Pechabou (Pujabon [pydʒaˈbu] en Occitan) est une commune française située dans le nord-est du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.
Pechabou | |
La commune | |
Blason ville fr Pechabou (Haute-Garonne).svg | |
Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Haute-Garonne |
Arrondissement | Toulouse |
Intercommunalité | Sicoval |
Maire Mandat |
Dominique Sangay 2020-2026 |
Code postal | 31320 |
Code commune | 31409 |
Démographie | |
Gentilé | Pechabboliens |
Population municipale |
2 352 hab. (2019 ![]() |
Densité | 659 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 30′ 07″ nord, 1° 30′ 32″ est |
Altitude | Min. 148 m Max. 261 m |
Superficie | 3,57 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Toulouse (banlieue) |
Aire d'attraction | Toulouse (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Castanet-Tolosan |
Législatives | Dixième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.pechabou.fr |
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Contrairement au titre de cet article, le nom de la commune s’écrit sans accent.
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ». Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le canal du Midi et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Pechabou est une commune urbaine qui compte 2 352 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération toulousaine et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Pechabboliens ou Pechabboliennes.
La commune de Pechabou se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 13 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, et à 2 km de Castanet-Tolosan[2], bureau centralisateur du canton de Castanet-Tolosan dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Pompertuzat (1,3 km), Castanet-Tolosan (1,8 km), Rebigue (2,6 km), Deyme (2,8 km), Mervilla (2,9 km), Corronsac (3,2 km), Labège (3,6 km), Auzeville-Tolosane (3,6 km).
Sur le plan historique et culturel, Pechabou fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[4].
Pechabou est limitrophe de deux autres communes.
Castanet-Tolosan | ||
![]() |
||
Pompertuzat |
La superficie de la commune est de 357 hectares ; son altitude varie de 148 à 261 mètres[6].
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le canal du Midi, le ruisseau de la Fage, le ruisseau de Maury et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[8],[Carte 1].
Le canal du Midi, d'une longueur totale de 239,8 km, est un canal de navigation à bief de partage qui relie Toulouse à la mer Méditerranée depuis le xviie siècle[9].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Toulouse-Francazal », sur la commune de Cugnaux, mise en service en 1922[15] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[16],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[17], à 14,1 °C pour 1981-2010[18], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[19].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[20] : les « bords du canal du Midi de Castanet-Tolosan à Ayguesvives » (77 ha), couvrant 7 communes du département[21].
Pechabou est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[22],[I 2],[23]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse, une agglomération inter-départementale regroupant 81 communes[I 3] et 1 035 280 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Toulouse est la cinquième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française)[I 4],[I 5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 6],[I 7].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (42,5 %), zones urbanisées (36,6 %), terres arables (18,8 %), forêts (2,1 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Accès par la route départementale 813.
La ligne 202 du réseau Tisséo relie le centre de la commune à Castanet-Tolosan, en correspondance avec le bus à haut niveau de service Linéo L6 en direction de la station Ramonville du métro de Toulouse, la ligne 205 relie la commune à Castanet-Tolosan également, la ligne 350 du réseau Arc-en-Ciel relie la commune à la station Université-Paul-Sabatier depuis Avignonet-Lauragais et la ligne 383 relie la commune à la station Université-Paul-Sabatier également depuis Salles-sur-l'Hers.
Le territoire de la commune de Péchabou est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le canal du Midi. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1993, 1999 et 2009[27],[25].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 93,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 720 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 616 sont en en aléa moyen ou fort, soit 86 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1997, 2002, 2003, 2016 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[25].
La commune est en outre située en aval du barrage de l'Estrade sur la Ganguise (département de l'Aude). À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[30].
Pech est un élément courant pour les toponymes occitans, dérivé du latin podium, qui signifie une petite éminence. Abou dérive probablement d'un patronyme d'origine germanique, Abbo ou Abbonius. Les occurrences médiévales sont podio Abono, podio bono ou podio bonio, dont la signification est « colline d'Abbon ».
Aucune source écrite ne fait mention de l'histoire de Pechabou avant le XIIe siècle[31], pour lequel l'histoire des évêques et archevêques de Toulouse fait mention d'une donation à sa cathédrale de Géraud de Labarthe, évêque de 1164 à 1170, de ses propriétés de Balmar, Puécabo, Donaville et Castanet. Une donation de Bertrand Guilabert et son frère Martin à l'ordre du Temple en 1234 fait de Pechabou une limite du gardiage de Toulouse. À la disparition de l'ordre, le domaine revient aux hospitaliers de Pompertuzat. Le livre du prévôt de Toulouse en 1272 cite le capellanus de Podio Abono. Une charte de 1475 fait mention de l'existence de reliques et d'une confrérie de Saint-Antoine à Pechabou. Reliques encore présentes en 1596, citées par le visiteur épiscopal Martin Rouelle. En 1570, lors des guerres de religion, l'église et la maison presbytérale sont incendiées, puis rapidement reconstruites.
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Son blasonnement est : De sable aux trois bandes d'or. |
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Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 1 500 habitants et 2 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de dix-neuf[32],[33].
Commune faisant partie de la dixième circonscription de la Haute-Garonne, du Sicoval et du canton de Castanet-Tolosan.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1947 | 1969 | Roger Le Goux | Rad.ind. | Conseiller de Tribunal administratif, conseiller général du canton de Castanet-Tolosan (1955-1960) |
1969 | 1977 | Henri Reynis | ||
1977 | 1983 | Émile Guilhaumon | ||
1983 | 1989 | Marc Lemoine | ||
1989 | 1995 | Jeany Beauville | ||
juin 1995 | 2016 | Georges Karsenti | DVD | |
2016 | En cours | Dominique Sangay | Sans étiquette | Vice-présidente de la communauté d'agglomération du Sicoval chargée de l'urbanisme stratégique et réglementaire |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].
En 2019, la commune comptait 2 352 habitants[Note 8], en augmentation de 16,32 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +7,81 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
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183 | 204 | 220 | 240 | 236 | 219 | 188 | 206 | 264 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
268 | 240 | 224 | 210 | 186 | 188 | 185 | 172 | 157 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
149 | 140 | 130 | 124 | 118 | 123 | 136 | 140 | 164 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2006 | 2010 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
212 | 284 | 513 | 663 | 1 023 | 1 299 | 1 496 | 1 523 | 2 011 |
2015 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
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2 140 | 2 352 | - | - | - | - | - | - | - |
selon la population municipale des années : | 1968[38] | 1975[38] | 1982[38] | 1990[38] | 1999[38] | 2006[39] | 2009[40] | 2013[41] |
Rang de la commune dans le département | 247 | 165 | 165 | 118 | 115 | 116 | 104 | 103 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
Pechabou fait partie de l'académie de Toulouse.
La commune possède une école maternelle "Le Petit Prince" et une école élémentaire "Saint-Exupéry".
Une médiathèque et des associations culturelles et sportives sont présentes sur la commune.
Pétanque et diverses activités, notamment proposées par l'association sportive et culturelle (ASC) de Pechabou[42].
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du Sicoval[43].
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 963 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 2 454 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 29 440 €[I 8] (23 140 € dans le département[I 9]). 72 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 10] (55,3 % dans le département).
2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 10] | 5,8 % | 6,4 % | 5,3 % |
Département[I 11] | 7,7 % | 9,6 % | 9,3 % |
France entière[I 12] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 510 personnes, parmi lesquelles on compte 81,1 % d'actifs (75,8 % ayant un emploi et 5,3 % de chômeurs) et 18,9 % d'inactifs[Note 11],[I 10]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 13]. Elle compte 244 emplois en 2018, contre 255 en 2013 et 185 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 157, soit un indicateur de concentration d'emploi de 21,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 66,9 %[I 14].
Sur ces 1 157 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 79 travaillent dans la commune, soit 7 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 81,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 7,6 % les transports en commun, 7,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].
141 établissements[Note 12] sont implantés à Pechabou au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 17].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 141 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 8 | 5,7 % | (5,7 %) |
Construction | 18 | 12,8 % | (12 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 20 | 14,2 % | (25,9 %) |
Information et communication | 8 | 5,7 % | (4,1 %) |
Activités financières et d'assurance | 2 | 1,4 % | (3,8 %) |
Activités immobilières | 2 | 1,4 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 43 | 30,5 % | (19,8 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 25 | 17,7 % | (16,6 %) |
Autres activités de services | 15 | 10,6 % | (7,9 %) |
Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30,5 % du nombre total d'établissements de la commune (43 sur les 141 entreprises implantées à Pechabou), contre 19,8 % au niveau départemental[I 18].
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[44] :
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
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Exploitations | 11 | 5 | 7 | 5 |
SAU[Note 14] (ha) | 198 | 60 | 110 | 555 |
La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-est du département de la Haute-Garonne, dont les coteaux portent des grandes cultures en sec avec une dominante blé dur et tournesol[45]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 5]. Cinq exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 16] (onze en 1988). La superficie agricole utilisée est de 555 ha[47],[Carte 6],[Carte 7].