Proyart est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
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Proyart est un gros village périurbain picard de la vallée de la Somme dont le territoire s'étend entre le plateau picard et les zones humides d'un des méandres de la Somme. Il est situé à 28 km à l'est d'Amiens, 18 km au sud-ouest de Péronne et à 41 km de Saint-Quentin.
Le village, dont le territoire communal est limité au sud par l'ancienne RN 29 (actuelle RD 1029), est desservi par la RD 329 qui la relie à Albert à Montdidier.
En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau Trans'80, Hauts-de-France, tous les mardis sauf les jours fériés (ligne no43, Harbonnières - Rosières-en-Santerre, ligne no47 et ligne no59)[1].
Le Sentier de grande randonnée GR 800 passe dans la commune, le long de la Somme.
Le sol et le sous-sol de la commune sont de formation secondaire, tertiaire et quaternaire. Les trois quarts du territoire sont formés de la terre franche typique du Santerre, le limon des plateaux. Le sous-sol est crayeux et marneux Dans la vallée de la Somme, le sol est tourbeux. Le sol est plutôt perméable par ailleurs[2].
La vallée de la Somme est d'une altitude de 30 m et le point culminant est de 82 m d'altitude. Le sol est pratiquement plat si l'on excepte la vallée sèche dite vallée frévale qui contourne le village[2].
Le fleuve côtier la Somme constitue la limite nord du territoire communal.
La nappe phréatique se trouvait à la fin du XIXesiècle à environ 40 m au-dessous du niveau du sol[2].
Climat
Le climat est tempéré océanique (la Manche est à environ 100 km).
Urbanisme
L'essentiel de l'habitat est groupé au chef-lieu totalement reconstruit pendant l'Entre-deux-guerres.
Typologie
Proyart est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[6],[7].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,8% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (83,6%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (81,4%), forêts (7,8%), zones urbanisées (5,1%), eaux continentales[Note 3] (4,3%), zones agricoles hétérogènes (1,4%)[8].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].
Lieux-dits, hameaux et écarts
Il existe un hameau situé à l'écart du chef-lieu, le hameau de La Rapperie, au carrefour de la route Amiens-Saint-Quentin et de la route Moreuil-Albert.
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 313, alors qu'il était de 299 en 2013 et de 278 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 86,7% étaient des résidences principales, 6,2% des résidences secondaires et 7,1% des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,7% d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,6% des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Proyart en 2018 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (6,2%) inférieure à celle du département (8,3%) mais supérieure à celle de la France entière (9,7%). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 77,6% des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (80,6% en 2013), contre 60,3% pour la Somme et 57,5 pour la France entière[I 3].
Résidences secondaires et logements occasionnels (en%)
6,2
8,3
9,7
Logements vacants (en%)
7,1
8,4
8,2
Toponymie
On trouve plusieurs formes pour désigner Proyart dans les textes anciens: Proiast, Projast (1123), Proïast (1126), Prohar (1209), Prœat (1215) dans une charte de Philippe Auguste. L'origine du nom viendrait du latin Proastium (bien de campagne près d'une ville) ou Preagium (préage, redevance à payer sur des prés)[10].
Histoire
Des armes de pierre, des poteries et des monnaies anciennes ont été trouvées sur le territoire, ainsi que des tombeaux romains[2].
Moyen Age
La première mention du nom Proyart apparaît dans une charte du cartulaire du prieuré de Lihons-en-Santerre. En 1124, Enguerrand, évêque d'Amiens confirme au prieuré de Lihons la possession de la paroisse de Proyart que lui avait concédé Milon de Péronne. Les marais de Proyart auraient été donnés par la reine Bathilde à l'abbaye de Corbie qui furent laissés en usufruit aux habitants contre redevance[11].
Vers 1311, un poste de templiers est relevé au lieu-dit les Trois Arbres[2].
Époque moderne
En 1636, Les troupes espagnoles commandées par Jean de Wert ravagèrent le village et brûlèrent l'église Saint-Vaast qui dut alors être recouverte de chaume[2].
En 1713, le maréchal d'Harcourt vendit sa propriété. Le village comportait alors également le domaine de Valory, le Bois du Sart et le couvent des religieux de Sainte-Hélène[2].
Époque contemporaine
Lors de la guerre franco-allemande de 1870, sept jeunes gens de la commune perdirent la vie lors de combats[2].
À la fin du XIXesiècle, un moulin à vent à huile[12], une importante fabrique de sucre[13], une briqueterie et une panneterie (fabrique de tuiles) constituaient l'industrie locale avec cinq carrières qui produisaient la craie destinée aux fours à chaux[2].
Les étendues d'eau du marais qu'on appelle entailles produisaient à la fin du XIXesiècle de la tourbe pour le chauffage des habitations
Première Guerre mondiale
L'une des premières batailles de la Première Guerre mondiale a lieu à Proyart le , où 20 000 soldats français s'opposent à 80 000 Allemands, permettant de ralentir l'offensive allemande sur Paris. Cette bataille, où 3 000 soldats meurent, met en évidence l'inadaptation du service français de santé dans son organisation précédant la guerre, qui se révèle incapable de soigner les blessés et nécessite l'aide spontanée de nombreux civils. À la suite de cette bataille, l'armée allemande et l'armée française se déplacent en même temps vers l'est du Bassin parisien où a lieu la bataille de la Marne[14],[15].
La commune se trouve dans la zone des combats de la bataille de la Somme, en 1916[16],[17].
En 1918, Proyart est de nouveau victime des combats: les Allemands ont lancé le l'offensive du Printemps et occupent de nouveau l'ensemble du plateau du Santerre. Ils enterrent leurs morts dans un cimetière, au nord du village. Proyart est finalement libérée le . Après le conflit, le cimetière allemand, aménagé, devient le cimetière militaire allemand de Proyart[18].
La commune est décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le [19]. Elle a également été décorée de la Croix de guerre 1939-1945 le [20].
Proyart pendant la Première Guerre mondiale
Train militaire sur voie étroite transportant des obus, le
Soldats australiens inspectant des mitrailleuses allemandes capturées, le
L(église, en octobre 1918.
Ruines de l'église, en octobre 1918.
Vue intérieure de l'église (en octobre 1918)
Avion allemand capturé en 1918, ramené à Proyart.
Articles connexes: Croix de guerre 1914-1918 des communes de la Somme et Reconstruction en France et en Belgique après la Première Guerre mondiale.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Chaulnes[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Ham.
Intercommunalité
La commune était membre de la communauté de communes de Haute-Picardie créée en 1994 sous le nom de communauté de communes de Chaulnes et environs, et qui a pris sa dénomination de communauté de communes de Haute-Picardie en 1999.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département[22].
Le projet préfectoral prévoit la «fusion des communautés de communes de Haute Picardie et du Santerre», le nouvel ensemble de 17 954 habitants regroupant 46 communes[23],[24],[25]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en [26], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion le [27].
Cette procédure aboutit à la création au de la communauté de communes Terre de Picardie, dont la commune est désormais membre[28].
Vice-président de la CC de Haute-Picardie (2014 → 2016) Vice-président de la CC Terre de Picardie (2017 → ) Réélu pour le mandat 2020-2026[30],[31]
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].
En 2019, la commune comptait 728 habitants[Note 4], en augmentation de 9,15% par rapport à 2013 (Somme: −0,2%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
604
690
682
780
837
854
880
864
889
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
857
822
829
849
873
857
839
807
818
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
762
710
625
471
524
493
499
454
464
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
501
527
513
509
514
522
585
652
697
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
728
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
L'activité économique de la commune est dominée par l'agriculture: grande culture céréalière et betteravière. Le commerce et l'artisanat de proximité complètent la vie économique de la commune.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La commune, très largement détruite pendant la Première Guerre mondiale, accueille plusieurs bâtiments – mairie, école, salle des fêtes, Postes et Télécomunications et église – labellisés «Patrimoine du XXesiècle»[35].
Le monument aux morts, de taille exceptionnelle, en forme d'arc de triomphe avec des sculptures des Marbreries Gourdon[36], a été offert en 1924[37] avec le terrain qu'il occupe par M. et Mme Edgard François, dans la continuité de leur château. Il a également été financé par la ville de Cognac, marraine de guerre de Proyart[38],[18] La plaque de dédicace rappelle qu'il a été inauguré par le Général de Castelnau le [39],[40]
Le monument aux morts de Proyart
Côté droit
L'assaut
La France reconnaissante
Le Départ
Les soldats aux aguets
Le château. Il appartenait M. Edgar François, industriel, dont le fils avait été tué à la guerre, qui a offert le monument aux morts, situé en face de sa demeure.
Le château, vu du Monument aux morts.L'église.
L'église Saint-Vaast[41]: elle remplace l'église du XIVe siècle détruite en 1918, pendant la Première Guerre mondiale. L'édifice a été labellisé «Patrimoine du XXe siècle».
L'église Saint-Vaast
Article détaillé: Église Saint-Vaast de Proyart.
La chapelle Notre-Dame.
La des Fêtes, construite en béton armé et bois dans le cadre de la Reconstruction en 1933 par Paul Rabant[42].
Râperie de betteraves, reconstruite après les destructions de la Première Guerre mondiale, et dont l'activité a cessé en 1978[43].
Le cimetière militaire allemand de Proyart, qui rassemble 4 643 corps dans des tombes individuelles matérialisées par des croix en métal. 117 corps n'ont pu être identifiés[44].
Le cimetière militaire allemand
Article connexe: Liste des mémoriaux et cimetières militaires de la Somme.
Le Circuit du souvenir de Proyart, chemin de mémoire consacré au combat de 1914 et à ceux de la Première Guerre mondiale[45].
Personnalités liées à la commune
Plaque commémorative du Capitaine d'Esclaibes, à l'arrière du Monument aux morts.
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Adrienne Dumeige, institutrice de 20 ans qui soigne les blessés à Rosières-en-Santerre en 1914, est amenée de force par les Allemands avant d'être évacuée dans le Nord. Parvenue à s'échaper, elle revient à Rosières où elles fait évacuer les blessés qu'elle avait soignés vers Amiens[46].
Le capitaine Pierre d'Esclaibes, mari de Noémie de Proyart, descendante des seigneurs de Proyart, est tué le au «Valory», près de la Ferme du Bois du Sart.
Francine François-Dejuine, 1914-1924, 26 communes dans la tourmente, Inval-Boiron, la Vague verte, coll.«Souvenance», , 187p. (ISBN978-2-913924-99-4)
Francine Dejuine, 1935-1955, mémoires de 28 communes du Santerre, Inval-Boiron, Éd. la Vague verte, coll.«Souvenance», , 340p. (ISBN978-2-35637-035-8).
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, 1865 - réédition partielle sous le titre: Chaulnes et ses environs, Paris, Le Livre d'histoire Rassorts Lorisse, 2006 (ISBN978-2-877-60916-6) p. 159
Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, 1865 - réédition partielle sous le titre: Chaulnes et ses environs, Paris, Le Livre d'histoire Rassorts Lorisse, 2006 (ISBN978-2-877-60916-6) pp. 159-160
Section photographique de l'armée, «Proyart (près). Moulin à vent», Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 35, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
Section photographique de l'armée, «Proyart (près). La sucrerie», Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 35, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
«Proyart», Santerre 2014-2018 - La mémoire de la Grande Guerre dans la Somme (consulté le ).
Section photographique de l'armée, «Proyart (ravin de). Obusier de 370: la culasse ouverte», Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 35, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
Vincent Fouquet, «Vers un mariage de la communauté de communes de Haute-Picardie avec celle de Rosières?: Le conseil communautaire, qui s’est déroulé jeudi soir à Soyécourt, a été l’occasion d’annoncer la volonté de l’intercommunalité de fusionner avec celle de Rosières-en-Santerre», Le Courrier picard, (lire en ligne).
Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, «Haute-Somme: La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents: La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits», Le Courrier picard, (lire en ligne).
«Un mariage entre Chaulnes et Rosières-en-Santerre est prévu pour 2017: L’annonce a été faite jeudi 1er octobre à Rosières-en-Santerre: les communautés de communes de Haute Picardie (CCHP) et du Santerre (CCS) souhaitent fusionner. Voici leurs arguments», Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
«Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI», Décideurs en région, (lire en ligne).
«Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes de haute Picardie avec la communauté de communes du Santerre», Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos2016-031, , p.78-79 (lire en ligne[PDF]).
«Jean-Claude Louvet, maire de Proyart, se représente en faisant le pari du Canal: L’élu a présenté ses vœux à la population», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )«Jean-Claude Louvet l’a annoncé lors de sa cérémonie de vœux aux habitants de Proyart, dimanche 5 janvier: il est candidat à sa réélection aux Municipales 2020. En poste depuis 2008, il a établi un rapide bilan de l’année 2019».
«Jean-Claude Louvet reste maire de Proyart comme depuis 2008», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
Ludovic Lascombe, «Proyart, un village laboratoire de la Reconstruction d’après-guerre en Haute-Somme: Dans le cadre des Journées nationales de l’architecture, des visites seront organisées ce week-end dans six communes labellisées «Patrimoine XXe siècle». Parmi elles, Proyart, village emblématique de la Reconstruction d’après-guerre», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
Gary Sheffield, La première Guerre mondiale en 100 objets: Ces objets qui ont écrit l'histoire de la grande guerre, Paris, Elcy éditions, , 256p. (ISBN978 2 753 20832 2), p.14-15
Alain Pouteau, «Nécropole allemande - Proyart», Les cimetières militaires de la Grande Guerre en Picardie, Picardie 1914-1918, (consulté le ).
Halima Najibi, «La Grande Guerre 14-18: le circuit souvenir de Proyart», France 3 Picardie, (lire en ligne, consulté le ).
Vincent Fouquet, «Le portrait d’une héroïne de guerre à Framerville-Rainecourt: Avant d’être la dernière «Poilue» vivante, Adrienne Dumeige, institutrice, était une héroïne de 14-18. Son portrait a été offert ce dimanche 14 juillet par la peintre Arlette Lendroit à la commune où elle a réalisé ses faits d’armes, en présence de ses deux enfants, 97 et 90 ans», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
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