Deyme est une commune française située dans le nord-est du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. Elle fait partie de la communauté d'agglomération du Sicoval. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ».
Deyme | |
![]() L'église Sainte-Marie-Madeleine le 18 janvier 2009. | |
Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Haute-Garonne |
Arrondissement | Toulouse |
Intercommunalité | Sicoval |
Maire Mandat |
Eric Borra 2020-2026 |
Code postal | 31450 |
Code commune | 31161 |
Démographie | |
Gentilé | Deymois |
Population municipale |
1 236 hab. (2019 ![]() |
Densité | 175 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 28′ 49″ nord, 1° 31′ 40″ est |
Altitude | Min. 148 m Max. 275 m |
Superficie | 7,05 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Toulouse (banlieue) |
Aire d'attraction | Toulouse (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton d'Escalquens |
Législatives | Dixième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.deyme.fr/ |
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Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le canal du Midi, l'Hers-Mort, le ruisseau de Rivals, le ruisseau des Rosiers et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Deyme est une commune urbaine qui compte 1 236 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Deymois ou Deymoises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : le pont de Deyme, inscrit en 1998, et l'aqueduc de la Joncasse, inscrite en 1998.
La commune de Deyme se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 15 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, et à 5 km d'Escalquens[2], bureau centralisateur du canton d'Escalquens dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Pompertuzat (1,5 km), Donneville (1,9 km), Corronsac (2,4 km), Montbrun-Lauragais (2,6 km), Péchabou (2,8 km), Montlaur (3,7 km), Rebigue (3,8 km), Espanès (4,3 km).
Sur le plan historique et culturel, Deyme fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[4].
Deyme est limitrophe de cinq autres communes.
Pompertuzat | Belberaud | |
Corronsac | ![]() |
Montlaur |
Montbrun-Lauragais | Donneville |
La superficie de la commune est de 705 hectares ; son altitude varie de 148 à 275 mètres[6].
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le canal du Midi, l'Hers-Mort, le ruisseau de Rivals, le ruisseau des Rosiers, le ruisseau de Juncarolle, le ruisseau de la Baladasse, le ruisseau des Crozes et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 13 km de longueur totale[8],[Carte 1].
Le canal du Midi, d'une longueur totale de 239,8 km, est un canal de navigation à bief de partage qui relie Toulouse à la mer Méditerranée depuis le xviie siècle[9].
L'Hers-Mort, d'une longueur totale de 89,3 km, prend sa source dans la commune de Laurac (11) et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Grenade, après avoir traversé 40 communes[10].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[12].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Toulouse-Francazal », sur la commune de Cugnaux, mise en service en 1922[16] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[17],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[18], à 14,1 °C pour 1981-2010[19], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[20].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[21] : les « bords du Canal du Midi de Castanet-Tolosan à Ayguesvives » (77 ha), couvrant 7 communes du département[22].
Deyme est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[23],[I 2],[24]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse, une agglomération inter-départementale regroupant 81 communes[I 3] et 1 035 280 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Toulouse est la cinquième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française)[I 4],[I 5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 6],[I 7].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,1 %), zones agricoles hétérogènes (17,3 %), zones urbanisées (9,9 %), prairies (6 %), forêts (5,7 %)[25].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Accès avec la route départementale D 813 ancienne route nationale 113. L'autoroute des Deux Mers passe sur la commune et abrite l'aire d'autoroute de Toulouse Sud.
La ligne 205 du réseau Tisséo relie la commune à Castanet-Tolosan, permettant des correspondances avec la ligne de bus à haut niveau de service Linéo L6 en direction de la station Ramonville du métro de Toulouse.
Le territoire de la commune de Deyme est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Hers-Mort. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1991, 1992, 1993, 1999 et 2009[28],[26].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 97,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 415 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 409 sont en en aléa moyen ou fort, soit 99 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[30].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1998, 2003 et 2016 et par des mouvements de terrain en 1983 et 1999[26].
La commune est en outre située en aval du barrage de l'Estrade sur la Ganguise (département de l'Aude). À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[31].
Petit village datant des temps féodaux, il a su garder les marques du passé, avec son église[32] et ses chemins aux noms évocateurs : Monges, Crucifix, qui restent là au fil des années témoins des temps ancestraux. Le village pourrait devoir son nom à sa situation au dixième double mille de la Via Aquitania depuis Tolosa : decima[33].
Au milieu du XVIIe siècle, plusieurs seigneurs se partageaient la justice foncière de Deymé : Noble Jean de Caussin écuyer, Me Jean de Blandinières lieutenant en l'élection de Lomagne, Marie de Blandinières comme veuve de Noble Jacques de Monserat bourgeois de Toulouse et François Prieur chirurgien du Roy. Leur succéderont vers 1670 Bernard de Caussin, Me Étienne de Palarin, Pierre de Monserat et Felix Prieur du Preslier ci-devant secrétaire de Monseigneur le Duc d'Orléans.
Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 500 habitants et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de quinze[34],[35].
Commune faisant partie de la dixième circonscription de la Haute-Garonne, du Sicoval et du canton d'Escalquens (avant le redécoupage départemental de 2014, Deyme faisait partie de l'ex-canton de Montgiscard).
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
avant 1981 | ? | Roger Deluc | DVG | |
mars 2001 | 2008 | Paul Daubèze | ||
mars 2008 | octobre 2015 (démission) |
Michel Valverde | DVG | Chef d'entreprise |
décembre 2015 | En cours | Eric Borra |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].
En 2019, la commune comptait 1 236 habitants[Note 8], en augmentation de 35,08 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +7,81 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
335 | 353 | 334 | 363 | 338 | 389 | 368 | 385 | 384 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
350 | 358 | 310 | 293 | 278 | 277 | 279 | 257 | 258 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
250 | 214 | 214 | 193 | 187 | 170 | 197 | 219 | 233 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2007 | 2012 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
164 | 193 | 260 | 430 | 652 | 835 | 870 | 874 | 860 |
2017 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 192 | 1 236 | - | - | - | - | - | - | - |
selon la population municipale des années : | 1968[40] | 1975[40] | 1982[40] | 1990[40] | 1999[40] | 2006[41] | 2009[42] | 2013[43] |
Rang de la commune dans le département | 374 | 271 | 199 | 170 | 160 | 169 | 174 | 173 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
Deyme fait partie de l'académie de Toulouse.
L'éducation est assurée par un regroupement pédagogique intercommunal pour les classes de la maternelle commune de Pompertuzat et primaire à Deyme[44].
Foire, chorale[45], fête de la musique, salle des fêtes[46], fête locale (fin septembre),
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du Sicoval[48].
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 501 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 1 270 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 27 110 €[I 8] (23 140 € dans le département[I 9]).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 10] | 4,2 % | 4,5 % | 6,1 % |
Département[I 11] | 7,7 % | 9,6 % | 9,3 % |
France entière[I 12] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 797 personnes, parmi lesquelles on compte 83,2 % d'actifs (77,1 % ayant un emploi et 6,1 % de chômeurs) et 16,8 % d'inactifs[Note 10],[I 10]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 13]. Elle compte 348 emplois en 2018, contre 270 en 2013 et 213 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 622, soit un indicateur de concentration d'emploi de 56,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 71 %[I 14].
Sur ces 622 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 79 travaillent dans la commune, soit 13 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 87,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,1 % les transports en commun, 4,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].
94 établissements[Note 11] sont implantés à Deyme au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 17].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 94 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 7 | 7,4 % | (5,7 %) |
Construction | 17 | 18,1 % | (12 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 18 | 19,1 % | (25,9 %) |
Information et communication | 1 | 1,1 % | (4,1 %) |
Activités financières et d'assurance | 5 | 5,3 % | (3,8 %) |
Activités immobilières | 3 | 3,2 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 24 | 25,5 % | (19,8 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 8 | 8,5 % | (16,6 %) |
Autres activités de services | 11 | 11,7 % | (7,9 %) |
Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25,5 % du nombre total d'établissements de la commune (24 sur les 94 entreprises implantées à Deyme), contre 19,8 % au niveau départemental[I 18].
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[49] :
L'économie de la commune est liée à l'agriculture basée sur la culture de céréales (maïs, tournesol, blé...) qui a encore une place importante mais tende à diminuer en faveur de zones résidentielles liées à la proximité de l'agglomération toulousaine puisque étant dans son aire urbaine.
Deyme est un village résidentiel, proche des axes routiers, à quelques minutes de Toulouse, de ses universités et des zones d'activités comme Labège Innopole.
Deyme reste rural même si la majorité de sa population est d'origine urbaine.
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 8 | 5 | 7 | 7 |
SAU[Note 13] (ha) | 321 | 255 | 719 | 308 |
La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-est du département de la Haute-Garonne, dont les coteaux portent des grandes cultures en sec avec une dominante blé dur et tournesol[50]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 5]. Sept exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 15] (huit en 1988). La superficie agricole utilisée est de 308 ha[52],[Carte 6],[Carte 7].
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