Auzeville-Tolosane (Ausevila Tolosana en occitan) est une commune française située dans le nord du département de la Haute-Garonne en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ».
Auzeville-Tolosane | |
![]() L'église Saint-Séverin. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Haute-Garonne |
Arrondissement | Toulouse |
Intercommunalité | Sicoval |
Maire Mandat |
Dominique Lagarde 2020-2026 |
Code postal | 31320 |
Code commune | 31035 |
Démographie | |
Gentilé | Auzevillois |
Population municipale |
4 088 hab. (2019 ![]() |
Densité | 614 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 31′ 42″ nord, 1° 28′ 56″ est |
Altitude | Min. 142 m Max. 272 m |
Superficie | 6,66 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Toulouse (banlieue) |
Aire d'attraction | Toulouse (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Castanet-Tolosan |
Législatives | Dixième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | auzeville31.fr |
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Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le canal du Midi, l'Hers-Mort et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un espace protégé (les « prairies Humides à jacinthe de Rome sur les communes de Ramonville-Saint-Agne et d'Auzeville-Tolosane ») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Auzeville-Tolosane est une commune urbaine qui compte 4 088 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Auzevillois ou Auzevilloises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le manoir des Frères Tailleurs, inscrit en 1976.
La commune d'Auzeville-Tolosane se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 9 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, et à 2 km de Castanet-Tolosan[2], bureau centralisateur du canton de Castanet-Tolosan dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Pechbusque (1,8 km), Castanet-Tolosan (1,9 km), Ramonville-Saint-Agne (2,2 km), Mervilla (2,3 km), Vigoulet-Auzil (2,8 km), Vieille-Toulouse (2,9 km), Péchabou (3,6 km), Labège (3,9 km).
Sur le plan historique et culturel, Auzeville-Tolosane fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[4].
Auzeville-Tolosane est limitrophe de cinq autres communes. Les communes limitrophes sont Ramonville-Saint-Agne, Castanet-Tolosan, Labège, Mervilla et Pechbusque.
Ramonville-Saint-Agne | ||
Pechbusque | ![]() |
Labège |
Mervilla | Castanet-Tolosan |
Cette commune de l'aire d'attraction de Toulouse est située dans son unité urbaine, à une quinzaine de kilomètres au sud-est de Toulouse, à cheval sur les coteaux de Pech-David, le canal du Midi et la vallée de l'Hers.
La superficie de la commune est de 666 ha (6,66 km2) ; son altitude varie de 142 à 272 m[6].
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le canal du Midi, l'Hers-Mort, le ruisseau de Bonneval, le ruisseau Nauze de Mairolles et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 10 km de longueur totale[8],[Carte 1].
Le canal du Midi, d'une longueur totale de 239,8 km, est un canal de navigation à bief de partage qui relie Toulouse à la mer Méditerranée depuis le xviie siècle[9].
L'Hers-Mort, d'une longueur totale de 89,3 km, prend sa source dans la commune de Laurac et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Grenade, après avoir traversé 40 communes[10].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[12].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Toulouse-Francazal », sur la commune de Cugnaux, mise en service en 1922[16] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[17],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[18], à 14,1 °C pour 1981-2010[19], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[20].
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[21],[22].
Un espace protégé est présent sur la commune : les « prairies Humides à jacinthe de Rome sur les communes de Ramonville-Saint-Agne et d'Auzeville-Tolosane », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 22,6 ha[23].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[24] : les « prairies à Jacinthe de Rome de la Ferme cinquante » (34 ha), couvrant 3 communes du département[25].
Auzeville-Tolosane est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[26],[I 2],[27]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse, une agglomération inter-départementale regroupant 81 communes[I 3] et 1 035 280 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Toulouse est la cinquième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française)[I 4],[I 5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 6],[I 7].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (35,9 %), zones urbanisées (33,6 %), terres arables (26,5 %), forêts (2,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,3 %)[28].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Accès par la route départementale 813 ou l'A61.
La commune est desservie par une ligne de bus à haut niveau de service du réseau Tisséo, la ligne Linéo L6, qui la relie à la station Ramonville du métro de Toulouse depuis Castanet-Tolosan en passant par la Route de Narbonne.
La ligne 56 du réseau Tisséo dessert également la commune en reliant l'église d'Auzeville à la station de métro Université-Paul-Sabatier, la ligne 81 relie la route de Narbonne à la station Université-Paul-Sabatier également, les lignes 350 et 383 du réseau Arc-en-Ciel relient la commune à la station Université-Paul-Sabatier également depuis respectivement Avignonet-Lauragais et Salles-sur-l'Hers, et la ligne 413 du réseau liO relie la commune à la gare routière de Toulouse et à Castelnaudary.
Les gares les plus proches sont la gare de Labège-Innopole et la Halte de Labège-Village. L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Toulouse-Blagnac.
Le territoire de la commune d'Auzeville-Tolosane est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[29]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[30].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Hers-Mort. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[31],[29].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 98,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 939 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 933 sont en en aléa moyen ou fort, soit 99 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[32],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[33].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 2002, 2003 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[29].
La commune est en outre située en aval du barrage de l'Estrade sur la Ganguise (département de l'Aude). À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[34].
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Son blasonnement est : Porte d'azur au soleil d'or accompagné en pointe de trois losanges du même[35] |
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Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 3 500 habitants et 4 999 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de vingt-sept[36],[37].
Commune faisant partie de la dixième circonscription de la Haute-Garonne du Sicoval et du canton de Castanet-Tolosan.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1975 | 1988 | Henri Bellocq | ||
1988 | mars 1989 | Jacques Laroche | ||
mars 1989 | mai 2020 | François-Régis Valette | PS | Retraité, président du Sicoval de 2008 à 2014 |
mai 2020 | En cours | Dominique Lagarde | DVC | Retraité |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[39].
En 2019, la commune comptait 4 088 habitants[Note 8], en augmentation de 14,7 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +7,81 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
352 | 374 | 346 | 327 | 335 | 358 | 340 | 361 | 357 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
378 | 346 | 339 | 343 | 321 | 298 | 278 | 293 | 259 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
260 | 256 | 255 | 246 | 266 | 281 | 293 | 304 | 337 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2013 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
456 | 491 | 1 073 | 1 808 | 2 000 | 2 202 | 2 767 | 2 865 | 3 564 |
2018 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
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4 092 | 4 088 | - | - | - | - | - | - | - |
selon la population municipale des années : | 1968[42] | 1975[42] | 1982[42] | 1990[42] | 1999[42] | 2006[43] | 2009[44] | 2013[45] |
Rang de la commune dans le département | 148 | 84 | 66 | 72 | 73 | 65 | 61 | 59 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
Auzeville fait partie de l'académie de Toulouse.
Auzeville compte deux groupes scolaires : l'école publique René-Goscinny (maternelle et élémentaire) ainsi qu'une nouvelle école publique Aimé-Césaire (maternelle et élémentaire également) qui a ouvert ses portes en septembre 2009 dans le quartier du Pont de Bois.
Dans le cadre de l'Agrobiopole Auzeville-Tolosane, l'enseignement secondaire et supérieur est spécialisé dans les domaines de l'agriculture et de l'agronomie :
La formation à la recherche et par la recherche est assurée au sein d'unités propres de recherche et d'unités mixtes de recherche avec les laboratoires des universités toulousaines.
Centre de formation CFAAH-CFPPA.
Le foyer rural René-Lavergne est l'association sportive et culturelle la plus importante du village. Elle regroupe 25 activités.
Pétanque, football, tennis, skatepark,
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du Sicoval[46].
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 1 363 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 3 309 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 28 250 €[I 8] (23 140 € dans le département[I 9]). 68 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 10] (55,3 % dans le département).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 10] | 3,2 % | 5,5 % | 5,7 % |
Département[I 11] | 7,7 % | 9,6 % | 9,3 % |
France entière[I 12] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 2 870 personnes, parmi lesquelles on compte 61,4 % d'actifs (55,6 % ayant un emploi et 5,7 % de chômeurs) et 38,6 % d'inactifs[Note 11],[I 10]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 13]. Elle compte 1 635 emplois en 2018, contre 1 428 en 2013 et 1 252 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 630, soit un indicateur de concentration d'emploi de 100,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51,1 %[I 14].
Sur ces 1 630 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 261 travaillent dans la commune, soit 16 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 71 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 11,6 % les transports en commun, 13,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].
260 établissements[Note 12] sont implantés à Auzeville-Tolosane au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 17].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 260 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 8 | 3,1 % | (5,7 %) |
Construction | 14 | 5,4 % | (12 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 54 | 20,8 % | (25,9 %) |
Information et communication | 17 | 6,5 % | (4,1 %) |
Activités financières et d'assurance | 11 | 4,2 % | (3,8 %) |
Activités immobilières | 12 | 4,6 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 55 | 21,2 % | (19,8 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 63 | 24,2 % | (16,6 %) |
Autres activités de services | 26 | 10 % | (7,9 %) |
Le secteur de l'administration publique, l'enseignement, la santé humaine et l'action sociale est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 24,2 % du nombre total d'établissements de la commune (63 sur les 260 entreprises implantées à Auzeville-Tolosane), contre 16,6 % au niveau départemental[I 18].
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[47] :
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
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Exploitations | 11 | 7 | 5 | 3 |
SAU[Note 14] (ha) | 375 | 412 | nd | 184 |
La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-est du département de la Haute-Garonne, dont les coteaux portent des grandes cultures en sec avec une dominante blé dur et tournesol[48]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 5]. Trois exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 16] (onze en 1988). La superficie agricole utilisée est de 184 ha[50],[Carte 6],[Carte 7].
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