world.wikisort.org - France

Search / Calendar

Villiers-Saint-Frédéric est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France.

Villiers-Saint-Frédéric

La mairie.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Rambouillet
Intercommunalité Communauté de communes Cœur d'Yvelines
Maire
Mandat
Sylvain Durand
2020-2026
Code postal 78640
Code commune 78683
Démographie
Gentilé Villersois
Population
municipale
2 906 hab. (2019 )
Densité 574 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 49′ 18″ nord, 1° 53′ 27″ est
Altitude Min. 53 m
Max. 171 m
Superficie 5,06 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aubergenville
Législatives Douzième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Villiers-Saint-Frédéric
Géolocalisation sur la carte : France
Villiers-Saint-Frédéric
Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Villiers-Saint-Frédéric
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Villiers-Saint-Frédéric
Liens
Site web www.mairie-villiers-saint-frederic.fr

    Géographie


    Position de Villiers-Saint-Frédéric dans les Yvelines.
    Position de Villiers-Saint-Frédéric dans les Yvelines.

    Situation


    La commune se situe à l'extrémité est de la plaine de Montfort-l'Amaury en contrebas de l'escarpement de Neauphle-le-Château qui marque lui-même l'extrémité ouest de la plaine de Versailles.

    La majeure partie de l'habitat de la commune est regroupé autour du centre village où se trouvent la mairie et la petite église Saint-Frédéric. Deux extensions de type pavillonnaire ont été créées, l'une à l'ouest, dans le quartier dit Pasteur en limite de Neauphle-le-Vieux, l'autre, un peu plus résidentiel, en amont du lieu-dit du Pontel où se trouvait la RN 12 avant sa déviation et son déclassement en D 912.


    Hydrographie


    La Mauldre est la principale rivière de cette commune. Elle a servi de base à la nouvelle limite administrative avec Neauphle-le-Vieux au moment du démembrement de cette dernière en 1783 portant la création de la nouvelle paroisse de Villiers.

    La commune héberge également quelques mares, sur les terrains argileux de son territoire.

    La commune de Villiers-Saint-Frédéric est l'une des douze communes concernées par le plan de prévention des risques d'inondation (PPRI) du bassin de la Mauldre. La Mauldre et ses affluents sont en effet sujets à des crues rapides, de type torrentiel[1].


    Communes limitrophes


    Beynes Saint-Germain-de-la-Grange Saint-Germain-de-la-Grange
    Neauphle-le-Vieux N Neauphle-le-Château
    O    Villiers-Saint-Frédéric    E
    S
    Neauphle-le-Vieux Neauphle-le-Vieux Jouars-Pontchartrain

    Lieux-dits de la commune


    En gras les hameaux[2]. principaux :

    En italique les toponymes [1] du plan du fief de Villiers-Cul-de-Sac (Arch. dép. Yvelines, 48 J 624-626 - en ligne -, déb. 18e s.) et [2] du cadastre napoléonien (Arch. dép. Yvelines, 3 p. 310 - en ligne -, déb. 19e s.), et parfois précédés d'un astérisque [*] ceux qui ont disparu.

    Voir également ci-après, pour la toponymie, les paragraphes consacrés aux chemins ruraux et aux sentes.


    Transports et voies de communications



    Réseau routier

    La Cour de la Ferme.
    La Cour de la Ferme.

    Le lieu-dit du Pontel, localement célèbre eu égard aux nombreux embouteillages de week-end avant la déviation de la RN 12 et la disparition de l'autopont en 2003 reste un carrefour d'importance pour la circulation locale. Trois voies de circulation importantes y passent :


    Voies vicinales


    Chemins ruraux[3]


    Sentes urbaines


    Sentes rurales


    Desserte ferroviaire

    La gare de Villiers - Neauphle - Pontchartrain.
    La gare de Villiers - Neauphle - Pontchartrain.

    La ligne de Saint-Cyr à Surdon passe par le territoire communal depuis 1864. La commune possède une gare ferroviaire sur cette ligne.


    Bus

    La commune est desservie par les lignes 14, 78, B, M, P, Q et V de la société de transport Hourtoule, par les lignes 13, 40 et Express 67 de l'établissement Transdev de Houdan et par la ligne 18 de l'établissement Transdev d'Ecquevilly.


    Sentier de randonnée

    Le sentier de grande randonnée GR 1 traverse le territoire de la commune, de Neauphle-le-Vieux à l'ouest jusqu'à Saint-Germain-de-la-Grange à l'est.


    Urbanisme



    Typologie


    Villiers-Saint-Frédéric est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[7] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[8],[9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].


    Toponymie


    Le nom de Villiers-Saint-Frédéric vient de Villiers-Cul-de-Sacq[12],[13], l'ancien déterminant « Cul de Sacq » vient probablement de la topographie des lieux. Dans sa monographie, l'instituteur de Villiers en 1899 décrit une « accès difficile » ; l'un des rares accès à ce hameau, depuis Neauphle-le-Château était un chemin très pentu dit « chemin de Neauphle », aujourd'hui « rue de la Butte » , montant une côte à 18 %. Nom d'un hameau et d'une seigneurie se trouvant autrefois sur le territoire de Neauphle-le-Vieux[14].
    Villiers a également été désigné au Moyen Âge sous le nom de Villiers delez Neafle, c'est-à-dire « Villiers près Neauphle »[15].
    Villiers-le-Voltaire sous la révolution en 1793[16],[17].

    Villiers dérive du bas latin villare qui signifie « groupe de fermes ».
    Le déterminant « Saint-Frédéric » est une référence à saint Frédéric († 838), à qui est dédiée l'église. Cette dédicace vient du fait que la nouvelle église paroissiale a été fondée en 1780 par Frédéric Phélypeaux, comte de Maurepas, en vue de la suppression de la paroisse de Saint-Aubin.


    Histoire



    Héraldique


    Les armoiries de Villiers-Saint-Frédéric se blasonnent ainsi :

    parti, au premier d'or à trois abeilles de sable, au second d'azur semé de billettes d'or aux deux goujons adossés du même brochant sur le tout, le tout sommé d'un chef d'azur semé de quartefeuilles d'or.

    Ce blasonnement est inspiré des armoiries d'anciens seigneurs de Villiers-Cul-de-Sac :

    • famille de Meneau : d'or à trois abeilles de sable ;
    • famille de Rouville : d'azur semé de billettes d'or aux deux goujons adossés du même[18] ;
    • famille Phélypeaux : d'azur semé de quartefeuilles d'or, au franc-quartier d'hermine.



    Historique


    Le monument aux morts.
    Le monument aux morts.
    Époque préhistorique

    Il a existé un habitat à l'époque néolithique, comme l'attestent les fragments lithiques (une centaine d'outils en silex) et céramiques retrouvés fortuitement en 1987 dans un terrain des rues Gromet, et attribués à la période du Groupe de Villeneuve-Saint-Germain (vers 5100-4700 av. J.-C.)[19].

    Époque antique

    Pour l'époque antique et celle antérieure au XIVe siècle, l'histoire de cette commune semble avoir laissé peu de traces, n'étant probablement que peu habitée. N'ayant pas encore le statut de paroisse, mais d'un simple hameau seigneurial, les sources sont de ce fait moins explicites, en dehors de l'histoire de ses seigneurs particuliers.

    Époque médiévale

    Le territoire de l'actuelle commune a appartenu jusqu'au XVIIIe siècle (1783) à celui de Neauphle-le-Vieux[20]. On peut penser que les trois communes actuelles de Neauphle-le-Château, Neauphle-le-Vieux et Villiers-Saint-Frédéric (ex-hameau de N.-le-Vieux), aient formé une seule et même paroisse et le bourg castral de Neauphle se soit développé autour de l'ancien château des seigneurs de Neauphle.

    Seigneurie de Villiers-Cul-de-Sac

    Le coteau situé à l'ouest des bois de Villiers était depuis le Moyen Âge le siège d'une petite seigneurie dépendant de la châtellenie de Neauphle-le-Château, laquelle relevait du roi à cause de sa châtellenie de Meulan[21]. Il existait alors une demeure seigneuriale aujourd'hui disparue mais dont le microtoponyme a été conservé au cadastre (feuille C1). Face à l'actuelle mairie subsiste l'entrée monumentale de la ferme de cet ancien château, et probablement quelques éléments de celle-ci, ainsi que l'ancienne chapelle, devenue en 1783 la nouvelle église paroissiale Saint-Frédéric[22].

    Paroisse de Villiers-Saint-Frédéric

    Avant 1783, la cure était dédiée à Saint-Aubin et se trouvait au lieu-dit de la ferme de Saint-Aubin (aujourd'hui à Neauphle-le-Vieux). Cette ancienne paroisse, comptant 20 communiants vers 1750[23] ne possédait plus dans la dernière moitié du XVIIIe siècle qu'un seul foyer (ou feu)[24], probablement la famille du fermier de Saint-Aubin. Elle fut supprimée en 1783 et son territoire rattaché à celui de Neauphle-le-Vieux[25], en même temps que fut détachée de cette dernière le nouveau territoire de Villiers-Saint-Frédéric. La cure de Saint-Aubin fut transférée sur la chapelle Saint-Georges du château de Villiers-Cul-de-Sac[22]. Les comptes de la fabrique ne couvrent d'ailleurs que les années 1783-1791. L'église portait alors le titre de Saint-Georges de Villiers-Saint-Frédéric[26]. L'église Saint-Aubin, qu'on peut situer grâce à l'atlas de Trudaine (planche Arch. nat. F/14/*8447) est aujourd'hui démolie[27]. La réception des travaux de la nouvelle église, commandés par le comte de Maurepas intervient à compter du 19 décembre 1782 à la demande du duc de Nivernais époux d'Hélène Phélypeaux de Pontchartrain ainsi que des entrepreneurs qui ont participé aux travaux. Ceux-ci mandatent l'expert-juré-entrepreneur de bâtiments parisien Michel Neveu, voisin du duc de Nivernais rue de Tournon à Paris, pour voir si les devis et marchés faits avec feu M. le comte de Maurepas ont bien été exécutés, en faire la réception ou s'il y a lieu rapporter leur exécution : arc.nat/z/1j/1094, procès-verbal du 19 décembre 1782.

    En 1789, cette nouvelle paroisse de Villiers-Saint-Frédéric est érigée en commune, et prend à partir de 1793 le nom révolutionnaire de Villiers-le-Voltaire[16],[17].


    Seigneurs de Villiers-Cul-de-Sac

    Les seigneurs de Villiers-Cul-de-Sac furent successivement des membres des familles de Villaines (XIVe s.), de Rouville (XVe-XVIe s.), de Meneau (XVIe-XVIIe s.), puis Phélypeaux de Pontchartrain (XVIIIe s.)[28].

    Article détaillé : Liste des seigneurs de Villiers-Cul-de-Sac.

    Histoire administrative

    La paroisse de Villiers Cul de Sac, crée en 1783, juste avant la Révolution française, dépendait alors au civil de la généralité de Paris et était comprise dans l'élection de Montfort-l’Amaury, subdivision de la généralité. Le ressort judiciaire dont elle faisait partie était le bailliage de Montfort. Le droit coutumier était celui du Vexin français. Au regard des autorités religieuses de l'Église catholique romaine, la paroisse, alors dédiée à saint Aubin, relevait de l'ancien diocèse de Chartres, et se situait dans l'archidiaconé du Pincerais, au doyenné de Poissy. Le patron présentateur de la cure, c'est-à-dire celui qui nommait le curé, était l'abbé de Neauphle-le-Vieux.

    Depuis la révolution, Villiers a fait partie du département de Seine-et-Oise, dans le canton de Neauphle-le-Château, ayant a été mis en 1790 dans le district de Montfort. Ce dernier a été supprimé en 1795 et le canton de Neauphle a été intégré au district élargi de Rambouillet, qui devient en 1800 l'actuel arrondissement de Rambouillet. En 1801, le canton de Neauphle-le-Château est supprimé[29] et Villiers-Saint-Frédéric fait depuis partie du canton de Montfort-l'Amaury[30]. Pendant cette période, le ressort judiciaire a dépendu des districts (tribunal d'instance) et cantons (justice de paix) correspondants. Au ressort ecclésiastique, la paroisse, dont la dédicace a été transférée à une époque indéterminé à saint Frédéric, dépendait depuis 1801 du nouveau diocèse de Versailles, doyenné de Montfort-l'Amaury. En 1845, l'évêque de Versailles créa l'archidiaconé de Notre-Dame (arrondissements d'Étampes, Corbeil et Rambouillet)[31]. Aujourd'hui, dans l'actuel diocèse de Versailles, Villiers-Saint-Frédéric appartient au groupement paroissial de Neauphle-Jouars, dans le nouveau doyenné de Maule-Montfort-Houdan.


    Politique et administration


    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1912 1945 Léon Beauché (1871-1946)    
    1945 1971 André Richard[32] (1905-1994)   Exploitant agricole
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 En cours
    (au 23 mai 2020)
    Sylvain Durand[33] DVD Enseignant
    7e vice-président de la CC Cœur d'Yvelines (2014 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société



    Démographie



    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].

    En 2019, la commune comptait 2 906 habitants[Note 3], en augmentation de 6,8 % par rapport à 2013 (Yvelines : +2,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    436441585441386385380415383
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    373396369358353360353336334
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    354350359363380420451521604
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    7669461 1981 4102 3062 3862 6842 7182 730
    2017 2019 - - - - - - -
    2 8382 906-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,9 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 411 hommes pour 1 497 femmes, soit un taux de 51,48 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,32 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90 ou +
    0,5 
    5,8 
    75-89 ans
    5,5 
    19,7 
    60-74 ans
    17,6 
    21,0 
    45-59 ans
    22,4 
    18,8 
    30-44 ans
    18,8 
    16,4 
    15-29 ans
    16,3 
    17,7 
    0-14 ans
    18,9 
    Pyramide des âges du département des Yvelines en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90 ou +
    1,3 
    5,7 
    75-89 ans
    7,7 
    13,4 
    60-74 ans
    14,5 
    20,6 
    45-59 ans
    20,3 
    19,8 
    30-44 ans
    19,9 
    18,4 
    15-29 ans
    17 
    21,5 
    0-14 ans
    19,4 

    Économie


    La seule entreprise importante qui se trouve sur la commune est l'IDVU (Ingenierie Division Vehicules Utilitaires) de Renault. Le site est spécialisé dans le développement des véhicules utilitaires (avec General Motors) et dans certains essais. Il héberge également l'exploitation informatique et télécom du groupe. Il compte environ 3 000 salariés.

    Dans le quartier du Pontel est également située un complexe commercial, centré autour du Carrefour Market, un supermarché qui était jusqu'en 2009 à l'enseigne Champion. C'est là que se trouve véritablement la zone active du village, avec tabac, presse, boulangerie, boutique de prêt-à-porter, restaurant, et autres magasins alimentaires comme une poissonnerie.


    Enseignement


    La commune possède[39] :


    Sports et Culture


    La Maison du Temps Libre (M.T.L.) fait partie du complexe sportif du village. Elle comprend une grande salle accueillant des activités sportives, mais aussi des réunions annuelles et une seconde salle adaptée à la danse.

    Un gymnase construit en 2000 complète cet ensemble. À proximité se trouvent trois courts de tennis dont un couvert. Un petit dojo est présent près des écoles.

    À noter également, que la commune de Villiers-Saint-Frédéric compte 14 associations : la VSC (Villiers Sport et Culture) qui propose 40 activités (théâtre, danse, gym, renforcement musculaire, relaxation, gym senior, le running sport nature, le judo, le tennis, le scrabble, la peinture sur soie ...) Villages D'Yvelines en Transition, FCPE, APEIV, La Compagnie Des Archers Villersois, Club Canin, Fête de vos mains, Les ajoux de Villiers, Krav Maga 78, La Ligue pour la Protection des Oiseaux, Comité des Fêtes, L'Or des Loisirs, Tennis de Table des 4 Communes, le S.E.L des 3 Communes. Le bureau du foyer rural est cour de la ferme près de l'église.


    Lieux et monuments


    Le jardin de la mairie.
    Le jardin de la mairie.
    L'église Saint-Frédéric.
    L'église Saint-Frédéric.

    Activités festive



    Personnalités liées à la commune



    Voir aussi



    Bibliographie


    Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?

    Articles connexes



    Liens externes


    Sur les autres projets Wikimedia :


    Notes et références



    Notes


    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références


    1. « Notice de présentation du Plan de prévention des risques d'inondation de la vallée de la Mauldre. », Préfecture des Yvelines (consulté le ).
    2. Cartes d'état-major, cartes IGN, cadastres 1818, 1946, 1954, consultables en ligne ici et .
    3. Source : plan municipal ; et plan cadastral en ligne.
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    8. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    9. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    12. Archives départementales des Yvelines, 48 J 624-626.
    13. Seigneurie de Villiers-Cul-de-Sacq, Henri Brame, « Historique de l'abbaye de Saint-Pierre de Neauphle-le-Vieux », Revue Mabillon, 2e série, avril-juin 1931, XXIIe année, n°46p. 137.
    14. Archives départementales des Yvelines, 1T mono 12/20 (1899). En ligne sur le site des AD 78.
    15. Acte de Philippe VI de Valois, d'après la monographie de Paul Aubert, Arch. dép. Yvelines, J 3211/22/15.
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    17. Roger de Figuères, Les noms révolutionnaires des communes de France: listes par départements et liste générale alphabétique, Paris : Société de l'histoire de la révolution française, 1901, p. 125.
    18. La Chesnaye-Desbois, Dictionnaire de la noblesse.
    19. M.-A. Charrier, Gallia informations: préhistoire et histoire, n° 1 à 2, 1989, p. .
    20. L'administration locale en Ile-de-France. Actes du Ve Colloque de la Fédération. Mémoires de la Fédération des sociétés historiques et archéologiques de Paris et de l'Ile-de-France, t. 38 (1987), 1987, p. 84.
    21. Toussaint Chauvelain et alii, Nouveau coutumier général: ou corps des coutumes générales et particulières de France, et des provinces connues sous le nom des Gaules, Paris : Théodore Le Gras/Michel Brunet, 1724, vol. 3, p. 166
    22. Archives départementales des Yvelines, G 1141 (dans : Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790 : Seine-et-Oise. Archives ecclésiastiques, Série G, articles 1-1167, Versailles, 1895, p. 447.
    23. Philippe Hernandez, Description de la généralité de Paris, Paris : Moreau, chapitre X (élection de Montfort-l'Amaury)p. 4.
    24. Abbé d'Expilly, Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France, t. IV, 1766, p. 851.
    25. Il est probable que son ancien territoire corresponde à la section C dite de Saint-Aubin de l'ancien cadastre napoléonien de Neauphle-le-Château (1818). D'après Archives départementales des Yvelines, 3P 2/234/01. Vue numérisée.
    26. Archives départementales des Yvelines, G 1141 (dans : Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790 : Seine-et-Oise. Archives ecclésiastiques, Série G, articles 1-1167, Versailles, 1895, p. 424.
    27. Voir la planche. L'emplacement de cette ancienne église était (sur la commune de Neauphle-le-Vieux) au bord de l'actuelle voie communale n°1 de Montfort-l'Amaury à Neauphle-le-Vieux, côté ouest, dans une parcelle sise entre la ferme et la voie de chemin de fer (n°4).
    28. Henri Brame, « Historique de l'abbaye de Saint-Pierre de Neauphle-le-Vieux », Revue Mabillon, 2e série, avril-juin 1931, XXIIe année, n°46p. 137.
    29. Il regroupait les communes de : Beynes, Coignières, Elancourt, Jouars-Pontchartrain, Marcq, Maurepas, Montainville, Neauphle-le-Château, Neauphle-le-Vieux, Plaisir, Saint-Germain-de-la-Grange, Trappes, Saulx-Marchais. Archives départementales des Yvelines, 4E/4572.
    30. Guy Sampiero Rault, Monographie de Villiers-Saint-Frédéric et de Neauphle-le-Vieux, mém. de maîtrise, Paris : Université Paris XIII, 1974, 230p. .
    31. Statuts du diocèse de Versailles, 1845. voir.
    32. [PDF] « Reportage », sur mairie-villiers-saint-frederic.fr, Villiers Infos, mai 2018, p. 19
    33. Résultats des élections municipales de mars 2008 sur le site officiel de la préfecture des Yvelines.
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Villiers-Saint-Frédéric (78683) », (consulté le ).
    38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
    39. « Site officiel de l'inspection académique des Yvelines »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?).
    40. Arch. dép. Yvelines, Chartrier de Pontchartrain 48 J 624 (vers 1692-1715) d'après Guy Sampiero Rault, Monographie de Villiers-Saint-Frédéric et de Neauphle-le-Vieux, mém. de maîtrise, Paris, Université Paris-XIII, 1974.
    41. Arch. dép. Yvelines, C 97, plan n° 64, d'après G. Sampiero-Rault, op.cit.
    42. Père Anselme de Saint-Marie, i'Histoire de la maison royale de France, anciens barons du royaume et des grands officiers de la couronne, 3e édition, 9 vol., 1726, Reprint Paris : Editions du Palais-Royal, 1967-1968, vol. 8 p. 711.
    43. Arch. dép. Yvelines, Chartrier de Pontchartrain, plan des Bois de 1729, 48 J 630.
    44. Ibid, et 48 J 624 (vers 1692-1715).
    45. Père Anselme, Histoire de la Maison Royale de France, et des grands officiers de la Couronne, t. VII, p. 708.
    46. Moréri, Grand dictionnaire, t. VIII, p. 261-262.
    47. Denis Grisel, Répertoire numérique des archives du bailliage et gruerie de Pontchartrain, 1973 (Archives départementales des Yvelines : fonds B/2037-2088. Voir aussi 48 J : chartrier du comté de Pontchartrain.

    На других языках


    [de] Villiers-Saint-Frédéric

    Villiers-Saint-Frédéric ist eine französische Gemeinde mit 2.906 Einwohnern (Stand: 1. Januar 2019) im Département Yvelines in der Region Île-de-France. Sie gehört zum Arrondissement Rambouillet und zum Kanton Aubergenville (bis 2015: Kanton Montfort-l’Amaury). Die Einwohner werden Villiersois genannt.

    [en] Villiers-Saint-Frédéric

    Villiers-Saint-Frédéric is a commune in the Yvelines department in the Île-de-France region in north-central France.

    [es] Villiers-Saint-Fréderic

    Villiers-Saint-Fréderic es una población y comuna francesa, en la región de Isla de Francia, departamento de Yvelines, en el distrito de Rambouillet y cantón de Montfort-l'Amaury.
    - [fr] Villiers-Saint-Frédéric



    Текст в блоке "Читать" взят с сайта "Википедия" и доступен по лицензии Creative Commons Attribution-ShareAlike; в отдельных случаях могут действовать дополнительные условия.

    Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.

    2019-2025
    WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии