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Rosoy-en-Multien - dans l'ancien pays de Multien -, est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Rosoy-en-Multien

La nouvelle mairie, à l'ouest de l'église, inaugurée en 1994.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Senlis
Intercommunalité Communauté de communes du pays de Valois
Maire
Mandat
Emmanuel Thienpont
2020-2026
Code postal 60620
Code commune 60548
Démographie
Gentilé Rosaliens
Population
municipale
603 hab. (2019 )
Densité 71 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 05′ 51″ nord, 2° 59′ 41″ est
Altitude Min. 69 m
Max. 143 m
Superficie 8,49 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nanteuil-le-Haudouin
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Rosoy-en-Multien
Géolocalisation sur la carte : Oise
Rosoy-en-Multien
Géolocalisation sur la carte : France
Rosoy-en-Multien
Géolocalisation sur la carte : France
Rosoy-en-Multien

    Petit village rural de 603 habitants au dernier recensement de 2019, bien exposé au sud, Rosoy se développe par la proximité de la région parisienne avec l'aéroport de Roissy et par Meaux, la ville la plus importante de la région.

    Ses habitants, par décision du conseil municipal de , s'appellent les Rosaliens.


    Géographie


    Localisation
    Localisation
    Cadastre vers 1840.
    Cadastre vers 1840.

    Localisation


    Le territoire, en forme d'amande, est orienté nord-sud. Ses communes limitrophes, au nombre de 7, appartiennent, au nord, au département de l'Oise, et au sud, à celui de Seine-et-Marne (voir plans ci-contre). Le village est à 3,5 km à l'est d'Acy-en-Multien, à 20 km au nord de Meaux, à 19 km au sud-est de Crépy-en-Valois et à 60 km environ de Paris par la route, soit respectivement 3, 17, 17, 54 km à vol d'oiseau.

    Communes limitrophes de Rosoy-en-Multien
    Étavigny Boullarre
    Acy-en-Multien Rouvres-en-Multien
    Vincy-Manœuvre
    Seine-et-Marne
    Le Plessis-Placy
    Seine-et-Marne
    May-en-Multien
    Seine-et-Marne

    Géologie et relief


    La commune, comme le Multien, est une cuvette géologique sédimentaire.

    Ses sols sont de l'ère Tertiaire. Ils se caractérisent par des sables, calcaires et marnes. Son terroir est constitué d'un riche plateau agricole recouvert de limon. Il est coupé par un large vallon où coule la rivière de Gergogne.

    Son altitude moyenne est d'une centaine de mètres avec un point culminant à 143 m au lieu-dit L'Orme plaideur.

    De grands bois, de vastes prairies agrémentent les paysages de ce territoire foncièrement agricole.


    Hydrographie


    La commune est traversée d'ouest en est par la vallée de la Gergogne, petite rivière - qui gargouille. Elle borde le village au sud sur toute sa longueur et son lit a été transformé. On y remarque des étangs artificiels et un canal déversoir pour le service de l'ancien moulin ; plus loin, aux limites de May-en-Multien et de Rouvres - et anciennement vers Migny, attaché partiellement à Rosoy - des cressonnières, alimentées par de multiples fontaines[Note 1], sont exploitées depuis longtemps par des familles de Rosoy.


    Lieux-dits


    Ils sont le reflet de certaines spécificités souvent oubliées du terroir[Note 2]. Imaginés par les Anciens pour désigner et caractériser certains endroits, leur origine peut parfois remonter au Moyen Âge.

    Certains lieux sont explicites comme les Vignes, la Garenne, la Fosse aux Loups, le Fond des Forêts, l'Orme Plaideur, le Moulin à l'Huile, le Bois de Rochet, les Longues Rayes, la Pierre Sorcière, l'Eau Répandue, l'Arpent des Paresseux, Brise Dos, la Bruyère des Malades

    D'autres ont un sens moins évident comme Chantereine (là où chantent les grenouilles, du lat. *RANA), le Bois de Chaumont (mont dénudé), les Justices (lieu de justice et/ou d'exécution ?), les Chaufours (fours à chaux ?), Glatigny (dérivé du substantif glatia « glaise » ?), le Pavé de la Cornue (en forme de corne, bête à corne, femme trompée, bifurcation, récipient de bois pour porter les raisins ou vipère ?).

    D'autres, encore, semblent bien mystérieux comme les Éblois, la Nacelle, la Ternaillère, Laurence, le Pont Hermand, Saulnachéron


    Voies de communication et transports



    Réseau routier


    Réseau ferroviaire et transports en commun


    Aéroports

    Rosoy se situe à 42 km environ de l’aéroport Paris-Charles-de-Gaulle par la route. Il n'existe aucune liaison directe vers cet aéroport par des transports en commun. Néanmoins, il existe un service à partir de la gare de Lizy : correspondance avec la ligne 67 du réseau de bus Seine-et-Marne Express qui relie la gare de La Ferté-sous-Jouarre à Roissy.


    Climat


    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 723 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vendrest-Spc », sur la commune de Vendrest, mise en service en 1951[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 726,1 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 7], « Le Bourget », sur la commune de Bonneuil-en-France, dans le département du Val-d'Oise, mise en service en 1920 et à 43 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,1 °C pour 1991-2020[14].


    Urbanisme



    Typologie


    Rosoy-en-Multien est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire regroupe 1 929 communes[18],[19].


    Occupation des sols


    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (75 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66,2 %), forêts (20 %), prairies (8,8 %), zones urbanisées (5 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].


    Toponymie


    Le nom de la localité est attesté sous les formes Rosetum en 1014[22], Rosetum in Bria, Rosetum in Meldico puis Rozoi ou Rosoi-en-Mulcien[23], et enfin Rozoy ou Rosoy-en-Multien.


    Rosoy


    Rosoy dans le Multien, et Migny (Milly ici) vers 1600. Acy, Rouvres n'apparaissent pas.
    Rosoy dans le Multien, et Migny (Milly ici) vers 1600. Acy, Rouvres n'apparaissent pas.

    Ce toponyme est issu d’un gallo-roman *RAUSETU > ancien français rosoi, rosei « lieu où il y a des roseaux »[24],[25], c'est-à-dire « roselière ». Vers la Gergogne, les étangs sont encore couverts de roseaux.

    En ancien français ros signifiait « roseau », le mot rosel était un diminutif, encore attesté dans certains dialectes (d'où le dérivé roselière), devenu « roseau » en français central[26]. C'est un mot issu du vieux bas francique *raus(a). Le suffixe gallo-roman -ETU (latinisé en -etum dans les textes rédigés en latin médiéval) servait à dériver des noms de végétaux pour indiquer « un ensemble de végétaux appartenant à la même espèce ». Il est encore productif aujourd'hui sous une forme féminine issue de -ETA> -aie, d'où chênaie, hêtraie, roseraie, etc.

    Les formes en -oi / -oy sont plutôt caractéristiques du nord et de l'est, les formes en -ay /-ey de l'ouest. Ainsi note-t-on Rosay en Haute-Normandie, attesté sous la forme Rausedo en 750-775, de même signification[27].

    Un rapprochement avec le nom de la rose n'est pas justifié, bien que cette fleur figure sur la plupart des blasons des communes de type Rosay, Rosoy. Outre le fait que le terme d'ancien français rosoi, rosei « lieu où il y a des roseaux » ne soit jamais attesté avec le sens de « roseraie » dans les textes anciens, le suffixe -ETU n'est en principe jamais associé à un nom de fleur, mais au nom d'une plante, arbuste ou arbre. Ainsi le mot roseraie est-il formé sur le nom du rosier. Il n'y a en outre, pas de formation analogue dans le sud de la France, car la variante occitane rausa n'a pas le sens général qu'a le mot roseau en français et est circonscrite à une petite partie du domaine occitan.


    Multien


    La forme Rosetum in Meldico précise que le village se trouve in Meldico dont la racine est Meld (voir Meldes) avec le suffixe gaulois -ica. « Le pays de Meaux, le Multien, Melcianus, ne peut provenir que de Meldis, Meaux… »[28].


    Migny


    Le nom de ce hameau, aujourd'hui disparu, lié par l'Histoire à Rosoy, peut avoir plusieurs origines.

    Il est attesté sous les formes Migni et Millies en 1250[29], et aussi Megny en 1620[30] et Milly en 1600[31].

    Albert Dauzat, Charles Rostaing et Ernest Nègre ont vu pour Migny (Maigny, XIIIe siècle, Manhi, 1327, Meigniacus, 1351)[32] et Migné (Magnec, XIIIe siècle, Meignec 1422)[33] des formations en -acum, à partir de l'anthroponyme gallo-roman Mannius ou Magnius. Il est possible que le premier élément de Migny soit le même.


    Histoire


    Le clocher du XIIe-XIIIe s.
    Le clocher du XIIe-XIIIe s.
    Thomas Becket procédant à la dédicace d'une église, vitrail de 1200-1220.
    Thomas Becket procédant à la dédicace d'une église, vitrail de 1200-1220.
    Rosoy en 1609.
    Rosoy en 1609.
    Migny en 1609.
    Migny en 1609.
    In memoriam d'un Gibert dans l'église.
    In memoriam d'un Gibert dans l'église.

    La grande Histoire a oublié le village ; ne peuvent être relatés que des faits de l'histoire locale[34].


    Chronologie


    À l'époque romaine, le site est à la limite sud de la Forêt de Retz. Il est probablement défriché par les Meldes, comme d'autres sites de la vallée de la Gergogne, tel Réez-Fosse-Martin[Note 10].

    La commune prend forme sous Louis VI de France dit Louis le Gros, au XIe siècle. Sous l'Ancien Régime, du Moyen Âge à la Révolution, Rosoy est étroitement lié à Acy, capitale du Multien, dans la châtellenie de Meaux, mais aussi de Crépy-en-Valois, suivant la date. La paroisse, rattachée au doyenné d'Acy, est alors sous le contrôle de l'évêché de Meaux qui fait partie de l'archevêché de Sens jusqu'en 1640.

    Quelques faits ou évènements :


    Le vieux château en 1784


    Le Vieux Château.
    Le Vieux Château.

    Description sommaire[Note 20] des lieux[56].

    Le château proprement dit comporte 4 niveaux :

    Dans la cour, près de l'entrée, se tient une écurie avec 2 chevaux et des remises où on peut voir, en particulier, une chaise de maître.

    Le château, déjà qualifié de « vieux » en 1784, sera abandonné par la suite au profit d'une résidence bourgeoise située dans la grande rue et futur domaine Tortoni évoqué dans le paragraphe suivant.


    Rosoy vers 1848


    Le village vers 1840.
    Le village vers 1840.
    Domaine de Scipion.
    Domaine de Scipion.
    Ferme du Chapitre.
    Ferme du Chapitre.
    Le domaine Tortoni.
    Le domaine Tortoni.
    Le vieux moulin, vue aval.
    Le vieux moulin, vue aval.

    La vie à Rosoy est connue à travers les archives[57] (voir sur le plan du village le repérage des lieux) :


    Habitat

    Le village compte 79 feux pour 330 habitants, soit un peu plus de quatre individus par maison. Ces dernières sont construites en pierres de grès souvent enduites de plâtre, plus rarement en pierres calcaires. 80 % des toitures sont couvertes en chaume.


    Agriculture

    Le terroir, issu de l'ancien domaine seigneurial des Gibert, se partage essentiellement entre deux grands propriétaires :


    Industrie

    L'industrie est peu florissante : on trouve un four à chaux, une tuilerie, et surtout le moulin (rep. D), sur le cours de la Gergogne, propriété de M. Tortoni. D’époque ancienne (voir année 1250), avec une chute d’eau de 4,5 m, il fonctionne 18 h / jour pour les besoins locaux et emploie un ouvrier au salaire de 2,5 F / jour.


    Éducation, loisirs

    Un instituteur (M. Bunelle, actif dès 1831), peu rémunéré, est chargé de former les 50 écoliers souvent absents pour cause de travaux saisonniers. Les matières enseignées sont le calcul, la lecture, l’écriture, parfois un peu de dessin, des notions d’arpentage et de plain-chant. 40 % de la population sait lire et écrire. Les loisirs (fêtes, foires…) ne sont pas décrits. On signale cependant un jeu d’arc près de la Gergogne sur le cadastre napoléonien.


    Quelques professions

    Arpenteur, berger, cabaretier, charretier, couvreur en paille, cuisinière, cultivateur, domestique, garde-champêtre, jardinier, maçon, manouvrier, meunier, paveur, propriétaire, rentier, sabotier, scieur de long, tuilier.


    Archéologie d'aujourd'hui


    Quelques repérages et fouilles ont été menés sur le territoire depuis les années 1980.


    Politique et administration


    Rosoy est une des 25 communes du canton de Betz dont le conseiller général est, en 2013, Philippe Boulland, par ailleurs député européen. Elle fait partie de l'arrondissement de Senlis, dans le département de l'Oise dans la région Hauts-de-France. Elle se trouve au sein de la quatrième circonscription de l'Oise dont le député est Éric Woerth.

    Par ailleurs, Rosoy, comme plus de 60 communes des cantons de Betz, Crépy-en-Valois et Nanteuil-le-Haudoin, fait partie de la communauté de communes du pays de Valois dont le siège est à Nanteuil.


    Administration municipale


    Commune dont le nombre d'habitants (574 d'après la Communauté de Valois aux dernières élections municipales) est compris entre 500 et 1499, son conseil municipal est composé de 15 membres en 2020.


    Liste des maires


    Liste des maires successifs depuis 1944[61].
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1944 1977 André Geoffroy    
    1977 1983 Jacques Lourd    
    1983 1989 Ariel Leconte    
    1989 2008 Guy Barré    
    2008 2020 Michel Dupont    
    2020 En cours Emmanuel Thienpont    

    Finances locales


    Cette sous-section présente la situation des finances communales de Rosoy-en-Multien[Note 23].

    Pour l'exercice 2013, le compte administratif du budget municipal de Rosoy-en-Multien s'établit à 356 000  en dépenses et 570 000  en recettes[A2 1] :

    En 2013, la section de fonctionnement[Note 24] se répartit en 227 000  de charges (452  par habitant) pour 388 000  de produits (773  par habitant), soit un solde de 161 000  (321  par habitant)[A2 1],[A2 2] :

    Les taux des taxes ci-dessous sont votés par la municipalité de Rosoy-en-Multien[A2 3]. Ils ont varié de la façon suivante par rapport à 2012[A2 3] :

    La section investissement[Note 27] se répartit en emplois et ressources. Pour 2013, les emplois comprennent par ordre d'importance[A2 4] :

    Les ressources en investissement de Rosoy-en-Multien se répartissent principalement en[A2 4] :

    L'endettement de Rosoy-en-Multien au peut s'évaluer à partir de trois critères : l'encours de la dette[Note 30], l'annuité de la dette[Note 31] et sa capacité de désendettement[Note 32] :


    Population et société



    Démographie



    Évolution démographique

    Avant la Révolution, en 1720 et 1760, la population était respectivement de 152 et 198 habitants[62]. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[63]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[64].

    En 2019, la commune comptait 603 habitants[Note 33], en augmentation de 26,15 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    287318310338332325330330315
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    329300285264268259240278266
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    230238234187221216224169191
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    183152223281387399474496478
    2018 2019 - - - - - - -
    603603-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[65] puis Insee à partir de 2006[66].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 43,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 13,4 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 304 hommes pour 299 femmes, soit un taux de 50,41 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[67]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ou +
    0,0 
    1,3 
    75-89 ans
    3,3 
    12,8 
    60-74 ans
    9,4 
    23,0 
    45-59 ans
    19,7 
    18,8 
    30-44 ans
    25,1 
    18,1 
    15-29 ans
    19,7 
    26,0 
    0-14 ans
    22,7 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[68]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Enseignement


    Rosoy-en-Multien est situé dans l'académie d'Amiens et dépend de la Direction des services départementaux de l'éducation nationale Oise - DSDEN60, en résidence à Beauvais, pour la gestion du premier degré (écoles).

    Les écoles publiques d'Acy et de Rosoy fonctionnent en regroupement pédagogique intercommunal (RPI). Pour sa part, la commune de Rosoy administre en 2013 une école élémentaire de 4 classes.


    Manifestations culturelles et festivités


    La commune possède une salle polyvalente où peuvent avoir lieu fêtes, activités culturelles et sportives.

    Le Comité des Fêtes, association loi 1901, « organise et anime le village au travers de fêtes, soirées thématiques, festival de musique ».

    Les 2 principales manifestations programmées par le Comité des Fêtes sont :


    Santé


    La commune bénéficie d'un médecin généraliste.

    Les localités les plus proches et les services usuels proposés sont à titre indicatif en 2013 :

    On trouve médecins spécialistes, hôpitaux et cliniques à Meaux, Crépy-en-Valois, Nanteuil-le-Haudoin.
    Les maisons de retraite les plus proches sont à Lizy-sur-Ourcq et à Nanteuil.


    Sports



    Équipements sportifs

    La commune possède un terrain de football et une salle polyvalente où ont lieu les activités sportives des associations et clubs locaux.


    Associations et clubs

    En 2013 - 2014 on peut distinguer :


    Cultes


    Rosoy est associé à la paroisse dite du Multien pour le culte catholique. La cure est à Betz, les messes sont célébrées le plus souvent à Acy. Des offices particuliers peuvent être célébrés dans l'église Saint-Thomas-de-Cantorbéry.


    Économie


    À l'origine foncièrement agricole, la commune se développe par la proximité de la région parisienne avec l'aéroport de Roissy et par Meaux, la ville la plus importante de la région.


    Emploi


    La population des 15-64 ans de Rosoy est de 337 personnes, soit 67 % de la population totale. Cette population des 15-64 ans se répartit de la façon suivante : 71 % des personnes ont un emploi (soit 240 individus), 4 % sont chômeurs et 25 % sont inactifs (élèves, étudiants, retraités).

    La population active travaille pour une part de 10 % dans la commune. La plus grande part, 75 %, se déplace en région parisienne, essentiellement dans la zone de l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle.

    Sur les 240 personnes ayant un emploi, 217 sont des salariés et 23 des non salariés dont 15 sont employeurs.


    Activité


    Les établissements actifs, au nombre de 30 au , se répartissent de la façon suivante :agriculture : 4 ; industrie : 3 ; construction : 1 ; commerce, transports, services divers (artisans) : 18 ; administration publique, enseignement, santé et action sociale : 4.
    Seuls, 2 établissements ont plus de 10 salariés[69].


    Culture locale et patrimoine



    Lieux et monuments[34]



    L'église

    L'église, vue N-E.
    L'église, vue N-E.
    L'église, intérieur, 1920.
    L'église, intérieur, 1920.

    Orientée est-sud-est, elle date du XIIe siècle et fut dédiée à saint Thomas de Cantorbéry.


    Petit patrimoine

    Maison du Chapitre, grange dîmière ? transformée au XVIe siècle
    Maison du Chapitre, grange dîmière ? transformée au XVIe siècle
    Le corps principal de la ferme, du même nom ou ferme du bas, est certainement de la même époque que la grange.

    Autres lieux


    Personnalités liées à la commune



    Héraldique, logotype et devise


    Les armes des Gibert, seigneurs de la paroisse, se retrouvent, dans l'église, sur une plaque commémorative posée sur un pilier de la nef centrale.

    Blason des Gibert, seigneurs de Rosoy.
    Blason des Gibert, seigneurs de Rosoy.

    Voir aussi



    Bibliographie



    Articles connexes



    Liens externes


    Sur les autres projets Wikimedia :


    Notes et références



    Notes


    1. Une, au lieu-dit « les Neuf Fontaines », sur May ; une autre, qui n'est plus en culture, à la « Fontaine de Migny », sur Rouvres.
    2. Pour plus de détails, voir Lieu-dit
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Louis Graves p. 103 « Réez est un des lieux les plus anciennement connus du nord de la France. On veut que la forêt de Villers-Cotterets [ou Retz] en ait tiré son nom ».
    11. La localisation de la maladrerie, rapportée par M. André Geoffroy, ancien maire est : 49° 06′ 00″ N, 2° 58′ 38″ E ; un autre site est aussi proposé, résultat de fouilles récentes précisées dans la section Archéologie d'aujourd'hui.
    12. Sur la perspective du village (à comparer avec le plan le village vers 1840, plus bas, pour localiser les lieux), on reconnait le clocher, la ferme du bas, le vieux château (alors maison forte ?) avec deux tours couvertes en ardoises, la rivière et au premier plan le moulin. On peut constater aussi l'emplacement de l'ancien cimetière en dehors du village.
    13. Ce hameau, de 5 maisons et son église émouvante avec son petit clocheton, déjà bien détruit en 1609, est aujourd'hui disparu ; coordonnées : 49° 05′ 34″ N, 3° 01′ 03″ E.
    14. Voir 1784.
    15. Voir la généalogie de la famille Gibert.
    16. Voir la note attachée au Fond des Forêts (1914).
    17. En 2016, le fait est avéré : Il existe au Kirghizistan des aigliers vers Bokonbayevo, au bord du lac Issyk Kul, qui pratiquent cette chasse ancestrale : Reportage photo paru dans « L'Obs » no 2682 d'avril 2016 tiré de l'ouvrage de Kares Le Roy, Ashayer, Amu Darya, .
    18. Grande demeure bourgeoise du milieu du XIXe siècle, construite par Paul Gervais, gendre de M. Tortoni.
    19. Dans les années 1950, on y trouvait encore des obus épars et des traces superficielles de tranchées.
    20. L'inventaire du château est détaillé sur 11 pages A4 (folio 75 à 118).
    21. Scipion a été suggéré être le prénom de Scipion de Meaux, fils de Louis de la Ramée, tous deux hérétiques et décapités : le père en 1567, le fils en 1580 ; une autre hypothèse, plus vraisemblable, est qu'il s'agirait de Scipion de Brandano, possesseur d'un fief à Acy avant 1591.
    22. Localisation de la briqueterie: 49° 05′ 40″ N, 2° 59′ 55″ E.
    23. Cette sous-section Finances locales est issue d'une synthèse des données du site alize2.finances.gouv.fr du ministère de l'Économie et des Finances. Elle est présentée de façon standardisée pour toutes les communes et ne concerne que le périmètre municipal. Pour constituer cette partie, l'outil Finances locales version 1.2.1 : Yin Yang Kappa a effectué la synthèse des 98 pages du site alize2.finances.gouv.fr concernant Rosoy-en-Multien. Finances locales est un logiciel libre distribué en copyleft sous licence GNU GPL version 3.
    24. La « section de fonctionnement » est constituée des dépenses courantes et récurrentes nécessaires au bon fonctionnement des services municipaux et à la mise en œuvre des actions décidées par les élus, mais sans influence sur la consistance du patrimoine de la commune.
    25. Le poste « achats et charges externes » regroupe les achats non stockés de matières et fournitures (eau, énergie...), le petit matériel, les achats de crédits-bails, les locations, primes d'assurances...
    26. Les « impôts locaux » désignent les impôts prélevés par les collectivités territoriales comme les communes pour alimenter leur budget. Ils regroupent les impôts fonciers, la taxe d'habitation ou encore, pour les entreprises, les cotisations foncières ou sur la valeur ajoutée.
    27. La section « investissement » concerne essentiellement les opérations visant à acquérir des équipements d’envergure et aussi au remboursement du capital de la dette.
    28. Les « dépenses d’équipement » servent à financer des projets d’envergure ayant pour objet d’augmenter la valeur du patrimoine de la commune et d’améliorer la qualité des équipements municipaux, voire d’en créer de nouveaux.
    29. Les « remboursements d'emprunts » représentent les sommes affectées par la commune au remboursement du capital de la dette.
    30. L'« encours de la dette » représente la somme que la commune doit aux banques au de l'année considérée
    31. L'« annuité de la dette » équivaut à la somme des intérêts d'emprunts de la commune et du montant de remboursement du capital au cours de l'année
    32. La « capacité de désendettement » est basée sur le ratio suivant défini par la formule : ratio = encours de la dettecapacité d'autofinancement. Ce ratio montre, à un instant donné, le nombre d'années qui seraient nécessaires au remboursement des dettes en considérant les ressources de Rosoy-en-Multien.
    33. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    34. Inscriptions surmoulées sur la jupe de la cloche.
    35. Les archives ne donnent aucune information sur cette bâtisse. Elle peut avoir été transformée en même temps que les derniers embellissements de l'église, pour les commanditaires c'est-à-dire : soit sous Antoine Duprat, chancelier de François 1er, évêque de Meaux et seigneur de Rosoy, soit plus tard par le Chapitre de Meaux, qui en sera propriétaire jusqu'à la Révolution.
    36. Le bâtiment principal est similaire, dans sa construction, aux moulins banaux de Villeneuve-l'Archevêque qui datent du XVIe siècle.
    37. Un cadran est dit déclinant lorsqu'il n'est pas orienté « plein sud ».
    38. L'enseigne est, en 2015, archivée à la mairie.
    39. Pour l'anecdote, la fille de Maurice Girodias, Juliette Kahane a écrit un roman Revivre la bataille où elle donne le nom de Fond des Forêts à une cité fictive de la région parisienne.

    Base de données du ministère du Budget, relative aux comptes des communes



    Références


    1. Graves, voir Bibliographie, p. 130.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Vendrest-Spc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Rosoy-en-Multien et Vendrest », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Vendrest-Spc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Rosoy-en-Multien et Bonneuil-en-France », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Larousse, 1963
    23. Graves, voir Bibliographie.
    24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Op. Cit.
    25. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne) p. 1261.
    26. Site du CNRTL : étymologie de « roseau ».
    27. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 130.
    28. Source sur l'étymologie de Multien : Michel Roblin, Petromanlalum, Saint-Clair et le Vexin, Journal des savants 1976, volume 1, numéro 1, p. 26.
    29. Longnon, Auguste, Rôles des fiefs du comté de Champagne : sous le règne de Thibaud le Chansonnier (1249-1252) / publiés d'après les minutes conservées au trésor des Chartres par Auguste Longnon, Paris, H. Menu, 1877, p. 118, 121.
    30. Hondius, carte du Pais de Valois, 1620
    31. Extrait d'une carte de l'Île-de-France faisant partie d'un atlas des provinces de France commandé par Henri IV
    32. Voir :
    33. Voir
    34. Louis Graves, voir bibliographie ; sauf indications contraires dûment précisées.
    35. Abbé Bonno, Notice historique sur le monastère de Fontaines-les-Nonnes, Arcis-sur-Aube, Frémont, (lire en ligne), p. 9.  et Première partie de la notice, accès direct en ligne, puis Seconde partie de la notice, accès direct en ligne.
    36. Christian de Bartillat, Un champ de bataille et de blé…, Paris, 1974, p. 121. Source : (la) Auguste Longnon, Rôles des fiefs du comté de Champagne sous le règne de Thibault le chansonnier, Paris, Menu, (lire en ligne), p. 117.
    37. Auguste Longnon (1), Documents relatifs au comté de Champagne et de Brie, 1172-1361 : Les fiefs, t. 1, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), p. 235, art 5736.
    38. Longnon Auguste, 1877, op. cit., p. 116.
    39. Longnon Auguste, op. cit., p. 118, 121.
    40. Dom Toussaint du Plessis, Histoire de l'église de Meaux, tome 1 et 2, Paris, 1731, tome 1, p. 265.
    41. Dom Toussaint du Plessis, op. cit., tome 2, p. 257, 258.
    42. Manuscrit, Inventaire des biens, titres, papiers de Louis Gibert, seigneur de Rosoy, collection privée, 1784, fol. 172 v°.
    43. Voir : Albert Buisson, Le chancelier Antoine Duprat, Paris, Hachette, , p. 379.
    44. d'après un inventaire après décès d'Antoine Duprat fils, de 1557, conservé aux Archives Nationales sous la cote MC/ET/VIII/84 ; voir aussi La famille Duprat par Etienne Pattou p. 4.
    45. Mémoires et documents pour servir à l'histoire des pays qui forment aujourd'hui le département de l'Oise p. 38.
    46. Plan de la gruerie de Nanteuit-le-Haudoin, Archives Nationales, 1609.
    47. voir les Gibert de Rosoy ; voir surtout : Manuscrit, Inventaire des biens…, op. cit. fol. 166-168.
    48. Cassini de Thury, Recueil factice des introductions et des tables alphabétiques…, recueil 6, feuille de Soissons, BnF
    49. Voir le lien Famille Gibert, plutôt que la page Wiki Famille Gibert, page incomplète.
    50. Manuscrit, Inventaire des biens, titres, papiers de Louis Gibert, seigneur de Rosoy, op. cit.
    51. Exposition universelle internationale de 1889 à Paris. Exposition rétrospective, section III, arts et métiers, Fauconnerie, catalogue illustré, Paris, 1890. Voir sous Gallica. ; voir aussi Traité de fauconnerie
    52. Comte de Caix de Saint-Aymour, Guerre de 1914. La Marche sur Paris de l'aile droite allemande, ses derniers combats. 26 août-4 septembre 1914…, Charles-Lavauzelle, Paris, 1916, p. 166. Lire en ligne
    53. Gervais-Courtellemont, Jules (1863-1931). Portfolio-photo-couleurs. Les champs de bataille de la Marne, récit technique et documenté. Photographies directes en couleurs et texte de Gervais-Courtellemont. [s.d.], BnF, Gallica
    54. Source : M. Guy Barré, ancien maire.
    55. Rapports du préfet de l'Oise, pour les années 1927, 1935-1937.
    56. Manuscrit, Inventaire des biens…, op. cit.
    57. Graves, voir bibliographie.
    58. Mémoires et documents pour servir à l'histoire des pays qui forment aujourd'hui le département de l'Oise p. 38 bas.
    59. Bruno Foucray, Découverte d'une fibule-monnaie mérovingienne à Rosoy-en-Multien (Oise), dans Revue archéologique de Picardie no 2, 1983, p. 25. Voir l'article et la fibule.
    60. Marc Durand, Seconde partie : Archéologie du cimetière médiéval, dans Revue archéologique de Picardie. Numéro spécial 6, 1988. Archéologie du cimetière médiéval au sud-est de l'Oise du VIIe siècle au XVIe siècle, relations avec l'habitat, évolution des rites et des pratiques funéraires, paléodémographie. p. 27-206. Accéder à la revue (voir Rosoy en p. 84).
    61. Voir la liste des premiers maires, pratiquement complète depuis 1793
    62. Graves, voir bibliographie, p. 33.
    63. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    64. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    65. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    66. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    67. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Rosoy-en-Multien (60548) », (consulté le ).
    68. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    69. Source : Insee, 2009-2010, statistiques de Rosoy-en-Multien.
    70. Bulletin de la Société littéraire et historique de la Brie, second volume, Meaux, 1898. Source : Gallica, BnF.
    71. Analyse de Mme Saulnier-Pernuit, conservateur en chef honoraire des Musées de Sens, spécialiste en architecture du Moyen Âge et de la Renaissance.
    72. Voir entre-autres : Claude Sauvageot, Palais, châteaux, hôtels et maisons de France, t. III, Paris, Morel, (lire en ligne), p. 26, note 1.
    73. Voir la généalogie de la famille Duprat donnée par Étienne Pattou (2019) : accès en ligne
    74. Archives de l'Oise, état-civil ; pierre tombale du cimetière.

    На других языках


    [de] Rosoy-en-Multien

    Rosoy-en-Multien ist eine Gemeinde im französischen Département Oise in der Region Hauts-de-France. Sie gehört zum Kanton Nanteuil-le-Haudouin (bis 2015 Kanton Betz) im Arrondissement Senlis. Sie grenzt im Nordwesten an Étavigny, im Nordosten an Boullarre, im Osten an Rouvres-en-Multien, im Südosten an May-en-Multien, im Süden an Le Plessis-Placy, im Südwesten an Vincy-Manœuvre und im Westen an Acy-en-Multien. Die Bewohner nennen sich Rosaliens.

    [en] Rosoy-en-Multien

    Rosoy-en-Multien (French pronunciation: ​[ʁozwa ɑ̃ myltjɛ̃]) is a commune in the Oise department in northern France.

    [es] Rosoy-en-Multien

    Rosoy-en-Multien es una población y comuna francesa, en la región de Picardía, departamento de Oise, en el distrito de Senlis y cantón de Betz.
    - [fr] Rosoy-en-Multien



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