Maule est une commune française située dans le département des Yvelines (arrondissement de Mantes-la-Jolie) et dans la région Île-de-France.
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Maule | |
L'hôtel de ville. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Île-de-France |
Département | Yvelines |
Arrondissement | Saint-Germain-en-Laye |
Intercommunalité | Communauté de communes Gally Mauldre (siège) |
Maire Mandat |
Laurent Richard (LR) 2020-2026 |
Code postal | 78580 |
Code commune | 78380 |
Démographie | |
Gentilé | Maulois |
Population municipale |
5 881 hab. (2019 ![]() |
Densité | 340 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 55′ 01″ nord, 1° 51′ 00″ est |
Altitude | Min. 27 m Max. 178 m |
Superficie | 17,30 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Épone (ville-centre) |
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton d'Aubergenville |
Législatives | Neuvième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | maule.fr |
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Ses habitants sont appelés les Maulois.
La commune de Maule se trouve dans le nord des Yvelines dans la vallée de la Mauldre. Elle se trouve à 15 km environ au sud-est de Mantes-la-Jolie, chef-lieu d'arrondissement et à 30 km environ au nord-ouest de Versailles, préfecture du département.
Neuf communes sont limitrophes de Maule. Ce sont : Aulnay-sur-Mauldre au nord, Bazemont au nord-est, Herbeville à l'est, Mareil-sur-Mauldre au sud-est, Montainville au sud, Andelu au sud-ouest, Jumeauville à l'ouest, Épône et La Falaise au nord-ouest.
La commune de Maule appartient au bassin versant de la Seine. Le territoire communal est irrigué par la Mauldre, petite rivière de 35 km de long, affluent de rive gauche de la Seine, qui traverse le territoire communal dans le sens sud-nord[1].
Plusieurs bras de dérivation ont été creusés dans la commune pour alimenter d'anciens moulins à eau.
La commune est concernée par les risques d'inondations liés aux crues de la Mauldre. Les zones inondables forment une bande de largeur variable de part et d'autre du lit de la rivière, englobant une partie du bâti dans le bourg. La dernière crue importante, avec un débit de 28,5 m3/s[2], date du .
Dans le cadre du « plan de prévention des risques d’inondation (PPRI) de la vallée de la Mauldre, les zones inondables ont été classées en zones rouge, verte ou bleue, selon l'importance de l'exposition aux risques d'inondation. La zone bleue, qui permet l'extension sous certaines conditions de l'urbanisation, concerne à Maule une zone centrale, bâtie, située entre le centre du bourg ancien et la RD 191. La zone rouge, très exposée et peu urbanisée, où toute urbanisation nouvelle est interdite, couvre une bande étroite le long de la rivière et s'étend plus largement dans certains secteurs comme le Pré Rolet, en aval du bourg. La zone verte vise à la reconquête du champ d'extension de crue de la Mauldre. L'urbanisation nouvelle y est également interdite. Elle s'étend à Maule en amont et en aval du bourg, en particulier dans le secteur du Radet en amont[3].
La commune de Maule s'étend dans la vallée de la Mauldre où se trouve le bourg ancien, à une altitude variant de 30 à 40 mètres, et de part et d'autre vers l'ouest sur le plateau agricole et limoneux du Mantois, de 120 à 130 mètres d'altitude, et vers l'est en limite de la plaine de Versailles dans un secteur plus vallonné, entre 130 et 180 mètres d'altitude.
Le climat à Maule est un climat tempéré de type océanique dégradé caractéristique de celui de l'Île-de-France. Les températures moyennes s'échelonnent entre 2 et 5 °C en hiver (janvier) et 14 et 25 °C en été (juillet)[4]. La pluviométrie moyenne, relativement basse, s'établit à environ 600 mm par an. Les mois les plus pluvieux vont d'octobre à janvier.
Type d'occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Espace urbain construit | 11,7 % | 204,18 |
Espace urbain non construit | 5,9 % | 102,66 |
Espace rural | 82,4 % | 1 440,94 |
Source : Iaurif |
Le territoire communal est très largement rural (82,4 %), l'espace urbain construit occupant 204 hectares, soit 11,7 % du territoire total[5].
L'espace rural se partage principalement entre grandes cultures (céréales, colza) sur 1 160 hectares (les deux tiers du territoire communal) et bois et forêt sur 254 hectares. Ces derniers se trouvent surtout sur les versants pentus de la vallée de la Mauldre ainsi qu'en limite est de la commune.
La surface consacrée à l'habitat couvre 168 hectares (9,6 % de la superficie totale) et comprend essentiellement des habitations individuelles (164 hectares). L'habitat collectif couvre environ quatre hectares, avec notamment une cité HLM à l'entrée nord de la ville sur la route départementale D191.
L'urbanisation s'est étendue dans le fond de la vallée vers le nord et le sud, et surtout sur les pentes des coteaux à l'est où s'est construite une importante zone pavillonnaire à la Cauchoiserie. Celle-ci est appelée ainsi du fait de la culture, à cet endroit au Moyen Âge, de pommes cauchoises avec lesquelles on fabriquait du cidre normand. Il ne reste aujourd'hui que quelques pommiers dans les jardins locaux.
Les activités économiques et industrielles occupent 13,8 hectares (soit 0,8 % du territoire total). Ces implantations sont dispersées en divers points de la commune et notamment dans les zones d'activités de la Gare (près de la gare) et des Lézardes (route d'Andelu).
À l'ouest et au sud, le plateau a conservé sa vocation agricole, avec trois grandes fermes isolées, Bois Henry, Palmort et Beaurepaire.
La principale desserte routière est la route départementale 191 qui traverse la commune selon un axe nord-sud, la direction nord menant à Épône, à l'ancienne route nationale 13 et à l'autoroute A13, la direction sud menant à Beynes puis à la route nationale 12 et, au-delà, vers Rambouillet.
La commune possède sa propre gare SNCF. Elle est située sur la ligne de chemin de fer de Paris-Montparnasse à Mantes-la-Jolie via Plaisir - Grignon et Épône - Mézières.
La commune est desservie par les lignes 14, 17S, 18, 34, 41, 511 et 512 de l'établissement Transdev d'Ecquevilly et par les lignes 13 et SMTS de l'établissement Transdev de Houdan.
Maule est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Épone, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[9] et 20 383 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[10],[11].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[12],[13].
Le nom de la localité est attesté sous les formes Manlia en 1224[14], Maulius au XIIIe siècle[15], Maulle au XVIe siècle[16] et finalement Maule.
Selon une hypothèse formulée par Jacques Tréton dans son ouvrage Histoire de Montainville en Pincerais[17], et complétée par la découverte d'une forme ancienne du village de Maule[16] remontant au VIe siècle : Mentelarico. Le village de Maule et la rivière Mauldre auraient une origine commune.
Le nom de la rivière Mauldre (Mantalara) aurait précédé le nom du village de Maule (Mantalara-ico) et aurait été donné par des locuteurs gaulois, il y a deux mille ans.
La forme Mentelarico serait composée de la racine gauloise mantalo, signifiant « chemin, route, voie importante », et des suffixes gaulois -ara qui signifie « cours d'eau, rivière », et de -ico qui signifie « village (au bord de l'eau), port (sur la rivière) ». Ce qui correspondrait assez bien à la position de la ville de Maule, au croisement d'une voie antique et d'un cours d'eau. Ce mot aurait évolué en Mantula ou Mautula au IXe siècle, puis Maulia au XIIIe siècle, et finalement en Maule, ou Maulle, au XVIe siècle[16].
La signification de Maule serait « le port sur la rivière qui coupe le grand chemin ».
À l'époque gallo-romaine, le site de Maule appartient à la tribu gauloise des Carnutes. Il est colonisé par les Romains, comme en attestent des traces d'habitats sur les collines de Pousse-Motte.
Habitat très ancien, on y a retrouvé, des ossements de rhinocéros, une voie romaine[18] et, entre 1959 et 1960, 933 sépultures allant du Ier au VIIe siècle.
Au Xe siècle, la baronnie de Maule est la propriété de la famille Le Riche, qui la transmettront aux Morainvillier puis aux Harlay. Guérin Le Riche (?-1045) est la tige de la famille de Maule. Son fils Ansoud III est à l'origine de la fondation, en 1076, du prieuré administré par des moines bénédictins de Saint-Evroult en Normandie ; il fait également ériger les remparts de Maule.
Sous le règne du baron Pierre Ier de Maule (1025-1101) se déroula la première croisade ; son petit fils Gauthier-sans-avoir portera la bannière de Maule lors de la croisade populaire, en faisant la première cité représentée à la guerre Sainte. Ses frères eux sauveront le roi Baudouin à la bataille de Ramla.
Son fils Ansold II de Maule (1042-1018) participera à la campagne contre les Byzantins aux côtés de Robert Guiscard et sera parmi les premiers à entrer à Rome pour sauver le pape des Allemands avant de rentrer en sa terre.
Grande ville économique du Mantois, ses murailles sont néanmoins démantelées au XIIe siècle sur ordre de Louis VI le Gros en punition des excès du baron de l'époque Pierre II le Batailleur. Mais elles restent en mémoire avec, par exemple, le boulevard des Fossés qui surplombe la mairie actuelle et l'ancienne école primaire annexe.
Lorsque la guerre de Cent Ans frappe l'Île-de-France, Maule n'est pas épargnée. Déjà touchée par la peste noire, elle se situe à la frontière entre les possessions de la couronne à l'est et le domaine de Charles II de Navarre, alors allié des Anglais, à l'ouest. Celui-ci s'empare bientôt de la vallée de la Mauldre et saccage Maule en 1357. La prise de la ville est due à la traitrise d'un homme du baron rancunier d'avoir été jugé pour chasse au bâton (braconnage) ; en effet, selon Émile Reaux, les Maulois se défendaient vaillamment, probablement à la porte de Monfort, surnommée « pont rouge » à cause du carnage. La dynastie des Maule mâle s’éteignit ici avec Pierre V, tué au combat. À noter que les Anglais renforcèrent et modernisèrent les murailles de Maule pour se prémunir de la contre offensive française.
À la fin de la guerre de Cent Ans, Maule reprend son essor et devient une ville prospère, comme le montre l'édit de François Ier rédigé en 1528 et confirmant la tenue d'un marché. Des halles seront d'ailleurs édifiées en 1564.
En 1594, Nicolas de Harlay sieur de Sancy, alors baron de Maule par sa mère Jacqueline de Morainvillier, et surintendant des finances du roi Henri IV, fait édifier un château au lieudit d'Agnou (dans le premier virage de l'actuelle rue d'Agnou — château longtemps laissé à l'abandon). Il mourut dans la commune.
Le domaine de Maule est érigé en marquisat en 1667.
En 1793, la ville devient chef-lieu de canton. Elle le restera jusqu'en 1801, date de son rattachement au canton de Meulan.
La ville se développe avec la révolution industrielle. En 1874, un entrepreneur crée une usine de cannes qui sera au cœur de l'économie mauloise. Elle sera fermée en 1936.
En 1887, l'ancienne brigade de gendarmerie à cheval de Mauléoniste, créée par décision Ministérielle du , s'installe dans une maison située sur la route départementale. Les nouveaux quartiers de la gendarmerie de Maule sont une donation sous forme de bail de neuf ans de la veuve et des héritiers Beuzeville d'Ecquevilly.
C'est en 1883 qu'est ouverte la première ligne de tramway d'Épône à Mareil-sur-Mauldre, premier tronçon d'un projet de ligne allant de Versailles à Epône. Mais elle ne restera en service que six mois. En 1899, on inaugure le tramway de Versailles à Maule (TVM), prolongé jusqu'à Meulan en 1909 (les rails de cette ligne sont longtemps restés incrustés à la surface du bitume du boulevard Paul-Barré). Dès 1900, la ville est desservie par la ligne de train Plaisir-Epône. Maule est pourvue d'une gare, typique des gares de l'époque, sa façade n'a pratiquement pas changé
En 1944 la ville est libérée par les soldats du général Leclerc.
En 1967, Maule est rattachée au canton d'Aubergenville nouvellement créé.
En 1965, l'avocat Daniel Demaison est élu maire de Maule pour la première fois. Il exerce la fonction pendant 43 ans jusqu'en 2008.
Antérieurement à la loi du [19], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines après un transfert administratif effectif au .
Elle faisait partie depuis la mise en place du département à son arrondissement de Mantes-la-Jolie[20], mais a été rattachée le à l'arrondissement de Saint-Germain-en-Laye afin d'adapter les limites des arrondissements à la structuration des intercommunalités du département[21],[22].
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la neuvième circonscription des Yvelines, circonscription à dominante rurale du nord-ouest des Yvelines.
Elle faisait partie de 1801 à 1967 du canton de Meulan du département deSeine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, elle est rattachée en 1967 au canton d'Aubergenville[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 11 à 40 communes.
Sur le plan judiciaire, Maule fait partie de la juridiction d’instance de Mantes-la-Jolie et, comme toutes les communes des Yvelines, dépend du tribunal de grande instance ainsi que de tribunal de commerce sis à Versailles[23],[24].
Dans le cadre de l'élaboration du schéma de cohérence territoriale (SCOT) de la Plaine de Versailles, les maires des 11 communes concernées — dont Maule — créent l'Association Patrimoniale de la Plaine de Versailles et du Plateau des Alluets (APPVPA) afin de faciliter la mise en évidence de convergences et l'élaboration de projets communs.
En 2010, ces communes décident d'approfondir cette coopération et engage la réflexion qui aboutit à la création de la communauté de communes Gally Mauldre le [25], dont Maule est désormais membre.
Elle participe également à d'autres établissements publics de coopération intercommunale sans fiscalité propre, dont le périmètre est variable en fonction de leur objet, soit, en 2018[26] :
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1790 | 1791 | Jean-Baptiste des Groue | ||
1791 | 1793 | Jean Trousset | ||
1793 | 1794 | Philippe Fosse | ||
1794 | 1805 | Michel Set | ||
1806 | 1813 | Jean-Baptiste Leguey | ||
1813 | 1830 | Victor Riquiet de Caraman | Vicomte | |
1830 | 1832 | Jean-Baptiste Gilbert | ||
1832 | 1834 | Ambroise Micheau | ||
1834 | 1835 | François Doublet | ||
1835 | 1838 | Pierre Nicolas Legout | ||
1839 | 1841 | Jean-Baptiste Gilbert puis Houssay | ||
1842 | 1848 | Thomas Lesieur | ||
1848 | 1851 | Jean-Jacques Guitel | ||
1851 | 1853 | Jean André Guidon | ||
1853 | 1860 | Henri Coqueret | ||
1860 | 1865 | Lemaître | ||
1865 | 1872 | Ferdinand Issartier | ||
1872 | 1877 | Pierre François Veillet | ||
1878 | 1880 | Pierre Fosse | ||
1881 | 1887 | Auguste Balagny | ||
1888 | 1897 | Frédéric Yvé | ||
1897 | 1899 | Germain Pigis | ||
1899 | 1915 | Eugène James | ||
1915 | 1919 | Bordet puis Valtier | Intérim | |
1919 | 1924 | Léon Paquier | ||
1925 | 1928 | Claude Bordet | ||
1929 | 1934 | Léon Paquier | ||
1935 | 1937 | Joseph Fourmont | ||
1937 | 1944 | René Delanoy | ||
1944 | mars 1965 | Bernard Fourmont | Vétérinaire | |
mars 1965 | mars 2008 | Daniel Demaison | PR → UDF → DL → UMP | Avocat Conseiller général du canton d'Aubergenville (1992 → 2004) |
mars 2008[28] | En cours (au 24 mai 2022) |
Laurent Richard | UMP → LR | Consultant en fusion-acquisition d'entreprises Vice-président du conseil départemental des Yvelines (2021 →) Conseiller départemental du canton d'Aubergenville (2015 →) Vice-président de la communauté de communes Gally Mauldre (2013 → 2014 et 2021 →) Ancien président de la communauté de communes Gally Mauldre (2014 → 2021) |
Carnoustie (Écosse) depuis 1992.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].
En 2019, la commune comptait 5 881 habitants[Note 3], en augmentation de 3,63 % par rapport à 2013 (Yvelines : +2,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 406 | 1 175 | 1 203 | 1 154 | 1 303 | 1 270 | 1 241 | 1 300 | 1 264 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 277 | 1 362 | 1 345 | 1 350 | 1 311 | 1 300 | 1 298 | 1 267 | 1 324 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 369 | 1 473 | 1 530 | 1 540 | 1 495 | 1 617 | 1 546 | 1 615 | 1 830 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 938 | 3 529 | 4 185 | 5 360 | 5 751 | 5 863 | 5 895 | 5 764 | 5 857 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
5 881 | - | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,8 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 866 hommes pour 3 012 femmes, soit un taux de 51,24 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,32 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,5 | 90 ou + | 0,9 |
6,9 | 75-89 ans | 8,1 |
14,9 | 60-74 ans | 16,0 |
23,7 | 45-59 ans | 23,3 |
17,1 | 30-44 ans | 17,1 |
17,0 | 15-29 ans | 17,1 |
19,8 | 0-14 ans | 17,3 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,6 | 90 ou + | 1,3 |
5,7 | 75-89 ans | 7,7 |
13,4 | 60-74 ans | 14,5 |
20,6 | 45-59 ans | 20,3 |
19,8 | 30-44 ans | 19,9 |
18,4 | 15-29 ans | 17 |
21,5 | 0-14 ans | 19,4 |
L'équipe mauloise de foot, l'US Maule Football évolue depuis 2012 en excellence dans le championnat des Yvelines.
La ville a également un club de rugby Les Maule Blacks qui eux ne sont pas en championnats, mais simplement en matchs amicaux avec les équipes d'anciens des villes environnantes.
Festival Toumélé qui a lieu chaque année
La RANDO RETINA MAULE depuis 2012 a lieu chaque année, elle rassemble 500 sportifs et recueille plus de 5 000 € pour la recherche en ophtalmologie.
Plusieurs zones d'activités ou zones artisanales sont présentes sur le territoire de Maule :
Monuments classés monument historique (M.H.)
Monuments inscrits à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques (ISMH)
Autres monuments :
À voir également
Maule a servi de décor à de nombreux tournages de films et téléfilms parmi lesquels :
![]() |
Les armes de Maule se blasonnent ainsi : parti d'argent et de gueules, à la bordure de sable chargée de dix besants d'or. Ces armes sont celles des anciens seigneurs de Maule. La bordure de sable, initialement chargée de huit coquilles d'or, a été ajoutée au XIIe siècle après les croisades, les coquilles ayant été simplifiées ultérieurement en besants[35]. |
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