Rinxent est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
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Rinxent | |
![]() La mairie de Rinxent. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Hauts-de-France |
Département | Pas-de-Calais |
Arrondissement | Boulogne-sur-Mer |
Intercommunalité | Communauté de communes de la Terre des Deux Caps |
Maire Mandat |
Nicolas Lœuillet 2020-2026 |
Code postal | 62720 |
Code commune | 62711 |
Démographie | |
Gentilé | Rinxentois |
Population municipale |
3 038 hab. (2019 ![]() |
Densité | 363 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 50° 48′ 20″ nord, 1° 44′ 20″ est |
Altitude | Min. 7 m Max. 90 m |
Superficie | 8,38 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Marquise (banlieue) |
Aire d'attraction | Boulogne-sur-Mer (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Desvres |
Législatives | Sixième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | ville-rinxent.fr |
modifier ![]() |
Ses habitants sont appelés les Rinxentois.
La commune fait partie de la communauté de communes de la Terre des Deux Caps qui regroupe 21 communes et compte 22 197 habitants en 2018.
Le territoire de la commune est situé dans le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de quatre communes :
Ferques | ||
Marquise | ![]() |
Réty |
Wierre-Effroy |
La commune est traversée par le petit fleuve côtier, la Slack, cours d'eau naturel de 21,78 km, qui prend sa source dans la commune de Hermelinghen et qui se jette dans la Manche au sud d'Ambleteuse[1].
Le territoire de la commune est situé dans le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale[2].
Rinxent est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Marquise, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[6] et 8 559 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7],[8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Boulogne-sur-Mer dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 80 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (43,6 %), prairies (21,4 %), zones urbanisées (15,8 %), mines, décharges et chantiers (10,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9 %)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
La commune est desservie, en gare de Marquise - Rinxent, par les trains du réseau TER Hauts-de-France qui circulent sur la ligne de Boulogne-Ville à Calais-Maritime.
Le lieu est mentionné sous les formes Erningasten et Erningasem (1107 et 1117), Rinningshem (1119), Renningesem (1157), Rininghessem (1179), Renguenscen (1200), Renningsessem (1206), Erningessem (1286), Eringhesen (XIIIe siècle), Renighesen et Reinghesen (fin du XIIIe siècle), Ringhessem (1336), Reninguehan (1372), Ringuesent (1396), Reninghessent (1422), Ringuessent (1480), Renguessant (XVe siècle), Renesguessent (v. 1512), Rinquessent (1523), Ringhuessen et Rainghessent (1559), Raincqsen (1658), Rincquessent (1659), Rincquesent (XVIIe siècle), Rinquexent (1739), Rinxen-la-Gonterie (1774)[13], Rinxent (1793) et Rinxen puis Rinxent (depuis 1801)[14].
Il fait partie des nombreux toponymes de la région comportant une finale -sent. Ils sont situés en général plus au sud (cf. Beussent, Brekelesent, Inquesent, Tubersent, Hubersent, Fromessent, Roussent, etc.) et leur interprétation reste difficile.
Leur diffusion dans l'aire de distribution des toponymes germaniques, ainsi que les formes anciennes incitent à les considérer comme étant également d'origine germanique.
Hubersent et Tubersent, les plus anciennement attestés, sous les formes respectives de Humboldinga[s]hem en 826 et Torbodeshem en 844 - 864 (par évolution phonétique Turbessem en 1144 et enfin la forme actuelle par métathèse de [r] et adjonction d'un -t graphique) présentent l'appellatif germanique -hem, fréquent dans la région, signifiant « foyer, maison », précédé du nom de personnage Humbold dans le premier cas et Thorbod dans le second. Le -s- intermédiaire du génitif germanique indique qu'il ne s'agit pas de toponymes très anciens.
Beussent (Bulcent, Bolcent 1112), Brexent (Brekelesent 1151), Inxent (Villa Hainessendae 1042, Enessem 1224, Inquesent sans date) attestent au contraire d'une finale -sent dès les XIe - XIIe siècles. La forme ancienne latinisée pour « Inxent », Villa Hainessendae, s'explique apparemment par le nom de femme germanique Hainesinda selon Albert Dauzat et Charles Rostaing[15].
Les formes anciennes de Rinxent montrent à l'évidence qu'il s'agit d'un toponyme apparenté à Hubersent et à Tubersent, c'est-à-dire formé avec l'appellatif germanique -hem « maison, foyer ». Le premier élément s'explique par un nom de personne germanique mal défini, peut-être Erno, devenu Reno par métathèse, suivi, comme pour Humbold dans Hubersent, du suffixe -ing[a].
À noter que la double suffixation -ing(en)-hem est typique du flamand. cf. Maninghem, Wicquinghem, même formation que Hubersent et Rinxent, mais sans [s] intermédiaire.
Le village de Rinxent est une ancienne station romaine[réf. nécessaire], dont les habitants gallo-romains adoraient Mercure et vénéraient les déesses mères, divinités mystérieuses dont le culte était répandu dans la Gaule. Les deux bas reliefs trouvés dans la démolition de l'église de Rinxent en 1860[réf. nécessaire] sont les preuves de ce culte. L'un des bas reliefs représente le dieu du commerce et de la tromperie, et l'autre, la triade féminine de la maternité gauloise.
La première mention de Rinxent dans l'histoire se trouve dans une charte de 1107 avec la graphie Renninghehem.
Cette erreur est à l'occasion du seigneur Almare d'Erningasem[pas clair] qui signe en 1107-1117 les chartes relatives aux donations que Warin de Fiennes avait faites en faveur de l'abbaye Saint-Médard d'Andres.
À cette époque, l'église de Rinxent (ecclesia de Rinninghessem, ou Renningesem) appartenait au chapitre de Thérouanne, ainsi qu'il résulte de son inscription à ce titre dans les bulles pontificales de 1119, 1157 et 1179. Au commencement du XIIIe siècle, réapparaît un de ses seigneurs qui, fidèle allié de Renaud de Dammartin, comte de Boulogne, infestait pendant la nuit comme un larron, les terres de Baudouin de Guînes, où il exerçait mille brigandages.
Cet homme, Lambert d'Ardres, appelait Almare d'Erningasem « Engelram d'Ernningheshen ou d'Erningsem » déformant ainsi le nom de ce seigneur. Ce qui a fait que sa signature parmi celles des pairs d'Eustache de Campagne (1206) et de Guillaume de Fiennes, (1210) orthographiait le nom de ce seigneur comme Renningessem et Renninghehem.[pas clair]
Plus tard, vers la fin du XIIIe siècle, c'est la forme contractée Reinghesem qui prévaut dans les chartes d'Artois, tandis que le terrier de Beaulieu, continuait à se conformer à l'ancien usage en écrivant encore Erningessem en 1286.
Au XIVe siècle et au XVe siècle la seigneurie de Rinxent appartenait à une branche cadette de la famille de Bournonville[16].
Rinxent faisait partie du doyenné de Boulogne et du bailliage de Londefort. Il ne formait qu'une communauté civile[C'est-à-dire ?] avec son annexe d'Hydrequent.
Le hameau d'Hydrequent rattaché aujourd'hui à Rinxent possédait une autonomie ecclésiastique avec une église dont le lieu est mentionné dès l'an 1119 dans les chartes de Thérouanne ; mais en 1422, il fut annexée à la cure de Rinxent.
À Hydrequent, plusieurs grottes ont servi de retraite pour les hommes. Une grotte préhistorique servit pendant la Révolution française d'exil à un prêtre nommé Antoine Calais.
Le nom d'Hydrequent a voulu être rattaché aux travaux d'Hercule mais, du fait de la nature trop présomptueuse de ce rattachement, celui-ci ne se fit pas.
La première mention de ce lieu, Hildringhehem, figure en 1119 dans les chartes de Thérouanne.
Hydrequent était un hameau charmant, témoin de cette description faite au XIXe siècle[17] : « La Vallée Heureuse et les carrières dites du Haut Banc qui y font suite présentent l'aspect le plus pittoresque. C'est une Suisse en miniature transportée au milieu des campagnes du Boulonnais. Sur les deux versants des collines qui l'encaissent, on aperçoit de distance en distance diverses habitations entourées de bosquets et d'arbres fruitiers; puis ce sont des scieries de marbre que l'eau fait mouvoir, des rochers à pic qui les surplombent, des éclaircies de soleil et de verdure, des monticules arides et nus formés de débris de carrière, des maisonnettes aux murs blanchis, aux toits couverts de pannes rouges, des jardinets fleuris, des recoins pleins d'ombres et de fraîcheur; et au milieu de tout cela un ruisseau qui serpente en méandres capricieux, tantôt retenu captif au service de l'industrie, tantôt rebondissant en cascades à travers les près verts; tout cet ensemble mérite bien la dénomination poétique que lui ont donné les touristes et les nombreux visiteurs dont elle fait les délices. »
Au XVIIIe siècle, on y comptait à peine une cinquantaine de foyers (approximativement 250 à 300 habitants). En 1882, il y en avait 1872, sur 838 hectares de terre. Rinxent doit cette augmentation au voisinage des hauts-fourneaux de Marquise qui ont attiré dans le pays une affluence de population ouvrière.
La commune est desservie depuis 1867 par la Gare de Marquise - Rinxent, qui se développe avec la création en 1883 d'un chemin de fer industriel local qui dessert les carrières et transporte la craie et la chaux qui en sont issues.
Durant la Première Guerre mondiale, une base d'aérostats militaires est créée en 1915 par la marine britannique à 800 m de la gare, à l'emplacement désormais appelé Le Ballon[18]. L'armée britannique exploita en 1917 les carrières avec la 321e compagnie de carrières, formée d’ouvriers carriers du bailliage de Guernesey[19]. La commune reçoit des prisonniers de guerre allemands placés sous la garde des Britanniques. Périodiquement, comme en juin 1917, les autorités signalent des évasions[20].
Les hangars de la base d'aérostats servirent durant l'entre-deux-guerres pour abriter des familles nécessiteuses[18].
En 1940, au début de la Seconde Guerre mondiale la gare est fortement bombardée notamment dans le cadre de la bataille de Dunkerque (pour prévenir toute remontée de renfort), puis de nouveau à partir de 1942 dans le cadre de l'opération Fortitude destinée à faire croire aux nazis à l'imminence d'un débarquement dans le Pas-de-Calais.
Le 18 juin 2019, un arrêté reconnaissant l'état de catastrophe naturelle sécheresse a été pris, pour onze communes du Pas-de-Calais, dont Rinxent, afin que puisse avoir lieu l'indemnisation par les assurances des cas de maisons ou bâtiments fissurés à la suite du retrait-gonflement des argiles[21].
La commune se trouve dans l'arrondissement de Boulogne-sur-Mer du département du Pas-de-Calais.
Rinxent fait partie de la communauté de communes de la Terre des Deux Caps, créée fin 2001.
La commune faisait partie depuis 1801 du canton de Marquise[14]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune a intégré le canton de Desvres, dont elle est désormais membre.
Pour l'élection des députés, la commune fait partie depuis 1986 de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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Maires avant 1945
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8 février 1945 | octobre 1947 | Henri Petitprès | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
1947 | 1977 | Marcel Maillard | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
1977 | mars 2014 | Bernard Chaussoy | PS | Instituteur | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
mars 2014 | 30 mars 2018[22],[23] | Stéphane Kinoo | DVG | Ingénieur d'études Mandat écourté par la démission d'une majorité de conseillers municipaux | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
30 mars 2018 | En cours (au 3 avril 2022) |
Nicolas Lœuillet | SE | Développeur web et créateur du logiciel libre Wallabag[24],[25],[26] Réélu pour le mandat 2020-2026[27],[28],[29] | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].
En 2019, la commune comptait 3 038 habitants[Note 3], en augmentation de 6,15 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : 0 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
424 | 382 | 427 | 457 | 537 | 578 | 745 | 811 | 1 066 |
1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 481 | 1 731 | 1 806 | 1 872 | 1 982 | 1 915 | 1 639 | 1 413 | 1 536 |
1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 715 | 1 821 | 2 505 | 2 769 | 2 851 | 2 979 | 2 980 | 3 252 | 3 267 |
1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2007 | 2012 | 2017 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
3 340 | 3 195 | 3 094 | 2 860 | 2 797 | 2 772 | 2 768 | 2 771 | 3 001 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
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3 038 | - | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,1 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 472 hommes pour 1 543 femmes, soit un taux de 51,18 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,5 | 90 ou + | 1,2 |
5,3 | 75-89 ans | 8,0 |
16,0 | 60-74 ans | 15,2 |
19,1 | 45-59 ans | 19,5 |
22,9 | 30-44 ans | 19,6 |
15,4 | 15-29 ans | 16,7 |
20,8 | 0-14 ans | 19,8 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,5 | 90 ou + | 1,5 |
5,4 | 75-89 ans | 8,9 |
15,9 | 60-74 ans | 17,3 |
20,2 | 45-59 ans | 19,4 |
19,1 | 30-44 ans | 18,2 |
18,6 | 15-29 ans | 16,3 |
20,3 | 0-14 ans | 18,3 |
![]() |
Blason | Taillé : au 1er d'azur à trois fasces ondées d'or, au 2d d'azur à un lion d'or, armé et lampassé de gueules, accompagné en pointe d'un croissant lui-même surmonté d'une étoile*, le tout du même ; à la cotice en barre d'argent brochant sur la partition[37]. |
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Détails | * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (gueules sur azur). Dans un taillé, la commune relève à dextre les armes des seigneurs de Rinxent à la fin du XVIIe siècle, avec Jean de Willecot, qui portait « d'azur à trois fasces ondées d'or » ; à senestre elle pose des éléments provenant des armes de la famille de Monet, seigneurs au XVIIe siècle de l'actuel hameau d'Hydrequent, et qui portait « d'azur au pal d'argent chargé d'une étoile et d'un croissant de gueules, accosté de deux lions affrontés d'or ». Adopté en 1987. |