du plateau). Les usines connaissent en parallèle des difficultés économiques lors de la crise des années 1930[71].

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, deux mouvements de résistance se distinguent dans la commune : l'Organisation civile et militaire et Libération-Nord, d'influence socialiste. Jean Biondi, maire de la ville et député parmi les 80 ayant refusé les pleins pouvoirs à Pétain le 10 juillet 1940, anime ce dernier réseau. Il est arrêté en 1942 et relayé par Gabriel Havez. À partir de 1943, la ville subit de lourds bombardements : Creil sert à la fois de base aérienne pour la Luftwaffe (sur l'actuelle base aérienne) et de nœud ferroviaire essentiel, et est voisine des carrières de Saint-Maximin et de Saint-Leu-d'Esserent qui servent de base aux V1 de l'armée allemande[71].

    Après-guerre, les Trente Glorieuses marquent le retour de l'activité dans la commune et l'agglomération en général. Dans les années 1950, trois entreprises y embauchent plus de 4 000 personnes : Usinor, qui a absorbé les forges de Montataire, Francolor, l'usine de produits chimiques basée à Villers-Saint-Paul, et l'usine Brissonneau et Lotz (devenue Chausson par la suite), qui produit des véhicules de marque Renault, Peugeot et Matra. Pour répondre à cette demande en main d'œuvre, de nouveaux quartiers sous la forme de grands ensembles sur le plateau et des travailleurs immigrés viennent s'installer, originaire le plus souvent d'Afrique du nord[71].

    À partir de la fin des années 1960, l'industrie métallurgique connaît ses premières difficultés. Les plus grandes usines voient leurs effectifs fondre ou ferment : Vieille Montagne en 1992, Chausson en 1996. Ces fermetures s'accompagnent de la montée du chômage, l'augmentation des migrations pendulaires vers Paris et les problèmes sociaux. Le vote en faveur du Front national gagne du terrain[71]. Une politique de la ville, mise en place depuis le début des années 1980, tente de contrecarrer cette évolution.


    Politique et administration


    L'entrée de l'hôtel-deVille.
    L'entrée de l'hôtel-deVille.

    Rattachements administratifs et électoraux



    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Senlis du département de l'Oise.

    Elle était de 1793 à 1973 le chef-lieu du canton de Creil, année où la ville est répartie entre les cantons de Creil-Nogent-sur-Oise (qui comprenait les quartiers de la rive droite et les communes de Nogent-sur-Oise et de Villers-Saint-Paul) et de Creil-Sud (qui couvrait tous les quartiers de la rive gauche)[72]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.


    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la ville est depuis 2014 le bureau centralisateur du nouveau canton de Creil, composé uniquement de deux communes avec Verneuil-en-Halatte

    Articles détaillés : Liste des cantons de l'Oise, Conseil départemental de l'Oise et Liste des conseillers départementaux de l'Oise.

    Pour l'élection des députés, la ville est répartie entre la troisième circonscription de l'Oise (ancien canton de Creil-Sud) et la septième circonscription de l'Oise.

    Articles détaillés : Liste des circonscriptions législatives de l'Oise et Liste des députés de l'Oise.

    Intercommunalité


    Creil était le siège de la communauté de l'agglomération creilloise (CAC), créée fin 2001 et qui comptait 4 communes.

    La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, prévoyant que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[73], celle-ci a fusionné le avec la communauté de communes Pierre - Sud - Oise pour constituer la communauté d'agglomération Creil Sud Oise, dont la ville est désormais le siège.


    Tendances politiques et résultats


    Article connexe : Élections à Creil.

    La commune de Creil est marquée par un ancrage à gauche et particulièrement socialiste d'après les résultats électoraux. Ainsi, à l'élection présidentielle de 2007, Ségolène Royal obtient un score de 38,20 % au premier tour contre 22,20 % pour Nicolas Sarkozy alors qu'aucun autre candidat de gauche ne dépasse les 5 % et la candidate socialiste obtient 60,5 % au second tour[74]. On note par contre une différence entre les deux circonscriptions électorales qui se partagent la commune, avec une tendance plus à droite pour les quartiers ouest. Aux élections législatives de 2007, dans la 3e circonscription, le candidat socialiste a obtenu sur la commune, 33,23 % au premier tour et 60,46 % au second tour. Par contre, dans la 7e circonscription, le candidat de l'UMP, élu au premier tour par l'ensemble de la circonscription, obtient 37,12 % des suffrages dans la commune contre 24,12 % pour le candidat socialiste[75],[76].

    Lors du second tour des élections municipales de 2014 dans l'Oise<, la liste PS menée par le maire sortant Jean-Claude Villemain  qui bénéficiait de la fusion avec la liste PCF/FG/GU du 1er tour menée par Yvette Fourrier Cesbron  obtient la majorité des suffrages exprimés, avec 3 492 voix (40,02 %, 28 conseillers municipaux élus dont 13 communautaires), devançant celles menées respectivement par [77] :
    - Hicham Boulhamane (DVG, 2 995 voix, 34,32 %, 6 conseillers municipaux élus dont 3 communautaires) ;
    - Michaël Sertain (UMP, 2 238 voix, 25,65 %, 5 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires).
    Lors de ce scrutin, 42,70 M des électeurs se sont abstenus.

    Article connexe : Élections municipales de 2014 dans l'Oise.

    Lors du second tour des élections municipales de 2020 dans l'Oise[78], la liste DVG (PS - PCF - G.s - PP - ND) menée par le maire sortant Jean-Claude Villemain  qui bénéficiait de la fusion davec la liste écologiste du 1er tour menée par Thierry Brochot  obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 2 997 voix (51,40 %, 30 conseillers municipaux élus dont 15 communautaires), devançant largement les listes menées respectivement par[79] :
    - Hicham Boulhamane[80] (DVC (GC - LREM), 2 038 voix, 34,95 %, 7 conseillers municipaux élus dont 3 communautaires) ;
    - Michaël Sertain[81] (DVD (LR), 796 voix, 13,65 %, 2 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).
    Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France[82], 62,55 % des électeurs se sont abstenus.

    Article connexe : Élections municipales de 2020 dans l'Oise.

    Liste des maires


    Article détaillé : Liste des maires de Creil.
    Liste des maires successifs depuis la Libération de la France[83]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 1945 Gabriel Havez SFIO Dessinateur industriel
    Résistant
    1945 1950 Jean Biondi SFIO Résistant, déporté
    Député de l'Oise (1936 → 1941 et 1944 → 1950)
    Secrétaire d'État (1946 → 1950)
    Conseiller général de Neuilly-en-Thelle (1934 → 1941 et 1945 → 1950)
    Président du conseil général de l'Oise (1945 → 1949)
    Mort en fonction
    1950 1963 Gabriel Havez SFIO Mort en fonction
    1963 1977 Antoine Chanut PS Principal de collège
    1977 2001 Jean Anciant[84] PS Enseignant
    Député de l'Oise (4e circ) (1981 → 1993)
    Président du district urbain de l’agglomération creilloise (1979 → 1995)
    2001 2008 Christian Grimbert PS Enseignant
    Président de la CA creilloise (1995 → 2013)
    21 mars 2008 En cours
    (au 5 juillet 2020)
    Jean-Claude Villemain PS[85] Conseiller général de Creil-Sud (2001 → 2015)
    Conseiller départemental de Creil (2015 → 2020[86])
    Président de la CA creilloise (2013 → 2016)
    Président de la CA Creil Sud Oise (2017 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[87] ,[88]

    Distinctions et labels


    La ville de Creil a obtenu de l'association villes et villages fleuris le label « trois fleurs » en 2013. Elle a notamment pris en compte le réaménagement du parc urbain situé sur l’île Saint-Maurice[89] suivant des principes par un paysagiste[90], les classes citoyennes pour une éducation environnementale, ses serres écologiques ou le développement des jardins familiaux et du compostage au pied des immeubles. C’est la treizième commune de l’Oise à obtenir ce label « trois fleurs ».


    Politique de développement durable


    Cette section doit être actualisée. (Dernière mise à jour : 2011)
    Des passages de cette section sont obsolètes ou annoncent des événements désormais passés. Améliorez-la ou discutez-en.

    La ville a mis en place un Agenda 21, lancé le 6 janvier 2011, et a mis en place des éco-ateliers pour réfléchir au développement durable au niveau de la ville et soutient des micro-projets en faveur de l'environnement[91].


    Jumelages


    En 2010, la commune est jumelée avec trois collectivités européennes[92] :

    Par ailleurs, la ville entretient, depuis 2008, une relation de coopération décentralisée ou jumelage avec trois entités[93] :


    Équipements et services publics



    Eau et déchets


    La collecte des ordures ménagères dans la ville est effectuée par la Communauté de l'agglomération creilloise. Seuls le verre et le papier font l'objet de collectes par un prestataire au niveau de points d'apport volontaire[94]. Les ordures ménagères sont traitées par l'usine de valorisation énergétique de Villers-Saint-Paul, gérée par le Syndicat mixte de la vallée de l'Oise (SMVO) qui assure cette mission pour 263 communes de l'est du département et auquel adhère la CAC pour ses communes membres. Une déchèterie, gérée par le SMVO, est présente sur le territoire de la commune, sur le plateau, à proximité de la base aérienne[95],[96].


    Énergie


    Sur le site de la Base aérienne 110 Creil de Creil (Oise), fermée en 2016, est prévue en 2022 la création d'une « ferme photovoltaïque » constituée de 547 000 [panneaux solaires sur 180 hectares. Cette installation exploitée par l’entreprise Photosol sera l'une l’une des plus importantes en France ainsi que l’une des « dix plus grosses d’Europe ». Sa production est évaluée à 241 000 MWh, soit l'équivalent de ka consommation, hors chauffage, de 185 000 personnes[97]


    Enseignement


    Creil dépend de l'académie d'Amiens. La circonscription de l'Éducation nationale de Creil couvre toute la commune pour l'enseignement primaire, ainsi que la commune de Verneuil-en-Halatte[98].

    La ville compte :

    Quatre établissements publics secondaires sont présents dans la ville :

    La ville bénéficie de la présence d'un établissement d'enseignement supérieur : l'Institut universitaire de technologie de l'Oise, partagé avec le site de Beauvais, antenne de l'université de Picardie. Cet établissement propose des diplômes universitaires de technologie et des licences professionnelles dans les domaines de la gestion, du commerce et de la logistique. Ce petit pôle universitaire dispose de très peu d'équipements, et n'a par exemple pas d'antenne du CROUS, si ce n'est une résidence universitaire de 97 chambres située en centre-ville[101].


    Santé


    La ville bénéficie alors de deux principaux établissements de santé :

    On trouve par ailleurs 3 foyers-logements pour personnes âgées et un Établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes sur le territoire de la commune[105].


    Équipements culturels


    Musée Gallé-Juillet (à dr.), depuis le sud-ouest.
    Musée Gallé-Juillet (à dr.), depuis le sud-ouest.
    Cette section doit être actualisée. (Dernière mise à jour : 2010)
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    « La Faïencerie » est le centre culturel de la ville, installé dans un bâtiment contemporain construit au début des années 1990 à l'emplacement de l'ancienne manufacture de faïence. C'est une scène conventionnée au statut d'association loi 1901. Elle propose une programmation de spectacle vivant adulte et jeune public, du cinéma (classé art et essai), des ateliers théâtre. Elle propose aussi une programmation hors-les-murs dans différents lieux de l'agglomération et des environs appelée « Escales nomades »[106].

    La médiathèque Antoine Chanut, intégrée dans le bâtiment de la Faïencerie mais indépendante dans la gestion, met à disposition 142 000 documents (livres, CD, revues, DVD) à 6 500 lecteurs inscrits. Cette offre est complétée par deux annexes situées sur le plateau : la bibliothèque du quartier du Moulin et la bibliothèque du quartier du Rouher[107].

    Le Musée Gallé-Juillet, labellisé Musée de France : Auguste et Berthe Gallé, sans descendance à la suite du décès aux combats de leur fils unique Maurice, lors de la bataille de Bouchavesnes en septembre 1916 durant la Grande Guerre, font don en 1930 de leur maison et de toute ce qu'elle contient à la municipalité pour en faire un musée, charge à elle d'en conserver l'aspect. Les salles du musée conservent donc encore la décoration et l'ameublement d'une maison bourgeoise du XIXe siècle. Le musée présente par ailleurs une collection de faïence de Creil-Montereau[108]. Depuis octobre 2010, cette collection est exposée dans la « maison de la Faïence », située en face du musée.

    L'atelier des beaux-arts « Espace Matisse », situé dans le quartier du Moulin est un lieu de pratique d'arts plastiques et d'expositions de plasticiens régionaux. Une quinzaine de disciplines y sont enseignées[109].

    La « Grange à musique » est une scène de musiques actuelles située sur le plateau de Creil. Créée en 1985 et rénovée en 2009, elle est à la fois un lieu de diffusion de musiques actuelles (rock, hip-hop, musiques électronique, reggae, world, chanson) et de soutien à la pratique amateur[110].

    La commune compte enfin un conservatoire à rayonnement communal de musique et de danse qui accueille 400 élèves à l'aide 21 professeurs, situé aussi sur l'île Saint-Maurice[111].


    Justice, sécurité, secours et défense


    La ville, confrontée à de mauvais indicateurs en matière de sécurité, a signé en janvier 2022 un contrat de sécurité intégrée avec l'État qui permettra d'affecter à la circonscription de sécurité publique (CSP) de Creil 196 postes de policiers. La ville s'est engagée à embaucher dix policiers municipaux supplémentaires, ainsi que six éducateurs et six médiateurs afin de « remobiliser les jeunes qui ont le plus décroché des institutions »[112].


    La Base aérienne 110

    Vue de la base aérienne.
    Vue de la base aérienne.

    La base aérienne 110 Guy Fanneau de La Horie de Creil est située sur le plateau, en limite est de la commune.

    L'aérodrome, qui existe depuis 1910, sert de base de décollage pour des avions d'observation pendant la Première Guerre mondiale. Il se développe véritablement lors de la Seconde Guerre mondiale, avec l'installation de la Luftwaffe qui fait construire deux pistes de décollage en béton pour ses bombardiers puis ses chasseurs. Le site est réutilisé par l'United States Air Force entre 1944 et 1945[113].

    En 1947, la base, qui a perdu son rôle militaire, est utilisée par l'Institut géographique national pour y installer son service des activités aériennes chargé des prises de vues. L'IGN est toujours présente sur place avec 71 agents dont 13 agents détachés auprès de l'Établissement géographique inter-armées[114].

    En 1950, on décide d'installer une base aérienne militaire sur le site de Creil : les travaux durent jusqu'en 1959. En 1954, la 10e escadre est recréée et installée à Creil. Elle est dissoute en 1985. L'activité de la base est alors interrompue.

    L'activité reprend en 1990 avec l'installation d'un pôle interarmées de renseignement, comprenant notamment des services de la Direction du Renseignement militaire : ces services sont regroupés au sein du Centre militaire d’observation par satellites. La base accueille par ailleurs deux escadrons de transport[113]. 2700 soldats ainsi sont basés à Creil, dirigés par un général de brigade. L'activité aérienne cesse en 2016 et les deux escadrons de transport transférés à la base aérienne 105 Évreux-Fauville[115].

    En 2021, sont regroupés sur l'emprise de Creil de nombreux services du renseignement militaire français, et notamment son centre de formation, avec le CFIAR, l'école interarmées du renseignement, et l’EFR, l’Escadron de formation au renseignement[116],[117].

    La base accueille régulièrement des jeunes de Creil ou de l'agglomération dans le cadre de stages de découvertes ou professionnels.


    Population et société



    Démographie



    Évolution démographique

    Articles connexes : Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[118],[Note 4]

    En 2019, la commune comptait 36 169 habitants[Note 5], en augmentation de 5,57 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9761 0001 1961 3291 5501 6901 7902 2232 656
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 1813 6264 5394 9985 7377 1827 4188 1838 456
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    9 1259 27210 21410 35910 55810 76810 89910 02413 500
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    19 23532 54432 50934 70931 95630 67533 47933 74135 747
    2019 - - - - - - - -
    36 169--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[72] puis Insee à partir de 2006[119].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 47,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 15,5 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 17 810 hommes pour 17 990 femmes, soit un taux de 50,25 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[120]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90 ou +
    0,9 
    3,1 
    75-89 ans
    4,6 
    10,4 
    60-74 ans
    11,7 
    15,9 
    45-59 ans
    14,2 
    21,8 
    30-44 ans
    21,5 
    20,7 
    15-29 ans
    20,0 
    27,8 
    0-14 ans
    27,1 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[121]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Manifestations culturelles et festivités


    Cette section doit être actualisée. (Dernière mise à jour : 2010)
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    Plusieurs manifestations se déroulent chaque année dans la commune[122] :


    Sports



    Cultes


    Cette section doit être actualisée. (Dernière mise à jour : 2010)
    Des passages de cette section sont obsolètes ou annoncent des événements désormais passés. Améliorez-la ou discutez-en.

    Plusieurs religions possèdent un lieu de culte dans la commune :


    Économie



    Niveaux de vie, niveaux de revenus


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    Le revenu fiscal médian par ménage était en 2006 de 10 597 , ce qui place Creil au 30 487e rang parmi les 30 687 communes de plus de 50 ménages en métropole[133].

    Selon le Journal du Net, Creil est, en 2010, la huitième ville de plus de 20 000 habitants la plus pauvre de France[134], [135], avec un revenu fiscal de référence moyen de 9 540,20  et 3434 chômeurs de catégories A, B et C au 31 décembre 2009, ainsi qu'une population active de 22 604 personnes en 2006. Les fermetures des usines Chausson, filiale de Peugeot et Renault ou de Vieille Montagne, ont fait flamber le taux de chômage et réduit le revenu de nombreux creillois[136].


    Emploi


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    La commune compte 15 511 actifs soit 68,6 % de la population âgée entre 15 et 64 ans, 46 % de la population totale. Le taux de chômage au sens du recensement est de 20 % en 2006. Il touche essentiellement les 15-24 ans, à plus de 35 % pour les femmes et plus de 25 % chez les hommes. Parmi les actifs ayant un emploi, 28,5 % travaille en dehors de la Picardie, c'est-à-dire essentiellement en Île-de-France, dans la région de l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle et de Paris[137]. En 2015, le taux de chômage des 15 à 64 ans atteint les 25,3%[138].

    On compte 16 229 emplois dans la commune, à 94 % des emplois salariés. 89,3 % de ces emplois sont dans le secteur du tertiaire et seulement 6,8 % dans le domaine secondaire[137]. Les principaux employeurs sont situés dans le secteur public. Il s'agit pour les cinq premiers du centre hospitalier, de la SNCF, de la commune elle-même, de la CPAM puis de la Poste. Aucun employeur industriel ne se trouve dans les 10 premiers, dans une commune ayant eu longtemps une prépondérance dans le secteur secondaire[139].

    Des actions de développement de l’emploi sont mises en place dans le cadre notamment d’un plan local pour l’insertion et l’emploi (PLIE). Creil appartient à la zone d'emploi du Sud-Oise, le bassin d'emploi le plus grand de Picardie avec celui d'Amiens[140].


    Entreprises et commerces


    Cette section doit être actualisée. (Dernière mise à jour : 2008)
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    On dénombre dans la commune 1 212 entreprises en 2008, dont 387 commerces[137].

    Les principales zones d'activité à Creil sont au nombre de quatre[141] :


    Culture locale et patrimoine



    Lieux et monuments


    Creil compte trois monuments historiques sur son territoire communal :

    Le château, vers 1576.
    Le château, vers 1576.
    Article détaillé : Musée Gallé-Juillet.
    Article détaillé : Église Saint-Médard de Creil.

    On peut égalementr signaler :

    L'atelier de tréfilerie de la clouterie.
    L'atelier de tréfilerie de la clouterie.

    Personnalités liées à la commune



    Héraldique


    Blason
    D'azur au chevron d'argent chargé de trois molettes de sable et accompagné de trois roses d'or.
    Détails
    Les armes de la ville de Creil sont une variante à celles de la Maison de Creil, qui étaient [50]  : D'azur au chevron d'or chargé de trois molettes d'éperon de sable et accompagné de trois roses ou quintefeuilles du second, deux en chef et une en pointe.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi


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    Bibliographie



    Articles connexes



    Liens externes



    Notes et références



    Notes


    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références



    Site de l'Insee


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    149. [PDF] « Clouterie Rivierre », sur Cité de l'architecture et du patrimoine, portail documentaire (consulté le ) ; p. 15.
    150. Nicolas Aubouin, « Journées du patrimoine : à Creil, la clouterie Rivierre ouvre ses portes ce samedi : La dernière clouterie d'Europe est à Creil (Oise). Lors des Journées européennes du patrimoine, elle propose des visites guidées pour comprendre son histoire et son savoir-faire », Actu Oise, (lire en ligne, consulté le ).

    На других языках


    [de] Creil

    Creil ist eine französische Gemeinde mit 36.169 Einwohnern (Stand 1. Januar 2019) im Département Oise in der Region Hauts-de-France; sie gehört zum Arrondissement Senlis, zum Kanton Creil und zur Communauté d’agglomération Creil Sud Oise. Die mit Creil zusammengewachsenen Vororte mitgerechnet, hat Creil über 90.000 Einwohner, womit das Gebiet der zweitgrößte Ballungsraum der Picardie nach Amiens ist.

    [en] Creil

    Creil [kʁɛj] is a commune in the Oise department in northern France.[3] The Creil station is an important railway junction.
    - [fr] Creil

    [ru] Крей

    Крей (фр. Creil) — город на севере Франции, регион О-де-Франс, департамент Уаза, округ Санлис, центр одноименного кантона. Расположен в 39 км к юго-востоку от Бове и в 48 к северу от Парижа, на обоих берегах реки Уаза. Расположенная на правом берегу Уазы железнодорожная станция Крей линии Париж-Лилль является важным железнодорожным узлом: от нее отходит линия Крей-Жёмон к бельгийской границе и локальная линия Крей-Бове.



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