Saint-Jean-de-Monts (/sɛ̃ ʒɑ̃ də mɔ̃/) est une commune de l'Ouest de la France, située sur la Côte de Lumière, dans le département de la Vendée, en région Pays de la Loire.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Jean.
Saint-Jean-de-Monts | |
![]() Le front de mer. | |
![]() Blason |
![]() |
Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Pays de la Loire |
Département | Vendée |
Arrondissement | Les Sables-d'Olonne |
Intercommunalité | CC Océan marais de Monts (siège) |
Maire Mandat |
Véronique Launay 2020-2026 |
Code postal | 85160 |
Code commune | 85234 |
Démographie | |
Gentilé | Montois |
Population municipale |
8 696 hab. (2019 ![]() |
Densité | 140 hab./km2 |
Population agglomération |
39 193 hab. |
Géographie | |
Coordonnées | 46° 47′ 37″ nord, 2° 03′ 32″ ouest |
Altitude | 3 m Min. 0 m Max. 30 m |
Superficie | 62,25 km2 |
Type | Commune urbaine et littorale |
Unité urbaine | Saint-Hilaire-de-Riez (ville-centre) |
Aire d'attraction | Saint-Jean-de-Monts (commune-centre) |
Élections | |
Départementales | Canton de Saint-Jean-de-Monts (bureau centralisateur) |
Législatives | 3e circonscription de la Vendée |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.saintjeandemonts.fr |
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Bordée d'une longue plage de huit kilomètres, c'est une station balnéaire de la côte atlantique très fréquentée en été.
La ville est située dans l'ouest du département de la Vendée entre Notre-Dame-de-Monts et Saint-Hilaire-de-Riez, au début de la Côte de Lumière. Elle est séparée en deux par un cordon dunaire planté de pins s'étendant du nord au sud et longeant la côte, constituant une partie de la forêt des Pays de Monts, configuration qui s'étend ainsi sans discontinuer sur 25 km du nord au sud, de La Barre-de-Monts à Saint-Hilaire. Le cœur du bourg se situe à l'est du cordon dunaire tandis que le front de mer constitue un deuxième ensemble plus vivant en été à l'ouest de ce cordon qui constitue ainsi une « coulée verte » d'au minimum 200 mètres de largeur, les deux parties étant reliées entre elles par plusieurs avenues boisées.
La plage est le grand attrait de Saint-Jean-de-Monts et a fait sa renommée. Elle offre de larges espaces car elle mesure plus de huit kilomètres de long. Elle est accessible à tous et rarement agitée en été grâce à une pente sableuse très douce au fond de l'eau. Les vagues sont peu importantes et la hauteur d'eau reste faible sur plusieurs centaines de mètres. Lors des grandes marées, la surface de plage est très grande et offre un terrain de jeux idéal aux pêcheurs à pied et aux sportifs en tout genre.
Le territoire municipal de Saint-Jean-de-Monts s’étend sur 6 225 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de 3 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 0 et 30 mètres[1],[2].
Notre-Dame-de-Monts | La Barre-de-Monts | Sallertaine |
Océan atlantique | ![]() |
Le Perrier |
Océan atlantique | Saint-Hilaire-de-Riez | Notre-Dame-de-Riez |
Saint-Jean-de-Monts a obtenu quatre fleurs au Concours des villes et villages fleuris (palmarès 1999)[3].
Saint-Jean-de-Monts a mis en place une démarche autour du développement durable. Celle-ci, connue sous le nom d'EMMA, réunit des acteurs publics et semi-publics ainsi que des professionnels. Un plan d’action a été établi autour des thèmes suivants : gestion des déchets, économie d'eau, économie d’énergie, aménagement paysager, transport, sensibilisation à l’environnement et biodiversité.
La commune a été nommée :
Le marais et la forêt restent aujourd'hui les espaces écologiques incontournables de la commune. Le front de mer ayant subi la frénésie immobilière des années 1960 et 1970, le photographe Philippe Café avait saisi l'occasion de mettre au premier plan la beauté de l'arrière-pays et du cordon forestier sur ses photos noir et blanc d'époque.
En 2014, la commune de Saint-Jean-de-Monts a reçu le trophée de la « Fleur d'Or ».
La côte de lumière bénéficie de 2 300 heures de soleil par an. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1968 à 2020 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[4]. Le tableau détaillé pour la période 1991-2020 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 4,1 | 3,5 | 5,3 | 7 | 10,4 | 13,2 | 14,9 | 14,7 | 11,9 | 10,1 | 6,7 | 4,5 | 8,9 |
Température moyenne (°C) | 7,1 | 7,2 | 9,6 | 11,7 | 15,1 | 18,1 | 19,9 | 19,8 | 17,2 | 14,1 | 10,2 | 7,6 | 13,1 |
Température maximale moyenne (°C) | 10 | 10,9 | 13,8 | 16,5 | 19,8 | 23,1 | 24,9 | 24,9 | 22,5 | 18,1 | 13,7 | 10,8 | 17,4 |
Record de froid (°C) date du record |
−16 16.01.85 |
−12,5 10.02.86 |
−10,7 01.03.05 |
−3,5 04.04.96 |
0 01.05.75 |
4,5 05.06.69 |
7 02.07.79 |
5 30.08.86 |
1,8 20.09.77 |
−4,5 30.10.97 |
−7 17.11.07 |
−9,5 16.12.09 |
−16 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
17,5 24.01.16 |
22 27.02.19 |
24 25.03.12 |
30 14.04.15 |
32 26.05.17 |
39,5 27.06.19 |
37,7 18.07.06 |
38,3 04.08.03 |
33 05.09.04 |
28,5 02.10.11 |
22 01.11.15 |
17 14.12.89 |
39,5 2019 |
Précipitations (mm) | 78,8 | 60,3 | 54,9 | 59,1 | 56,2 | 37,7 | 43,6 | 37,5 | 63,1 | 98 | 93 | 91,3 | 773,5 |
Saint-Jean-de-Monts est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Hilaire-de-Riez, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[8] et 39 193 habitants en 2019, dont elle est ville-centre[9],[10].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Jean-de-Monts, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 2 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].
La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[13]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[14],[15].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (66,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (41,5 %), zones urbanisées (15,5 %), terres arables (13 %), forêts (11,6 %), zones agricoles hétérogènes (10,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,4 %)[16].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[17].
Jusqu'au XVIe siècle à tout le moins, le nom de la paroisse s'écrit Sainct-Jehan de Montz.[réf. nécessaire]
Durant la Révolution, la commune porte le nom de Grands-Monts[18].
La paroisse de Saint-Jean existe depuis le XIVe siècle, l'église qui date en grande partie de cette époque est le plus ancien monument du bourg.
Avant la Révolution, Saint-Jean est placée sous la domination des seigneurs de Bois Masson. Puis, à l'issue des guerres de Vendée, le bourg se relève de ses ruines et Napoléon Ier, par décret du 19 vendémiaire an XII (12 octobre 1803), y installe un premier collège. Celui-ci sera supprimé au bout de dix ans car jugé non viable et sera donc transféré à Bourbon-Vendée (aujourd'hui La Roche-sur-Yon). Ses locaux serviront alors de presbytère et de mairie.
Des travaux ayant pour but de stabiliser les sables et d'empêcher qu'ils n'envahissent l'arrière-pays sont entrepris sous le Second Empire. En 1862, la fixation des dunes et leur gestion sont confiées au service des Eaux et Forêts, prenant la suite du service des Ponts et Chaussées.
Dès 1867, les baigneurs viennent sur les plages de Saint-Jean-de-Monts. Depuis 1892, des générations d'artistes s'en sont inspirées. Un petit hôtel ainsi qu'une vingtaine de villas seront édifiés rapidement. À la fin du XIXe siècle, Saint-Jean-de-Monts compte déjà 4 500 habitants.
Puis le quartier de la plage se transforme, d'autres hôtels sont construits, ainsi qu'un lotissement privé de six hectares. Avant la Première Guerre mondiale, on compte une centaine de chalets. La population n'y atteint pas le millier de personnes.
Les années 1920 voient Saint-Jean-de-Monts prendre son essor. La diffusion de l'automobile, le train côtier et le fait que les séjours en bord de mer gagne de nouveaux milieux sociaux en sont l'explication. Une dizaine d'hôtels s'ouvrent successivement, pour la plupart dans le quartier de la plage. Des magasins font leur apparition et le nombre de villas ne cesse d'augmenter. Deux nouveaux lotissements sont créés dans la zone littorale.
En 1923, le chemin de fer à voie métrique de la compagnie des Tramways de Vendée, (ligne Bourgneuf - Les Sables-d'Olonne) encourage l'arrivée des estivants.
L'entre-deux-guerres et la création des congés payés voient apparaître aussi la mode des colonies de vacances et du camping.
À la veille de la Seconde Guerre mondiale, Saint-Jean-de-Monts est déjà une station assez importante pour l'époque : 400 résidences secondaires y sont implantées. Le nombre des estivants est estimé jusqu'à 5 000.
Malgré la fermeture de la ligne ferroviaire en 1949, Saint-Jean-de-Monts encourage son développement touristique. Un vaste programme d'aménagement du front de mer est entrepris dès les années 1950 avec la construction du remblai et du Palais des Congrès.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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Liste des maires avant 1947
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1947 | 1959 | Théodule Chartier | DVD | Négociant en vin Conseiller général de Saint-Jean-de-Monts (1945 → 1958) | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
1959 | 1967 | Pierre Farcy | MRP puis CD | Notaire Conseiller général de Saint-Jean-de-Monts (1958 → 1970) | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
1967 | mars 1989 | Jean-Jacques Viguié | UDR puis RPR | Pharmacien Conseiller régional des Pays de la Loire (1977 → 1997) Conseiller général de Saint-Jean-de-Monts (1970 → 1994) | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
mars 1989 | 25 mai 2020 | André Ricolleau[19],[20] | DVG | Pharmacien Conseiller général de Saint-Jean-de-Monts (2001 → 2015) Président de la CC Océan-Marais-de-Monts (2001 → 2020) | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
25 mai 2020[21] | En cours (au 28 mai 2020) |
Véronique Launay | DVG | Kinésithérapeute, ancienne première adjointe Présidente de la CC Océan-Marais-de-Monts (2020 → ) |
La population de Saint-Jean-de-Monts a doublé en l'espace de 50 ans, passant de 4 000 habitants en 1950 à plus de 8 192 en 2010.
Saint-Jean-de-Monts est la première station balnéaire en capacité d'accueil de tout l'Ouest de la France (seconde sur le plan national) avec 130 000 lits auxquels il convient d'ajouter les nombreux visiteurs à la journée.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].
En 2019, la commune comptait 8 696 habitants[Note 3], en augmentation de 4,16 % par rapport à 2013 (Vendée : +4,57 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 800 | 2 703 | 3 050 | 4 006 | 3 809 | 3 880 | 3 680 | 4 024 | 4 038 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
4 091 | 4 021 | 4 016 | 4 054 | 4 024 | 3 973 | 4 107 | 4 240 | 4 251 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
4 500 | 4 704 | 4 797 | 4 559 | 4 710 | 4 704 | 4 826 | 5 048 | 4 488 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2006 | 2010 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
4 715 | 5 146 | 5 540 | 5 435 | 5 959 | 6 886 | 7 599 | 7 650 | 8 192 |
2015 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
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8 621 | 8 696 | - | - | - | - | - | - | - |
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 20,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 49,2 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 4 063 hommes pour 4 605 femmes, soit un taux de 53,13 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,16 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
1,7 | 90 ou + | 3,6 |
14,4 | 75-89 ans | 17,9 |
30,0 | 60-74 ans | 30,3 |
20,2 | 45-59 ans | 19,0 |
11,3 | 30-44 ans | 11,1 |
9,5 | 15-29 ans | 8,2 |
12,9 | 0-14 ans | 10,0 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,8 | 90 ou + | 2,1 |
8,4 | 75-89 ans | 11 |
19,5 | 60-74 ans | 20,4 |
20 | 45-59 ans | 19,4 |
18 | 30-44 ans | 17,1 |
14,9 | 15-29 ans | 13,2 |
18,5 | 0-14 ans | 16,8 |
Depuis 1993, la ville est animée au printemps et en été par le festival « La Déferlante ». Diverses manifestations culturelles gratuites sont organisées par l'association éponyme dans dix stations balnéaires de la région Pays de la Loire : Saint-Brevin-les-Pins, Pornic, Barbâtre, Noirmoutier-en-l'Île, Notre-Dame-de-Monts, Saint-Jean-de-Monts, Saint-Hilaire-de-Riez, Saint-Gilles-Croix-de-Vie, Les Sables-d'Olonne et La Tranche-sur-Mer (du nord au sud)[27].
Le catholicisme est le seul culte en activité dans la commune. Les deux lieux de cultes catholiques de Saint-Jean-de-Monts, l'église Saint-Jean et la chapelle Sainte-Thérèse, se rattachent à la paroisse Saint-Martin-des-Monts et au diocèse de Luçon. Une chapelle dite des Goélands se tenait, jusqu'en 2019, à proximité de la plage[28].
Les grands espaces naturels :
![]() |
Blasonnement :
D'azur à la fasce d'argent, accompagnée en chef d'un agneau pascal du même, la tête nimbée et contournée, portant une bannerette chargée d'une croisette aussi d'argent à la hampe d'or, et en pointe d'un mont de trois coupeaux du même. |
La devise de Saint-Jean-de-Monts est Crescere (Croître).
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