Royon est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
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La commune fait partie de la communauté de communes du Haut Pays du Montreuillois qui regroupe 49 communes et compte 15 747 habitants en 2018.
Géographie
Localisation
Royon est un village traversé par la Créquoise (qui se jette dans la Canche) qui a tranché une vallée verdoyante dans le plateau crayeux de Créquy et Azincourt: rien à voir avec le proche pays minier[1],[2].
Un créquier ou prunellier ou fourdrinier est un épineux fréquent dans les haies et clôtures de la région; et la devise de la famille de Créquy était: «qui s'y frotte s'y pique».
Les pentes de collines de la région étaient barrées par des haies de créquiers, à l’instar des restanques du midi, et qu'on appelait «royons» [3].
La Créquoise à proximité du château.
Carte de l'Artois par Ortellius - 1576.
Détail sur Royon.
Carte interactive (cliquer sur la carte).
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes:
Articles connexes: Liste des cours d'eau du Pas-de-Calais, Liste de rivières de France et Liste des fleuves de France.
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est drainée par la Créquoise, un cours d'eau naturel de 14,78 km, qui prend sa source dans la commune de Créquy et conflue dans la Canche au nord de Beaurainville, près du lieu-dit la Bleuence[4].
Paysages
Article connexe: Paysage en France.
La commune est située dans le «paysage montreuillois» tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[5]. Ce paysage, qui concerne 98 communes, se délimite: à l’Ouest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donné naissance aux bas-champs ourlées de dunes; au Nord par la boutonnière du Boulonnais; au sud par le vaste plateau formé par la vallée de l’Authie, et à l’Est par les paysages du Ternois et de Haut-Artois. Ce paysage régional, avec, dans son axe central, la vallée de la Canche et ses nombreux affluents comme la Course, la Créquoise, la Planquette…, offre une alternance de vallées et de plateaux, appelée «ondulations montreuilloises». Dans ce paysage, et plus particulièrement sur les plateaux, on cultive la betterave sucrière, le blé et le maïs, et les plateaux entre la Ternoise et la Créquoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forêt d'Hesdin, les bois de Fressin, Sains-lès-Fressin, Créquy… [6].
Milieux naturels et biodiversité
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2]: le bois de Fressin. Cette ZNIEFF appartient au complexe écologique constitué par les vallées de la Créquoise et de la Planquette et leurs versants boisés[7].
et une ZNIEFF de type 2[Note 3]: les vallées de la Créquoise et de la Planquette. Cette ZNIEFF, d’une grande qualité écologique et esthétique, constitue un des paysages ruraux traditionnels du Nord-Pas-de-Calais les mieux conservés[8].
Urbanisme
Typologie
Royon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[9],[10],[11].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Fruges, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,6% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (87,4%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (63,8%), prairies (20,9%), forêts (9,1%), zones urbanisées (3,3%), zones agricoles hétérogènes (2,9%)[14].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].
Toponymie
Carte des royons ou digues en Marquenterre: Carte Géol du B.R.G.M.
Dans le Marquenterre et les baies de Somme, Authie et Canche, les royons [16],[17] désignaient des digues construites pour gagner des terres sur la mer qu'on appelait alors «relais de mer , «enclôtures», ou «renclotures».[18].
Ces renclôtures sont à rapprocher des polders des Pays-Bas. Sur la carte jointe, elles figurent en rouge avec leur année de création. Leur nom perdure sur les chemins ou routes de la région construites dessus[18].
Première mention de Royon en 893 dans Gallia Christiana[19]: ce document cite comme vingt-et-unième abbé de Saint-Médard de Soissons «XXI. Altamarus comes de Royon in pago Atrebatensi (ou Artois), abbatiam S. Medardi Fulconi remensi archiepiscopo pro Sanvedastina dedit anno 893, quo anno Odo rex anterioraregum dona S. Medardo facta confirmavit praecepto quod habes Diplomaticae pag. 527» Malheureusement, on ne peut retenir ce document; d'une part parce qu'il est établi que la notion de comté est largement postérieure à l'an mil, et d'autre part parce qu'il fait référence à un autre document publié dans De re diplomatica qui est un faux connu. Il s'agit d'un acte de Saint-Médard de Soissons daté de l'an 893 dont Robert-Henri Bautier analyse toutes les incohérences. Enfin, quand bien même on tiendrait compte de ce faux, c'est pas le nom de Royon mais bien plus celui de Noyon qui semblerait devoir être retenu[20].
1201: Roion: «Hugo de Roion vendidit ecclesie vestre ... quartam partem totius ville de Waringheval...» (Arch. Pas-de-Calais, Fonds Rodière),
1256: Roion, (A. D. Nord, B 918 ):«... Moi Gérard dit de Bosco (du Bois?), seigneur de Roion, je fais savoir à tous ceux à qui ce présent écrit parviendra qu'a été passé entre moi et mon homme lige Robert de Contes une convention précisant que le dit Robert m'a donné et concédé à moi et à mes héritiers tous les droits qu'il avait ou pouvait avoir en matière de dons de gerbes sur le territoire de Roion en échange de douze mesures de terre sises dans le territoire appelé Valois, près des terres de Madame la Comtesse de Bousser et de Messire Henri de Contes, chevalier. Cependant, étant donné que messire Jean de Biez, chevalier, (différent du chevalier de Jérusalem Jean de Biez, dont on parle plus loin et qui vivait en 1570) tient et possède actuellement pour toute sa vie douze journaux de ces terres, j'ai donné en échange au dit Robert, sur le conseil de bonnes et prudentes gens, une compensation suffisante: à savoir la terre dite du champ de Buxi, près du bois de Messire Beaudoin de Créquy et du bois de Messire Henri de Gees (rapport avec le "fond Jean de Hée" à Sains les Fressin?), chevalier, deux mesures de terre près des terres du dit Robert et d'Arnoul dit Grandin (ou Grandet). Le dit Robert ou son héritier tiendront cette compensation tant que le susdit Messire Jean de Biez vivra. Mais quand il arrivera à Messire Jean de Biez, chevalier, de quitter ce siècle, cette compensation reviendra à moi ou à mon héritier, et le dit Robert ou son héritier posséderont ensuite librement et paisiblement, suivant le droit héréditaire, les douze mesures de terre sises sur le territoire de Roion, dans le champ dit Halois. Il ne faut pas passer sous silence que j'ai passé les conventions inscrites ci-dessus en présence de mes hommes liges et du consentement de mon épouse Béatrice et de notre fils héritier Nicolas qui ont bien voulu donner également leur assentiment à ces conventions. Et, pour qu'elles soient convenablement, fidèlement et fermement observées, moi, Gérard, en témoignage de cette affaire, j'ai apposé mon sceau (disparu) en haut de ces présentes lettres et me suis obligé ainsi que mon héritier à en respecter la teneur. Fait en l'an de grâce 1256, le mois de janvier..».
Variantes: Château-Royon, Campagne-Royon, Castelroyon, Droyon, La Chaize-Royon, La Chapelle-Royon, La Ferté-Royon, Le Mesnil-Royon, Le Mas-Royon, Montroyon, Le Plessis-Royon, Pont Royon, Port-Royon, Royon le Grand, Royon le Petit, Valroyon, Van Royon, Van Der Royon, Villeroyon.
Histoire
Royon dépendit du pagus Teruanensis (Thérouanne) [21],[22],[23] dont Unroch III de Frioul fut le premier comte connu (839-853),
La seigneurie de Royon fut fondée en 1259 par la famille de Crequy; elle s'éteint rapidement en 1465 à la bataille de Montlhéry, et il n'en reste rien de bien établi.
Elle dépendit du diocèse de Thérouanne jusqu'en 1559, puis du diocèse de Boulogne et du doyenné de Fauquembergues, avec succursale à Lebiez. Elle relevait du Conseil provincial d'Artois, de l'intendance de Lille, subdélégation de Hesdin sénéchaussée et recettes de Saint-Pol.
La seigneurie devenue comté (comte) puis marquisat (marquis) depuis 1692, fut un des fiefs de la famille de Bryas qui y a installé leur sépulture dans l'église (branche des Bryas de Royon). En 1692, la terre de Royon, dite d'un revenu considérable, a un château et 40 fiefs nobles en relèvent[24].
Mention est faite en 1641 d'un lieu-dit 'Roion' devenu 'Royon' en 1804, et actuellement quartier de Quend[25] en Marquenterre.
Politique et administration
Découpage territorial
Article connexe: Arrondissements du Pas-de-Calais.
La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
Article connexe: Liste des intercommunalités du Pas-de-Calais.
La commune est membre de la communauté de communes du Haut Pays du Montreuillois.
Circonscriptions administratives
Articles connexes: Redécoupage cantonal de 2014 en France, Liste des cantons du Pas-de-Calais, Conseil départemental du Pas-de-Calais et Liste des conseillers départementaux du Pas-de-Calais.
Articles connexes: Liste des circonscriptions législatives du Pas-de-Calais et Liste des députés du Pas-de-Calais.
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
Articles connexes: Élections municipales de 2020 dans le Pas-de-Calais, Histoire des maires de France et Nomination des maires sous la Troisième République française.
Agriculteur Propriétaire du château de Royon Conseiller général du canton de Fruges (1958-1981) Sénateur du Pas-de-Calais (1965-1981) Décédé en fonction
1983
mai 2020
Baron Serge de Hauteclocque (neveu du précédent)
UMP
Retraité Propriétaire du château de Royon Réélu pour le mandat 2014-2020[27],[28],[29]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].
En 2019, la commune comptait 139 habitants[Note 6], en augmentation de 9,45% par rapport à 2013 (Pas-de-Calais: 0%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
258
257
306
266
253
254
263
283
250
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
222
225
234
231
220
219
228
246
210
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
213
210
203
176
188
186
189
164
176
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
153
133
135
127
117
103
115
117
128
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
135
139
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,3%, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,9% la même année, alors qu'il est de 24,9% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 74 hommes pour 62 femmes, soit un taux de 54,41% d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,0
90 ou +
3,2
4,1
75-89 ans
11,3
19,2
60-74 ans
14,5
20,5
45-59 ans
24,2
15,1
30-44 ans
16,1
16,4
15-29 ans
11,3
24,7
0-14 ans
19,4
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[38]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,5
5,4
75-89 ans
8,9
15,9
60-74 ans
17,3
20,2
45-59 ans
19,4
19,1
30-44 ans
18,2
18,6
15-29 ans
16,3
20,3
0-14 ans
18,3
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église saint-Germain XVIIesiècle.
Vues extérieures:
Vues intérieures:
La nef et le chœur.
Dalle funéraire de Charles-Louis-François de Bryas XVIIIesiècle[39].
Transcription du texte de la dalle.
Les Fonts baptismaux XIIesiècle, XIIIesiècle° et XVIesiècle.
L'église Saint-Germain abrite plusieurs pièces dont la plupart sont classées MH au titre des objets[40].
Albâtre taillé XVIIesiècle
Albâtre taillé XVIIesiècle
Albâtre taillé XVIIesiècle
Bois taillé polychrome début XIXesiècle
Bois taillé polychrome début XVesiècle
Les vitraux du chœur ont été réalisés à Lille par le maître verrier Largillier en 1953.
Le château XVIIIesiècle avant sa destruction en 1944.
Le château reconstruit dans les Années 1960. Propriété privée.
Le souterrain. La tradition écrite et orale rapporte la notion d'un souterrain non retrouvé allant du château à Fressin[42],[43],[44],[45],[46].
Le monument aux morts de Royon est situé à proximité de l'église Saint-Germain.
Le monument aux morts.
L'arbre (de la Révolution) sur la route de Royon à Sains-les-Fressins.
Personnalités liées à la commune
Louis de Bryas (1665-1698), seigneur de Royon, bénéficie en avril 1692 de l'érection en marquisat, par lettres données à Versailles, de la terre de Royon. Il est à cette date député ordinaire des États d'Artois. Il tire son nom de la terre de Brias, érigée en comté depuis longtemps. Il est membre de la famille de Bryas, où il figure sous le nom de Louis Joseph de Bryas[24].
Héraldique
Blason
D'argent à la croix de gueules chargée en cœur d'une coquille d'or et cantonnée de quatre coquilles de gueules.
Détails
Armes, modifiées, de la famille de Hauteclocque, toujours existante et représentée dans la commune. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages: ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Références
Wartburg W. (Von): Franzozisches Etymologishes Wöterbuch (FEW), Eine darstellung des galloromanicheen sprachschatzen, 10.Band R, p.386-394, Zbiden Ed., Bâle, 1989
Van Drival E.: La topographie et les noms de village de l'Artois du VIIeauXIIesiècle, Antiquités du Pas-de-Calais, 1875-1878-IV, p.99-110.
Balandra E.: Les rideaux ou royons picards aux XIIIeetXIVesiècles, Bull. Soc. d'émulation d'Abbeville, 1980-XXIV, p.757-763.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Briquet A.: Le littoral du Nord de la France et son évolution morphologique, Colin A. Ed., Paris 1930
Dufetelle A.: Le Marquenterre, Monographie de Quend, imprimerie nouvelle, Abbeville, 1907.
Georges de Lhomel, Documents pour servir á l'histoire de Berck, Impr. A. Lafosse, p.85.
Gallia Christiana, XIV, p. 413, col A.
Royon M.: Royon, un nom, un toponyme..., Cannes, 1993, Ach. Nat. Onomastique, [S.TOP_1339_16
Leduque A.: Essai topographique sur la Morinie, CDRP, 1968.
Malbrancq J.: De morinis morinorum rebus, Tournai, 1639
Martel J.: Le défrichement en Artois du IXeauXIIIesiècle, Bull. Soc. des Antiquaires de la Morinie, 1952-1957-XVIII, p.510-512
Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 56, lire en ligne.
Dufetelle A.: Le Marquenterre, Monographie de Quend, Imp. Nouvelle, Abbeville, 1907.
«Royon: la relève se prépare: On a assisté à un certain renouvellement du conseil municipal mais les anciens sont restés, à l’image de Serge de Hautecloque qui va entamer son sixième mandat de maire: un record dans le canton. Il a obtenu neuf voix sur onze vendredi soir lors de l’élection du maire et de ses adjoints», La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
Caroline Fauquembert (CLP), «Royon: maire de grand-père en petit-fils, et toujours des projets à la pelle: Le village de Royon est associé au nom de Hauteclocque: depuis plusieurs générations, les hommes de cette famille se succèdent dans le fauteuil de maire. Retraité de 78 ans, Serge de Hauteclocque entame donc logiquement son sixième mandat. Son arrière-arrière-grand-père assurait déjà cette fonction!», La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
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