Piégut-Pluviers est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.
Pour l’article homonyme, voir Piégut (homonymie).
Pour l’article ayant un titre homophone, voir Pluvier.
Piégut-Pluviers
Le bourg de Piégut vu depuis la tour qui le domine.
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Piégut-Pluviers est dans le gradin extrême nord-est que constitue le dernier contrefort du Massif central, avec des roches cristallines formées au Paléozoïque, antérieurement au Carbonifère[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de roches sédimentaires datant du Mésozoïque et du Paléozoïque, ainsi que de magmatiques. La formation la plus ancienne, notée pγ3, fait partie des granodiorites de Piégut-Pluviers, composée de granite à biotite, gros grain, tendance porphyroïde (Carbonifère supérieur). La formation la plus récente, notée Alt, est constituée d'altérites de socle, des arènes sableuses, argiles sableuses, isaltérites ou allotérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles «no710 - Montbron» et «no711 - Châlus» de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].
Carte géologique de Piégut-Pluviers.
Légende de la carte géologique.
Ère
Période
Époque
Formations géologiques
Cénozoïque (0 - 66.0)
non présent
Mésozoïque (66.0 - 252.17)
Crétacé (66.0 - ≃145.0)
Supérieur
Alt :
Altérites de socle: arènes sableuses, argiles sableuses, isaltérites, allotérites
inférieur
non présent.
Jurassique (≃145.0 - 201.3)
non présent
Trias (201.3 - 252.17)
non présent
Paléozoïque (252.17 - 541.0)
Permien (252.17 - 298.9)
non présent
Carbonifère (298.9 - 358.9)
Pennsylvanien
μγ3-4 :
Microgranites porphyriques à biotite, gris ou roses, en filons recoupant les massifs granitiques (Carbonifère sup.)
γ3-4 :
Granodiorites calco-alcalines du massif de Piégut-Pluviers-Abjat: granite à biotite, structure équante, grain moyen à grossier, en massif (Carbonifère sup.)
fγ3-4 :
Granodiorites calco-alcalines du massif de Piégut-Pluviers-Abjat: granite monzonitique à structure équante, grain fin, tendance aplitique, à biotite et parfois amphibole (Carbonifère sup.)
pγ3 :
Granodiorites calco-alcalines du massif de Piégut-Pluviers-Abjat: granite à biotite, gros grain, tendance porphyroïde (Carbonifère sup.)
Mississippien
non présent
Dévonien (358.9 - 419.2)
non présent
Silurien (419.2 - 443.8)
non présent
Ordovicien (443.8 - 485.4)
non présent
Cambrien (485.4 - 541.0)
non présent
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 216 mètres et 310 mètres[6],[7].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[9]. La commune est dans l'unité paysagère du «Périgord limousin» qui correspond à la région naturelle du Nontronnais. Ce territoire forme un plateau collinaire aux pentes douces et sommets arasés, d’altitude moyenne autour des 300 m dont le point culminant est également celui de la Dordogne. Ce plateau cristallin est vallonné et dominé par les prairies aux horizons boisés. Il est entaillé de vallées profondes aux versants forestiers[10],[11].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 18,11 km2[6],[12],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 18,66 km2[3].
Hydrographie
Réseau hydrographique
Réseaux hydrographique et routier de Piégut-Pluviers.
La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par le Trieux, la Doue, le ruisseau de l'Étang Grolhier et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 27 km de longueur totale[16],[Carte 1].
Son affluent le ruisseau de l'Étang Grolhier prend sa source au nord du bourg de Piégut et arrose la commune sur plus de quatre kilomètres dont un kilomètre en limite de Champniers-et-Reilhac. Il alimente l'étang Grolhier, un plan d'eau de 22hectares dont la rive sud-ouest fait partie du territoire communal.
La Doue, d'une longueur totale de 17,45 km, prend sa source dans le sud de la commune et se jette dans le Bandiat en rive droite à Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert[19],[20]. Elle arrose le sud-est de la commune sur plus d'un kilomètre et demi, dont un kilomètre servant de limite naturelle face à Augignac.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) «Charente». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[21]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [22].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[23]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[24].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[23]
Moyenne annuelle de température: 11,5°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,8 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 4,8 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,4 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 7,7 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[27] complétée par des études régionales[28] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Cheronnac_sapc», sur la commune de Chéronnac, mise en service en 1995[29] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[30],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 12,2°C et la hauteur de précipitations de 1 107,3 mm pour la période 1981-2010[31].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Limoges-Bellegarde», sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 50 km[32], la température moyenne annuelle évolue de 11,2°C pour la période 1971-2000[33], à 11,4°C pour 1981-2010[34], puis à 11,8°C pour 1991-2020[35].
Urbanisme
Typologie
Piégut-Pluviers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[36],[37],[38].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nontron, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[39],[40].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (49,8% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (49,2%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (49,8%), zones agricoles hétérogènes (37,2%), zones urbanisées (9,8%), prairies (2,8%), eaux continentales[Note 9] (0,4%)[41].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Lieux-dits et écarts
Les lieux-dits suivis d'une astérisque sont situés à l'écart de la route indiquée.
Le territoire de la commune de Piégut-Pluviers est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[42]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[43].
Piégut-Pluviers est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées: interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[44]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[45],[46].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Piégut-Pluviers.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[47]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[48]. 6,9% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6% au niveau départemental et 48,5% au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 10],[49].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999, par la sécheresse en 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[42].
Toponymie
Le lieu est connu à l'époque gallo-romaine sous le nom de «Podium Accutum». «Podium» désignait un endroit élevé et «Accutum» signifie en français aigu. Puis ce nom est devenu «Pic-Aigu», «Puy-Aigu» et enfin Piégut vers la fin du XVIIesiècle.
En occitan, la commune porte le nom de Puei `Gut e Pluviers[50].
Histoire
La mairie et le marché.
Au XVesiècle, Piégut est une seigneurie dépendant de Limoges.
En 1862, la commune de Pluviers prend le nom de Piégut-Pluviers.
Depuis 1642, le mercredi matin s'y tient un important marché.
Politique et administration
Intercommunalité
Fin 2000, Piégut-Pluviers intègre dès sa création la communauté de communes du Périgord vert granitique. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Haut-Périgord. Au , celle-ci fusionne avec la communauté de communes du Périgord vert nontronnais pour former la communauté de communes du Périgord Nontronnais.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[51],[52].
Gestionnaire de maisons de retraite et de l'hôpital de Girac
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Piégut-Pluviers relève[55]:
du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux;
de la cour d'appel de Bordeaux.
Population et société
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[57].
En 2019, la commune comptait 1 179 habitants[Note 13], en diminution de 3,83% par rapport à 2013 (Dordogne: −0,88%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
821
913
862
1 102
1 037
1 148
1 220
1 235
1 307
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 345
1 369
1 545
1 595
1 770
1 789
1 834
1 780
1 767
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 840
1 821
1 874
1 692
1 714
1 644
1 732
1 567
1 604
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
1 558
1 545
1 504
1 527
1 471
1 313
1 215
1 208
1 227
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
1 182
1 179
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[58].)
Histogramme de l'évolution démographique
Manifestations culturelles et festivités
La place du marché et la mairie lors de la félibrée 2012.
Les et , Piégut-Pluviers a organisé la 93e félibrée, la fête de l'Occitanie qui a lieu tous les ans au début de l'été dans une commune de Dordogne[59].
Économie
Emploi
En 2015[60], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 427 personnes, soit 36,1% de la population municipale. Le nombre de chômeurs (61) a augmenté par rapport à 2010 (46) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 14,3%.
Établissements
Au , la commune compte 158 établissements[61], dont 97 au niveau des commerces, transports ou services, vingt-trois dans la construction, vingt relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, seize dans l'industrie, et deux dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[62].
Entreprises
Dans le secteur du BTP, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société «Confort chauffage» (travaux d'installation d'équipements thermiques et de climatisation) implantée à Piégut-Pluviers se classe en 40eposition quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 2 894 k€[63].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La tour de Piégut est le donjon circulaire d'un château assiégé et détruit en 1199 par Richard Cœur de Lion.
La tour de Piégut.
L'ancien lavoir de Piégut.
L'église de Pluviers.
Le portail de l'église de Pluviers.
La voie romaine.
L'église de Piégut.
Patrimoine naturel
La commune fait partie du parc naturel régional Périgord-Limousin[64] depuis la création de celui-ci en 1998[65], adhésion renouvelée en 2011[66].
Sur le territoire communal, les vallées du Trieux au nord-est et de son affluent le ruisseau de l'Étang Grolhier au nord-ouest sont protégées au titre de la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I «Vallées du réseau hydrographique de la Tardoire et du Trieux» dont la flore est constituée de près d'une quarantaine d'espèces de plantes, dont quatre sont considérées comme déterminantes: l'adoxe musquée, ou moscatelline, ou muscatelle (Adoxa moschatellina), la corydale à bulbe plein (Corydalis solida), l'isopyre faux-pigamon (Isopyrum thalictroides) et la jacinthe des bois, ou jacinthe sauvage (Hyacinthoides non-scripta)[67],[68].
Quatre kilomètres au nord du bourg de Piégut-Pluviers, l'étang Grolhier est partagé entre les communes de Piégut-Pluviers (7,5hectares), Champniers-et-Reilhac (4,2 hectares) et Busserolles (10,7 hectares). L'étang est au centre d'un site inscrit de 233 hectares depuis 1979[69].
Randonnées
Le sentier de grande randonnée GR 4 qui va de Royan à Grasse traverse l'ouest de la commune.
Patrimoine oral
Plusieurs documents sonores en langue limousine enregistrés sur la commune sont accessibles sur le site des archives de l'Institut d’études occitanes du Limousin[70].
Jean-Joseph de Verneilh-Puyraseau (1756-1839), député de la Dordogne.
Félix-Joseph de Verneilh-Puyraseau (1820-1864), historien et archéologue.
Charles de Verneilh-Puyraseau (1894-1933), aviateur.
Guy-Patrick Sainderichin (né en 1950), scénariste français né à Piégut-Pluviers.
Pierre-Philippe Niocel (1833-1909), instituteur et érudit périgordin, auteur de deux livres de mathématiques publiés chez Larousse à la fin du Second Empire.
Émile Mangiapan (1925-2007), peintre, mort à Piégut-Pluviers. Passionné notamment de jazz et de danse, il en a fait les sujets favoris de ses tableaux riches en couleurs.
Héraldique
Blason
D’azur aux trois tours d’argent ouvertes et maçonnées de sable, à l’orle en filet cousu de gueules.
Pierre Barrière, «L'exploitation métallurgique et le peuplement ancien dans la commune de Piégut- Pluviers (Dordogne)», dans Revue des Études Anciennes, 1940, tome 42, no1-4, p.560-566(lire en ligne)
Articles connexes
Granodiorite de Piégut-Pluviers
Liste des communes de la Dordogne
Liste des anciennes communes de la Dordogne
Communauté de communes du Périgord Nontronnais (nouvelle)
Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[25].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[26].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Décédé en fonctions.
Démissionnaire, mais reste conseiller municipal.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Carte de localisation de la ZNIEFF 720012831, INPN, consulté le 5 mai 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer en haut à gauche sur le globe terrestre bleu, descendre la valeur de la couche «Métropole: ZNIEFF1» à 0 et augmenter l'opacité de la couche «Cartes IGN» à 1.
[PDF] Étang de Grolhier sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 5 mai 2019.
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