Tinchebray-Bocage est une commune française située dans le département de l'Orne en région Normandie, peuplée de 4 882 habitants[Note 1]. Elle est créée le par la fusion de sept communes, sous le régime juridique des communes nouvelles. Les communes de Beauchêne, Frênes, Larchamp, Saint-Cornier-des-Landes, Saint-Jean-des-Bois, Tinchebray et Yvrandes deviennent des communes déléguées.
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Tinchebray-Bocage
Vallée du Noireau au sud du bourg de Tinchebray.
Administration
Pays
France
Région
Normandie
Département
Orne
Arrondissement
Argentan
Intercommunalité
Communauté de communes Domfront Tinchebray Interco (siège)
Située à l'ouest du Bocage flérien, Tinchebray-Bocage est au cœur d'une plus vaste région, le Bocage normand. L'atlas des paysages de la Basse-Normandie place la commune au cœur de l'unité des hauts pays de l'ouest ornais et du mortainais située majoritairement au nord-ouest du département de l'Orne et caractérisée par un «paysage rude marqué par un relief complexe modelé par les cours d'eau qui en divergent comme d'un château d'eau»[1].
Le territoire est traversé par la ligne de partage des eaux, le nord dans le bassin de l'Orne avec le Noireau, et le sud dans le bassin de la Loire avec l'Égrenne et la Varenne. Le point le plus bas, 132 m, est à la sortie du Noireau à Frênes et le plus haut à Saint-Cornier-des-Landes, 324 m, entre la Noë-Chesnay et les Monts.
Le climat est océanique, comme dans tout l'Ouest de la France, mais la pluviométrie annuelle de Tinchebray-Bocage est plus importante et avoisine les 1 100 mm à l'ouest du territoire[2] avec de 190 à 200 jours de pluie par an. Les hautes terres de Saint-Cornier-des-Landes, situées sur une crête à 316 m d'altitude, ont un bioclimat "hyper-humide" caractérisé par des précipitations abondantes toute l'année qui se manifeste par la présence de hêtre[3] (bois de fouteaux dans les textes anciens, micro-toponyme: Foutelaie).
Le massif granitique de Chanu avec ses points les plus élevés s'étend jusqu'au sud de Frênes au Mont-Crespin, 312 m d'altitude et à l'est de Tinchebray à la Gautierrerie, 309 m. Un autre petit massif de granodiorite est très étroit à Larchamp, plus large entre Saint-Jean-des-Bois et Saint-Clair-de-Halouze. Une crête des cornéennes plus résistantes à l'érosion que les granites traverse: Saint-Cornier-des-Landes, Yvrandes et Saint-Jean-des-Bois[4]. Le minerai de fer est à l'affleurement pour le synclinal Mortain-Domfront-Bagnoles à Larchamp[5].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]
Moyenne annuelle de température: 10,3°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,4 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 1,6 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 14,2 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8,4 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1951 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[14]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Statistiques 1981-2010 et records ST CORNIER-DES-LANDES (61) - alt: 306 m 48° 43′ 24″ N, 0° 43′ 42″ O Statistiques établies sur la période 1981-2007 - Records établis sur la période du 01-01-1951 au 04-01-2022
Mois
jan.
fév.
mars
avril
mai
juin
jui.
août
sep.
oct.
nov.
déc.
année
Température minimale moyenne (°C)
1
0,9
2,9
4,2
7,5
10,2
12,1
12,2
10,1
7,6
3,8
1,7
6,2
Température moyenne (°C)
3,6
3,9
6,5
8,4
12
14,9
17
17,2
14,5
11
6,7
4,2
10
Température maximale moyenne (°C)
6,3
7
10,1
12,6
16,4
19,6
21,9
22,1
18,9
14,4
9,6
6,7
13,8
Record de froid (°C) date du record
−17 08.01.1985
−14,2 01.02.1954
−9,6 07.03.1971
−5,5 11.04.03
−1 05.05.1982
0,4 02.06.1962
4,6 01.07.1960
3 30.08.1977
0 14.09.1951
−4 29.10.1997
−8 20.11.1985
−13 29.12.05
−17 1985
Record de chaleur (°C) date du record
14,5 16.01.1996
19,9 27.02.19
23 30.03.21
25,5 30.04.05
32 25.05.1953
34,5 29.06.19
37,2 01.07.1952
36 10.08.03
33,8 01.09.1961
25,5 01.10.1985
18,9 02.11.1972
15,5 06.12.1979
37,2 1952
Précipitations (mm)
124
90,9
91,8
71,3
85
64,5
68,2
63,9
85,2
119,4
118,8
130,2
1 113,2
Source: «Fiche 61377001» [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le: 06/01/2022 dans l'état de la base
Urbanisme
Typologie
Tinchebray-Bocage est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17].
Elle appartient à l'unité urbaine de Tinchebray-Bocage, une unité urbaine monocommunale[18] de 4 933 habitants en 2017, constituant une ville isolée[19],[20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Flers, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21],[22].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,7% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (95,9%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
prairies (55,4%), zones agricoles hétérogènes (31%), terres arables (8,3%), forêts (2,6%), zones urbanisées (2,3%), mines, décharges et chantiers (0,3%)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].
Toponymie
Tinchebray-Bocage reprend le nom de la commune principale, Tinchebray, et le mot bocage qui définit le paysage commun à tous[25].
Histoire
Carte de Cassini.
La commune est créée le par un arrêté préfectoral du [26], par la fusion de sept communes, sous le régime juridique des communes nouvelles instauré par la loi no2010-1563 du de réforme des collectivités territoriales. Les communes de Beauchêne, Frênes, Larchamp, Saint-Cornier-des-Landes, Saint-Jean-des-Bois, Tinchebray et Yvrandes deviennent des communes déléguées et Tinchebray est le chef-lieu de la commune nouvelle.
La voie antique qui reliait Augustodurum (Bayeux) et Vieux-la-Romaine (Vieux) à Jublains et Vindunum (Le Mans) servait de limite à Larchamp, Beauchêne, Saint-Cornier-des-Landes, Tinchebray et Frênes[27],[28].
Les territoires de Tinchebray, Saint-Jean-des-Bois, Saint-Cornier-des-Landes et Beauchêne viennent en partie du déboisement de la forêt de la Lande Pourrie, celui d'Yvrandes y était totalement inclus.
Les hameaux anciens sont souvent issus de masures (vavassories, aînesses), terres en roture données contre redevances et devoirs par le seigneur à une famille représentée par un aîné qui tient le rôle de prévôt et les aveux, participe aux gages-plèges de la seigneurie. Certaines familles ont laissé leurs noms comme les Degrenne: la Degrennerie à Tinchebray, Aubry: l'Aubrière à Larchamp, Dumaine: la Dumainerie à Saint-Cornier-des-Landes, Aumont: la fieffe Aumont à Beauchêne[29].
La chouannerie
Entre 1793 et le Consulat, le bocage contrairement au reste de la Normandie qui reste calme, est le théâtre d'une guérilla sporadique, difficile à réprouver et toujours impitoyable. La chouannerie normande s'identifie aux autres résistances au régime révolutionnaire, de la Vendée, de l'Anjou, du Maine et de la Bretagne. Elle reçoit l'appui et la complicité d'une large partie des populations rurales. Quant au danger qu'elle présentait, il fallut en finir avec l'assassinat de son chef Louis de Frotté[30]. La bourgeoisie de Tinchebray est largement républicaine alors que la campagne reste fidèle à Dieu et au roi.
En 1790, les ecclésiastiques obligés de prêter le serment civique, quittent leurs presbytères, partent à l'étranger ou restent dans le pays et commencent une vie clandestine. Considérés comme des martyrs, leur influence augmente. Ils sont remplacés par des prêtres jureurs qui face à l'hostilité de la population partent et ferment les églises.
En , la levée de 300 000 hommes sur tout le territoire ouvre une période de résistance par le refus massif de répondre à l'appel militaire. À Saint-Jean-des-Bois, Michelot Moulin (Michel Moulin), fils d'un taillandier aisé, réquisitionné pour rejoindre les forces républicaines obtient des armes par ruse, déserte et entre dans la clandestinité avec ses compagnons, creusant des souterrains, désarmant les patriotes de Landisacq, Chanu et Saint-Cornier-des-Landes pendant que ceux de Flers désarment Saint-Jean-des-Bois. Sa division occupe les régions de Vire, Condé-sur-Noireau et Domfront avec 1 200 à 1 500 hommes.
En , Michelot Moulin libère de la prison royale de Tinchebray l'abbé Dulaurant condamné à la guillotine. En , Hoche met en place un système de défense avec des colonnes mobiles de 50 à 60 hommes à Saint-Cornier-des-Landes au Val de Préaux.
Le , Louis de Frotté attaque Tinchebray avec 800 chouans et y met le feu. 150 républicains ont fortifié la ville, la chapelle Saint-Rémi de Tinchebray servant de citadelle, d'observatoire et de refuge pour les femmes, les enfants et les vieillards. Bilan: 84 maisons brûlées, 2 républicains tués, 20 officiers et environ 80 chouans tués.
Le , bataille du Val de Préaux à Saint-Cornier-des-Landes et Chanu, 2000 chouans cachés dans la forêt de Saint-Jean-des-Bois attaquent 1500 républicains. Les républicains abandonnent trois voitures et 10 à 11 prisonniers, un gros butin d'armes, de munitions et de vivres.
Le , Louis de Frotté est fusillé. Entre 1815 et 1824, la royauté récompense les anciens chouans, les veuves et les enfants dont Michelot Moulin[31].
Organisation de la chouannerie normande.
Carte des combats.
Divisions de Saint-Jean-des-Bois et Flers.
Système de défense de Tinchebray en 1796.
Le travail du fer, la quincaillerie
Le travail du fer est attesté dans la région de Tinchebray-Bocage depuis le XIIesiècle. Sur un métier de ferron présent au XVesiècle se superpose, entre La Chapelle-Biche et Saint-Bômer-les-Forges, à l'est, et Saint-Jean-des-Bois et Ger, à l'ouest, une forte activité métallurgique[32].
Dans ce pays montueux, aux terres maigres, au climat pluvieux, aux chemins impraticables en hiver[33], où le minerai est abondant et les forêts nombreuses, le travail du fer est un complément de l'agriculture bien adapté au caractère normand par sa pratique à domicile et nécessaire par son apport financier[32].
Le ferron: maître de forge, le ferron est un artisan très qualifié qui réduit le minerai dans un bas fourneau. Il est homme sans qui le métal ne peut légalement être produit. Le métier est héréditaire et fait partie, au XVesiècle, du patrimoine des familles Niobey, Le Got, Leprince, Duval (Tinchebray), Chancerel et Leprince (Chanu)[34].
Les mutations: ces travailleurs subissent de nombreuses mutations techniques et économiques: au milieu du XVIesiècle, la révolution des hauts fourneaux (forges à Beauchêne, Larchamp, Varenne, Saint-Clair-de-Halouze) prive le ferron de la réduction du minerai et, au début du XVIIIesiècle, l'apparition de la première fenderie à Larchamp lui enlève une grande partie de la préparation du métal, favorise les marchands mais développe l'activité[32].
La clouterie et la taillanderie: après l'apparition des hauts-fourneaux, les ferrons se spécialisent dans la clouterie[35] et, au début du XVIIIesiècle, elle atteint un niveau national[36]. La taillanderie se développe entre Saint-Quentin-les-Chardonnets et Yvrandes grâce à l'énergie hydraulique disponible[37]. Dans la deuxième partie du XVIIIesiècle, la forte demande en clouterie de marine[38] déplace le centre de gravité de la clouterie de Chanu vers Saint-Cornier-des-Landes et Beauchêne, impose une génération de marchands capables de mobiliser des sommes importantes, de négocier avec les forges et de faire travailler de nombreux cloutiers.
La serrurerie: après la Révolution française, au nord de Chanu, Landisacq et La Chapelle-Biche, certains cloutiers et petits marchands proches des quincailliers se diversifient dans la serrurerie[39].
La fin de la clouterie: au XIXesiècle, avec l'apparition de la production mécanique, de la pointe de Paris et la disparition des forges à bois régionales, remplacées par des forges à coke, plus éloignées, le clou forgé perd les marchés de la marine et disparaît progressivement[40].
La quincaillerie: au début du XIXesiècle, s'installent à Tinchebray des quincailliers[41] qui utilisent cette main-d'œuvre nombreuse et habile. À la fin du siècle est construite la première usine d'outils agricoles, Mermier et Cie. Certains cloutiers, serruriers et forgerons perdent leurs qualifications et deviennent ouvriers d'usine[42]. Au XXesiècle, cette industrie passe, dans les années 1970-1980 d'une concurrence régionale à une concurrence nationale avec la disparition de nombreuses entreprises et dans les années 1990-2000 à une concurrence mondiale avec l'explosion du marché asiatique[43].
Au début du XXIesiècle, le système productif local représente 80 % de la production française d'outils de jardin et 25 % de la quincaillerie du bâtiment[44].
L'église Notre-Dame des Montiers, classée au titre des Monuments historiques.
La prison royale de Tinchebray, inscrite au titre des Monuments historiques.
La traversée de Tinchebray par la D 22 puis D 924.
Lieux et monuments
Monuments historiques classés
Chapelle Saint-Rémi de Tinchebray
Église Notre-Dame des Montiers (Tinchebray)
Monuments historiques inscrits
Filature de Rochefort (Tinchebray)
Église Notre-Dame d'Yvrandes
Prison royale de Tinchebray
Manoir de la Guyonnière (Saint-Jean-des-Bois)
Musées
Musée du clou et maison du sabotier (Saint-Cornier-des-Landes)[50].
Musée de Tinchebray et prison royale (Tinchebray)[51].
Le patrimoine industriel
L'activité industrielle de Tinchebray-Bocage fait l'objet d'importants dossiers dans l'Inventaire général du Patrimoine industriel de Basse-Normandie, patrimoine industriel de l'Orne.
Michelot Moulin (Michel Moulin) (1771-1839), chef chouan, né à Saint-Jean-des-Bois.
Tinchebray
Jean-Baptiste Quéruel (1779-1845), inventeur de la méthode permettant la fabrication industrielle de sucre à partir de betterave. Il est mort à Tinchebray.
Edgard Le Bastard (1836-1892), tanneur industriel puis homme politique, maire de Rennes. Il est né à Tinchebray.
Bill-Bocketts (François Julien Bontemps dit Bill-Bocketts ou Bilboquet) (1892-1961), artiste de music-hall et acteur de cinéma, né à Tinchebray.
André Breton (1896-1966), poète et écrivain, né à Tinchebray.
Guy Degrenne (1925-2006), industriel, né à Tinchebray.
Pour approfondir
Bibliographie
Lucien Victor Dumaine, Tinchebray et sa région au bocage normand: Jusqu'aux Etats-Généraux de 1789, t.1, Paris, H. Champion,
Lucien Victor Dumaine, Tinchebray et sa région au bocage normand: Sergenteries, Tabellionages, Aveux et Glossaire, t.2, Paris, H. Champion
Lucien Victor Dumaine, Tinchebray et sa région au bocage normand: Période révolutionnaire, Temps actuels (1789-1884), t.3, Paris, H. Champion,
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[11].
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
G. Hubert:, Voies antiques, les relations entre Jublains et Vieux.
Jules Appert, Étude sur un embranchement de Bayeux à Vire.
L'abbé Dumaine dans le tome 2 de: Tinchebray et sa région au bocage normand donne les fieffes du Comté de Mortain pour: Tinchebray, Saint-Jean-des-Bois, Yvrandes, Saint-Cornier-des-Landes et Beauchêne, pages: 265 à 386. On peut les retrouver sur la page: Chanu de Généawiki
Alfred Chaudeurge: La chouannerie normande
Cécile Desdoits: La division de Saint-Jean-des-Bois, aspect de la chouannerie du bocage normand dans: Le Pays Bas-Normand, 1992, Lucien Victor Dumaine: Tinchebray et sa région, tome 3, Ouvrages en ligne sur gallica: Michelot Moulin: Mémoires de Michelot Moulin sur la chouannerie normande, Léon de la Sicotière: Louis de Frotté et les insurrections normande, 3 tomes, tome 3: Index des noms de lieux et de personnes, détail sur le site généawiki, page: Chanu
La métallurgie normande.
Pierre Gouhier, L'intendance de Caen en 1700.
Mathieu Arnoult, Mineurs, ferrons et maîtres de forges.
Mathieu Arnoux, Mineurs, ferrons et maîtres de forges.
Dictionnaire Savary des Brûlons
René Jouanne, La coutellerie de la région de Tinchebray au XVIIe siècle.
David Plouvier, L'état, la marine de guerre et les réseaux économiques en France au XVIIIe siècle.
Richard Seguin: Essai sur l'histoire du bocage
François Dornic, Le travail du fer dans le pays bas normand et: le fer contre la forêt.
Lemardeley, L'industrie du fer à Tinchebray.
Monique Le Chêne, La fabrication de quincaillerie et de ferronnerie décorative dans la région de Tinchebray.
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