Domfront est une ancienne commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie, devenue le une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Domfront en Poiraie[1].
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Domfront était jusqu'après la Seconde Guerre mondiale desservie par deux lignes de chemin de fer. La ligne à double voie allant de Caen à Laval, par la correspondance à Flers, permettait la liaison sur Paris. Une ligne à une voie qui reliait Domfront à Alençon fut fermée dès les années 1950. La gare de Domfront était desservie par la ligne de La Chapelle-Anthenaise à Flers, fermée depuis 1996.
C'est aujourd'hui le réseau de bus de l'Orne Cap'Orne qui assure l'accès par transport en commun par ses lignes 22 (Domfront - La Ferté-Macé - Bagnoles-de-l'Orne), 24 (Domfront - Lonlay-l'Abbaye - Flers) et 25 (Domfront - Saint-Bômer-les-Forges - Flers).
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Donnifrontis, Damfrontis vers 1020, Domus Fronto en 1063[9].
L'église catholique, avant d'utiliser sanctus pour honorer les saints, a longtemps utilisé dans ce but le latin dominus («seigneur»). Dominus aboutit à Dom-[10]. Le personnage vénéré est Front de Passais (Fronto[9]), ermite du VIe siècle.
Le gentilé est Domfrontais.
Histoire
Moyen Âge
Ruine de la chapelle Saint-Symphorien.
En 1010, Guillaume de Bellême fait construire à la cime du rocher un premier château en bois, le château, formé de «quatre grosses tours avec des fossés profonds taillés dans le roc», dont la «principale issue était au midi; deux portes en fer et une claie en fermaient l'entrée»[11].
En 1092, Henri Beauclerc, troisième fils de Guillaume le Conquérant, érige sur l'éperon rocheux un château fort en pierre avec son puissant donjon de forme quadrangulaire et la chapelle Saint-Symphorien, prieuré de l'abbaye de Lonlay[12]. Henri Beauclerc deviendra par la suite roi d'Angleterre en 1100, puis duc de Normandie en 1106 et Domfront devient alors une place forte royale. Henri II Plantagenêt et Aliénor d'Aquitaine, sa femme et Richard Cœur de Lion et Jean sans Terre leurs fils y séjournent. Aliénor d'Aquitaine y tient en particulier une cour qui verra aussi le passage de sa fille Marie de Champagne (protectrice de Chrétien de Troyes qui l'accompagne). Wace fait aussi partie de cette cour, de même que Benoît de Sainte-Maure qui ne la nomme pas, mais fait son éloge dans son Roman de Troie, manière de dédicace[13].
Les deux premiers rattachent Domfront et sa région aux légendes arthuriennes[14],[15].
En , Aliénor d'Aquitaine y accouche d'Aliénor d'Angleterre, future grand mère de saint Louis[12].
Après la conquête de la Normandie par Philippe Auguste en 1204, la place forte devient capétienne[12].
Pendant la guerre de Cent Ans, le château est occupé par les Anglais de 1356 à 1366 et de 1418 à 1450[12]. Pendant l'été 1450, l'armée royale de Charles VII reprend la place au bout de vingt jours de siège[16].
Époque moderne
En 1574, le chef des huguenot normands, Gabriel Ier de Montgomery, y fait sa reddition lors du siège de la ville après l'arrivée de l'artillerie royale. Catherine de Médicis le fait aussitôt juger par le Parlement de Paris suivi de son exécution par décapitation en place de grève le [17]. En 1608, le château est démantelé sur ordre d'Henri IV[11],[18].
De 1633 à 1639, six ans durant la peste revient à nouveau à Domfront[19].
Époque contemporaine
Domfront fut chef-lieu du district de Domfront sous la Révolution puis devint chef-lieu de l'arrondissement de Domfront.
En 1863, Domfront (2 909 habitants en 1861) absorbe Saint-Front (2 252 habitants)[20],[21].
Guerre 1914-1918
Lors de la Première Guerre mondiale, le 3ebataillon du 130erégiment d'infanterie qui était hébergé dans la caserne Laharpe partit le 5 août 1914. L'état-major du 130erégiment d'infanterie était hébergé à Mayenne. Ce régiment, incorporé dans la 7edivision d'infanterie, subit des pertes effroyables le 22 août 1914 sur le front de Belgique autour de Virton et Ethe en Belgique. Cette division mutée dans différents corps d'armée participa à toutes les grandes batailles de cette guerre.
Entre-deux-guerres
Le 10 septembre 1926, à la suite du décret Poincaré, Domfront perd sa sous-préfecture et les cantons sont répartis entre les arrondissements d'Alençon et d'Argentan.
Guerre 1939-1945
Plaque de la rue du 14-juin-1944.
En septembre 1939, les Domfrontais pleurent en regardant le 3ebataillon du 130e RI descendre vers la gare. Ce régiment fut incorporé dans la 8edivision d'infanterie, dans la 3earmée, dans le groupe d'armée no2 sous les ordres du général Prételat. Cette armée, disposée derrière la ligne Maginot ne combattit qu'après la chute de Dunkerque. Le 130e RI fut totalement fait prisonnier.
Sous l'Occupation, trois entités allemandes furent permanentes à Domfront: dans les locaux de la gendarmerie, une représentation de l'administration allemande de l'occupation qui effectuait les réquisitions; dans la gare, le commandement d'une compagnie du génie qui contrôlait les voies ferrées; et dans la caserne Laharpe, une unité de territoriaux qui gardait les tirailleurs sénégalais prisonniers de guerre qui y étaient détenus. Les fonctions de police allemande étaient assurées par la section du SD d'Alençon et, pour les affaires graves, par celle de Rouen.
L'occupation se durcit en février 1944 et les Allemands obligent des Domfrontais à construire des ouvrages destinés à renforcer la défense de Domfront en cas de débarquement, et à travailler à l'aménagement d'un parc de munitions et de carburant dans la forêt d'Andaine. Le 17 janvier 1944, un soldat allemand ayant été blessé dans la nuit, le maire M. Gallot, est requis pour désigner des otages. Celui-ci, ayant refusé, fut destitué et des Domfrontais furent pris au hasard dans les rues par des policiers allemands venus d'Alençon. Certains furent déportés en Allemagne[22].
Domfront, située entre le dépôt de munitions de la forêt d'Andaine et Mortain, où eut lieu la grande contre-attaque allemande, et surtout le quartier de la gare (Notre-Dame de nos jours), eurent à subir de nombreuses attaques aériennes alliées[23]. Les bombardements les plus meurtriers furent celui du vendredi en soirée (vingt-quatre avions bimoteurs) sur la gare qui tua huit personnes et un enfant, et celui du sur la ville basse par des bombardiers B17, qui tua 37 personnes et détruisit 494 immeubles[24],[25],[26]. Au total trente-six civils (qui n'étaient pas tous des Domfrontais, chiffre incertain) furent tués lors des vingt-quatre attaques aériennes, principalement sur la gare.
Le 7 août, une unité blindée de Waffen-SS venant de Flers traversa le quartier de la gare en direction de Saint-Mars-d'Égrenne pour attaquer vers Mortain. Après la défaite allemande devant Mortain, ce qui restait des unités blindées se replia sur Falaise, et seules des troupes de basse combativité gardèrent Domfront. Le 13 août, les forces américaines, échaudées par l'épisode mortenais, tirèrent au canon sur la ville au hasard. Des Domfrontais décidèrent d'aller à leur rencontre pour faire cesser ces tirs et les aider à entrer dans la ville. Le 14 août, un pompier réussit à les rallier sur la route de Saint-Mars et guida une colonne (sept véhicules) qui contourna la ville par l'ouest. Elle passa par Saint-Gilles-des-Marais et La Haute-Chapelle où elle captura une compagnie allemande sur le tertre Sainte-Anne (cote 210 sur les cartes d'état-major), puis passa à pied le pont de Caen qui était miné. Elle captura une pièce d'artillerie à la ferme des Balères, puis passa par le Pissot et entra dans Domfront par le nord, par l'escalier qui est juste derrière l'hôtel de ville.
D'autres troupes américaines étaient déjà entrées dans la ville par le sud et les forces allemandes encore dans la ville se voyant encerclées se rendirent sans combat. Certains soldats allemands, souvent des malgré-nous prélevés du front d'URSS, semblaient plutôt soulagés, mais les officiers étaient très vexés. Il n'y eut aucun tué lors de la libération de la ville.
Le nombre de civils tués, ramené au tonnage de bombes lancées sur Domfront et la gare, fut relativement réduit. Cela fut dû à trois facteurs:
les voies de communication ne traversent pas la ville ancienne qui était plus peuplée à l'époque;
la défense passive réussit à convaincre les Domfrontais d'évacuer les abords des voies de communications;
les aviateurs faisaient un passage à blanc sur l'objectif et revenaient bombarder en laissant ainsi un peu de temps aux civils pour s'éloigner, ne serait-ce que d'une ou deux centaines de mètres.
Pendant la bataille de Normandie, les Allemands réquisitionnèrent l'hospice de vieillards et l'orphelinat de Perrou pour y installer un hôpital militaire. À leur arrivée, les Américains installèrent un hôpital entièrement mobile près du manoir de la Guyardière où était replié l'hôpital civil de Domfront.
La commune a été décorée, le 11 novembre 1948, de la Croix de guerre 1939-1945[27].
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2014 dans l'Orne.
Administration municipale
Liste des maires
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1883
1887
Louis Blanchetière
Conducteur principal des ponts et chaussées, archéologue
En 2019, la commune comptait 3 461 habitants. Depuis 2004, les enquêtes de recensement dans les communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (en 2005, 2010, 2015, etc. pour Domfront[34]) et les chiffres de population municipale légale des autres années sont des estimations[Note 2].
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 533
1 548
1 665
1 670
1 869
2 417
2 463
2 666
2 879
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
2 840
2 909
4 866
4 495
4 603
4 812
5 076
4 932
4 966
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
4 801
4 663
4 819
4 011
3 956
3 894
4 020
3 872
3 951
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2010
2015
3 674
3 991
4 354
4 483
4 410
4 262
3 995
3 830
3 518
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
-
-
-
-
-
-
-
-
3 473
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique
Activité et manifestations
Tous les deux ans ont lieu les médiévales de Domfront, reflet de l'illustre passé de cette cité.
Environnement
La commune est une ville fleurie récompensée de trois fleurs au concours des villes et villages fleuris[36].
Culte
Culte catholique[37], Paroisse Saint Sauveur en Domfrontais[38], Diocèse de Séez.
Sports
La Société sportive de Saint-Georges-Domfront fait évoluer deux équipes de football en divisions de district[39].
Médias
Le Publicateur libre, hebdomadaire qui parait le jeudi, a son siège à Domfront. Il est diffusé dans l'Ouest de l'Orne (Bocage ornais), le Sud-Manche (Mortainais) et le Nord-Mayenne.
Commerces et services de proximité à Domfront[45], La Ferrière-aux-Étangs.
Industries
Lactalis: fabrication des camembertsPrésident, Le Châtelain et Le Campagne (480 000 pièces par jour par 320 salariés; date?).
La SAS Moteurs JM est l'héritière des Moteurs Legendre.
Culture locale et patrimoine
L'église romane de Notre-Dame-sur-l'Eau.
La ville qui se dresse sur un promontoire, possède un riche patrimoine: maisons médiévales à colombages, vieux hôtels des XVIIeetXVIIIesiècles, ruelles étroites[46].
Lieux et monuments
Domfront compte cinq édifices protégés au titre des monuments historiques:
Le château médiéval de Domfront (donjon, remparts, prieurale) fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis 1875[47].
L'enceinte de la ville fait l’objet d’un classement partiel au titre des monuments historiques depuis le [48],[49].
L'église Notre-Dame-sur-l'Eau[50], église romane du XIesiècle, fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1840[51],[52].
L'église Saint-Julien[53], construite de 1924 à 1933 par l'architecte Albert Guilbert[54] (un exemple en France d'architecture religieuse de style néo-byzantin utilisant le procédé de béton armé Hennebique[55]) fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le [56]. En raison des dégradations du béton, elle fut fermée au public en 2006. Après les travaux de renforcement des arcs qui soutiennent les 1 500 tonnes du clocher de 55 mètres de haut, l'église fut rouverte en 2013[57]. L'orgue a été installé par le facteur Gloton en 1931[58].
Le manoir de la Palue, du XVIesiècle, fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [59].
Le manoir de la Chaslerie, édifié aux XIVe, XVe, XVIIeetXVIIIesiècles, classé aux monuments historiques en Classé MH(1995).
La commune comporte également des édifices et sites recensés à l'inventaire général du patrimoine culturel:
Foule dans les rues pour les Médiévales de Domfront.
L'église Saint-Julien de l'architecte Albert Guilbert.
L'église Saint-Front.
Les fortifications du château.
La tour de la porte d'Alençon.
Personnalités liées à la commune
La statue de saint Front au-dessus du portail de l'église Saint-Front, sculptée par l'abbé Derouet, curé de Saint-Front de 1947 à 1974.
Front de Passais, ermite au VIesiècle qui a donné son nom à la ville et à l'ancienne paroisse de Saint-Front.
Ralph de Domfront (ou Radulph , Latin: Radulfus; ou Raoul; né vers 1100 en la lande Fricotine, de la paroisse de La Baroche , mort vers 1149) était l' archevêque de Mopsueste (Mamistra) et deuxième patriarche latin d'Antioche (comme Ralph I ) de 1135 à 1140. Il joua un grand rôle dans le mariage entre Raymond de Poitiers (oncle d'Aliénor d'Aquitaine) et Constance d'Antioche. Ce mariage fit de Raymond le Prince d'Antioche et c'est une des raisons majeures de la venue d'Aliénor d'Aquitaine avec son mari Louis VII lors de la Deuxième croisade.
Aliénor d'Angleterre (Domfront 1161 - 1214), deuxième fille d'Aliénor d'Aquitaine et d'Henri II (roi d'Angleterre).
Claude Duval (Domfront 1643 - 1670), voleur de grand chemin dans l’Angleterre de la Restauration.
Victor Urbain Rémond (Domfront 1773 - 1859), général de brigade des armées de l'Empire y est né.
Claude-Nicolas-Jacques Le Bigot de Beauregard (1748-Saint-Roch-sur-Égrenne 1810), gendarme de la maison de la reine, maire de Domfront, député du Tiers État en 1789.
Jean-Marie Mérille dit "Beauregard", (Saint-Front 1775 - 1804), chef chouan, soulèvement de 1799.
Émile de Marcère (Domfront 1828 - 1918), magistrat, homme politique (ministre de l'Intérieur) et auteur d'ouvrages.
Albert Christophle (Domfront 1830 - 1904), député de l'Orne.
Eugène Lelouvier (Domfront 1873 - 1937), aventurier et coureur automobile.
Auguste Chevalier (Domfront 1873 - 1956), botaniste.
Louis Foisil (Domfront 1880 - Paris 1943), poète, Prix de l'Académie française en 1935 pour son recueil de poèmes La chouette sur mon berceau[70].
André Jouault (Domfront 1904 - 1987), artiste peintre.
Gabriel Bablon (Domfront 1905 - 1956), officier des FFL, commandant la 13e DBLE à partir du après le décès du colonel Dimitri Amilakvari, compagnon de la Libération[71].
Victor Vivier (Domfront 1923 - 2003), marchand de bestiaux reconverti en poète et amuseur normand. Il a publié plusieurs 45 tours, cassettes, CD[72]. Il est enterré dans le cimetière de Geneslay.
Philippe Hurel (Domfront 1955 ), compositeur de musique.
Omar ben Laden(en) (1981), fils d'Oussama ben Laden et de Najwa Ghanem, peintre, réside à Domfront en Poiraie[73].
Héraldique
On retrouve le blason sur les plaques d'égouts de la ville comme ici.
Les armes de la commune de Domfront se blasonnent ainsi: De gueules au château de trois tours d'argent, ouvert et ajouré du champ, maçonné de sable, posé sur une terrasse de sinople.[74],[75]
Charles-Laurent Salch, Atlas des villes et villages fortifiés en France, Début du Ve siècle à la fin du XVe siècle, Strasbourg, Editions Publitotal, , 495p.
Domfront, p. 368 et Carte n°2
La bataille de Normandie, récits de témoins, éd. de notre temps; 1947. Tome 1 pages 316 et suivantes.
À l'occasion du quarantième anniversaire de la Libération, le journal Le Publicateur libre de Domfront, publia une série de témoignages sur ces événements: de larges extraits du livre de Germaine Renard, A Domfront sous les bombes, des extraits du journal de sœur Jeanne, religieuse de l'Institution de l'Ange gardien, et une archive de la municipalité concernant l’hôpital de Domfront qui, étant en bordure de la voie ferrée, fut évacué après le bombardement du vendredi 2 juin 1944 au manoir de la Guyardière qui est sur la commune de la Haute Chapelle. Il y restera jusqu'au 26 juillet 1945.
Alain Landurant: Domfront et le Passais, Alan Sutton, 2005.
Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région]
Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant à l'année 2006, première population légale publiée calculée conformément aux concepts définis dans le décret no2003-485 du 5 juin 2003, et les années correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee.
Serge Van Den Broucke, «L'aître Saint-Maclou de Rouen: La renaissance d'un site historique exceptionnel», Patrimoine normand, no119, octobre-novembre-décembre 2021, p.13 (ISSN1271-6006).
Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, «Notice communale: Saint-Front», sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
La bataille de Normandie, Récits de témoins, tome 1, pages 317 et suivantes
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