Harbonnières est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
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Harbonnières est aisément accessible par l'ancienne route nationale 29 (actuelle RD 1029). Le village est à faible distance des autoroutes A1 et A29.
Géographie physique
Nature du sol et du sous-sol
Le sol et le sous-sol d'Harbonnières, bourg picard du plateau du Santerre, sont de formation tertiaire. Ils sont formés de couches argileuses de limon des plateaux qui laisse passer l'eau jusqu'à une profondeur de dix mètres. Le diluvium se rencontre dans un fond de vallée[1].
Relief, paysage, végétation
Le relief de la commune est celui d'un plateau compris entre la vallée de la Luce et celle de la Somme. Le nord-est est à peu près plat sauf une petite vallée sèche qui se dirige vers Morcourt. Les environs du village sont légèrement vallonnés d'où un vallon va rejoindre la vallée de la Luce[1].
Hydrographie
Aucun cours d'eau ne traverse la commune d'Harbonnières. La nappe phréatique se trouvait, à la fin du XIXesiècle à 22 mètres du niveau du sol.
Climat
Le climat de la commune est tempéré océanique.
Géographie humaine
Urbanisme et aménagement du territoire
La commune présente un habitat groupé avec des lotissements de maisons individuelles qui se sont édifiés à l'est et au sud de la bourgade.
Activité économique et de services
L'activité industrielle a disparu d'Harbonnières subsiste un tissu commercial et artisanal de proximité: boulangerie, épicerie, coiffeurs, bar-restaurant etc., situés dans le bourg;
Les services sont représentés par l'école maternelle et primaire ainsi que par le foyer de vie «Notre-Dame» pour adulte handicapés, situé en plein centre du bourg, à côté de l'église, il est le principal employeur de la commune.
Transports en commun routiers
La localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France, sauf les jours fériés (ligne no43, Harbonnières - Rosières-en-Santerre, ligne no47, ligne de marché: Péronne - Rosières - Amiens, ligne no59, Harbonnières - Péronne)[2].
Communes limitrophes
Communes limitrophes de Harbonnières
Morcourt
Proyart
Framerville-Rainecourt
Bayonvillers
Vauvillers
Guillaucourt
Caix
Rosières-en-Santerre
Urbanisme
Typologie
Harbonnières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[6],[7].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,8% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,3%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (89%), zones urbanisées (7,5%), zones agricoles hétérogènes (1,8%), forêts (1,6%)[8].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].
Toponymie
On trouve pour désigner Harbonnières, dans les textes anciens, plusieurs formes: Arboneria (1111), Harbonnérii, Harbonières et enfin en 1215, Harbonnières.
Selon une hypothèse, le nom serait dû au fait que des herbes ou des arbres touffus croissaient à l'endroit où se sont implantées les premières habitations[1]. Selon une seconde hypothèse, le nom de la commune dériverait d'Harbo, nom d'un chef franc. Harbonnières serait alors le domaine de ce chef[10].
Histoire
Antiquité
Les vestiges de trois villas gallo-romaines ont été retrouvés[1].
Moyen Âge
Le lieu fut érigé en paroisse avant le XIIesiècle, et en commune en 1104. Le prieuré clunisien de Lihons-en-Santerre nomme le curé à partir de 1111 tandis que l'abbaye de Saint-Fuscien et le prieuré de Méricourt-sur-Somme se partagent le reste de la dîme[11].
Au XIIesiècle, Harbonnières possédait une maladrerie et un Hôtel-Dieu. Sous Louis XIV, les biens de la maladrerie et de l'Hôtel-Dieu d'Harbonnières furent unis à l'Hôtel-Dieu de Montdidier.
Harbonnières fut le siège de deux foires annuelles dès le Moyen Âge, et Charles IX en ajouta deux en 1567[1].
La seigneurie d'Harbonnières passa au XIVesiècle à la famille de Lorraine, qui participa à la reconstruction de l'église au XVIesiècle[11].
Epoque moderne
Le seigneur d'Harbonnière au XVIIIe siècle était Antoine-Adolphe de Seiglières de Belleforière de Soyecourt, marquis de Feuquières, seigneur d'Harbonnières, Caix, Morcourt et autres lieux, mestre de camp de cavalerie, chevalier de Saint-Louis, gouverneur général de la ville de Montdidier en 1759. Il mourut guillotiné en 1791[12].
Epoque contemporaine
XIXe siècle
En 1888, à la suite d'un don de Justine Vaillant, habitante d'Harbonnières, la congrégation de Notre-Dame des Sept Douleurs fonda un hospice au centre du village. Détruit lors de l'offensive allemande de 1918, l'hospice fut reconstruit en 1927. En 1950, l'établissement fut reconverti en orphelinat puis en institut pour enfants handicapés mentaux. Il accueille aujourd'hui des adultes handicapés.
Première Guerre mondiale
Pendant la Première Guerre mondiale, Harbonnières se trouve dans la zone des combats ou de son arrière[13],[14],[15],[16],[17],[18],[19].
Harbonnières fut reprise par les Français au cours de l'été 1916, pendant la bataille de la Somme. Pris par les Allemands le 27 avril 1918 pendant leur Offensive du Printemps, le bourg sera définitivement repris par les Australiens le , le premier jour de la Bataille d'Amiens (1918)[20].
La commune a été décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le [21].
Articles détaillés: Croix de guerre 1914-1918 des communes de la Somme et Reconstruction en France et en Belgique après la Première Guerre mondiale.
Politique et administration
La mairie.
Rattachement administratifs et électoraux
La commune se trouvait de 1793 à 2016 dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Par arrêté préfectoral du , la commune en est détachée le pour intégrer l'arrondissement de Péronne[22]. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Rosières-en-Santerre[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Moreuil.
Intercommunalité
La commune faisait partie de la communauté de communes du Santerre créée le .
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département[24].
Le projet préfectoral prévoit la «fusion des communautés de communes de Haute Picardie et du Santerre», le nouvel ensemble de 17 954 habitants regroupant 46 communes[25],[26],[27]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en [28], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion le [29].
Cette procédure aboutit à la création au de la communauté de communes Terre de Picardie, dont la commune est désormais membre[30].
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].
En 2019, la commune comptait 1 640 habitants[Note 3], en diminution de 0,61% par rapport à 2013 (Somme: −0,2%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 776
1 925
1 985
1 837
2 117
2 180
2 212
2 250
2 165
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
2 062
2 070
2 091
2 014
2 010
1 960
1 884
1 907
1 800
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 774
1 686
1 573
1 150
1 319
1 305
1 300
1 324
1 345
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
1 405
1 426
1 559
1 371
1 286
1 305
1 441
1 480
1 650
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
1 638
1 640
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
L'intercommunalité gère l'école élémentaire (réalisée en 2017 et qui a coûté 1,6 million d’euros) et l'école maternelle de Harbonnières qui accueillent, en 2017-2018, 176 élèves, dont une centaine en élémentaire. Les écoles pourraient accueillir les élèves de Caix et devenir un regroupement pédagogique concentré, mais la municipalité de Caix a obtenu le maintien de son école en 2017[39].
Économie
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La terre fertile a rendu prospère l'agriculture principalement céréalière et betteravière. L'élevage de chevaux trait du Nord est aussi présent sur la commune.
Harbonnières possède sur son territoire un certain nombre d'activités économiques, dont:
la Société des Produits chimiques d'Harbonnières (S.P.C.H.), située à l'entrée du village sur la route de Bayonvillers - Usine fermée en 2019 [40]
plusieurs commerces: une boulangerie, une épicerie, deux coiffeurs, un bars-restaurants, situés dans le bourg;
le foyer de vie «Notre-Dame» est l'un des principaux employeurs de la commune, situé en plein centre du bourg, à côté de l'église.
L'église Saint-Martin d'Harbonnières, l'une des plus vastes du Santerre et parfois appelée «la petite cathédrale du Santerre», reconstruite à l'emplacement d'une église plus ancienne, date des XVIesiècle et XVIIesiècle[11].
Construite en craie, on distingue, dans cette église, deux styles architecturaux différents: le gothique flamboyant de la nef à cinq travées et le style Renaissance du chœur et du transept.
Un important mobilier de style Louis XIV est venu enrichir l'église, avec notamment une chaire[41] deux bas-reliefs représentant l'annonciation et l'adoration des bergers[42], ainsi que le maître-autel peints par Alexis Mazerolle en 1855[43].
L'édifice a été Classé MH(1906).
La chapelle du cimetière
Cette chapelle a été édifiée en pierre de taille en 1817, avant le transfert du cimetière communal à cet endroit, en 1845. Elle possède une statue polychrome de la Vierge et un ex-voto en marbre de 1891. Le toit de la chapelle a été refait en 2000 par la municipalité[44].
Le monument aux morts, édifié grâce à une de souscription publique en 1922[45], décoré d'une sculpture de femme en pleurs de Georges Roty, fils d'Oscar Roty[46]. L'église paroissiale comprend une autre plage commémorative, édifiée aux frais du clergé vers 1926: cette stèle est ornée d'une mosaïque représentant le Christ en buste, et d'un bas-relief montrant le transport d'une civière[45].
« Heath » signifie lande. Située face au bois du Sart, au bord de la route Amiens - Saint-Quentin, au nord d'Harbonnières, cette nécropole contient 1 860 corps d'hommes tués entre et (859 Britanniques, 9 Canadiens, 984 Australiens, 6 Néo-Zélandais et 2 Sud-Africains) dont plus de 360 n'ont pu être identifiés.
Tous les corps reposant ici, proviennent de tombes isolées et de cimetières édifiés au cours du conflit, situés à proximité, en particulier entre Harbonnières et Bray-sur-Somme[47].
Anciens bâtiments industriels en brique, 30 rue de Feuquières, reconstruits en 1921 pour la bonneterie Bouly Lepage créée en 1888 et détruits pendant la Première Guerre mondiale, utilisés actuellement par la société des produits chimiques d'Harbonnières[48].
Personnalités liées à la commune
Prudence Pezé veuve Guiraud dite la Louve de Rainecourt (1766-1820), native d'Harbonnières, chef de la bande des chauffeurs du Santerre, malfaiteurs et assassins qui sévissaient dans l'Est du département de la Somme depuis la fin du XVIIIesiècle. Elle tint son surnom du fait que devenue veuve, elle gérait une auberge à Raineville, hameau de Framerville-Rainecourt, près d'Harbonnières. Condamnée à mort, elle fut guillotinée à Rosières-en-Santerre.
François Vidocq (1775-1857), ancien bagnard devenu chef de la police de sûreté à Paris. Il arrive dans la Somme pour démasquer et arrêter les chauffeurs du Santerre. En 1820, logeant à Harbonnières, il s'infiltra dans la bande de La Louve de Rainecourt et parvint à faire arrêter tous ses membres.
Louis-Emmanuel Maréchal, né le 27 février 1789 à Harbonnières. Maréchal des logis sous le Premier Empire au 12e chasseurs à cheval, de 1809 à 1815[réf.nécessaire].
Georges Croisille, commandant de la marine marchande, né le à Harbonnières. Premier commandant du paquebot France après avoir commandé de nombreux paquebots tels que Colombie, Antilles, Flandre et Liberté, décédé le à Ville-d'Avray.
Héraldique
Blason
De sable semé de fleurs de lis d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Annexes
Bibliographie
Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, Amiens, Société des Antiquaires de Picardie, 1865, réédition partielle Bray-sur-Somme et ses environs, Paris, Le Livre d'histoire-Lorisse, Res Universis, p.143 à 149 (ISBN2 - 87 760 - 446 - 2).
Olivier Garcin, Le Santerre à l'amont de la Luce, histoire des origines à 1900, tome second: Rosières-en-Santerre et ses alentours, Mortagne-au-Perche, La Vague verte, 2016 (ISBN978 - 2 - 35 637 - 081 - 5).
Antoine Goze, Notice sur l'église, la commune et les seigneurs d'Harbonnières, A. Caron, 1855.
Edouard Legenne, Les Ricochets de l'histoire, à Harbonnières, village picard, C.R.D.P., Amiens, 1980.
Adrien Varloy, Les Chauffeurs du Santerre, 1907, réédition, Paris, Le Livre d'histoire-Lorisse Res Universis, 1991 (ISBN2 - 87 760 - 476 - 4) .
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Références
Notice géographique et historique sur la commune d'Harbonnières rédigée par Monsieur Heuduin, instituteur, 1899, Archives départementales de la Somme.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Edouard Legenne,Les Ricochets de l'histoire à Harbonnières, village picard, Amiens, 1980, C.R.D.P.
«L'église», notice noIA80000852, base Mérimée, ministère français de la Culture.
«L'Armorial», sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
Section photographique de l'armée, «Photo: Harbonnières. Près du cimetière: douilles de 75», Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 17, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
Section photographique de l'armée, «Photo: Harbonnières. Place de l'église: ravitaillement», Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 17, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
Section photographique de l'armée, «Photo: Harbonnières (près). Canon de 305 tirant», Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 17, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
Section photographique de l'armée, «Photo: Harbonnières. Carrefour et maisons bombardées», Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 17, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
Vincent Fouquet, «Vers un mariage de la communauté de communes de Haute-Picardie avec celle de Rosières?: Le conseil communautaire, qui s’est déroulé jeudi soir à Soyécourt, a été l’occasion d’annoncer la volonté de l’intercommunalité de fusionner avec celle de Rosières-en-Santerre», Le Courrier picard, (lire en ligne).
Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, «Haute-Somme: La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents: La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits», Le Courrier picard, (lire en ligne).
«Un mariage entre Chaulnes et Rosières-en-Santerre est prévu pour 2017: L’annonce a été faite jeudi 1er octobre à Rosières-en-Santerre: les communautés de communes de Haute Picardie (CCHP) et du Santerre (CCS) souhaitent fusionner. Voici leurs arguments», Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
«Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI», Décideurs en région, (lire en ligne).
«Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes de haute Picardie avec la communauté de communes du Santerre», Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos2016-031, , p.78-79 (lire en ligne[PDF]).
«Harbonnières: Le nouvel élan du maire», L'Union - L'Ardennais, (lire en ligne, consulté le ).
«À Harbonnières, l’objectif 2020 est de rattraper les retards de 2019», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )«L’année 2019 aura été l’année de tous les retards si je peux dire.» Le décor est planté par Regis Ventelon, maire du village et candidat déclaré pour mars 2020».
«Georgette Sciascia élue maire d’Harbonnières», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
Benjamin Merieau, «L’école primaire d’Harbonnières prête à la rentrée: Les élus ont visité le chantier de l’école, qui pourrait accueillir à terme les élèves de Caix. La cantine et l’école maternelle suivront aux rentrées scolaires 2018 et 2019», Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll.«Richesses en Somme», 4e trimestre 2003, 302p., p.242 (ASINB000WR15W8).
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