Géolocalisation sur la carte: Auvergne-Rhône-Alpes
Étoile-sur-Rhône
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Ses habitants sont dénommés les Étoiliens et Étoiliennes.
Géographie
Localisation
La commune d'Étoile-sur-Rhône est située à 13 km au sud du centre-ville de Valence, préfecture du département de la Drôme.
La ville se situe également à 104 km de Grenoble et à 115 km de Lyon.
Étoile est un carrefour le long de la vallée du Rhône et mène, à l'est, vers la vallée de la Drôme (Crest) et le Diois (Die).
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Sites particuliers:
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Géologie
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Hydrographie
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Climat
Article connexe: Climat de la Drôme.
Voies de communication et transports
Située dans l'agglomération valentinoise, à proximité de quelques-uns des plus grands réseaux de communication du territoire, la commune d'Étoile-sur-Rhône permet un accès rapide et facile aux grands marchés rhônalpins et du sud-est de l'Europe.
En matière d'infrastructure routière et autoroutière, la commune d'Étoile est à proximité immédiate:
de la RN 7 et de la RN 86;
de l'A7 (Lyon/Marseille) et de l'A49 (Valence/Grenoble). Étoile est à dix minutes de Valence (13 km), à une heure de Lyon (121 km), à une heure de Grenoble (103 km), à deux heures de Marseille (218 km).
Étoile-sur-Rhône est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3].
Elle appartient à l'unité urbaine de Valence, une agglomération inter-départementale regroupant 10 communes[4] et 131 695 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7],[8].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,3% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,2%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (65,2%), zones agricoles hétérogènes (11,4%), cultures permanentes (5,7%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,7%), zones urbanisées (4,3%), eaux continentales[Note 3] (4,3%), forêts (3,3%), mines, décharges et chantiers (1%)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
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Allouette est un quartier attesté en 1891. Il était dénommé lous Allouvaus en 1470 (archives de la Drôme, E 1262)[11].
Logement
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Projets d'aménagement
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Risques naturels et technologiques
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Toponymie
Attestations
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[12]:
1157: castrum de Stella (Gall. christ., XVI, 104).
1258: burgum Stelle (inventaire des dauphins, 74).
1345: Tellane (archives de la Drôme, E 461).
1391: Estelle (choix de documents, 214).
XIVesiècle: mention de la paroisse: capella de Stella (pouillé de Valence).
1421: Estoille (Duchesne, Comtes de Valentinois, 6).
1503: l'Estoile (Bull. hist. ecclés., III, 136).
1520: Estoyle (rôles de tailles).
1523: Esteulle (de Coston, Hist. de Montélimar, II, 150).
1540: mention de la paroisse: cura Stelle (rôle de décimes).
1549: mention de la paroisse: cura Estelle (rôle de décimes).
1563: Estoelle (archives de la Drôme, E 3338).
1564: l'Estoille (lettres de Catherine de Médicis, II, 224).
1645: mention de la paroisse Notre-Dame: N.-D. d'Etoile (archives de la Drôme, B 129).
1891: Etoile, commune du canton de Valence.
(non daté)[réf.nécessaire]: Étoile-sur-Rhône.
Étymologie
Le nom de la localité est attesté sous la forme latine Stella en 1157. Outre le sens « étoile», Ernest Nègre lui donne le sens géographique de «rond-point»[13], autrement dit de «carrefour». Il sera francisée par la suite en Étoile.
Estela signifie « étoile» en ancien occitan et en occitan[réf.nécessaire].
Histoire
Article connexe: Histoire de la Drôme.
Préhistoire
Étoile est un carrefour naturel entre le nord, le sud et l'est. Il constitue aussi un poste de surveillance idéal de la vallée du Rhône.
Le Néolithique moyen est représenté uniquement par trois fragments de silex (deux lamelles et une esquille) extraits du sédiment de surface d'un empierrement. La présence de ces éléments pose un problème d'attribution chronologique de l'empierrement. Est-ce un vestige du Néolithique moyen isolé dans un contexte d'occupation du Bronze ancien? Ces éclats de silex sont-ils en position secondaire à la surface d'une structure du Bronze ancien? Il est difficile de trancher. On peut simplement déduire que l'existence de vestiges du Néolithique moyen sur ce secteur reste une probabilité très faible[14].
Le Bronze ancien est une période en revanche bien attestée (présence importante de mobilier céramique, plusieurs structures de types fosses et empierrements (foyers à pierres chauffées). On note la présence de vases à double cordon digité, des anses larges et des fragments de tasses à carènes et anses. Ce lot est comparable aux corpus des céramiques des sites des grottes du défilé de Donzère (Vital, 1990), des Croisières à Guilherand-Granges (Néré, 2012), de la ZAC du Bouquet à Montélimar (Cordier, 2013), de la ZAC de la Motte à Valence (Néré, in Réthoré, Ronco, 2013) et du plateau de Lautagne à Valence (Néré, in Réthoré, 2011 et 2012, et Ferber, 2010)[14]. La densité des vestiges observés et le type de céramique (domestique) permettent d'envisager l'existence d'un site d'habitat au Bronze ancien[14].
La période suivante, le Bronze final, plus précisément le Bronze final IIa, est représenté par six ensembles fossoyés (fosses). Cette période apparaît beaucoup plus discrète que la précédente. Le mobilier céramique retrouvé dans les différentes fosses constitue un lot très cohérent. Son niveau de conservation est exceptionnel. Ce mobilier s'apparente à celui des sites de la grotte de La Balme à Donzère (Vital, 1990), de Laprade à Lamotte-du-Rhône (Billaud, 2002) ou encore de la ZAC du Bouquet à Montélimar (Cordier, 2013). À proximité des zones de diagnostic, des occupations ou des vestiges du Bronze final sont attestées également sur les sites proches de La Lauze à Livron-sur-Drôme (Vicard, 2008), du Clos Chauvin à Loriol-sur-Drôme (Cordier, 2012) et plus au nord sur la ZAC de la Motte à Valence (Réthoré, Ronco, 2013)[14].
Deux bornes milliaires (trouvées au hameau de la Paillasse en 1754 et en 1814).
Nécropole du Bois-Rond (en 1906).
Sites gallo-romains du Francillon et de Pizey.
Présomption de site: villa gallo-romaine au lieu-dit les Petits Robins.
Présomption de site: mutatio Umbenno, relais signalé sur l'itinéraire de Bordeaux à Jérusalem, au hameau des Battendons.
On aurait trouvé les traces d'un camp militaire (fortifié) romain[réf.nécessaire].
Du Moyen Âge à la Révolution
Au Moyen Âge, le rôle de «sentinelle» d'Étoile se renforce, rôle qu'elle partage avec Livron-sur-Rhône, Savasse et la Garde-Adhémar[réf.nécessaire].
L'établissement à Étoile d'une importante communauté cistercienne contribue grandement à l'attraction culturelle et commerciale d'Étoile[réf.nécessaire].
Terre patrimoniale des comtes de Valentinois. Ils y avaient une de leurs résidences. Une charte de libertés municipales sera accordée aux habitants le (Ses habitants sont exemptés d'impôts et de corvée[réf.nécessaire]).
1157: le «haut domaine» est concédé aux évêques de Valence par les empereurs germaniques (L'empereur Frédéric Barberousse donne Étoile en fief à l'évêque de Valence[15]).
La terre passe aux Dauphins.
1419: elle est léguée au royaume de France par le dernier comte de Valentinois.
1454: la couronne de France l'engage aux Crussol.
1485: la couronne de France la donne aux Poitiers-Saint-Vallier qui s'en intitulent vicomtes.
(Diane de Poitiers (1499/1500-1566), duchesse de Valentinois et maîtresse influente du roi Henri II (1519-1559), y a séjourné fréquemment[réf.nécessaire]).
1566: à la mort de Diane, la terre fait retour à la couronne de France.
1643: engagée aux Ville, derniers seigneurs.
1448 (démographie): la population d'Étoile se compose de sept ecclésiastiques, trois familles nobles, 35 familles solvables et 111 familles ne payant pas d'impôts[12].
À la fin du Moyen Âge, Étoile est une cité florissante, qui aurait abrité plus de 5 000 habitants[réf.nécessaire].
La cité semble être restée assez longtemps à l'abri des troubles liés aux guerres des Religions. Toutefois, en 1566 (l'année de la mort de Diane), les huguenots prennent possession du bourg et le conservent pendant deux ans. Ils l'envahissent à nouveau en 1588 mais ne peuvent obtenir la reddition de la garnison retranchée dans le château. Ils repartent après avoir pillé le village[réf.nécessaire].
La cité perd son statut de place forte. Richelieu (1585-1642), qui craint que certains lieux stratégiques du sud-est ne deviennent des poches de résistance huguenote, ordonne la destruction d'un grand nombre de fortifications. Étoile en fait partie et ses murailles sont en partie détruites[réf.nécessaire].
Le passage répété de troupes aurait contribué à l'appauvrissement de la collectivité. Les dragons ont laissé un très mauvais souvenir à la population (vols, saccages, maltraitances)[réf.nécessaire].
Avant 1790, Étoile était une communauté de l'élection, subdélégation et sénéchaussée de Valence.
Elle formait une paroisse du diocèse de Valence dont l'église, dédiée à la sainte Vierge, et les dîmes appartenaient au prieur du lieu, qui présentait à la cure (voir Saint-Marcellin)[12].
Saint-Marcellin
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[16].
1179: ecclesia de Stella (cartulaire de Saint-Chaffre, 33).
1400: prioratus Sancti Marcellini prope Stellam (terrier de Beaumont-lès-Valence).
1891: saint-Marcellin, chapelle et ferme de la commune d'Étoile.
Ancien prieuré de l'ordre de Saint-Benoit (de la dépendance de l'abbaye de Saint-Chaffre-le-Monestier) dont le titulaire était collateur et décimateur dans la paroisse d'Étoile[16].
De la Révolution à nos jours
Dès l'été 1789, la communauté s'organise autour du curé Chaix. Ce dernier devient premier échevin. Le colonel Melleret prend la tête de la milice bourgeoise[réf.nécessaire].
Le , se produit un événement d'une grande portée: la fête de la Fédération qui regroupe les 17 communes des régions de Valence et de La Voulte-sur-Rhône (une autre aura lieu le à Montélimar). C'est le point de départ d'un mouvement qui aboutira à la constitution d'une véritable armée patriotique nationale, comme l'a expliqué Michelet dans sa célèbre Histoire de la Révolution française[réf.nécessaire].
En 1790, Étoile devient le chef-lieu d'un canton du district de Valence, comprenant les municipalités de Beaumont-lès-Vaience, Étoile, Fiancey, Montéléger, Montmeyran, Upie et la Vache. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) en fait une simple commune du canton de Valence[12].
Article connexe: Élections municipales de 2014 dans la Drôme.
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Administration municipale
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Liste des maires
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Article connexe: Élections municipales en France.
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Les données manquantes sont à compléter.: de la Révolution au Second Empire
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].
En 2019, la commune comptait 5 520 habitants[Note 4], en augmentation de 7,41% par rapport à 2013 (Drôme: +4,46%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
2 374
2 340
2 454
2 872
2 989
2 987
3 056
3 083
3 301
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
3 118
3 107
3 104
3 048
3 138
3 002
3 048
2 894
2 852
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
2 890
3 007
2 567
2 123
2 127
2 060
1 972
2 051
2 123
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
2 133
2 268
2 559
2 897
3 504
4 054
4 418
4 471
5 024
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
5 478
5 520
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique
Services et équipements
Services publics municipaux: crèches et garderie du Pôle Petite Enfance et Relais Assistantes Maternelles,
Enseignement
Écoles maternelles et primaires[réf.nécessaire].
Les quatre écoles publiques et privée de la commune accueillent 550 élèves[réf.nécessaire].
Santé
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Action sociale
Un «chéquier 3 étoiles» de 43 € est proposé depuis plusieurs années aux familles d'Étoile ayant des enfants scolarisés dans les écoles primaires de la commune. Ces chéquiers sont distribués lors de forums des associations[réf.nécessaire].
Le CMET (Contrat Municipal ETudiant) a pour but de rémunérer dix étudiants pour un certain nombre d'heures de travail pour la commune. Les étudiants doivent satisfaire à certaines conditions[réf.nécessaire].
La communauté Emmaüs de Valence réside sur la commune. Elle dispose d'une antenne à Montélimar[26].
Plusieurs manifestations culturelles sont organisées chaque année :
La fête patronale se tient le . La fête communale le premier dimanche de mai[15].
Des expositions en partenariat avec la communauté de communes des Confluences Drôme Ardèche et la Cité des sciences et de l’industrie de la Villette qui abordent aussi bien les thèmes scientifiques que l'art contemporain[réf.nécessaire].
Des concerts et des pièces de théâtre[réf.nécessaire].
La fête de la musique et le festival d’été «Du Lac aux Étoiles»[réf.nécessaire].
La fête des illuminations (à Noël). Le maire déclenche les illuminations en compagnie du «maire des enfants» élu démocratiquement par les membres du «conseil municipal des enfants» (eux-mêmes élus par leurs camarades de classe)[réf.nécessaire].
Église Notre-Dame d'Étoile-sur-Rhône du XIIesiècle: ancienne prieurale romane Notre-Dame (MH): trois nefs, chapiteaux historiés. La charte du XIIIesiècle est scellée au linteau[15].
Notre-Dame-d'Étoile, église datant de la fin du XIIeetXIIIesiècles. Plusieurs modifications gothiques puis modernes n'ont pas altéré l'impression d'homogénéité générale de l'édifice. À ces époques, les piliers furent retaillés, leurs angles largement biseauté, les portails furent repris, ainsi que certaines voûtes. L'élément le plus remarquable est son portail nord. Les structures extérieures ont été très reprises, mais six colonnes et chapiteaux romans subsistent, d'une sculpture assez riche[27]. On voit à l'intérieur quelques traces de peinture du XIVesiècle[réf.nécessaire].
Fixée au portail nord, la Charte des Franchises stipule que le seigneur «de Poitier» baissera pour toujours les impôts[réf.nécessaire].
Chapelle Saint-Marcellin[15]. Ancien prieuré dépendant du monastère de Saint-Chaffre, le prieur disposait du droit de nommer à la cure de la paroisse de l'Etoile. Des éléments archéologiques carolingiens ont été identifiés, mais l'édifice actuel daterait du XIIesiècle[27].
La Porte Aiguière, ancienne porte médiévale de la ville[réf.nécessaire].
Chapelle et hôpital[réf.nécessaire].
Temple protestant[réf.nécessaire].
Le Pilori. Il servait à punir les malhonnêtes et les voleurs. On les montrait au public[réf.nécessaire].
Cure[réf.nécessaire].
Chapelle des Pénitents Blancs[réf.nécessaire].
Château Saint-Ange[réf.nécessaire].
Monument de la Fédération[réf.nécessaire].
Mairie et ancienne mairie[réf.nécessaire].
Tour Renaissance et porte du château.
Porte du château des Poitiers.
Porte fortifiée du château de La Boisse.
Fontaine couverte et lavoir.
Ancienne mesure à blé.
Église Notre-Dame-d'Étoile, XIIeetXIIIesiècles.
Église Notre-Dame-d'Étoile.
Patrimoine culturel
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Jean-François Reynaud, «Étoile-sur-Rhône», Congrès archéologique de France, vol.1992, no150, , p.159-164 (lire en ligne).
Michel Chaudy, Les Compagnons de France du Valentinois, Montélimar, Edition Castelli, , 280p. (ISBN978-2-35317-073-9, lire en ligne), pages 145 à 190, chapitre sur Étoile-sur-Rhône.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 6 (Allouette).
J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 135 (Etoile).
Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne)
«Étoile-sur-Rhône», sur Archéologie de la France, informations (consulté le ).
Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN2-7399-5026-8), Etoile-sur-Rhône.
J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 347 (Saint-Marcellin).
François Palau et Maguy Palau, Le rail en France: Le Second Empire, t.1: 1852-1857, Paris, Palau éd., , 215p. (ISBN2-9509421-1-3, BNF36712104), «1.21. Avignon-Valence», p.76-77.
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