Pechbusque [pɛʃbysk] est une commune française située dans le nord du département de la Haute-Garonne en région Occitanie.
Pechbusque | |
La Grand-Rue et l'église Saint-Jacques. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Haute-Garonne |
Arrondissement | Toulouse |
Intercommunalité | Sicoval |
Maire Mandat |
Didier Bélair 2020-2026 |
Code postal | 31320 |
Code commune | 31411 |
Démographie | |
Gentilé | Pechbusquois, Pechbusquoises |
Population municipale |
947 hab. (2019 ![]() |
Densité | 302 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 31′ 44″ nord, 1° 27′ 36″ est |
Altitude | Min. 148 m Max. 274 m |
Superficie | 3,14 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Toulouse (banlieue) |
Aire d'attraction | Toulouse (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Castanet-Tolosan |
Législatives | Dixième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.pechbusque.fr/ |
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Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ». Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par divers petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Pechbusque est une commune rurale qui compte 947 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération toulousaine et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Pechbusquois ou Pechbusquoises.
La commune de Pechbusque se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 9 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, et à 3 km de Castanet-Tolosan[2], bureau centralisateur du canton de Castanet-Tolosan dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Vieille-Toulouse (1,1 km), Auzeville-Tolosane (1,8 km), Vigoulet-Auzil (2,3 km), Ramonville-Saint-Agne (2,4 km), Mervilla (2,5 km), Castanet-Tolosan (3,4 km), Portet-sur-Garonne (4,3 km), Rebigue (4,7 km).
Sur le plan historique et culturel, Pechbusque fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[4].
Pechbusque est limitrophe de six autres communes.
Toulouse | Ramonville-Saint-Agne | |
Vieille-Toulouse | ![]() |
Auzeville-Tolosane |
Vigoulet-Auzil | Mervilla |
La superficie de la commune est de 314 hectares ; son altitude varie de 148 à 274 mètres[6].
Située sur les contreforts des coteaux de Pech-David.
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le ruisseau de Bonneval, le ruisseau d'en-Gros, le ruisseau de Vieille-Toulouse, le ruisseau du Pont d'Auzil et par deux petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 5 km de longueur totale[8],[Carte 1].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Toulouse-Francazal », sur la commune de Cugnaux, mise en service en 1922[14] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[15],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[16], à 14,1 °C pour 1981-2010[17], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[18].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[19] : le « vallon de Ramade » (95 ha), couvrant 4 communes du département[20] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[19] : « la Garonne et milieux riverains, en aval de Montréjeau » (6 874 ha), couvrant 93 communes dont 64 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[21].
Pechbusque est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[22],[I 2],[23]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse, une agglomération inter-départementale regroupant 81 communes[I 3] et 1 035 280 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Toulouse est la cinquième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française)[I 4],[I 5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 6],[I 7].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (70,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (60,1 %), zones urbanisées (21,2 %), forêts (18,6 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Le TAD 119 du réseau Tisséo relie la commune à la station Ramonville du métro de Toulouse.
Le territoire de la commune de Pechbusque est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible)[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 94,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 335 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 334 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1998, 2003, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2000[25].
Son nom occitan est Puèg-Busca (prononcé pèb-busco IPA [pɛb'bysko]). Ce nom est à rapprocher de deux toponymes voisins, Pech David (occ. Puèg Dàvid) et le Busca (occitan Lo Buscan, prononcé lé busca IPA [leBys'ka]). Puèg (du latin PODIUM) signifiant hauteur, il est probable que le nom dérive d'une forme plus ancienne Puèg-Buscan dont la prononciation locale au Moyen Âge était très certainement [pɛtS-bys'ko], et qui serait passé à [pɛtS-'bysko] par régression de l'accent tonique après identification de la terminaison -o avec celle du féminin occitan. Ce phénomène est attesté pour le nom de la rue principale de Toulouse au Moyen Âge, qui de Carrièra Sant Roman, c'est-à-dire rue St Romain (prononcé IPA [san rru'mo]) est devenue rue Sant Roma (prononcé IPA [san 'rrumo]) par régression d'accent tonique, et est passé en français sous cette forme (rue St Rome).
André Soutou[29], dans un article de 1965, étudie une inscription funéraire datée de 1289 qui désigne ce village sous le toponyme Podio Buscano.
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Son blasonnement est : De sinople aux trois bandes d'or. |
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Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 500 habitants et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de quinze[30],[31].
Commune faisant partie de la dixième circonscription de la Haute-Garonne, du Sicoval et du canton de Castanet-Tolosan.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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1970 | 1977 | Germain Goussis | ||
1977 | 2001 | Gérard Sabatié | ||
mars 2001 | 2011 | Gilbert Chapuis | ||
juin 2011 | En cours | Didier Bélair | DVG | Ingénieur |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].
En 2019, la commune comptait 947 habitants[Note 9], en augmentation de 14,1 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +7,81 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
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167 | 152 | 151 | 156 | 164 | 143 | 127 | 162 | 168 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
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182 | 145 | 161 | 144 | 140 | 144 | 136 | 130 | 130 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
129 | 128 | 108 | 126 | 112 | 130 | 148 | 137 | 174 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2007 | 2012 |
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175 | 187 | 235 | 371 | 522 | 707 | 786 | 797 | 834 |
2017 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
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882 | 947 | - | - | - | - | - | - | - |
selon la population municipale des années : | 1968[36] | 1975[36] | 1982[36] | 1990[36] | 1999[36] | 2006[37] | 2009[38] | 2013[39] |
Rang de la commune dans le département | 297 | 298 | 218 | 191 | 173 | 180 | 179 | 186 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
Centre Communal d'Action Sociale (CCAS).
Pechbusque fait partie de l'académie de Toulouse.
La commune possède un groupe scolaire maternelle et primaire[40].
Comité des fêtes, autres associations (Mosaïque, les 4 Vents, etc.)
Randonnée pédestre, football, yoga, chasse, tennis,
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du Sicoval[41]. Un système de paniers bio mettant en contact direct des petits producteurs et des écomangeurs est organisé. Localement se développe un mouvement citoyen de transition écologique. Des réunions "zéro déchets" se multiplient.
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 353 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 943 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 36 440 €[I 8] (23 140 € dans le département[I 9]).
2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 10] | 2,7 % | 4,4 % | 4,9 % |
Département[I 11] | 7,7 % | 9,6 % | 9,3 % |
France entière[I 12] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 536 personnes, parmi lesquelles on compte 76,4 % d'actifs (71,5 % ayant un emploi et 4,9 % de chômeurs) et 23,6 % d'inactifs[Note 11],[I 10]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 13]. Elle compte 106 emplois en 2018, contre 92 en 2013 et 73 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 390, soit un indicateur de concentration d'emploi de 27,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,5 %[I 14].
Sur ces 390 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 46 travaillent dans la commune, soit 12 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 84,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,4 % les transports en commun, 5,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].
72 établissements[Note 12] sont implantés à Pechbusque au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 17].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
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Nombre | % | % | |
Ensemble | 72 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 6 | 8,3 % | (5,7 %) |
Construction | 4 | 5,6 % | (12 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 10 | 13,9 % | (25,9 %) |
Information et communication | 4 | 5,6 % | (4,1 %) |
Activités financières et d'assurance | 3 | 4,2 % | (3,8 %) |
Activités immobilières | 2 | 2,8 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 21 | 29,2 % | (19,8 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 17 | 23,6 % | (16,6 %) |
Autres activités de services | 5 | 6,9 % | (7,9 %) |
Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 29,2 % du nombre total d'établissements de la commune (21 sur les 72 entreprises implantées à Pechbusque), contre 19,8 % au niveau départemental[I 18].
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[42] :
L'agriculture basée sur la culture de céréales (maïs, blé…) a encore une place importante mais tend à diminuer en faveur de zones résidentielles liées à la proximité de l'agglomération toulousaine.
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
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Exploitations | 4 | 2 | 2 | 2 |
SAU[Note 14] (ha) | 44 | 19 | 27 | 14 |
La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-est du département de la Haute-Garonne, dont les coteaux portent des grandes cultures en sec avec une dominante blé dur et tournesol[43]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est l'exploitation de grandes cultures (hors céréales et oléoprotéagineuses)[Carte 5]. Deux exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 16] (quatre en 1988). La superficie agricole utilisée est de 14 ha[45],[Carte 6],[Carte 7].
Un épisode de la deuxième guerre mondiale, pendant l'occupation allemande, permet de mettre en lumière l'une des habitantes de la commune, Alice Damin (1932-2020), qui avait également pour habitude de fleurir la Grand-rue de la Mairie où elle résida de nombreuses années en plantant et entretenant de nombreuses fleurs le long des trottoirs.
Nous sommes en 1943, et Alice, alors âgée de 11 ans, sauve la vie d'un prisonnier polonais en détournant l'attention d'un officier allemand[46]. Un acte de bravoure récompensé après la guerre après par la visite d'Alice par l'ancien prisonnier alors rentré au pays.
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